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Les commentaires de olaf_le_preux



  • olaf_le_preux 25 février 2012 11:32

    Merci Rosemar pour l’expression de votre émotion.



  • olaf_le_preux 3 février 2012 12:46

    "Quant à ma question de départ, LIBERTÉ ou EGALITÉ ? ma réponse est bien que le véritable problème humain est le libre développement de ses facultés créatrices. Dans un tel contexte, l’être humain n’a pas besoin de s’asseoir sur la tête de son voisin pour surnager. Il n’est par contre pas éternellement contraint à la médiocrité universelle qu’implique le faux règne de l’Égalité sous lequel nous vivons."

    +++
    Une pensée trop rarement exprimée que je partage avec plaisir avec vous.



  • olaf_le_preux 13 octobre 2011 12:51

    Bravo et merci pour cet article.

    Enfin le rappel que nos sociétés sont traversées d’illusions : celle de croire que LA science existe et dit l’absolu, que des théories sont des vérités avérées ; celle de se référer comme vérités à des dogmes scientifiques déjà anciens détruits par la recherche, celle de croire à la qualité incontestable (ah les experts !...) des énoncés des instances scientifiques, à leur vertu généralisée...

    Erreurs, extrapolations, biais inconscients ou volontaires grèvent ce corpus pourtant si puissant, si fécond et si prometteur de la démarche scientifique.

    Par ailleurs, comme prêtres pédophiles, de multiples scientifiques sont corrompus (sans doute ni plus ni moins que dans le reste de la société).

    Oui la science, qui a pris une telle place, une telle influence dans nos sociétés, bien concrètement, est une religion, avec pratiquement toutes les caractéristiques, les avantages et les inconvénients d’une religion.



  • olaf_le_preux 25 août 2011 20:14

    Faut-il comprendre qu’une fente est apparu au niveau du gla.. euh, du bout de ce monument phallique ?



  • olaf_le_preux 24 août 2011 19:11

    Ma chère Ariane,

    Chère parce que je réponds à votre appel à m’immerger dans un autre paradigme, semblable à celui qui aurait pu régner au temps de Cassandre ou des tragédies grecques.
    Ou dans un roman de Giono où la terre serait un personnage.

    Importe-t-il tant que notre « science » nous dise hautement : « Mais non, c’est impossible, vous divaguez ! » ?
    Et n’est-elle pas adaptée la traduction que vous faites de ce cri de la Terre ? Qui oserait prétendre qu’elle aime ce que nous faisons ?

    La fine coïncidence temporelle nous parle mais chacun peut zapper. Liberté.

    Elle me dit la même chose qu’à vous.
    Et me souffle : « Aime-moi ! Ensemble, rassemblons mes enfants encore tendres et apprends à faire de ton amour la Force. Seule cette énergie peut encore vous sauver. Moi je survivrai, mais vous ?... »



  • olaf_le_preux 30 juin 2011 09:52

    Très intéressant.
    Ah, la question de la « présence d’une finalité dans le vivant » ! « Question à un million de francs ! (citation approximative) », disait Hubert Reeves.

    Une cellule a-t-elle une finalité ? Oui, se reproduire ! Et ce n’est pas rien. L’« élan vital » bergsonien est là, qui veille...

    Bonne chance au « Sacre du vivant ».



  • olaf_le_preux 13 juin 2011 19:43

    Mon cher Alex,

    Tu entends bien la laideur de certaines phrases et cela me rend heureux.
    D’autres que toi, en particulier l’abbé Pierre, en ont été horrifiés.
    Ma France, celle de Victor Hugo et de La Fontaine, celle que j’aime tellement, tellement ! eh oui, ils veulent tous ou presque chanter cela.
    Mais comme beaucoup le disent, ce n’est pas tant pour le contenu, qui n’est souvent pas bien connu, que pour la charge affective des innombrables jeunes gens morts pour leur pays, et je les comprends.

    Tu m’as fait plaisir, et je voudrais que tu ne sois pas traités par les plus âgés que toi comme un « jeune blanc-bec ».
    Ceux qui te combattent ainsi n’ont pas, eux, l’excuse de la jeunesse.

    Sur ce sujet délicat, je pleure sur les terribles souffrances qu’ont connues nos aînés, mais je pense avec toi que pour les conjurer, d’autres dispositions doivent être prises que de reproduire les formules guerrières.
    Construisons ensemble une autre vigueur, une autre puissance que celle, si illusoire, des haines, des colères et des armes.



