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Les commentaires de LYonenFrance



  • Gilles Roman 7 décembre 2007 09:06

    Le bidonville de Villeurbanne n’existe heureusement plus (pour le moins celui-là), mais nous vous conseillons la lecture du livre d’Azouz Begag comme ceux de Philippe Videlier (sur le « village nègre » du huitième arrondissement par exemple) si vous souhaitez en savoir plus sur les conditions de vie des migrants au début du vingtième siècle...



  • Gilles Roman 18 octobre 2007 20:31

    Voici un extrait de ce discours à l’ONU que je viens de retrouver sur Afrik.com

    Nous réclamons :

    Que s’intensifie à travers le monde la campagne pour la libération de Nelson Mandela et sa présence effective à la prochaine Assemblée générale de l’ONU comme une victoire de fierté collective.

    Que soit créé en souvenir de nos souffrances et au titre de pardon collectif un Prix international de l’Humanité réconciliée, décerné à tous ceux qui par leur recherche auraient contribué à la défense des droits de l’homme.

    Que touts les budgets de recherches spatiales soient amputés de 1/10000e et consacrés à des recherches dans le domaine de la santé et visant à la reconstitution de l’environnement humain perturbé par tous ces feux d’artifices nuisibles à l’écosystème

    Nous proposons également que les structures des Nations Unies soient repensées et que soit mis fin à ce scandale que constitue le droit de veto. Bien sûr, les effets pervers de son usage abusif sont atténués par la vigilance de certains de ses détenteurs. Cependant, rien ne justifie ce droit : ni la taille des pays qui le détiennent ni les richesses de ces derniers.

    www.lyonenfrance.com



  • Gilles Roman 18 octobre 2007 11:14

    Très intéressant article. Thomas Sankara a représenté un espoir pour l’Afrique ; il croyait en une révolution des relations avec l’occident et s’était fait des ennemis dans tous les secteurs de la françafrique (en créant par exemple un Bureau de Suivi des ONG). Car ces associations toutes puissantes qui se déplacent en 4x4 ont plus de pouvoir que les politiques dans son pays. je me souviens d’un voyage au Mali où le jeune conducteur de bus (un burkinabé de 20 ans) était capable de citer l’ensemble de son discours à l’Onu... www.LYonenFrance.com



  • Gilles Roman 6 octobre 2007 11:50

    Vous avez raison, pas le RFF mais le FIF : « Christian Philip, ancien député du Rhône, a été élu président de la Fédération des industries ferroviaires (FIF), qui regroupe une cinquantaine d’entreprises en France. Il succède à Jean-Marie Bockel, nommé secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie. Représentant personnel du président de la République pour la francophonie depuis juin 2007, Christian Philip avait été élu, en 2001, premier vice-président délégué du GART (Groupement des Autorités Responsables de Transport) ».



  • Gilles Roman 13 septembre 2007 14:57

    Désolé...l’article original est corrigé...

    www.lyonenfrance.com



  • Gilles Roman 10 septembre 2007 16:17

    En réponse à Monsieur Icks, le mieux pour se faire une idée est de visiter le site de l’ association « carton rouge » . (www.carton-rouge-decines.fr). Nous ne lui faisons pas « de la pub. » mais relayons simplement leurs interrogations sur la concertation. Pour se déclarer pour ou contre le projet, encore faudrait t’il le connaître, et il semble que leur demande est d’abord d’avoir communication du dossier « officiel ».



  • Gilles Roman 31 juillet 2007 10:16

    Je vous remercie de vos commentaires et des liens vers des réponses circonstanciées aux écrits de Victor Farias, en particulier les lettres de Simon Wiesenthal mises en ligne par la fondation en Espagne. Il faut prendre cet article comme un appel aux historiens à ne pas se borner à des informations militantes et partisanes. On peut voir sur internet comment les négationistes font leur pain blanc à partir d’un document censuré ou passé sous silence. Lorsqu’on veut faire un travail d’histoire, il vaut mieux prendre en compte toutes les facettes du personnage et ne pas refuser la confrontation des idées. On peut aussi lire une réponse détaillée au livre de Victor Farias à cette adresse : http://www.denistouret.net/textes/Roudinesco.html



