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Les commentaires de Blé



  • Blé 29 mars 2020 17:45

    Ceux qui ont votés avec enthousiasme la « Chose » qui gouverne commencent à s’inquiéter. Le danger de l’épidémie semble bien partagé, le virus ne fait pas la différence entre une tenue d’ouvrier ou un costard 3 pièces qui sont portés en grande majorité par la petite bourgeoisie dans le parti LREM.



  • Blé 28 novembre 2019 20:25

    Pour écrire un tel article, il faut vraiment être ignorant. Lisez donc Fakir, ce journal vous instruira, vous en avez besoin.

    La France insoumise est un mouvement populaire, ce n’est pas un parti politique classique, d’autre part, il faut vraiment penser au ras des pâquerette pour réduire ce mouvement à un individu (J.L.Mélenchon ne s’est jamais considéré comme irremplaçable ce qui n’est pas le cas de beaucoup d’individus de droite , d’extrême , de droite extrême.



  • Blé 28 octobre 2019 05:28

    L’auteur de cet article devrait réviser son histoire de l’école. Il ignore (volontairement ou non ) que l’école n’a jamais été faite pour les populations non possédantes de biens et/ou de capitaux (propriétaires fonciers, actions, entreprises, etc...). Ces gens avaient déjà une scolarité payante et voyaient d’un très mauvais œil que les masses populaires puissent lire, écrire, compter.

    L’école a d’abord été faite pour conditionner les masses à l’ordre de la société établi une bonne fois pour toute par la bourgeoisie

     Depuis 1791 la bourgeoisie détient le pouvoir et l’économie et que je sache, un joueur de tennis, un footeux, gagne plus que le personnel des hôpitaux, que les pompiers ou encore un professeur. On dépense des milliards pour les jeux Olympiques mais on ne trouve pas de sous pour mettre du personnel auprès des anciens dans les EPAD

    La majorité des journalistes de ce pays sont très complaisants vis à vis des élites politiques souvent corrompus.



  • Blé 26 septembre 2019 05:34
    La Révolution française n’est pas terminée

    La révolution française c’est d’abord la bourgeoisie qui dans un premier temps s’est associée au peuple (les travailleurs) puis, une fois que le pouvoir a changé de main , ces bourgeois (francs maçons ou pas) les ont renvoyés à leur charrue, à leur misère.

    Depuis, la bourgeoisie a toujours su et pu garder le pouvoir avec ou sans l’ Eglise.

    L’auteur de cet article confond allègrement le rôle de l’ Église, institution qui a toujours été du bon coté du pouvoir et des possédants avec la religion et la spiritualité.C’est tellement vrai que c’est seulement depuis que le pape François est à la tête de l’Église qu’il y a autant de problèmes et d’ennemis à l’intérieur même de l’église catholique

    D’autre part, comment la bourgeoisie en France s’est-elle enrichie après 1789 ? Beaucoup d’auteurs restent très très discrets sur ce sujet. 



  • Blé 12 mai 2019 13:23

    La première difficulté pour un individu est de prendre conscience du monde où il vit, de son organisation (économie, administration, religion, classes sociales, etc...) car depuis sa naissance jusqu’à l’âge de raisonner, il baigne dans un environnement qui conditionne en parti son esprit, son intelligence, sa sensibilité.

    Heureusement, il y a des gens heureux en France comme ailleurs, ils n’ont aucune envie d’exploiter les autres, de s’enrichir au dépend du travail des autres, etc..., ils se contente de ce qu’ils ont par contre ils étendent leurs relations amicales, les échanges, et le partage.  



  • Blé 29 avril 2019 13:39

    Le préfet Lallement a été appelé à Paris pour qu’il mette en place le même maintien de l’ordre qu’il a appliqué à Bordeaux, c’est à dire intimider et décourager aux maximum les manifestants, pour se faire, utiliser ce qu’il faut pour mutiler, asphyxier, etc...


    Il est évident aujourd’hui que ce préfet de Bordeaux a fait tout ce qu’il fallait (donner des ordres aux forces de l’ordre pour violenter de façon traumatisante les gilets jaunes plutôt pacifistes afin de décourager les manifestants.