  • olaf_le_preux 27 avril 2011 20:18

    Actuellement, il me semble que la peur est avant tout inhérente à la situation générale de la planète.
    Certes, le caractère impulsif, libéral et pro-riches de la politique du gouvernement Sarko en rajoute une couche.
    Mais la confrontation des disparités énormes des niveaux de vie dans la compétition mondialisée, la terrible main-mise de certaines multinationales sur des décisions engageant jusqu’à la survie à court-terme de nos écosystèmes et de notre espèce, font qu’on ne peut qu’être pessimistes sans une révolution structurelle mondiale.
    D’où une angoisse de fonds incontournable.
    Objectivement, il me semble que seul une révolution remplaçant enfin concrètement l’esprit de concurrence individualiste et national par la passion du bien collectif et de la fraternité peut nous empêcher de nous détruire.
    Le problème est que cette transformation concerne un changement impliquant les individus ET les sociétés.
    Si les individus parvenaient à opter significativement pour ces valeurs, des outils comme internet et Avaaz.org sont là pour permettre de les IMPOSER à nos dirigeants.
    Donc, de mon point de vue, le problème est d’ordre spirituel : comment faire que les individus optent pour les valeurs non matérialistes, humaines garantissant une préférence déterminée pour ce qui favorise la vie au détriment de ce qui peut apparaître comme notre intérêt à court terme ?



  • olaf_le_preux 4 janvier 2011 18:06

    Comme le relève opportunément Gaspard Delanuit, le critère de « l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels », ça c’est de la bombe !

    Mais vous, Krokodilo, qui le citez, vous approuvez ?...

    Voulez-vous dire que vous souhaitez une orthodoxie économique, voire une interdiction de ne pas s’inscrire dans le mode de consommation occidental prédominant ? J’espère que non ou alors, dites le franchement.



  • olaf_le_preux 4 janvier 2011 12:48

    Pour rectification du lien :

    Anne Hidalgo et Daniel Vaillant ont des idées là-dessus, qu’ils nous font fraternellement partager dans ce tract édifiant de la Mairie de Paris.




  • olaf_le_preux 4 janvier 2011 12:05

    Anne Hidalgo et Daniel Vaillant ont des idées là-dessus, qu’ils nous font fraternellement partager dans ce tract édifiant de la Mairie de Paris.



  • olaf_le_preux 24 août 2010 13:42

    Ah, toucher à une fonction aussi fondamentale que la faculté réelle ou non de ne pas manger, ça questionne !

    Alors pitié, n’abusez pas de la facilité de l’ironie qui permet de botter en touche et dispense de la lucidité.

    La devise « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire » ne sert qu’aux autruches volontaires.



  • olaf_le_preux 24 août 2010 13:42

    Ah, toucher à une fonction aussi fondamentale que la faculté réelle ou non de ne pas manger, ça questionne !

    Alors pitié, n’abusez pas de la facilité de l’ironie qui permet de botter en touche et dispense de la lucidité.

    La devise « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire » ne sert qu’aux autruches volontaires.



  • olaf_le_preux 2 juillet 2010 15:20

    Monsieur Vincent Després Levard,

    Vous semblez avoir murement réfléchi à votre sujet, avoir lu, et être ce qu’on appelle cultivé (ne voyez aucune ironie dans mon expression).

    Aussi j’aimerais avoir votre réponse aux deux questions suivantes.

    1/ Fiabilité
     
    De même que l’on constate des contradictions flagrantes dans les textes sacrés de la « chrétienté », des conseils sanguinaires ignominieusement attribués à Yavhé dans la Bible, on trouve aussi dans le Coran des contradictions et des expressions qui paraissent tellement « humaines » que les attribuer à Dieu me semble impossible.
    Et ces distorsions s’expliquent très simplement, même et surtout pour le croyant, dans les 2 cas, par le simple fait que les textes ont été écrits par des hommes, souvent assez longtemps après les évènements relatés, éloignés des auteurs effectifs, fort divers dans leurs mentalités et parfois soumis à l’évidence à des motivations politiques ou autres, bien éloignées de la seule volonté de véracité « journalistique ».

    D’où ma question : pensez-vous vraiment oeuvrer pour le bien des hommes et correspondre à la volonté du Créateur en maintenant qu’un écrit humain, tout parsemé d’inspirations qu’il soit, est intangible et parfait ? Ou bien acceptez-vous l’idée que ce texte, humain, doit être analysé à la lumière du coeur et de la raison pour qu’y soit retrouvé le diamant de la partie réellement inspirée, dégagé de toutes erreurs potentiellement ravageuses ?