  • Gilles Roman 28 juin 2007 13:17

    Un article intéressant que je me suis permis de reprendre sur le site LyonenFrance. Mais une petite question tout de même : ce Mr Pierre est la seule personne citée dans ces archives ?. En plus attention aux déductions simplistes : chacun sait que la résistance,- et j’ai toujours entendu dire que l’abbé pierre comme françois mitterrand en faisait partie - pour fonctionner, a du recourir toutes sortes de gens (délinquants, infiltrés, agents doubles, prêtres ou politiques ambitieux...) . Je vous conseille de revoir la guerre des ombres, tourné à Lyon justement... http://lyonenfrance.blogspot.com/2007/06/polmique-autour-des-archives-secrtes-de.html



  • Gilles Roman 27 juin 2007 19:34

    Très bon commentaire de l’article :) qui gagnerait à être développé par un autre article !

    www.lyonenfrance.blogspot.com



  • Gilles Roman 13 juin 2007 08:49

    Le système français est un modèle pour le monde entier...que ce soit pour l’éducation ou la santé... et ceux qui ont vécu à l’étranger reviennent vite en France lorsqu’ils ont des problèmes de santé ou lorsque leurs enfants grandissent.Il faut arrêter l’idéologie des soi-disant « libéraux » qui tapent sur le système jusqu’à ce qu’ils tombent malade (cf J Marc Sylvestre) et qu’ils découvrent le bonheur de vivre en France. C’est vrai qu’il y a de nombreux profiteurs, mais arrêtez de dire que le « tourisme médical » creuse le trou. Ceux qui creusent le trou, ce sont les professionels de la santé (médecins, laboratoires, dentistes...) des vraies castes qui sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis !^ www.lyonenfrance.blogspot.com



  • Gilles Roman 13 juin 2007 08:47

    Le système français est un modèle pour le monde entier...que ce soit pour l’éducation ou la santé... et ceux qui ont vécu à l’étranger reviennent vite en France lorsqu’ils ont des problèmes de santé ou lorsque leurs enfants grandissent.Il faut arrêter l’idéologie des soi-disant « libéraux » qui tapent sur le système jusqu’à ce qu’ils tombent malade (cf J Marc Sylvestre) et qu’ils découvrent le bonheur de vivre en France. C’est vrai qu’il y a de nombreux profiteurs, mais arrêtez de dire que le « tourisme médical » creuse le trou. Ceux qui creusent le trou, ce sont les professionels de la santé (médecins, laboratoires, dentistes...) des vraies castes qui sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis !^ www.lyonenfrance.blogspot.com



  • Gilles Roman 8 juin 2007 21:25

    Quelle différence pour le travailleur si il est assuré que sa retraite lui sera payée. Je trouve le système basé sur la répartition beaucoup plus juste et plus clair, mais il faut prendre en compte toute l’évolution du marché du travail. Le système a été conçu à un moment ou un maximum de gens étaient employés et avaient une perspective d’évolution de carrière (en clair, avec le temps et l’inflation, tout le monde pensait gagner plus au moment de prendre sa retraite). Aujourd’hui, les carrières sont brisées par des périodes de chômage, les gens recommencent à zéro et finissent leur carrière souvent avec des plus bas salaires qu’ils ne l’ont commencée... il faut donc certainement un complément de retraite basé sur l’épargne. Mais l’idée de la capitalisation est simplement un moyen pour des gestionaires de fonds de pensions de s’enrichir rapidement, sans rendre les comptes que l’on peut attendre de l’Etat. Au final, en cas de faillite du fonds de pension, qui devra payer ? On voit le résultat dans les pays qui l’ont pratiqué, les Etats Unis avec Enron ou les pays d’amérique latine avec des milliers de retraités qui, si ils ne sont pas morts avant dix ans, n’ont plus qu’à retourner vendre des légumes, danser le tango ou cirer des chaussures dans la rue ! www.ruevalparaiso.blogspot.com www.lyonenfrance.blogspot.com



  • Gilles Roman 6 juin 2007 16:06

    C’est marrant, en france se développe le débat sur les retraites par capitalisation quand dans les pays oè celà a été mis en place, au Chili en particulier qui a servi de laboratoire, on fait le chemin inverse en insérant de la répartition , car dans tous les cas lorsque les fonds de pension sont en faillite, à qui fait t’on appel ??

    http://ruevalparaiso.blogspot.com/2006/03/la-crise-des-retraites-au-chili.html

    www.lyonenfrance.blogspot.com



  • Gilles Roman 15 mai 2007 13:07

    Il est rare de trouver des articles aussi clairs...Pour vous qui êtes lyonnais, j’ai déjà donné ce lien mais je vous le conseille fortement. Des organisations comme Survie sont indispensables et ont vraiment trop peu d’écho dans les médias, allez comprendre pourquoi :) http://survie.69.free.fr/campagnes/Campagne%20Bollore/bollore.htm

    http://ruevalparaiso.forumculture.net



  • Gilles Roman 14 mai 2007 11:10

    Pour en savoir plus sur Bolloré, l’ami de vingt ans du président,et ses activités en Afrique, je vous conseille ce lien : http://survie.69.free.fr/campagnes/Campagne%20Bollore/bollore.htm

    et aussi http://www.caractere.net/outils/recherche/index.php?parution=4096&site=caractere&fullText=bollor%E9&bChercher.x=13&bChercher.y=0 Vous pourrez y voir entre autres que 65 % du papier « Traité établissant une constitution pour l’Europe » ont été produits par Les Papeteries du Léman, une filiale du groupe Bolloré, qui ont remporté le contrat pour ... 7 500 tonnes de papier... Rappelons que le traité a été envoyé à 42 millions d’électeurs !! www.ruevalparaiso.forumculture.net



  • Gilles Roman 9 mai 2007 22:57

    Il a dit que Vincent Bolloré n’avait jamais travaillé avec l’Etat français !!!! Extrait de « Caractères » :

    Impressions électorales européennes LABEUR Impressions électorales européennes

    La rédaction, Caractère, le 01/06/2005 à 00h00

    L’État français aura dépensé 130 millions d’euros pour imprimer et diffuser les imprimés à destination des 42 millions d’électeurs inscrits.

    1. Dans l’enveloppe

    Chacun des 42 millions d’électeurs inscrits a, dans la première quinzaine de mai, reçu à son domicile, dans une enveloppe fabriquée spécialement, un fascicule de 12 pages en deux couleurs. Il comprenait le texte de la question posée, le décret soumettant le projet de loi au référendum, le projet de loi de ratification du Traité et son exposé des motifs ainsi que le Traité (192 pages en noir plus une couverture en deux couleurs), avec ses annexes et protocoles. De même, étaient inclus les deux bulletins « oui » et « non » .

    2. Un budget global de 130 millions d’euros

    L’État a donc dépensé pour la fabrication de l’ensemble du matériel électoral environ 130 millions d’euros, soit 3 euros pour chacun des 42 millions d’électeurs (source : ministère de l’Intérieur). L’impression des documents a coûté à elle seule quelque 35 millions d’euros. Ce budget concerne aussi la fabrication des 202 millions de bulletins « oui » et « non » , dont la moitié est destinée aux bureaux de vote. 55 millions d’euros ont été consacrés à l’acheminement du matériel aux électeurs. Enfin, le coût des opérations électorales (mise sous enveloppe, subventions aux communes) a été de l’ordre de 25 millions d’euros.

    3. Papiers : des grammages légers

    Pour des raisons évidentes de poids, l’ensemble du matériel (au total 283 g) a été fabriqué sur des papiers légers, dont la majeure partie a été fournie par le groupe Bolloré. Sur les 12 000 tonnes nécessaires, 7 500 ont été fabriquées par les Papeteries du Léman (Thonon) et les Papeteries des Vosges (Laval-sur-Vologne). Le support est un Primapage blanc de 40 g. Trois autres papetiers européens ont également contribué à la fourniture.

    4. Un appel d’offres européen

    Deux entreprises (Maury Imprimeur et l’Imprimerie nationale), se constituant pour l’occasion en groupement, ont enlevé l’appel d’offres européen lancé par le ministère de l’Intérieur. C’est la première fois qu’une telle union est conclue lors d’une opération électorale. Plusieurs imprimeurs français ont été mis à contribution en sous-traitance, pour assurer la fabrication en temps et en heure. Sur le plan logistique, elle a nécessité une organisation très particulière. Six cents camions semi-remorques ont été utilisés pour acheminer l’ensemble des documents (en fait, 46,2 millions de traités ont été imprimés, par précaution).

    5. 202 millions de bulletins

    Afin d’alimenter largement les bureaux de vote, les bulletins « oui » et « non » (impression recto noir en offset, au format 105 x 74 mm), glissés également dans l’envoi aux électeurs, ont été fabriqués à parts égales à 202 millions d’exemplaires.

    Fiche de fabrication : un planning très serré

    Février 2005 : un appel d’offres européen est lancé pour la réalisation de l’ensemble du matériel électoral.

    8 mars 2005 : Maury Imprimeur et le groupe Imprimerie nationale sont retenus pour la fabrication.

    16 avril 2005 : l’ensemble des documents sont livrés au ministère de l’Intérieur conformément au planning.

    Plusieurs entreprises impliquées en production : Jean-Paul Maury a réparti la production des documents sur plusieurs sites (Malesherbes, Manchecourt) et aussi chez RFI et Brodard Graphique.

    Une logistique lourde : l’imprimeur a également pris en charge la logistique. 36 000 m 2 de surface de stockage ont été nécessaires.

    http://ruevalparaiso.forumculture.net



  • Gilles Roman 12 décembre 2006 19:08

    Sur « le général en prit acte » : ce ne fut tout de même pas facile facile ; selon les protagonistes, il y a eu plusieurs comptages de voix et le ministre de l’ intérieur n’ a d’abord donné les résultats que des bureaux où le oui gagnait. Pinochet, enfermé dans la Moneda, aurait longtemps envisagé ne pas reconnaître le résultat. Selon le général Mathei lui même, ministre de la défense et membre de la junte de l’ époque, il lui aurait déclaré :« ne comptez pas sur moi pour une nouvelle aventure ». Comme quoi l’ histoire tient des fois à un fil ! Quant au coup d’ Etat de 73, savez-vous que de nombreux membres (pas tous) de la démocratie chrétienne l’ ont soutenu, dont Patricio Aylwinn qui avait eu la naïveté de croire qu’après un petit « nettoyage », les militaires leur rendrait le pouvoir et rentreraient sagement dans leurs casernes ; aujourd’hui la même démocratie chrétienne découvre avec horreur que l’ ex président Frei-Montalva, prédécesseur et opposant de Allendé, a vraisemblablement été assassiné par Pinochet. je ne sais plus qui a dit « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument ! »



  • Gilles Roman 12 décembre 2006 17:14

    Intéressant commentaire, documenté, mais vous mélangez beaucoup le factuel et vos opinions : Vous dîtes : « Pinochet s’impose et met en place un régime dictatorial certes, mais qui a paradoxalement bénéficié d’un plus large soutien des Chiliens, notamment auprès du groupe des classes moyennes, un des plus important d’Amérique latine, qui s’est développé grâce à la nouvelle orientation économique du pays. » Il y a eu plusieurs phases dans la politique économique de la dictature ; la première a été catastrophique et a donné lieu à des révoltes en 1983, date à laquelle il a provoqué un choc en disant que tout le monde (y compris les commerçants) allait se serrer la ceinture... S’ en est suivi une émigration économique (et plus politique) massive et on n’ a pas vraiment calculé combien ces émigrants aisés - et les autres aussi- ont été utiles par les aides qu’ils ont envoyé à leurs familles restées au pays ! « Car la politique économique mise en place, inspirée des théories monétaristes de l’Ecole de Chicago, a, de toute évidence, obtenu de meilleurs résultats que la politique de collectivisation d’Allende » Des résultats macroéconomiques dûs en grande partie à la conservation du secteur public du cuivre qui représente la moitié de l’ économie du pays ! Pour le reste, les privatisations ont profité à une classe dirigeante très réduite, ont fait monter le PiB moyen, mais sans aucune répartition... Comme en Russie, des fortunes se sont créées sur les privatisations et on a très peu parlé en France des quelques procès perdus par ces nouveaux milliardaires dans les dernières années. « le Chili est encore aujourd’hui le pays d’Amérique du Sud qui a le taux d’inflation le plus bas et un des PNB par habitant les plus élevés ». Là encore, méfiez vous des moyennes. La baisse du taux d’ inflation est surtout le fait des gouvernements de la concertation et de la conjoncture (cours du cuivre), Pinochet a laissé le pouvoir en pleine crise asiatique. « Le soutien d’une majorité de la population à cette politique s’est manifesté lors des différents référendums (1977, 1980...) » 1977, quel référendum ? En 1980, c’ était le vote oui ou oui de « sa » constitution... « et il faut attendre celui de 1988 pour voir le dictateur réprouvé pour la première fois (par 55 % des votants seulement) » Là il s’ agissait d’ un référendum qu’il pensait gagner largement, mais il avait prévu des portes de sorties multiples (sénateurs désignés, amnistie...). « les Chiliens ont longtemps reconduit des gouvernements démocrates-chrétiens qui ont poursuivi la même politique économique libérale. » La concertation a négocié (elle n’ avait pas le choix) et a proposé des candidats uniques d’ union... « les chiliens » n’avaient pas le choix. Ils ont par exemple accepté le système de vote « binominal » : si l’ addition des deux candidats arrivés en tête ne fait pas le double du troisième, c’ est le 1er et le troisième qui sont élus. C’ est ainsi que Ricardo Lagos a été éliminé du parlement par exemple... « Car aujourd’hui encore, on n’observe pas un rejet massif de la période de la dictature par une population chilienne qui reste très divisée. » Là je suis d’ accord avec vous ! La division est forte, même dans les classes les plus pauvres, le parti pinochettiste a toujours eu une assise sociale beaucoup plus large que les partis de droite traditionelle par exemple (antiparlementarisme, discours anticorruption.) Sur ce dernier thème on a vu ce qu’il en est advenu.



  • Gilles Roman 11 décembre 2006 17:37

    Un éditorialiste de la Segunda (quotidien de droite chilien) écrivait récemment que lors de l’ enterrement de Pit Botha, l’ ex-dictateur sudafricain, Nelson Mandela aurait prononcé cette phrase : « enterrons le passé ou ce sera le passé qui nous enterrera ». La présidente Michèle Bachelet vient, elle, de résumer ainsi sa pensée : « J’ ai de la mémoire, je crois en la vérité et j’ aspire à la justice »... et la présidente, qui a elle-même été torturée, ajoute « J’ai la conviction profonde et la volonté pour dépasser l’ adversité, les moments amers et injustes, et comprendre aussi que comme dans les cycles personnels, dans les cycles de l’ histoire des nations aussi... ce que nous apprenons du passé doit nous aider à affronter le futur » Pour Bachelet, « l’histoire se construit et les vérités s’ installent... dans ce sens, le Chili ne peut pas oublier, nous aurons un regard constructif de notre avenir, seulement en garantissant les droits fondamentaux de toutes et tous ».



  • Gilles Roman 5 décembre 2006 16:32

    Parce que, Mr Gelone, l’ article que j’ ai voulu écrire n’ est pas une analyse de l’histoire récente du Chili, mais une biographie de Pinochet, avec des faits précis. Comme par exemple le fait qu’il a été placé à son poste par Allendé lui-même et qu’il a juré fidélité à la constitution quelques jours seulement avant de prendre la tête du coup d’ Etat ou qu’il a fait assassiner son prédécesseur (le général Prats) qui, je pense n’était pas vraiment considéré comme un dangereux communiste !