Oui, on a bien vu que la présence de Bricmont était déjà de trop. Et que le simple fait d’inviter Nabe, à part, sans les avoir prévenu, les a rendus fous de rage et la plupart ne serait pas venus s’ils l’avaient su. Pire, alors qu’il a passé son temps à taper sur Dieudo, Nabe a été trainé dans la boue et Taddéi s’est fait remonter les bretelles comme un malpropre. Bref, on a vu ce qu’il était possible de faire à la TV en 2014, et ce qui n’est pas possible.
@ Fifi : bonjour à François et à Louis le Bon :)
Je pense plutôt avoir démontré l’hypocrisie et la tartuferie des Mélenchon et compagnie, desquels je pourrais en effet être assez proche, s’ils étaient sincères, et c’est loin d’être le cas. Pour rester avec Nietzsche, je suis vis-à-vis du FDG dans la posture de son Antéchrist : le FDG, ce sont les criminels des criminels.
Beethoven est un de mes plus grands maitres, mais j’écoute plus de jazz désormais, par exemple, que de musique classique...
Merci pour cet article intéressant sur ce très beau film. Je ne m’explique pas le titre "français", qui fait vraiment passer ce film pour ce qu’il n’est pas du tout : mielleux, imbécile heureux, etc. Enfin, ça doit être plus vendeur. Le commerce est fantastique.
Idem
J’ai découvert le Oud par Khaled Al Jaramani dans Interzone avec Serge Teyssot-Gay, et cet instrument est assez fantastique.
Adel parle d’un DVD pour les Mille et une nuits présentées au Fort de Bron l’an dernier : quelqu’un sait-il de quel dvd il parle car cela m’intéresse beaucoup !
En attendant, je vais poursuivre mes explorations sonores, merci pour cette série d’articles qui vont nous ouvrir des horizons culturels
Très beau film, en effet, et le jeune âge de la réalisatrice (18 ans) ne fait forcer l’admiration. Des images fortes sans pour autant tomber dans le simplisme. Ce film mérite qu’on parle de lui, mais il est vrai que ça fait un moment qu’il est sorti...
ça va "hihihihi", on s’amuse bien ? Merci pour tous ces commentaires passionnants
Toutes les questions que vous posez, elles sont posées par Cohn-Bendit dans leur ouvrage d’échanges, il y a donné des réponses, parfois en faisant son auto-critique, parfois en éclaircissant certains points. Ce serait un peu à reprendre ici, mais quand on veut accuser, on prend la peine d’écouter la défense, je vous suggère donc de prendre connaissance de ses explications.
J’ai tendance à penser que dans une démocratie ou dans des partis démocrates, il y a des opposants, des adversaires politiques, mais pas de traîtres, de dissidents. Ces derniers mots étant en général utilisés pour exclure l’autre, impliquant alors que tout devient permis contre lui. Certes, il ne s’agit parfois que d’un glissement de vocabulaire et je ne prétends pas que quiconque qualifie Kouchner de traître veut l’envoyer au Goulag, mais il n’en reste pas moins que par ce jugement, on s’autorise à ne plus discuter des idées, bien trop diaboliques, de celui qui est visé. Kouchner et cette partie de la gauche française ? Fascinés par les USA, mondains, social-traîtres, à mettre à la corbeille... voilà ce qu’on peut lire en substance dans divers commentaires.
Ca, c’est clair, c’est très fort. Chapeau bas. Ceci dit, son numéro n’est pas très surprenant, et voilà pourquoi nous sommes ridicules. Les autres pays signent ou signeront des contrats avec la Libye, mais ne se seront pas fourvoyées comme la France, ridiculisée par chacune des phrases de Kadhafi aujourd’hui.
Enfin rassurons-nous, l’essentiel est préservé : le peuple libyen se gouverne lui-même, tout va bien pour eux !
J’ai l’impression que vous n’avez pas lu ce que j’ai écrit.