    La politique de Macron devient intenable, il aura sans de plus en plus recours aux forces de l’ordre et à la violence d’état pour imposer le néo libéralisme aux français.




  • Blé 21 octobre 2018 05:45

    @pipiou


    Je constate que le « Petit » Sarko vous inspire encore quand vous parlez de racaille.

    Qu’entendez-vous par racaille ? Ceux et celles qui luttent pour garder leur boulot ? Monsieur Mélenchon se déplace et soutient toujours les plus modestes les plus vulnérables à la politique Macronnienne.
    Comment appelez-vous les gens qui spolie l’état, et planque leur fric dans les paradis fiscaux ? Il est vrai que dans un paradis tous les habitants sont des « saints ».

    Ce qui est dramatique et pitoyable, ce n’est pas monsieur Mélenchon mais ceux qui le critiquent sans rien connaître de lui.


  • Blé 2 juillet 2018 13:45

    J’ai durant des années fait du bénévolat de bon cœur trouvant normal d’aider son prochain et d’être solidaire.
    Aujourd’hui je ne fais plus de bénévolat car je suis écœurée du comportement des responsables des associations et surtout de l’administration.

    Durant + de 30 ans, je me suis occupée de personnes en situation d’illettrisme dans le cadre professionnelle. Quand j’ai demandé à faire du bénévolat auprès d’un public en difficulté face à l’écrit, il me fallait faire un stage de 8 jours pour assimiler « l’idéologie » qui se cache derrière cette soit disant formation.



  • Blé 2 juillet 2018 05:37

    J’ai appris à penser ailleurs que dans le cadre d’une idéologie.

    En 2018, les français sont moins libres qu’en 1945. La discrimination entre les minorités, entre les genres, entre les classes sociales n’ont pas disparue et le plus grave, la propagande fait tout pour faire oublier que la pauvreté, la misère, le conditionnement des cerveaux et l’abrutissement est d’abord une question de choix économique.

    Le capitalisme s’arrange parfaitement avec n’importe quel régime politique sauf avec un régime qui appliquerait réellement comme objectif, l’émancipation des producteurs de richesses. (je ne parle pas des propriétaires des outils de production, qu’ils soient individuels ou sous la tutelle de l’état ne change rien à l’affaire).

    En tant que femme, les femmes bien que vivant dans un pays dit démocratique et républicain devaient vivre sous la coupe de l’homme jusqu’en 1974 sans que ces messieurs n’y trouve à redire. Le fiston à ses 21 ans avait plus de droit que sa mère qui l’avait élevée.

    Aujourd’hui que la condition masculine se rapproche de plus en plus de la condition féminine tout au moins pour les classes moyennes et pauvres, on nous abreuve de problèmes tel que les migrants, les noirs, les juifs, les pas juifs, les musulmans et les pas musulmans, bref chaque jour les français ont droit à un déluge de propagande loin des charrettes de licenciements, loin des délocalisations qui se poursuivent à la vitesse grand « V », loin des privatisations à tout crin, loin des limitations de liberté individuelle et collective, loin de la casse des services publiques etc...

     



  • Blé 2 juillet 2018 04:54

    Nous sommes à une époque où il devient de plus en plus difficile de s’exprimer sans tomber sur un « groupe » qui sortira toujours des arguments négatifs ne serait-ce que pour se faire « mousser », pour dire « nous sommes là, nous veillons au grain » comme si aujourd’hui la majorité des adultes étaient incapables de penser par eux mêmes.

    La petite maison dans la prairie n’est pas plus stupide que les romans de la Comtesse de Ségur.

    A l’époque des massacres des indiens dans cette partie du monde, on ne parlait pas de génocide mais de conquêtes de territoires tout comme les français faisaient des conquêtes de territoire en Afrique.



  • Blé 1er juillet 2018 07:02

    C’est vrai que dans notre civilisation tout se joue pratiquement durant l’enfance et la maltraitance des enfants a été un sujet tabou jusqu’à depuis peu de temps.