    2/ Mahomet
    Le prophète, dans les premières sourates, martelait n’être qu’un « avertisseur » et ne prétendait nullement être parfait.
    Par un mouvement hélas terriblement hominien, le voici quasiment divinisé, « guruïsé », certains pensent même qu’il était le But ultime que Dieu poursuivait lorsqu’il a créé le monde.
    Aïcha, quand elle se moque d’une sourate venue « au bon moment » d’une manière suspecte, semble montrer comment il faudrait aborder les choses, en acceptant de relativiser et non en sacralisant ses actes et paroles. Mahomet est un homme.
    Le considérez-vous aussi comme parfait -indépendamment des éventuels problèmes de transmissions, traductions, etc...du Coran - ou acceptez-vous qu’il ne soit que l’« avertisseur » faillible qu’il dit être ?


  • olaf_le_preux 19 mai 2010 18:55

    A HOUSSAYE Marc

    Pour maintenir l’antériorité du Chaos sur l’« intervention de Dieu », il faudrait considérer que le Chaos Lui soit extérieur, en même temps qu’antérieur.

    Or la notion d’un Créateur unique (monothéisme) exclut ce qui lui serait antérieur/extérieur, ou alors, ce ne serait pas LE créateur unique (=>polythéisme).

    Voilà pourquoi, de mon point de vue, dire « au commencement était le Verbe » suppose que celui-ci « précédait » le commencement, ou si vous préférez, toute manifestation matérielle, donc le Chaos.

    C’est un peu carré comme raisonnement, mais je ne vois pas comment garder rigueur autrement.

    Bien à vous.



  • olaf_le_preux 19 mai 2010 12:17

    « Au commencement était le chaos » nous rappelle une intervenante. Et l’homme rationnel tente de l’organiser. L’irrationnel « est immense. Il nous submerge », poursuit-elle.

    « Au commencement était le Verbe », exprime la tradition monothéiste.

    Apparemment, vous avez pris parti sur ce sujet : n’y avait-il donc que des athées dans ce café ?...



  • olaf_le_preux 12 mai 2010 13:21

    Bonjour,

    1/ Dieu, l’Unique, l’Unicité.
    OK.
    Tout ce qui vibre, palpite, existe est manifesté par une Source unique, intelligente, qui Fait et qui Veut.
    Ce qui explique que tout obéit à des lois universelles (lois physiques, par exemple).

    2/ Mais au milieu de cela, une époustouflante disharmonie apparait : la somme constamment renouvelée des abominations et souffrances humaines.
    Mal, malheurs inouïs, horreurs, laideurs, bassesses...

    D’où : « Si jamais il devait exister ça serait un beau fumier »(dixit dup).
    Voir aussi Bakounine :« ...il faudrait s’en débarrasser ».

    La contradiction est la solution.

    En effet, en bonne dialectique, c’est dans la synthèse effective des points 1 et 2 que résident l’issue, la compréhension et en corolaire la possible fraternisation en lieu et place des guerres d’opinions et de religions.
    Une piste : pourquoi ce Dieu si puissant a-t-il commis l’imprudence absolue de donner la liberté à la bestiole que je suis ? Erreur ou clef du problème ?

    Utilisons cette liberté dans l’effectif et concret amour : « La loi de l’amour dont Théodore Monod disait qu’elle n’avait jamais été essayée » (vous pensez, « aimer » le Taliban prêt à désintégrer l’infidèle que vous êtes, ou le malade qui vient de tuer mon enfant !!! )

    Comment essayer concrètement la Loi d’amour ? Voilà de mon point de vue la question prioritaire.
    Car après, la synthèse se fera par résorption du point 2.

    Mais pour commencer, pour pouvoir prendre l’amour comme socle pour tout mon comportement, qu’est-ce que ça veut-dire aimer l’autre, tous les autres, quels qu’il soient  !!!???



  • olaf_le_preux 27 avril 2010 22:48

    Au sujet des « bannis ».

    La charte d’Avox commence par :

    « Ce que vous ne feriez pas lors d’une conversation réelle face à votre correspondant, ne prenez pas AgoraVox comme bouclier pour le faire. »

    C’est comme au volant d’une voiture : bien protégé à l’intérieur de sa caisse, le courageux fait un bras d’honneur à celui qui l’agace.

    Pour ma part je souhaiterais que l’esprit de cette charte soit pleinement respecté : enfin un espace, librement construit où les arguments sexpriment dans un vrai désir d’échange, de progrès par le débat.
    Et que chacun se rappelle que « les insultes sont les arguments de ceux qui n’en ont plus ».