1/ j’ai dit que je ne pensais pas que la stratégie pronée par Kouchner sur l’Irak aurait pu être efficace. Ce n’est pas pour autant qu’on peut confondre sa position avec un alignement sur Bush.
2/ je passe tout à mon « idole » ? dans ce cas je n’aurais pas écrit cet article, pour commencer...
3/ vous n’avez pas l’air d’avoir pris connaissance de la position du Kouchner... ce ne sont donc que caricatures et jugements à l’emporte-pièce servant à le décrédibiliser. Peu importe ce que vous pensez du personnage, mais les idées en question, elles, me semblent avoir de quoi être discutées plus profondément.
Il n’a pas approuvé la guerre en Irak, il avait une position iconoclaste : « ni la guerre ni Saddam ». Ce qui n’est pas du tout pareil. Il estimait qu’en menaçant de veto, on amenait les Américains à intervenir seuls, ce qui était catastrophique comme la suite des événements a pu le montrer. Mais en revanche, il voulait jouer la carte d’une pression de la communauté internationale unie pour faire tomber Saddam. Est-ce que ça aurait marché ? Je ne le pense pas. Pour autant, il ne faut pas caricaturer sa position !
Concernant Total en Birmanie, il s’en est expliqué, notamment dans Quand tu seras Président, et ces explications me conviennent.
Enfin, pour son opportunisme, je ne suis pas le naïf que vous croyez. Simplement, ce n’est pas parce qu’il y a opportunisme, course au pouvoir etc. qu’il n’y a pas des questions de fond plus intéressantes. Sinon, bon, bin tous les politiques sont pourris et assoiffés de pouvoir, circulez y a rien à voir, rien à espérer de ces types. Donc j’occulte cet aspect des choses, c’est vrai !
N’étant absolument pas spécialiste de la pensée de Proudhon, je me contenterai de rappeler que je ne l’ai mentionné que comme un exemple ancien de penseur de gauche aux vues libérales. Le sujet étant notre Ministre des Affaires Etrangères, je ne vois pas l’utilité de débattre de cet extrait.
Oh je ne suis pas non plus, évidemment, pour la loi de la jungle et me méfie des libéraux (bien que je ne pense pas que libéralisme = loi de la jungle !). Si j’emploie ce terme « libéral » c’est un peu par provocation (ça a marché ) et surtout parce que j’estime qu’aujourd’hui, l’Etat centralisateur, fermé, bureaucrate et mère nourricière, ce n’est pas vraiment ce qui est le plus efficace dans un monde globalisé. Donc que l’heure est plus à la direction libérale qu’au tout-Etat, à l’ouverture plutôt qu’aux règles hypocrites du commerce international « protectionnisme au nord, libéralisme au sud », etc.
A défaut de lire tout Proudhon, et si jamais vous ne voulez pas en rester à ce « la propriété, c’est le vol », je vous conseille ceci :
http://www.catallaxia.org/index.php?title=Pierre-Joseph_Proudhon:Proudhon_par_Alain_Laurent
(hum, je ne sais pas mettre un lien ici )
arf... le TCE c’était quand même autre chose que la logique du fric comme vous dites. Mais ce débat est derrière nous. Je saisis la logique de votre discours contre les social-traitres... il n’y a là rien de nouveau. Mais un jour il faut se poser qui trahit quoi. Et au bout de cette logique, les « purs », la gauche de gauche, la gauche anti-libérale se retrouve cantonnée dans un nationalisme qu’elle est supposée rejeter. J’ai cette idée que cette contradiction vient 1/ de la confusion entre libéralisme - économie de marché - capitalisme et 2/ de la conjoncture de déclin / crise de l’Europe et de l’idée de progrès, etc. Ce n’est pas tellement le sujet de l’article, je vais donc en rester là.
J’espère et je suis certain qu’il a mieux à faire que lire mes divagations
Les droits de l’Homme passent après, pour vous peut-être, mais pas pour moi. Je comprends très bien que nous sommes minoritaires à penser ainsi, mais ce n’est pas pour cela que je vais me taire, au contraire
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération