• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de jms



  • jms 4 novembre 2009 16:52

    Ajoutez-y : c’est la France d’avant Internet, media que l’on voudrait museler afin d’empêcher l’expression libre telle que le permet le web.



  • jms 4 novembre 2009 15:19

    Plutôt d’accord sur les points 3 et 4, moins sur le point 2.
    Par contre je n’ai pas trop compris le point 1. En fait au-delà des intentions et des projets ratés on est plutôt dans la non-action sur ces sujets autour de l’autonomie.



  • jms 24 septembre 2009 11:04

    Analyse très pertinente et qui donne un éclairage nouveau à la situation.
    Cependant, je ne suis pas sur que les métropolitains soient majoritairement partisans de vous lacher. On vous aime, on aime les antilles. Je parle avant tout en tant que touriste, vous êtes un prolongement irremplaçable de la France dans cette région du monde. Le charme exotique, comme vous dites, on doit quand même être nombreux à l’apprécier. Le tourisme n’a sûrement pas dis son dernier mot, même s’il souffre aux antilles en ce moment.



  • jms 22 août 2009 18:32

    Vous avez parfaitement raison, la profession s’est adaptée au marché, car son intérêt est evidemment de produire plus, de gagner plus et aussi d’exporter plus ; pour cela il faut des fruits qui supportent les dures conditions du transport.

    Une différence entre ce que vous cultivez dans votre jardin existe et elle est de taille : dans votre jardin c’est de la terre, et c’est à l’air libre. Alors que la tomate que vous achetez a poussé dans du substrat et non de la terre, et dans des serres chauffées pour gagner en vitesse et en rendement. Le résultat est assez différent, y compris pour une même variété.

    En effet faire soi-même son plant à partir de graines est techniquement pas toujours facile, les gens préfèrent acheter des plants tout faits, c’est plus simple.



  • jms 22 août 2009 09:19

    De la tomate de pleine terre, mes parents en cultivaient quelques hectares autrefois, à Marmande. Il n’y avait que ce type de culture d’ailleurs. Mais ces messieurs du commerce aimaient de moins en moins ces tomates. Ils préféraient celle de Holande, toutes régulières, dures, qui se conservaient plus longtemps, pouvaient rester une semaine dans un rayon ou un stock de supermarché sans se dégrader. Ils appelaient cela la qualité. Le gout ils s’en fichaient, comme ils s’en fichent encore. Alors la région marmandaise plutot que de mourir s’est aussi mise à la tomate dure qui se conserve au travers des serres et du hors-sol où les tomates poussent dans du substrat toute l’année.
    Ainsi à Marmande sur 25 000 tonnes de tomates seulement 1 000 sont encore en plein terre, quelques agriculteurs qui résistent, vendent à la ferme directement. Pour les autres c’est le même produit standardisé qui se fait d’ailleurs maintenant dans toute la France. Ce qui pouvait faire la différence d’une région : le terroir, le climat ne sont plus des éléments différentiateurs. Alors on « innove » en jouant sur les variétés et le markéting, mais c’est toujours le même produit industriel.



  • jms 10 mars 2009 17:02

    Article intéressant et qui met en avant une réalité. J’étais en vacances en république dominicaine la semaine dernière et je me faisais un peu la même réflexion. Dans cet autre pays du tourisme, nettement plus pauvre, le salaire moyen est à 100 euros et beaucoup de gens vivent dans des petites maisons en tole ondulée, le tiers monde ou presque. Pourtant ils arrivent à survivre en produisant au moins tous les produits agricoles, ce qui n’est pas le cas de la Guadeloupe. Si celle-ci ne pourrait pas vivre indépendante, c’est avant tout voulu. On maintient cette ile dans la dépendance vis-à-vis de la métropole pour lui oter toute idée d’autonomie politique. C’est pas du laisser faire c’est bien voulu.

    Les solutions pour que la Guadeloupe aille mieux : favoriser la production locale et commercer préfentiellement avec les pays voisins (mexique, brésil, caraïbes, ...), plus près et à des prix meilleurs marché. Et arrêter d’importer massivement de la france métropolitaine. Les antillais sont capables de s’en sortir si on arrête de se comporter avec eux comme des colons.



  • jms 28 novembre 2008 13:51

    Parler de gangrène pour la religion, c’est effectivement faire preuve d’intolérance, c’est le moins qu’on puisse dire. Pourquoi une telle haine, un telle violence de propos ? cela fait partie des réactions qu’on a du mal à comprendre dans une société qui se dit civilisée.
    La laïcité n’a jamais consisté à vouloir détruire les religions comme vous sembler le proner.



  • jms 28 novembre 2008 11:32

    Je ne suis pas un admirateur de Mme Boutin mais je trouve le ton de cet article plutôt malsain.