    Je ne suis pas dans la peau des décideurs et ne sais pas ce qu’ils ont fait ou non pour parvenir à obtenir le respect de ce précepte sans lequel ce Forum ne deviendrait qu’une nouvelle foire d’empoigne comme tant d’autres, mais je regrette ces mesures d’exclusion et je espère qu’eux aussi.
    Cependant, au risque de choquer, je n’adhère plus à l’dée, qui me semble théorique, d’un absolu de la liberté d’expression (« liberté, que de crimes a-t-on commis en ton nom ») et j’y préfère l’art de savoir tout dire dans le respect et la fraternité.

    Eh oui, la fraternité. Tout républicainement.

    Alors, revenez, les exclus, si vous êtes décidés à exprimer vos arguments avec courtoisie et civilité : c’est peut-être moins immédiat mais c’est essentiellement républicain, et très formateur !

    Et pour revenir au thème de ce fil : en voilà qui, pour dire non à... quelque chose, ont utilisé des moyens sortant du contrat du vivre ensemble (eux l’ont accepté, les enfants ne signent rien en naissant...).

    Y aurait-y pas une analogie avec le sujet ?




  • olaf_le_preux 27 avril 2010 15:07

    Bonjour,


    Ce sujet me fait penser à la question connexe du lien entre les désaccords/différences et les sentiments : puis-je être en profond désaccord sans pour autant porter des sentiments tels que haine, colère, mépris (voir la teneur hargneuse de certains posts), faculté des plus utiles pour aboutir à la fraternité républicaine .

    Sans doute les relations avec les parents influencent-ils cette précieuse capacité.

    En cela, le thème est intéressant à explorer.

    Mais le sujet m’apparaît à la fois trop vaste, le nombre de cas de figures, d’enjeux psychologiques, de situations culturelles, etc... rendant difficile une réponse générale ;
    et à la fois trop réduit, en ce qu’il cible le non à la famille et pas au milieu environnant (ce que j’aurais préféré) .

    Pourtant, on le sent proche d’être extrêmement pertinent et actuel, mais délicat à manier.

    Trois angles : philo, psycho, politique.

    PHILO
    Naissant puis grandissant, je m’aperçois très tôt, avec parfois grand étonnement, que souvent les adultes ne sont pas « comme il me semble qu’ils devraient être » : ils ont des « défauts » !

    A l’enfant, étymologiquement naïf, cela apparaît souvent « anormal ».

    Et de fil en aiguille, le monde se révèle habité (pas seulement, heureusement) de la somme infinie des erreurs, compromissions, mensonges, malignités, inimitiés et autres réjouissantes perles de culture de nos prédécesseurs. 

    Comment ne pas les en tenir pour responsables ?

    Et donc aussi nos parents ...
    Oui mais voilà, à moi de montrer ce que je sais faire ! Et assez rapidement aussi, mes actes me mettent dans le même sac que tout le monde.

    A partir de là, respect, tolérance. Même s’il va bien falloir prendre ses distances sur certains points.

    PSYCHO : 
    Tout a sans doute été dit, de Folcoche à la difficulté de dire non au crime incestueux. 
    D’une famille à l’autre, d’un enfant à l’autre, rien à voir.
    Difficile de résumer...
    Juste un souhait : que les parents parviennent à percevoir les différences et divergences de leurs enfants comme des occasions d’enrichissement, sans quoi ce sera pire vis à vis des autres différences qu’ils rencontreront hors de leur famille.

    POLITIQUE : 
    De la difficulté de dire non aux traditions parfois tellement cruelles (mariages forcés, interdiction de mariages inter-religieux, excision, circoncision, brûlage des veuves,...).
    C’est ce point qui me paraitrait le plus intéressant à creuser, mais les victimes ou « complices » s’exprimeront-ils ici ?
    Il serait à ce sujet sans doute bien utile (utopique ?) d’élaborer une aide à savoir dire non dans ce genres de situations.

    En conclusion : voir quel miel pourra être sécrété à l’issue de l’enquête.



  • olaf_le_preux 13 avril 2010 12:32

    Bonjour cher Roseau,

    Vous accédez donc apparemment à la liste infamante des critères fournie par la Miviludes qui instaure en quelque sorte le délit de « mal-consommation » ?!!!
    Ne vous apparait-il pas choquant, ce critère de «  l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels  » ?
    Peut-être auriez-vous avantage à étudier les liens de M et Mme Fenech avec divers organes de presse et groupes d’intérêt économique avant d’utiliser pour votre démonstration une grille de lecture tendancieuse digne de certains régimes trop fameux.

    Ceci dit indépendamment du sujet réel de votre article.

    Cordialement.