• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de ffi



  • ffi ffi 17 août 2017 21:20

    C’est le symptôme du « Andréas Lubitz »... Effet secondaire des Neuroleptiques...
     
    Les médicaments censés soigner les maux de l’esprit, qu’ils soient chimiques ou bien idéaux, ont quelques ratés.



  • ffi ffi 11 juillet 2017 22:42

    En quelque sorte, vous êtes une réactionnaire...
     
    D’abord, il n’y a pas « La religion », il y a « des religions ». Pour paraphraser Aristote, on pourrait dire que le concept de religion est une substance seconde, un « être abstrait », produit par une intelligence à partir de tous les exemplaires de religions particulières qu’elle a croisé au cours de son existence...

    Il suffit de considérer la page Wikipédia sur le sujet pour mesurer combien le concept est difficile à définir précisément, et combien cette définition est variable selon les auteurs.

    Évidemment, le schéma que l’on se fait de « La Religion », dépend des expériences que l’on a pu en faire auprès des divers exemplaires de religion qui existent, selon leur déclinaison dans des communautés particulières.
     
    Dire que la religion rend très sûr de soi et exclu le doute ne me semble pas pertinent. Dans la religion catholique, la tempérance est une vertu cardinale, de même que la prudence.
     
    Et si vous y réfléchissez bien, qu’une religion vous prenne tout votre temps, cela va à l’encontre de la tempérance. De fait, si la recherche de Dieu devient frénétique, c’est bien que vous ne l’avez pas trouvé. En effet, c’est quand on ne trouve pas ses clés, et qu’on en a un besoin urgent, qu’on s’excite d’autant plus à les chercher... Mais si on a trouvé les clés, on est quiet, on n’est plus inquiet. La bigoterie, c’est une réaction à de l’inquiétude. Or l’inquiétude, c’est un manque de tempérance dans la réaction à ses angoisses. Donc la tempérance, s’il elle est, doit tempérer la bigoterie.
     
    Continuez de réfléchir à la tempérance, cela tempérera votre point de vue sur « La Religion »... Voire, plutôt que d’y réfléchir, soyez-le...Je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire...



  • ffi ffi 24 janvier 2016 23:44

    @Fabien Sabinet

    Avant de déterminer ce qu’est l’éther, il faudrait déjà expliquer quel genre d’onde est la lumière...

    Par exemple, le son est une onde (mécanique) de compression / dilatation dans un milieu. Tout milieu compressible est donc un substrat potentiel pour porter l’onde sonore.

    Ce qui a été infirmé par l’expérience de Michelson-Morley, c’est l’éther mécanique de Fresnel et l’éther statique de Lorentz. L’éther circule comme les planètes. Mais si on tient la lumière comme une onde, alors, nécessairement, il faut imaginer son milieu de propagation, et préciser lesquelles de ses grandeurs physiques varient.

    On pense immédiatement aux grandeurs électromagnétiques (champ électrique, champ magnétique). Mais il y a un problème : ces grandeurs électromagnétiques sont pour beaucoup des intermédiaires de calcul qui nous échappent, des manières commodes d’envisager la Force sur un objet test. Pour mesurer un champ électrique, il faut une charge. Pour mesurer un champ magnétique, il faut un courant ou un pôle magnétique. La matérialité électromagnétique repose sur des charges, des pôles magnétiques, et des courants, tandis que la matérialité mécanique repose sur la masse.

    Le problème n’est pas tant de dire s’il y a un éther ou pas, le problème est de préciser ce qu’il est.



  • ffi ffi 15 juin 2015 13:46

    @Pierre JC Allard
    Une batterie de Véhicule électrique stocke environs 30 kW-heure d’énergie. À 10 euros le kW-heure d’Énergie/Argent, un achat à distance de 300 euros exigerait de vider une telle batterie sur le réseau électrique.... Mais je conviens que cela compliquerait sérieusement l’usage des portes-monnaies...



  • ffi ffi 15 juin 2015 13:26

    @Pierre JC Allard
    Bonjour, loin de moi l’idée de fixer une valeur objective et consensuelle du prix de tous les travaux : je ne crois pas que cela soit possible. Si j’ai pris la dépense énergétique d’un coureur du tour de France comme indicateur, c’est pour avoir un ordre de grandeur. Mais il serait difficile de comparer l’énergie du travail intellectuel et du travail physique. Certes, quelqu’un qui organise bien le travail d’une équipe permet à cette équipe de dépenser moins d’énergie, mais le calcul du gain est infaisable précisément.
     
    Cependant, en raccrochant l’argent à l’énergie, je souhaitais l’accrocher à quelque chose de tangible, imaginer un étalon en quelque sorte, un étalon qui ne soit pas l’or. Tout m’indique que l’étalon physique de l’argent est l’énergie (que l’on dépense en travail...).

    À défaut d’aboutir à une caractérisation précise des dépenses et gains d’argent, via les dépenses et gains d’énergie, car c’est impossible à faire rigoureusement, cela permet néanmoins de mettre en exergue la manière absurde dont est envisagé l’argent actuellement, comme un simple symbole. Pensez que de petites chatouilles électriques à 50 Volt pendant quelques microsecondes dans les lignes de télécommunication peut acheminer 1 milliard d’euros, alors que c’est 6 mois de production à 200 000 Volt d’une centrale nucléaire ! Je trouve ce contraste piquant et saisissant.
     
    Avec un tel étalonnement par l’énergie électrique, les paradis fiscaux seraient facilement mis en échec... Imaginez l’énergie électrique que devraient produire les Bahamas pour faire valoir tout l’argent qu’ils prétendent avoir... De même, les banques seraient beaucoup mieux tenues.
     
    C’est un thème de réflexion qui m’intéresse beaucoup, même si je n’ai pas trop eu le temps travailler le concept. C’est une idée lancée au détour de quelques Forum, par-ci, par-là, il y a un an ou deux. Aujourd’hui, l’argent est le droit d’avoir. Comme il n’y a pas de droit naturel, il suffit pour un État, ou une banque centrale, de se proclamer le droit d’avoir, pour produire des montagnes de valeurs monétaires. Mais ces valeurs ne sont justifiées que par le droit, un droit qui est appuyé par la force armée des États, donc une énergie...
     
    Il faut être logique : un travail, c’est un effort. Il ne peut être rétribué en symboles.



  • ffi ffi 14 juin 2015 07:49

    En physique, le travail est une énergie et il se mesure en Joule.
     
    Si l’argent se veut mesurer le travail, alors il faut le compter en Joule.
     
    C’est d’ailleurs pas pour rien que le dollar s’appuie sur le pétrole, et que tout pays qui voudrait vendre du pétrole en une autre monnaie que le dollar a de sérieux problème avec le pays du dollar.
     
    L’argent ne peut évidemment pas être un pur symbole conventionnel. Transmettre des milliards de dollars avec un petit picotement électrique via les réseaux est clairement sans rapport avec la quantité d’énergie dépensée en travail pour engendrer de telles sommes : C’est la porte ouverte à toute les arnaques.

    À 0,1 euro le kW-h, transmettre un milliard d’euro implique de transférer 10 Tera Watt-heure. C’est environ 6 mois de la production de la centrale nucléaire de Chinon. Une telle transmission d’énergie implique de développer une puissance considérable, ce qui ne va pas sans perte en ligne.
     
    Un coureur du tour de France dépense en moyenne 6400 kilocalorie par jour, c’est-à-dire 26880 kjoules, c’est-à-dire 7,4 kiloWatt-heure. Au prix étalon « EDF », le coureur cycliste devrait être payé 0,74 euros par Jour... Cela donne un ordre de grandeur. Disons que le travail humain coûte environ 100 fois plus que le travail de l’Uranium, pour obtenir un salaire de 75 euros par jour, l’euro étant alors étalonné à 100 kiloWatt-heures électrique ou 1 kiloWatt-heures humain.
     
    1 milliard d’Euro est ainsi l’équivalent de 36.529 années de travail humain ou bien 6 mois de production d’une petite centrale nucléaire. Cette transmission d’argent par les réseaux est clairement une arnaque. L’argent ne peut être ni virtuel, ni symbolique. Si l’argent a une mesure, cela ne peut être que celle d’une énergie. Transférer de l’argent implique donc de transférer de l’énergie. De plus, tout transfert d’énergie se fait nécessairement à perte, à cause de l’entropie, donc l’argent doit « fondre » à la transmission.



  • ffi ffi 9 juin 2015 21:46

    @Fergus
    Si vous y réfléchissez bien, cette logique d’efficacité, qui s’appuie sur la logistique d’un parti, c’est bien ce qui engendre une inégalité des citoyens face aux suffrages.
     
    Il y a les membres des grosses corporations, ces « multinationales » de la politique, qui produisent de l’industriel avec force marketing, et les artisans, qui bricolent du sur mesure.
     
    Les partis sont censés pouvoir se produire librement. En pratique, ils ne peuvent pas, car les grosses corporations politiques ont la maîtrise du marché des suffrages. Les seuls partis qui émergent sont issus de personnalités qui ont un ancrage local (ex : DLR ou la ligue du Sud).
     
    La politique est conçue comme un marché concurrentiel. Au bout de cette logique, il y a, au mieux, l’oligopole, au pire, le monopole. Dans ce cadre, les élus sont donc d’abord les représentants des partis politiques, bien avant d’être ceux des électeurs, puisqu’il savent bien qu’ils doivent leur élection au parti qui les a investi.



  • ffi ffi 9 juin 2015 16:32

    @CorsairePR
    « comment faire cohabiter d’un côté des machines huilés accueillant des militants rodés et de l’autre des citoyens non organisés aux aspirations diverses et variées ?  »
     
    C’est-à-peu près la même problématique que de faire cohabiter des multinationales avec des artisans... Les multinationales, par leur force de frappe, prendront bientôt tous les marchés, si aucun dispositif ne protège les artisans.
     
    Autant l’économie libérale a pour vocation à engendrer des oligopoles économiques aux productions identiques, dont seule la marque diffère (Pepsi / Coca ; Mac Do / Quick), autant la démocratie libérale tend à engendrer des oligopoles politiques aux propositions identiques, dont seule l’étiquette diffère.
     
    C’est clairement une fausse conception de la politique.
     
    Il faudrait dissoudre les partis, on n’en a pas besoin. Les élections locales devraient servir à désigner les élus de base. On pourrait prendre parmi ces élus communaux, ceux chargés du département ; parmi ceux des départements, ceux des régions ; Parmi ceux des régions, ceux de la nation.



  • ffi ffi 9 juin 2015 10:12

    L’article 4 de la constitution est explicite : « Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage »
     
    Substituons « expression du suffrage » par « marché » ; Substituons « partis et groupements politiques » par « entreprises » ; cela nous donne : « les entreprises concourent au marché ».
     
    C’est la définition de la démocratie libérale, où la politique est sur un mode économique.
     
    De fait, la quantité de suffrages exprimés implique de grosses subventions d’État. La victoire à un suffrage, permet d’obtenir des emplois. Les partis sont des corporations spécialisée dans la réponse à l’appel d’offre du marché de l’emploi politique. Mais ils abusent sérieusement du travail bénévole. Et de moins en moins de gens sont dupes.



  • ffi ffi 12 janvier 2015 17:54

    C’est une nɷvelle lettre de l’alphabet.

    Un hommage aux trɷs de balles, dirait certains cyniques ?
    Un coeur disent d’autres, un brin plus poétiques.

    C’est un omega rond, unicode U+0277



  • ffi ffi 12 janvier 2015 17:31

    LOL...
    En attendant, c’est la France révolutionnaire qui a interdit aux femmes de jɷir de leur héritage, comme elles le pɷvaient pɷrtant depuis des lustres sɷs l’ancien régime...
     
    Les fɷs sans Dieu ɷ avec Dieu ne valent pas mieux les uns que les autres.
    C’est le Bon et Vrai Dieu qui rend sage, non son absence ni l’adoration d’un faux.
     
    Tu m’as l’air bien sɷmis aux stéréotypes pɷr ta part. Ca te donne une pensée patchwork et stéréotypée, mais ce n’est pas vraiment une pensée. C’est donc impossible de discuter avec toi, puisque tu ne sembles pas savoir réfléchir.



  • ffi ffi 20 novembre 2014 14:00

    Marauder :
    ---------------
    Tu évoque des choses sur mon compte sans même me connaître !
    Ton petit couplet montre bien qu’en vérité, c’est la haine qui t’habite.
     
    Tu illustres le problème que pose les gauchistes : ce n’est pas ce qu’ils pensent, mais les moyens qu’ils emploient pour l’imposer : ruse, manipulation, violence, insultes...etc
     
    Aucune discussion rationnelle n’est possible ainsi.
     
    C’est de plus une preuve d’égoïsme. Un véritable altruiste sait toujours entendre les arguments d’autrui, car il a la compassion nécessaire pour se mettre à sa place et considérer son point de vue. L’altruisme du gauchiste est faux et surfait : C’est une imposture pour masquer un égoïsme patenté. C’est la ruse du Loup déguisé en mouton.



  • ffi ffi 19 novembre 2014 17:18

    Alinea :
    ----------
    j’en dis que cette idéologie peut avoir des aspects intéressants, sauf quand elle se réduit sous l’empire de certaines élites à du malthusianisme repeint au vert.
     
    Marauder :
    --------------
    Il n’y a pas plus égoïstes et individualistes que les gauchistes. La preuve, alors que les gens du Tarn sont plutôt favorables à la retenue d’eau de Sivens, il faut que ces gauchistes viennent de toute l’Europe pour imposer leur propre idéologie...
     
    Ta cause qui « nous » concerne tous, c’est juste ton idée propre. En employant ici « nous concerne tous », tu te permets de te mêler de ce qui ne te concerne pas, d’exclure toute discussion avec ceux qui pourraient ne pas être de ton avis, ceci pour soulager tes propres désordres intérieurs...
    Si ça ce n’est pas de l’égoïsme...
     
    Quant à tes fleurs, on sait bien qu’il s’agit d’une stratégie machiavélique, pour paraître et manipuler l’opinion, de même que le fait de se grimer en Clown... Après les fleurs, c’est les coktails molotovs. Tout ça est bien huilé. Trop bien même. M’est avis que derrière tout ça, il y a des Oligarques plein de pognon, comme Mr Soros par exemple, qui téléguident ce pseudo-mouvement écolo, non pas pour servir à l’humanité et à la nature, mais bien plutôt pour imposer des politiques malthusiennes.



  • ffi ffi 19 novembre 2014 15:11

    Il faut voir que les Zadistes de Sivens venaient de toute la France, mais certains venaient aussi de l’étranger. Certains sont véritablement des activistes professionnels (payés par les allocs ou par Papa et Maman). Combien venaient du Tarn ? Rémi Fraisse venait de Haute-Garonne (Plaisance-du-Touch).
     
    Le peuple du lieu, lui, était plutôt favorable au projet.
     
    Bref, démocratie participative ou pas, cela n’aurait strictement rien changé : les activistes en question ne sont en rien le peuple de ce lieu, ils habitent le village global. Ils nomadisent de Zad en Zad à travers l’Europe pour imposer une idéologie politique.
     



  • ffi ffi 14 octobre 2014 12:26

    J’insiste : votre dénonciation est infantile, puisque prétendre parler au nom de Dieu, n’implique pas nécessairement que ce qui est dit est faux... or ce n’est que le faux qu’il faut dénoncer... Le problème principal est de savoir si ce que les gens prétendent est vrai. D’où le critère empirique que j’ai exposé.
     
    Quant à cette histoire d’amalgamer « bondieuserie et rationalisme scientifique », vous m’accorderez j’en suis sûr que Leibniz est un éminent représentant du rationalisme scientifique, mais que sa monadologie est remplie de bondieuserie.
     
    Mes définitions ne sont pas tordues, mais s’appuient sur Leibniz.
    Je vous rappelle la démonstration, dont j’ai mis déjà nombre de référence.
     
    La logique classique propose deux modalités. Voir logique modale.

    1° La modalité nécessaire, dont la vérité (de raison) est absolue et dont la contradiction est impossible.
    2° La modalité contingente, dont la vérité (de fait) est relative et dont la contradiction est possible.
     
    La modalité nécessaire correspond aux raisonnements analytiques et déductifs : C’est un raisonnement qui va du général au particulier (i.e : de spécification). À partir de prémisses, dont la vérité est assurée, la conclusion est sans conteste, et la contradiction de la conclusion est impossible (modèle du syllogisme).
     
    La modalité contingente correspond aux raisonnements synthétiques et inductifs : À partir d’un ensemble de fait connus, on peut conceptualiser une théorie qui permettra de retrouver ces faits par déduction : c’est un raisonnement qui va du particulier au général (i.e : de généralisation). Mais il peut exister plusieurs théories pour recouvrir les mêmes faits. De plus, il peut s’avérer des faits qui obligeraient à remettre en cause la théorie ultérieurement, comme on l’a constaté régulièrement en science dans l’histoire. Ici, les prémisses sont des faits, mais la conclusion (qui est une conceptualisation) n’est pas sans conteste, et la contradiction de la conclusion est possible.
     
    Ainsi, selon la modalité contingente, toute conceptualisation peut toujours être contestée, et cette contestation peut être sans fin. Ainsi, il faut une conceptualisation hors de cette suite sans fin, et, pour citer Leibniz, on l’appelle Dieu.
     
    Et ça tombe bien, puisqu’il y a toujours un reliquat d’indéfinissable dans la modalité contingente et que Dieu n’est jamais complètement défini. La modalité contingente est nécessairement approximative, donc le concept de Dieu est nécessaire et nécessairement approximatif. Dieu recouvre ainsi toutes les conceptualisations possibles.
     
    Il s’ensuit que n’importe qui qui prétendrait avoir une théorie absolue et définitive, soit se trompe, soit fait une imposture, puisque les propriétés-même de la modalité logique de contingence implique toujours une possibilité de contradiction de sa conclusion.
     
    Voyez, jusqu’ici, tout le raisonnement n’est que de pure logique.
     
    Maintenant, pour tester une théorie, il faut se référer à l’expérience de ses applications.
    Ca, c’est une pure méthode scientifique.
     
    PS : je ne suis pas « étudiant en réthorique catholique », je suis de formation ingénieur en physique, de profession informatique, j’ai pour loisir les cafés philosophiques, je m’intéresse à l’histoire des sciences, et au sens large, à l’histoire des idées.



  • ffi ffi 14 octobre 2014 00:42

    Je vous l’ai déjà dit : comme vous prétendez, avec Bakounine, apporter une vérité infaillible, cela revient au même que ce que vous dénoncez, et, en vérité, vous vous dénoncez vous-même...

    De plus, votre offuscation est infantile : c’est inévitable que des gens prétendent dire la vérité alors qu’ils ne font qu’évoquer ce qu’ils croient. Le problème qui se pose est plutôt de savoir déterminer ce qui s’approche le plus de la vérité parmi toutes les affirmations contradictoires.
     
    Comment s’y retrouver ? Je vous l’ai déjà dit : il suffit de confronter ces idées à la réalité, de regarder les fruits de l’application des croyances, puis de comparer entre ce qui est annoncé et ce qui en résulte. Pour ma part, je trouve que les fruits du christianisme, science classique, art classique,..etc sont nettement meilleurs que les fruits de la modernité, avec sa science moderne paradoxale et son art moderne laid. Les fruits du libéralisme, qui propose la prospérité, c’est la faillite. Les fruits du communisme, qui propose l’émancipation, c’est la tyrannie. Quant aux fruits de l’anarchisme, ils sont tout simplement inexistants.

    Pour ma part, ce critère ne me laisse aucun doute quant à ceux qui s’égarent le moins.
    Je n’en cherche même pas l’explication, mon critère est empirique.
     
    Quant à la question de savoir si je me sens en difficulté : je vois bien depuis le début à constater vos sentences définitives, ce qui est preuve de sectarisme, que je ne peux vous convaincre. Je n’ai donc eu qu’à dérouler mes arguments le plus clairement possible, car, en conséquence de votre tournure d’esprit, que j’ai déjà rencontrée, vous ne pouvez éviter d’exploser en rage et insanité, ce qui vous enfonce fatalement aux yeux des lecteurs.
     
    Donc non, je ne me sens pas en difficulté, ce fut très simple et tout droit : il m’a suffit de parfaire ma démonstration et de la rendre la plus claire possible.



  • ffi ffi 13 octobre 2014 12:09

    En quoi y-a-t-il eu débat ? Désolé, mais je ne vois pas.

    Faudrait savoir ce que vous voulez. D’un coté vous dénoncez
    « Ceux qui parlent au nom de Dieu »
     
    Et quand je vous montre que, selon mes définitions, le concept de « Dieu parle »  renvoie au fait de « dire une vérité définitive », et que, par conséquent, quand Bakounine prétend « dire une vérité définitive », il ne fait pas autre chose que de « parler au nom de Dieu », c’est-à-dire ce que vous dénoncez, alors vous me répondez :
     
    "Vous avez tout faux, puisque je ne parle pas en Son nom pour la bonne raison que pour moi, n’existant pas, il n’a rien à nous dire, on ne peux rien dire en son nom !!« 
     
    1° Si Dieu pour vous n’existe pas, pourquoi dénonciez-vous ceux qui parlent en son nom ?
     
    2° Le terme pour désigner la chose, n’est pas la chose : un mot chinois et un mot français peuvent désigner la même chose, n’est-ce pas ? Nous parlons deux langues différentes. Dans mon langage »Parler au nom de Dieu« signifie dans le vôtre, dénué de la notion de Dieu, »prétendre dire une vérité définitive".
     
    Or vous dénoncez donc dans un langage ce que vous acceptez dans l’autre !
    Si ce n’est pas du double-discours...
     
    Désolé de vous le dire, mais vous êtes superficiel et irrationnel,
    vous n’êtes sensible qu’à la forme des choses, et non à leur fond.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 22:51

    Si vous trouviez qu’il y a des sophismes dans ma réflexion, qui comporte les 3 points que j’ai rappelé ci-dessus, vous pourriez précisément y pointer les erreurs, me dire, ici, je trouve cette affirmation-ci erronée parce que...etc
     
    Mais vous n’en faites rien, ce qui prouve que votre démarche est illogique et irrationnelle.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 18:04

    Je ne vous ai jamais demandé de partager mes vues quant à la définition de Dieu à préférer.

    La discussion montre que vous ne cherchez nullement la compréhension :

    1° vous n’avez pas réfuté cette affirmation, de pure logique, alors que j’ai insisté, et que j’insiste encore :
     
    « Toute théorie induite des faits, est nécessairement frappée de l’imprécision logique issu du raisonnement d’induction, et cela justifie selon moi le recours à la notion de Dieu, en tant que terme indéfini pour englober tout les cas non synthétisés par la théorie.  »
     
    2° Vous n’avez pas non plus réfuté l’argument suivant, de pure logique encore :
     
    Présenter une théorie sans recourir au terme indéfini de Dieu, c’est donc prétendre qu’elle a tout défini, y compris l’indifini, et donc le terme Dieu lui-même, et partant, c’est parler en son nom.
     
    3° Vous n’avez pas non plus réfuté mon critère pour choisir entre les diverses définitions de Dieu qui se proposent à nous :
    On reconnaît la qualité d’une définition de Dieu à la qualité des fruits qu’il produit.
     
    Si vous cherchiez à comprendre, vous opposeriez à ces arguments logiques d’autres arguments logiques, et nous pourrions en discuter. Or, tel n’est pas le cas. Au contraire, vous sautez du coq à l’âne, d’Ockham à Bakounine, de Gaza à Darwin... Ne confondriez-vous la pensée avec un agglomérat de stéréotypes ?
     
    Ne pas répondre à des arguments logiques par des arguments logiques,
    c’est irrationnel.
     
    Mais quoi de plus normal, connaissant votre mythologie ?
    Lutte des égo (libéralisme), lutte des espèces (darwinisme), luttes des classes (marxisme), lutte des races (nazisme) ; dans toutes ces définitions de Dieu, le principe retenu est le même : c’est le conflit qui serait créateur. En christianisme, c’est l’Amour qui est créateur, et ce genre de définition d’un Dieu qui crée par conflit, on appelle cela du satanisme.
     
    Puisque toute mythologie des origines revient à l’homme en conscience de soi, votre âme se fait ainsi à l’image de votre définition de Dieu, conflictuelle. Vous êtes donc en conflit avec tout le monde, parce que telle est votre disposition d’esprit, en conflit avec lui-même, parce que telle est votre mythologie, un conflit perpétuel.
     
    Nos échanges en furent une belle illustration.
    Zéro arguments logiques mais une belle série d’invectives atrabilaires...
     
    Désolé mais je n’y puis rien si vous ne savez pas discuter sereinement et manquez de distanciation. C’est votre religion qui vous fait tel.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 01:59

    Je vous ai déjà répondu sur tout les points que vous avez soulevé :
    - Que tout principe soit idéologie ? Bien-sûr, tel est le cas. Un principe, ça oriente les idées, puisque c’est pris en premier (primus captare), puisque c’est à la racine de la pensée... (Et orthographiez correctement « Ockham » SVP).
     
    - Je n’ai personnellement lu ni Spinoza ni Darwin, donc comment voulez-vous que j’analyse leurs similitudes avec Leibniz ? Aurais-je dû évoquer ce que je ne connais pas ? C’est de plus hors-sujet avec ce que j’évoquais au départ. Je vous laisse vos préoccupations qui vous sont propres
     
    - Je n’ai pas pris position sur le conflit Gazaouis/Judéens. Relisez-moi. Dire « Dieu jugera à sa guise », ce n’est pas dire « Dieu a jugé que ».
     
    - Pour le reste, je vous ai expliqué en long et en large ma position :
    Toute théorie induite des faits, est nécessairement frappée de l’imprécision logique issu du raisonnement d’induction, et cela justifie selon moi le recours à la notion de Dieu. 
    C’est ici de la pure logique.
    Mais de cela, vous n’avez pipé mot : cette assertion est-elle vraie ou fausse selon vous ?

    Bakounine reprend la mythologie Darwinienne. Cette mythologie est induite des faits, n’est-ce pas ? Puisqu’il s’agit d’induction, elle ne peut donc pas prétendre à être une vérité absolue, mais est conditionnée à certaines conjectures, et je prétends qu’il faut y adjoindre un « indéfini » qui j’appelle Dieu pour qu’une telle induction puisse prétendre à une validité absolue.

    Or, Bakounine qui reprend la doctrine de Darwin, y omet la notion de Dieu. Et comme il présente la chose comme une résolution valide et définitive de nos origines, c’est donc qu’il prétend qu’il a tout défini, y compris le terme logiquement indéfini : Dieu.
     
    Ainsi, Bakounine présente une définition de Dieu, et cela revient donc à parler au nom de Dieu. 
     
    Comprenez bien que tout jeu de principe évoquant les vérités premières est une définition de la divinité : Ne pas faire usage du concept de Dieu dans ces principes n’est que prétendre connaître Dieu parfaitement, donc le définir, et donc parler en son nom.
     
    Maintenant, nous voici avec toute une série de théories très variées qui parlent au nom de Dieu. Comment choisir entre elles ?
     
    Et bien, je vous ai donné un moyen : D’un point de vue logique, puisque, par le théorème de Gödel, on ne peut pas démontrer la validité d’une théorie en recourant aux principes de cette théorie, il faut sortir du cadre de ces théories pour choisir.
     
    Quoi de mieux alors que de placer sa lunette sur les effets qu’ont engendré les diverses définitions de Dieu qui furent à notre disposition dans l’histoire ? On reconnaît l’arbre à son fruit.
     
    Ainsi, quand je vois les fruits de la définition de Dieu par Darwin, à travers ses diverses productions, le libéralisme, le socialisme, le communisme, le nazisme, le fascisme, le maoïsme, l’anarchisme...etc, avec ce piteux XXème siècle à la clé, puis quand je les compare aux fruits du christianisme, je n’ai aucune hésitation : la définition du Dieu chrétien est manifestement meilleure.
     
    Ainsi, ayant acquis la notion de Dieu par la logique, je suis déiste.
    Mais ayant opté pour sa définition chrétienne, je suis chrétien.