    On est complètement dans l’attaque personnelle. On retrouve ici une forme d’intolérance primaire vis-à-vis de la religion, une intolérance d’une autre époque et qui est vraiment choquante. Décidémment les vieux démons n’ont pas disparu !



  • jms 14 novembre 2008 10:13

    Merci à Zora pour cet article.
    Le sujet régional que nous avons traités dans nos blogs est rarement relayé au niveau national.
    Pourtant les enjeux sont énormes, au moins pour la population concernée (l’ile-de-france quart de la population) mais aussi pour toute la France car le développement de la région parisienne est souvent corrélé (dans le mauvais sens) avec celui des autres régions.
    Il faut dire que le sujet est hardu, les documents du SDRIF difficiles à lire. On a tendance à laisser cela aux technocrates et aux politiques. L’implication des citoyens dans un tel sujet qui les concerne d’abord est nécessaire. Il est dommage que seuls les blogs locaux comme celui de Zora ou le notre (www.brionautes.com) s’y intéressent et aient fait l’effort d’analyser le dossier.



  • jms 23 octobre 2008 16:59

    Moi non plus je l’ai jamais vu tourner.
    Ce privilège est réservé à quelques initiés, c’est pas tous les jours qu’elle tourne.
    Cela ne prouve pas pour autant qu’elle ne peut pas tourner.
    De ce que j’ai compris de la théorie de M Costa, pour qu’elle puisse tourner "perpétuellement" il faudrait un plus gros diamètre (elle mesure quand même une dizaine de mètres).



  • jms 23 octobre 2008 16:45

    Je te l’avais bien dit jna alias coffery, il faut publier sur Agoravox !

    Mais de là à commencer par la roue d’aldo costa, tu y va fort dans la provocation.
    Tu déchaines les passions contre toi, de tous ceux qui adorent démolir une théorie bien construite mais ... pas sans faille !
    Jusqu’à présent ils avaient un bouc-emissaire, un certain Lerma qui par ses positions de droite se fait régulièrement lyncher. Tu es peut-être devenu le successeur de Lerma, superbe privilège !

    Et puis tout cela est très bon pour l’audience de notre site www.brionautes.com.

    Et comme le signalait Le furtif, on a tellement de bons articles, bien du terroir sur notre site, que tu as fait oeuvre utile. De quoi faire découvrir aux nombreux citadins (et aux autres) habitués de Agoravox qu’il existe un petit paradis à 40 km de Paris, où l’on rigole bien tout en réfléchissant à l’avenir du monde et de nos concitoyens.

    Merci pour ton sacrifice !



  • jms 23 octobre 2008 13:37

    Non, ce n’est pas un canular.
    Si vous passez par Couilly (77, entre disney et meaux), vous pourrez constater que la roue d’aldo costa existe bien en intrigue tout le monde depuis une bonne dizaine d’années.
    Sur notre site ww.brionautes.com on a eu maintes fois l’occasion de disserter sur ce sujet.
    Faut-il y croire ou pas ?
    Se pose la question c’est déjà y répondre en classant la problématique dans le domaine de la foi plutôt que dans celui de la science.
    Les lois de la physique, théorème de l’énergie cinétique, principes de la thermodynamique, viennent contredire les théories d’Aldo Costa.
    A moins qu’on soit à l’aube d’une découverte qui révolutionnera le savoir en lui donnant une autre dimension, comme ce fut le cas avec la relativité. 



  • jms 8 septembre 2008 21:49

    Qui dit nouvelles constructions, dit nouveaux habitants et donc nouvelles charges pour la commune (école, cantine, équipements, ...). Ce qui renfloue une commune c’est avant tout de l’activité économique et donc de la taxe professionnelle.



  • jms 12 août 2008 11:23

    Assez d’accord.
    Les numéros de département sur les plaques, c’est un peu un moyen de voyager par l’imagination, c’est du rêve pour tous.
    C’est un moyen de relater la diversité géographique et culturelle française.
    Jusqu’à présent je m’en fichais de cette histoire de nouvelles plaques banalisées, je trouvais cela plutôt plus pratique. Mais cet article par ses arguments tellement sans intérêt m’a fait changé d’avis.



  • jms 10 août 2008 22:27

    Excellent article ! ce qui est dommage c’est que ce discour ne soit pas relayé par les medias traditionnels qui n’ont aucun esprit critique et sont plutot du côté du pouvoir.
    Le passage aux 35h était un marché :

    - d’une part réduction du temps de travail

    - d’autre part :
    * modération salariale
    * gain de productivité
    * flexibilité

    On voudrait revenir sur ce marché en supprimant la réduction du temps de travail en oubliant la contrepartie.
    Un marché de dupes !



