En premier lieu, je dirais que pour se poser la question de l’utilisation ou non du préservatif, il faut connaître, comprendre l’objet. A fortiori il faudrait même l’avoir utilisé au moins une fois... Personnellement c’est le cas, et j’en ai de même discuté avec quelques amis m’ayant raconté l’histoire de capotes déchirées, de l’utilisation simultanée de plusieurs capotes (sexe trop gros ??)... Bref cela devient presque une affaire de médecine à savoir, de corps, de chairs... enfin de sexe quoi.
Après cela, comme déjà indiqué, l’église se pose sur des principes moraux. C’est un "état de principe", comme il y a des "états d’esprit".
Cordialement.