    Ceci dit, les personnes qui s’en sortent le mieux pour elle même et leurs enfants quand elles en ont est de comprendre , puis pardonner au parent (à la mère, au père ou aux deux).

    Pardonner est un travail sur soi de longue haleine mais qui libère. Vouloir mettre de coté le passé consciemment ou inconsciemment et faire « comme si » rattrape les individus tôt ou tard et souvent brise un équilibre qu’ils avaient eu beaucoup de mal à trouver : chagrin, souffrance, souvenirs remontent à la surface et c’est le désarroi.

    Je me permets d’écrire ce que j’écris car je suis passé par ce cheminement. Quand ma mère est entrée en HEPAD, j’espérais qu’elle me demande pardon mais elle n’était plus en état de le faire. Durant des années je pensais que je ne pourrais jamais pardonner ces années de violence durant d’enfance et d’adolescence mais j’y suis arrivé et je me sens « libre » vis à vis d’elle et vis à vis de la société qui regardait ailleurs.



  • Blé 1er juillet 2018 06:23

    Je crois que tous les peuples n’ont qu’une envie, pouvoir vivre en paix.

    Le plus gros problème, il me semble, c’est la corruption à la tête de pratiquement tous les états occidentaux qui ont malheureusement imposer + ou - leur système à tous les autres pays du monde.

    Même dans les pays les plus pauvres du monde, il y a une clique qui vit dans le luxe pendant que les gamins du peuple font les poubelles pour survivre.

    Rajouter à cela les problèmes du manque d’eau dans certaines régions (les barrages de la Turquie par exemple), etc... .

    L’individualisme à tout crin de l’idéologie néo libérale interdit aux populations de se prendre en main. Aujourd’hui selon des spécialistes non corrompus (ça existe) notre planète peut nourrir sans problème 9 milliards d’habitants mais si un homme (quelque soit son pays ou sa religion) utilise autant d’énergie et d’eau que 1000 pauvres alors, oui les guerres vont se poursuivre car cet homme n’a pas l’intention de partager, c’est ce qui est dramatique.



  • Blé 30 juin 2018 13:23

    @colibri,

    Les pauvres d’aujourd’hui sont plus proches de la misère que ne l’étaient les pauvres des années 50 et soixante.

    Dans ces années, peut-être pas tout le monde mais beaucoup d’ouvriers qui étaient pauvres mais pas dans la misère se permettaient de partir 3 semaines en faisant une location tout à fait abordable pour un salaire d’ouvrier ce qui n’est plus le cas depuis belle lurette. Des locations d’une semaine qui équivaut pratiquement à un S M I C ne permettent plus aux ouvriers de se le permettent. Il reste à se nourrir et payer le transport et une petite glace de temps en temps.

    Dans les années 40, les ouvriers et employés ont lutté pour obtenir une meilleure vie pour eux et pour leurs enfants. J’ai l’impression que cela vous chagrine que des pauvres puissent avoir le droit de vivre en dehors des soucis du lendemain. C’est quand même plus simple d’ accuser les pauvres de fainéantise ou de ne pas être très malin pour s’en sortir. Combien d’infirmières doivent dormir dans une caravane parce qu’elles n’ont pas les moyens avec le salaire qu’elles ont de payer un loyer et tout le reste.

    Vous vivez sur quelle planète ??



  • Blé 30 juin 2018 06:10

    Nous ne sommes pas obligés de relever les « idées » des végans et autres extrémistes qui prétendent lutter pour l’écologie et la nature.

    Nous sommes dans une société de « consommation » nécessaire au CAC40 pour survivre.
    Quand tous ces extrémistes s’en prendront aux vrais responsables qui imposent un mode de vie stupide alors ces gens pourraient être crédibles. Pour le moment, ils ne sont pas pas crédibles, ils vivent entre eux et manifestement cela ne leur semble pas suffisant pour leur confort égotique. Ils aimeraient voir autour d’eux des gens qui les approuvent alors qu’ils n’ont aucune conscience de ce qu’entraînerait leur façon de vivre à grande échelle.

    Ils oublient que l’humanité s’est passée d’eux durant pas mal de siècles et même si notre époque n’est pas folichonne, ils ont le droit de la respecter sans culpabiliser les gens qui ne pensent pas comme eux.



  • Blé 27 juin 2018 13:24

    @Konyl

    Les membres de la bourgeoisie ont toujours considéré les ouvriers ou salariés comme des gens qui devaient être menés par eux car eux seuls savent ce qui est bon pour les « prolétaires ».

    Pour la bourgeoisie le chômeur doit ne plus douter un instant qu’ est responsable du chômage. C’est si vrai que si ce chômeur n’écoute pas au doigt et à l’oeil les bons conseils des préposés à pôle emploi, il sera sanctionné. Les délocalisations industrielles, le manque d’investissement dans l’industrie et les entreprises ne sont responsables de rien, c’est la faute à personne parce que c’est le modèle économique qui veut ça.

    En France la bourgeoisie a l’art et la manière de responsabiliser les victimes et d’épargner les vrais responsables. Je suis à la retraite et je me souviens parfaitement que cela ne date pas d’aujourd’hui, dans les années 70, les chômeurs étaient déjà traités comme des profiteurs en puissance, des fainéants, .....



  • Blé 27 juin 2018 13:08

    Avant d’être un problème individuel, c’est d’abord un problème collectif que les industriels des nouveaux appareils avec leur nouvelle technologie imposent aux sociétés, par le travail, (il a fallu que je me forme sur l’ordi pour garder mon emploi) les loisirs,(des jeux à ne plus finir) l’administration (se procurer une fiche d’état civil, déclaration d’impôt, sécurité sociale, etc...).

    L’essor du foot pourrait-il être aussi gigantesque sans la télé, les smartphones, les caméras, etc..., etc... y aurait-il autant d’argent qui passe des poches des spectateurs dans les poches des oligarques, des propriétaires de média, des magasins des supporters, des propriétaires de club,etc... ?

    Le foot rassemble plus surement les français que le combat des salariés contre la privatisation de la S N C F. Il faut rendre hommage à la propagande qui fait un excellent travail de manipulation de l’opinion publique.

    Le plus ennuyeux, c’est que beaucoup de gens ne peuvent plus imaginer un instant pouvoir vivre sans leur « nounou » portable.



  • Blé 24 juin 2018 13:37

    Il y a un petit détail qui peut se révéler d’ici les prochaines élections.

    Depuis l’élection de Macron , beaucoup de français des classes moyennes aisées au classes les plus modestes ne se posaient pas de questions ou très peu.

    Même avec le foot en Russie, les gens continuent à lorgner sur ce qui se passe avec le gouvernement. Entre la baisse des aides sociales et peut-être la suppression des pensions de reversions, (sans parler du reste), Macron ne se fait pas que des amis même dans son propre camp. ce n’est pas Waulquiez ou un mec du P.S. qui remettra en cause toutes les décisions de Macron sur la régression sociale massive qu’il s’emploie à mettre en place.

    Beaucoup analysent la politique comme quelque chose de figée. Entre les exigences de l’ Union européenne et du MEDEF, les français ne sont peut-être plus aussi naïf qu’ils étaient en 2017.
    Nous comprenons que chaque année , les travailleurs devront serrer d’un cran leur ceinture pendant que les riches et les très riches continuent à planquer leur fric et à polluer la planète sans limite.

    L’homme sauveur n’existe pas, pas plus Macron, que Mélenchon, ou quelqu’un d’autre. La V ème république est une monarchie, tous les jours Macron nous en fait une démonstration, c’est à partir de cette réalité qu’il faudrait mettre en place des mouvements non pour un « sauveur » mais pour une politique qui met en avant les problèmes du climat, de l’écologie, de la santé des hommes mais aussi des terres et des animaux domestiques et sauvages.

    Bref, sans remise en cause du fonctionnement économique et de la production industrielle, rien ni personne ne me fera voter pour un-e président-e qui s’occupe d’abord de sa carrière avant de s’occuper des êtres vivants.

    On nous tue à petits feux, elle est là l’urgence.



  • Blé 24 juin 2018 06:22

    @ Perceval,

    Si je m’en tiens à mes arrières grands-parents et à mes grands parents qui vivaient dans des zones rurales, ils étaient pauvres même en travaillant 14 heures par jour. Ils ne touchaient aucune aide ou subvention et bien souvent on demandait aux enfants dès l’âge de 8 ans de bosser pour mettre un peu de saindoux dans la soupe.

    La classe possédante a envoyé à la boucherie des millions de jeunes gens « pauvres » sur des champs de bataille et il faudrait pour ne pas gêner les bonnes consciences oublier que tous ces pauvres ont enrichi un peu plus les riches et les puissants. Dois-je l’oublier ?

    La pauvreté ne vient pas du ciel ni de la mauvaise volonté des individus mais d’un choix politique qui fait tout ce ce qu’il faut pour maintenir la pauvreté et culpabiliser les victimes de cette pauvreté.
    Quand un salaire ne permet plus de se loger, de se nourrir, de se soigner, de vivre un peu en dehors des heures de travail, on met les gens en situation de « survie » et d’insécurité ce qui a pour effet, de maintenir la tête des gens sous l’eau.
    Même en travaillant dur on peut être pauvre en 2018.

    C’est bien ce qui se passe en ce moment. Le chômage de masse est structurel (maintenir au plus bas les salaires), le manque de logement est structurel, (maintenir le marché immobilier au plus haut), anglicisé la langue française au maximum pour faciliter le « marché » de la pub et l’industrie du disque ainsi que les nouvelles technologies, etc...



  • Blé 23 juin 2018 07:20

    Depuis la chute du mur de Berlin, le Capitalisme se fortifie d’année en année en laissant de coté les sociétés et les populations. Les rentiers ont d’autres soucis que le bien être des travailleurs qu’ils soient salariés ou à leur compte, un travailleur-euse n’a pas les mêmes besoins qu’un Macron, une reine d’Angleterre ou d’un Trump ou encore d’un capitaine d’industrie ou propriétaire d’une banque.

    Les U S A impose partout leur système économique et pour se faire emploie des moyens connus depuis Bernays c’est à dire depuis les années 1900.

    Entre le réchauffement climatique, les pollutions de l’air, de l’eau, des terres, la destruction des espèces animales et végétales, le manque d’eau dans certains pays d’Afrique, le déplacement de populations à cause du climat et de la pauvreté, la pression et les conditions de travail de millions d’individus dans le monde,(concurrence à tous le niveaux d’une société, rentabilité)

    On peut dire que le Capitalisme tue tous les jours sans avoir recours à des armes à feu. Les U S A seuls ne pourraient pas imposer leurs idéologie sans la complicité des états occidentaux qui ne voient pas plus loin que le $.



  • Blé 23 juin 2018 06:55

    Beaucoup de petites choses commencent à bouger dans le fin fond des campagnes et petits bourgs. Ces petites choses ne font pas de bruit mais elles prouvent que les gens commencent à se poser des questions qu’ils ne se posaient pas avant l’élection de Macron.

    Dans la petite ville où j’habite, très très à droite, cette semaine j’ai vu des parents très très à droite manifestés ce qui signifie que même des aveugles et des sourds redeviennent un peu voyant et un peu moins sourds car leurs enfants (primaire et secondaire) sont en première ligne dans la politique de Macron. Il y a une augmentation du nombre d’élèves à l’école primaire et l’académie a décidé de supprimer un poste et demi d’enseignant à la rentrée. Les enseignants ne savent plus comment faire leur métier dans des conditions aussi difficiles. Ils deviennent tout simplement des « gardes d’enfants » car pour ce qui est de l’enseignement les conditions le rende impossible.

    Les écoles privées attendent avec patience que les pommes soient mûres pour faire leur beurre. Soit l’école publique où les enfants sont parqués,

     soit l’école privée où on enseignera réellement afin de doter les enfants d’une culture.