  • jms 30 juillet 2008 21:39

    Cet article est criant de vérités ; des évidences pour tous ceux qui écrivent bénévolement sur internet au travers de blogs perso ou de sites communautaires. On le dit , on le redit, les journalistes professionnels ne sont pas aussi indépendants que les amateurs qui disposent d’une vraie liberté. C’est au niveau des medias traditionnels qu’il faudrait le crier ! Mais ceux-ci sont aux mains des professionnels qui ne sont pas prêts à faire leur auto-critique.



  • jms 18 juillet 2008 22:40

    Montaigne, en effet.
    C’était sûrement moins élitiste pour rentrer ; ensuite c’était à chacun à aller jusqu’au bout de ses capacités.

    Comme quoi, nous sommes dans un monde de plus en plus concurrenciel et où les bases sociales et financières sont primordiales, alors qu’on aurait pu espérer une démocratisation gradissante de l’éducation. Les taux de réussite au bac ne sont qu’illusion de réussite finalement.



  • jms 18 juillet 2008 16:14

    Histoire bien racontée, plaisante à lire.

    Pleine de réalisme, un peu de péssimisme toutefois.

    J’ai connu un peu la même histoire, 30 ans plus tôt.

    Peut-être est-ce moins facile de nos jours. A l’époque l’ascenseur social marchait mieux dit-on et on voulait y croire. Après le bac, je n’ai pas choisi l’IUT, pourtant fils de petit paysan "mal dégrossi" comme vous dites. J’ai osé les classes prépas (à Bordeaux précissement, dans une grande ville où je n’avais jamais mis les pieds) puis une grande école. Venir de la campagne ne donnait pas de sentiment d’infériorité, au contraire, cela donnait encore plus l’envie de s’accrocher et de s’en sortir.
    Qu’est-ce qui a changé ?



  • jms 18 juillet 2008 15:00

    Sujet intéressant qui a le mérite de faire un peu le point sur la situation actuelle et de proposer quelques solutions.
    Vous avez raison de penser que l’état ne se mélera pas ou très peu de ce qui est le "marché", sinon au travers des fameuses incitations fiscales (De Robien and co) dont certains décrivent comme des facteurs de hausse des prix, à juste titre sûrement.
    Aborder l’aménagement du territoire comme solution est bien vu. Les déséquilibres de la France, Paris et le désert français, d’une part, inadéquation entre zones d’habitat et bassins d’emplois sont à prendre en compte.
    Par contre vous n’avez pas abordé le problème du logement social. C’est en soi un vrai sujet qu’il serait nécessaire de réformer.
    Quand on sait que 70% de la population y est élligible, que les seuils de 20% peinent à être respectés, que le futur SDRIF (schéma directeur de l’ile-de-france) prône les 30% de logements sociaux, allant à l’encontre des populations et des élus locaux, on sent qu’il y a un problème. Le logement social fait peur, il est dans l’imagination collective, symbôle de tours hideuses, de délinquance et de mal vivre. Pourtant, il existe du logement social sous forme de petites villas coquêtes dans des mini-lotissements en province ; d’autres part les normes de production du logement social sont devenues très élevées. Par un mélange de logements sociaux et de logements du secteur concurrenciel (l’habitat dit mixte), on arrive à une cohabitation harmonieuse. En fait, c’est le concept et le terme qui font peur et qui créent des blocages.
    Pourquoi ne pas supprimer le logement social finalement ? C’est pas le logement qui doit être aidé, ce sont les habitants en fin de compte. Pourquoi pas ne pas attribuer une aide proportionnelle aux personnes selon leurs revenues et situations, independamment de leur logement, une APL généralisée en somme. L’état ne serait donc plus acteur de la construction mais il faudrait tout de même imaginer un moyen de contrôler et de stimuler le secteur sans laisser les promoteurs seuls faire la pluie et le beau temps dans l’immobilier.



  • jms 18 juillet 2008 14:33

    Que ces propos sont blessants et inapropriés !
    Encore un contaminé de la ville !

    Les valeurs rurales, que vous avez l’air d’ignorer, sont toutes simples :

    - c’est l’entraide et la solidarité avec ses voisins,

    - c’est préférer la nature au béton,

    - c’est aimer le silence des grands espaces,

    - c’est considérer que la terre c’est pas sale,

    - c’est prendre son temps,

    - c’est s’émouvoir du chant d’un oiseau,

    - c’est accepter les contraintes des éléments de la nature,

    - c’est ne pas chercher à aller contre la nature,
    la liste serait longue, je vous en ferait gràçe.
    Bien sûr, au quotidien, tout cela à tendance à disparaitre. Je me souviens de ma grand-mère qui ne commençait pas sa journée sans être allée saluer tous ses voisins. Même dans les zone rurales, les gens vivent à 100 à l’heure, mais c’est bien dommage !