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Les commentaires de Lucien de Rubempré



  • Nicolas Foutrier 4 février 2008 23:18

    Savez-vous vraiment de quoi vous parlez ? Le système assurantiel aux Etats-Unis est un véritable désastre. Avez-vous vu ceci ? :

    http://fr.youtube.com/watch?v=Ta0RV3Muitc

     



  • Nicolas Foutrier 4 février 2008 09:23

    Non, désolé, nous ne sommes pas d’accord.

    Vous établissez une corrélation nauséabonde entre le chômage et l’immigration, en ne nous épargnant aucun des poncifs de la pensée d’extrême-droite. Contrairement à ce que vous affirmez si élégamment, la France "n’importe pas d’immigrés" puisque l’immigration de travail n’existe quasiment plus, la plupart des entrées en France étant liées au regroupement familial. Quant à l’immigration clandestine, il faut savoir : on ne peut pas à la fois soutenir des dictatures dans certains pays maintenus dans la misère et s’étonner ensuite de voir arriver dans les pays riches des populations fuyant ces pays...

    Enfin, vos considérations essentialistes sur la nature humaine et la fainéantise sont dignes du café du commerce. Les "valeurs morales" auxquelles vous adhérez ont un arrière-goût de vieille morale bourgeoise et catho : l’effort, le don, le sacrifice... ça sent le bon vieux pétainisme d’antan.



  • Nicolas Foutrier 3 février 2008 19:39

    Vous êtes pour la suppression de la Sécu ? Peut-être préfèreriez-vous un système assurantiel comme aux Etats-Unis où près de 40 millions de personnes n’ont pas de couverture-maladie ?



  • Nicolas Foutrier 3 février 2008 19:36

    Concernant la dette publque, je ne peux que vous conseiller la lecture de cet article très instructif :

    http://agitlog.zeblog.com/192416-la-dette-publique-de-l-39-autre-cote-du-miroir/

    Sinon, sur le chômage, je crois qu’on est d’accord sur le constat : les statistiques officielles sont très loin de la réalité. En revanche, votre explication du chômage est tout simplement absurde. Croyez-vous franchement que les millions de chômeurs et d’inactifs en France sont tous des fainéants ? Par ailleurs, s’il n’est pas intéresssant pour beaucoup de personnes, notamment les travailleurs peu qualifiés, de reprendre un travail, pourquoi dans ce cas ne pas augmenter les salaires, plutôt que de penser à les punir en les forçant à accepter des boulots sous-payés ? Dans le choix entre travail et inactivité, les gens font un arbitrage qui suit leur intérêt : si un boulot est mal payé, pourquoi travaillerai-je ? Un Français sur deux gagne actuellement en France moins de 1300 euros : le véritable problème, c’est la revalorisation (pas au sens moralisateur de Sarkozy) du travail par rapport au capital.



  • Nicolas Foutrier 2 février 2008 13:12

    Ah bon, la Sécu est un "boulet" pour les salariés du privé et un "bienfait" pour le patronat et pour les "hauts revenus" ? Pourquoi prenez-vous la peine d’écrire de telles âneries... Je serais curieux de savoir ce que vous faites dans la vie... Vous ne devez pas beaucoup fréquenter les gens qui travaillent ; la plupart d’entre eux seraient prêts à prendre les armes pour défendre la Sécu. Pauvre idiot !



  • Nicolas Foutrier 2 février 2008 13:03

    Vous écrivez "notre pays doit rembourser 200 milliards de dettes"... D’où sort donc ce chiffre ? A quoi correspond-il ? Un peu de rigueur ne vous ferait pas de mal, idyllique...

    Votre commentaire n’est, je le regrette, qu’un ramassis de préjugés étalés avec suffisance ; je suis surpris en particulier par le manque d’arguments. Connaissez-vous la différence entre un argument et un exemple ?

    Vous dites que les gens sont des fainéants... Dans ce cas, pourquoi n’y avait-il pas de chômage il y a quarante ans ? Les gens n’étaient donc pas fainéants à l’époque... Que s’est-il passé entre temps ? Une mutation génétique nous aurait-elle rendu fainéants ? Expliquez-moi donc ce curieux phénomène...



  • Nicolas Foutrier 1er février 2008 15:39

    @ black ader

    je constate que la nuit ne vous a pas porté conseil... Votre nouveau commentaire est un condensé d’âneries et d’ignorance qui dépasse mon imagination. Sérierusement, je vous conseille d’écrire un peu moins et de réfléchir un peu plus si tant que vous en soyez capable.

    Votre remarque sur l’IS est... comment dire ? d’une consternante bêtise. Je ne faisais que rappeler un fait qu’il est vous est possible de vérifier : le taux de l’IS est passé en 1985 de 50 à 33%. C’est un fait. Point. Vous comprendre ce que moi dire ?

    Quant à votre couplet sur la fuite des capitaux, on le connait par coeur... Toujours la même rengaine. Vous oubliez que la France est le quatrième pays en termes d’IDE. Quant au rôle de l’Etat dans la création de la valeur, il est essentiel. Que deviendraient les PME et les grandes entreprises sans les commandes publiques ? Que deviendrait Dassault sans les commandes militaires ? Que deviendraient les marchés financiers sans les obligations d’Etat ? On continue ? Imaginez un collège et toutes les dépenses liées au renouvellement du matériel, à la rénovation, et multipliez ces dépenses par le nombre de collèges, d’établissements scolaires, d’établissements publics... Vous commencer à saisir ?

    Vos connaissances en fiscalité sont pour le moins approximatives. Vous dénoncez d’un côté l’augmentation du taux de prélèvements obligatoires et exigez d’un autre côté que tous paient l’IRPP... Mais connaissez-vous seulement la différence entre impôt progressif et impôt proportionnel ? Depuis vingt ans, on ne cesse d’augmenter les impôts les plus injustes tels que la TVA, au motif que cette taxe est facile à prélever, que son assiette est large, que sa base est immobile et qu’il est soi-diant "neutre" sur l’activité économique. A l’inverse, on diminue le niveau des recettes de l’IRPP, comme vient de le faire Sarkozy, tout en remttant en cause sa progessivité par la baisse des taux d’mposition et la réduction du nompbre de tranches.

    Vous seriez fort inspiré de demander à "vos amis riches", que vous prétendez connaître, dans quelle mesure les récentes réformes fiscales du gouvernement leur ont permis d’arrondir leurs fins de mois...

    Il y aurait beaucoup de choses à ajouter mais je ne vais non plus perdre mon temps à essayer de convaincre l’idiot que vous êtes.



  • Nicolas Foutrier 1er février 2008 11:33

    Je n’ai jamais affirmé ou laissé entendre que les capitalistes et leurs penseurs néolibéraux étaient des nuls et des vendus ; je les trouve même assez forts. Ils ne peuvent du reste être des vendus car ils sont eux-mêmes les représentants du capital.

    Votre commentaire, qui se garde bien d’aborder le fond du rapport (vous ne l’avez sans doute pas lu), est un tissu de préjugés de droite à la "jean-Pierre Pernaut" sur les "assistés" et les "gaspilleurs". Les préjugés et l’ignorance étant les revers de la même médaille, il n’est guère étonnant de constater que le reste de votre commentaire vole vraiment au ras des pâquerettes. Vous semblez parler de choses que vous ne maîtrisez pas. Vous affirmez ainsi que l’Allemagne a du absorber 40 millions (sic) de citoyens de l’ex-RDA... Faites un effort et allez vous informer de façon plus rigoureuse.

    Quant à la situation économique de l’Allemagne et des autres pays que vous citez, là encore, vous semblez très mal la connaître. Savez-vous qu’il y a encore près de quatre millions de chômeurs en Allemagne ?



  • Nicolas Foutrier 1er février 2008 11:15

    Manifestement vous n’avez lu ni le rapport ni mon article. Il s’agit d’un article polémique qui ne visait pas l’exhaustivité mais exprimait un point de vue certes partisan, mais, je le crois, argumenté. Quant aux membres de la Commission, cela ne me dérange pas qu’ils soient riches, tant mieux pour eux. Je pense simplement qu’à travers ce rapport, ils défendent leurs intérêts de classe et ils en ont tout à fait le droit ; le rôle de la gauche est à l’inverse d’appuyer les revendications des forces sociales sur lesquelles elle repose, c’est-à-dire de la majorité des Français dont les revenus sont syphonnés par une minorité de rentiers et de détenteurs du capital. Cela dit, je reconnais que le rapport contient quelques mesures de "bon sens" mais dont la mise en oeuvre est mal assumée, notamment du point de vue financier.

    Concernant Attali, son problème est que, quelque soit l’époque et le gouvernement, il sait, en bon conseiller du Prince, répondre aux attentes de son maître, qu’il soit de "gauche" ou de droite.

    Je constate, pour conclure, que, comme de nombreux commentaires, vous vous gardez bien d’aborder les propositions du rapport Attali alors que je suis ouvert au débat. Il semble néanmoins que le débat ne soit pas vraiment votre tasse de thé...



  • Nicolas Foutrier 1er février 2008 00:52

    @ Ahmed

    je n’ai jamais dit que le rapport était néoclassique, mais que la plupart des membres de la Commission partageaient cette vision de l’économie politique. Dans l’ensemble, je dirais que le rapport est d’inspiration néolibérale - plus que néoclassique - (sur le marché du travail, les retraites, etc.) mais qu’il contient également - je le reconnais - des mesures de bon sens aux accents quelquefois très volontaristes. Le problème est que même ces mesures (je pense notamment aux grands travaux d’infrastructures) sont mal assumées car le rapport préconise en même temps une réduction drastique des dépenses publiques...

    Vous critiquez "l’attachement viscéral de la gauche aux charges sociales, véritable boulet accroché aux salariés du secteur privé". Vous oubliez que sans ce terrible boulet que traînent les salariés, ils ne bénéficieraient pas des différents services de la Sécu...

    Le reste de votre commentaire est un terrible aveu d’ignorance car la gauche - la vraie -, n’a de cesse de dénoncer la baisse de l’IRPP et les remises en cause successives de sa progressivité depuis quinze ans. Quant à un mode de financement alternatif de la Sécu, là encore, vous ne semblez pas très bien informé. La CGT, ce syndicat que vous devez sans doute considérer comme "ringard" et "archaïque", milite depuis des années pour un élargissement de l’assiette de financement de la Sécu à la valeur ajoutée produite par les entreprises... Il serait temps de changer de camp, mon vieux...

    Quant à l’amélioration du pouvoir d’achat, vous faites peut-être confiance à Sarkozy, pour qui les "caisses sont vides" ?



  • Nicolas Foutrier 1er février 2008 00:10

    Bravo Sébastien ! Quelle perspicacité ! Vous venez de réaliser que cet article, publié dans la "Tribune libre", était partisan. Je n’ai en effet pas peur de l’affirmer ; cet article est partisan comme l’est ce rapport et comme l’est à vrai dire tout débat politique. Le fait qu’un texte soit partisan ne me dérange pas à partir du moment où il est argumenté. Il était du reste important de rappeler que la composition de cette commission, quoique l’on puisse entendre ici ou là, n’était pas neutre et découlait d’un choix politique.

    Votre commentaire traduit par ailleurs un insondable mépris pour le peuple et, a contrario, une vénération presque magique envers une bande de soi-disant experts chargés de penser à votre place. C’est sans doute plus commode...

    Mais le pire, c’est que dans votre court, très court commentaire, il n’y a pas l’ombre d’une critique sérieuse sur le fond...



  • Nicolas Foutrier 31 janvier 2008 23:56

    Bien sûr ! Cet article est, cela va sans dire, libre de droits. Faites-en donc ce que bon vous semble.



  • Nicolas Foutrier 31 janvier 2008 20:04

    Cher Black Ader,

    votre commentaire est d’une telle indigence que l’on se demande si ce n’est pas un canular. Non seulement vous ne savez pas réléchir, mais vous ne savez pas non plus écrire (je ne parle pas des fautes d’orthographe) ni lire...

    Reprenons votre brillant exposé :

    1) concernant l’IS, son taux est passé en 1985 de 50% à 33%. Pour l’IR, faites un effort pour une fois, allez chercher vous-même...

    2) Quant aux exonérations de charges, il est vrai que la plupart ont été accordées au titre de la Loi Aubry 2 en 2000 (j’y suis d’ailleurs opposé), mais les premières (Balladur-Veil en 1993-94) s’élèvent tout de même, à elles seules, à 2,2 milliards d’euros. D’ailleurs, il est extraordinaire que l’on continue à accorder ces exonérations alors que les 35 heures ont été quasiment balayées par la réforme Fillon en 2003 et la récente réforme sur le rachat des RTT ! Quoiqu’il en soit, le coût total des exonérations de charges pour le budget de l’Etat et les comptes sociaux est énorme puisqu’en 2006, ces pertes de recettes s’élevaient à près de 25 milliards d’euros soit + 12% par rapport à 2005 :

    - 18,9 milliards d’allégements généraux compensés par des recettes fiscales versées par le budget de l’Etat ;

    - 2,9 milliards au titre des exonérations ciblées compensées par des dotations budgétaires ;

    - 2,7 milliards d’exonérations non compensées par l’Etat.

    3) Les patrons n’engagent certes pas pour une semaine (quoique...), mais ils n’engagent pas non plus pour un an... (sauf certains CDD ou contrats d’interim). Vous confondez le contrat de travail et les instruments de mesure de l’emploi du facteur travail en France... De toute façon, le problème n’est pas là. Ces chiffres sont là pour rappeler qu’au-delà de la durée légale du temps de travail, dont la droite se sert pour nous présenter comme un pays de fainéants, les Français travaillent davantage que les autres pays par semaine. La différence avec le calcul annuel tient, d’une part, à ce qu’aux Etats-Unis notamment les travailleurs ont moins de congés payés (dont l’emploi peut du reste se révéler très utile pour réfléchir...) et que, d’autre part, les réformes de 2003 et 2007-2008 ont quasiment aboli les 35 heures dans les faits. Enfin, n’oubliez pas que la productivité en France, par tête et par heure, est des plus élevées parmi les pays de l’OCDE.

    4) Votre réaction ("Débile ! Si on veut réduire le cout du travail, on ne va évidement pas augmenter le cout du travail ! ") à un extrait de l’article : " "On connaît d’avance le résultat : les entreprises à qui profiteront les allègements de charges se saisiront de cette manne fiscale pour améliorer leurs marges de profit sans que les travailleurs en voient la couleur sur leur fiche de paie !",
    me laisse perplexe car elle témoigne à l’évidence de vos difficultés à maîtriser la compréhension de la langue française. Quoiqu’il en soit, retenez néanmoins ceci : d’après un rapport de la Cour des Comptes, les exonérations de charges ont créé des effets d’aubaine et n’ont guère permis de faire baisser le coût du travail, ni de créer des emplois supplémentaires :

    http://agitlog.zeblog.com/248600-les-exonerations-de-cotisations-sociales-des-stock-options-plombent-la-secu-d-39-apres-la-cour-des-comptes/

     

    5) "Faudrait faire payer ces 50% de français qui ne payent pas d’impot, surtout. Ils n’étaient que 30% en 1980. On ne va pas me faire croire qu’aprés 30 ans d’une fabuleuse croissance social anti capitaliste, il y aurait plus de pauvre que sous VGE !"

    Concernant l’IR, auquel vous faites sans doute référence, il m’est fort diffcile de répondre à vos propos dont la cohérence m’échappe. Depuis une quinzaine d’années, on ne cesse de remettre en cause la progressivité de l’impôt sur le revenu en diminuant le nombre de tranches et les taux marginaux d’imposition. Au final, la part de l’IRPP dans les recettes fiscales de l’Etat n’a cessé de diminuer. A la place, qu’a-t-on fait ? On a augmenté la TVA et recouru à l’emprunt. Au final les prélèvements obligatoires ont diminué pour les foyers les plus riches, mais se sont alourdis pour les ménages les plus modestes.

    6) " ?? Le capital est deux fois plus taaxé en France que dans le reste de l’Europe. Au reste, vous devez bien le voir, avec le cout du logement, non ?" Le capital est deux fois plus taxé en France ? Mais à quoi faites-vous référence, mon vieux ? Soyez plus explicite ! Si l’imposition du capital est plus élevé en France, ce n’est que relativement à d’autres pays européens (vous avez cité l’Irlande) qui pratiquent une concurrence fiscale encouragée par l’UE.

    7) "Ca marche bien pour les autres pays qui les suivent, ces régles, alors pourquoi ca marcherai pas avec le français ? Son une race inférieur ? Supérieur ?" Cette réaction à un extrait relatif à une critique succinte de l’économie néoclassique est encore une fois à côté de la plaque. Là, franchement, je ne sais plus quoi vous répondre...

    8) Quant à vos derniers commentaires sur la réduction du temps de travail et les congés payés, je vous invite à relire mon article. Par ailleurs, si vous ne souhaitez pas partir en vacances, ni vous consacrer à autre chose que de travailler, je peux, si vous le souhaitez, vous aider à écrire une lettre à votre employeur pour lui transmettre vos pressantes doléances.



  • Nicolas Foutrier 31 janvier 2008 18:41

    @ logic

    je ne vois pas très bien où vous voulez en venir. Si j’ai bien compris, vous jugez cet article peut-être pertinent, mais cela n’a aucne importance car les hônnêtes travailleurs triment... un peu court, non ?

     

    Concernant les chiffres que vous avancez, il s’agit de la dette, et non du déficit. Son augmentation depuis 1981, qui sert désormais aux libéraux d’argument pour justifier la réduction des dépenses publiques et à casser les services publics, est liée structurellement à la libéralisation des marchés financiers dans les années 1980 qui a permis à l’Etat de recourir massivement à l’emprunt avec des taux d’intérêt plus avantageux. Parallèlement, les gouvernements successifs ont procédé à des baisses massives des prélèvements obligatoires.

    Sur le sujet, voir cet excellent article qui déconstruit radicalement le discours des libéraux sur la dette publique :

    http://agitlog.zeblog.com/192416-la-dette-publique-de-l-39-autre-cote-du-miroir/

     



  • Nicolas Foutrier 30 janvier 2008 16:24

    Ce rapport est tout simplement réactionnaire. Petit extrait : "depuis 1936, les Français vivent en moyenne 20 ans de plus et travaillent 15 ans de moins. Ces 35 années de loisirs supplémentaires ont un lourd coût en termes de croissance et ne correspondent pas nécessairement aux aspirations de chacun."

    Ca en dit long... :

    http://agitlog.zeblog.com/291117-rapport-attali-le-nouvel-oracle-des-neoliberaux/

     

     



  • Nicolas Foutrier 30 janvier 2008 15:58

    Le recours à l’emprunt par l’Etat est la conséquence directe des baisses d’impôt par lesquelles nos gouvernants organisant la faillite de l’Etat. A qui profite le crime ? A ceux bénéficiant des baisses d’impôt dont certains sont également des rentiers s’enrichissant sur la dette de l’Etat.

    Je me permets par ailleurs d’apporter ma modeste contribution au débat sur le rapport attali :

    http://agitlog.zeblog.com/291117-rapport-attali-le-nouvel-oracle-des-neoliberaux/

     

     



  • Nicolas Foutrier 13 septembre 2007 14:04

    En exclusivité : la lettre que le XV de France lira dans les vestiaires avant France-Namibie dimanche :

    http://agitlog.zeblog.com/248534-en-exclusivite-la-lettre-que-le-xv-de-france-lira-dans
    - les-vestiaires-avant-france-namibie-dimanche/



  • Nicolas Foutrier 3 juin 2007 00:08

    Au moins, Voltaire (le vrai) avait de l’esprit... Sérieusement, quel est l’amateur qui a écrit cet article ? Comment son auteur peut-il prétendre tenir un discours sur la dette publique alors qu’il ne semble pas faire la différence entre dette et déficit ?? Je cite l’auteur : « Nicolas Sarkozy avait affiché sa volonté de faire repasser le déficit de la France sous les 60% du PIB à l’échéance de 2012 » Je ne pensais pas que la situation de la France était aussi désespérée...



  • Nicolas Foutrier 13 mai 2007 18:10

    Gonsolin, sur la question du désendettement sous le gouvernement Jospin : 1. je constate qu’en raison d’une forte croissance, le ratio dette/PIB en France a diminué entre 1997 et 2001, passant même sous la barre des 60%. 2. Il est particulièrement malhonnête de reprocher au Gvt Jospin de ne pas avoir fourni des efforts nécessaires pour désendetter davantage la France. D’une part, comme je viens de le dire, la dette était passée en-dessous des 60%. D’autre part, à l’époque de la fameuse « cagnotte », l’opposition de droite, qui aujourd’hui reproche au précédent gvt de ne pas avoir suffisamment désendetté, avait fait pression sur le Gvt pour que les excédents budgétaires soient redistribués.



  • Nicolas Foutrier 21 mars 2007 20:53

    A foncel : Quelle véhémence ! Je vais vous faire un aveu ; je ne suis pas moi-même très convaincu par les vertus politiques des médias et il est vrai qu’un débat politique retransmis à la télévision demeure un spectacle. Avez-vous lu l’article jusqu’au bout ? A vrai dire, si vous saviez lire entre les lignes, vous auriez compris que mon article n’était pas un vibrant plaidoyer pour obtenir des débats contradictoires à la télévision quoique, vous l’admettrez, il est toujours plus intéressant de voir des hommes politiques s’affronter que d’assister à un numéro de tribun en solo. Ce que j’ai voulu dire, entre autres, c’est que l’espace politique se construit à travers le débat et l’affrontement, et non dans la présentation-benchmarking de différents candidats entre lesquels les électeurs doivent voter.

    Sinon, je suis complètement d’accord avec vous pour dénoncer la dérive monarchiste de la Ve République. Nous avons d’ailleurs publié un article à ce sujet sur notre blog, AGIT LOG.