• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Christian Pradel



  • Christian Pradel Christian Pradel 22 août 2015 23:50

    J’ai apprécié cet article qui résonne bien dans le chaos des événements... Merci



  • Christian Pradel Christian Pradel 10 décembre 2007 09:50

    Voilà qui serait bon de continuer sur votre lancée : la critique contre la critique de la pensée unique.

    Différence et répétition...voilà un sujet qui me semblerait intéressant de poursuivre dans ce monde complexe que nous vivons, monde ou tant de liens, de relations se font face, s’interpénètrent, se rejettent, se complètent...

    « La séparation sectaire » comme suggère Zizek, « une telle rupture devrait permettre de remettre en question les prémisses même que nous avons tendance à accepter comme un destin, comme les données non négociables de notre difficile situation » (p17 - Ed Flammarion 2005)

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 juin 2007 13:31

    Oui, c’est juste Zen...il y a un effet « rupture et lien » dans ce qui touche à l’individu...Un vrai régime de fou...pour rappeler une réminiscence deleuzienne ( et non platonicienne) !

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 5 juin 2007 23:05

    J’encourage ceux qui apprécient le sujet à lire l’ouvrage de Constantin von Barloewen « anthropologie de la mondialisation » ( ed. des Syrtes) dont l’éclairage apporte une contribution intéressante et stimulante, notamment cet apport « des cultures du monde, à la recherhce des clefs intellectuelles et spirituelles susceptibles d’ouvrir les portes d’une civilisation fondée non plus sur la recherche du profit, le règne de la technique et le pouvoir du »logos« , mais sur le dialogue entre les cultures dans une civilisation de l’ »holos« . »

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 26 octobre 2006 16:20

    Il est vrai que ce livre nous rappelle que l’effet « Lumière » rayonne toujours. Il suffit d’enlever les poussières sur les quelques lampes vieillies. Comme Todovov le dit lui-même, l’esprit des lumières doit nous mener régulièrement vers une critique sans cesse renouvellée. Etre dans l’esprit des lumières c’est rester et appliquer l’esprit critique...

    Merci pour votre article...

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 20:37

    Cela dit, j’aime bien Goscinny ! smiley

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 20:34

    Merci pour cette référence.

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 20:33

    Vous dites « Eh non, vous ne le dites pas, mais le fait est que vous devez attendre. Vous agissez, ce qui est louable, mais ensuite vous devez attendre les effets de votre action et, en particulier, que les autres se bougent et comme ils ne se bougent pas, et bien vous attendez. Longtemps... »

    Je dois vous avouer que je ne comprends pas où vous voulez en venir exactement.

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 14:06

    Bonjour Cool Mel,

    Vous dites : « Alors, vous, vous attendez et moi, j’essaie d’imaginer une gestion de la cité adaptée aux réalités humaines, aux hommes tels qu’ils sont et non pas tels que je voudrais qu’ils soient. c’est fou, comme on peut être différent quand même. »

    Je ne suis pas certain que nous nous sommes bien compris à ce sujet ? Je n’ai pas dit qu’il faut attendre. Au contraire, agissons, en tenant compte des réalités humaines (comme vous le dites) et des modalités de connaissances qui lui sont associées. Ne subissons pas les effets de la réalité sans pouvoir agir. Et justement, en agissant nous pouvons changer des états de fait qui nous pendent toujours au nez. Mais l’action a souvent à son actif, en couche de fond, une vision, un désir, voire un projet. Je dirai, comme pour rappeler ce que je disais dans mon article « ...que puis-je espérer ? » (un petit écho à Kant), il y a au fond, comme moteur de cette « machine désirante », ce que j’appelle l’espoir, une propulsion/impulsion de pouvoir changer et non une attente en forme de désillusion. Elle est lié à ce qui la sous-tend : connaître et agir.

    Vous parliez que l"homme est une vue de l’esprit. Je repense à Michel Foucault qui parlait de la « mort de l’homme » en tant qu’il recouvre le constat d’une dérive contemporaine des savoirs. Tout alors devient langage, échange symbolique, structure signifiante, constitution de signes. Désormais, connaître n’est plus dévoiler une nature humaine, mais déchiffrer une grammaire. Et comme le disait Frédéric Gros pour reprendre ce concept :« ...Et si, à l’époque contemporaine de Foucault, la pensée de la pensée devient autre chose ( échanger des signes, communiquer, parler le langage), alors c’en est fini de l’homme comme lieu de vérité ».

    Pour revenir à l’action, je vous recommande, si vous ne l’avez pas déjà lu, un livre excellent, qui traite bien entendu d’autre chose que la fraternité mais qui néanmoins sous le rapport de la conscience/connaissance et de ses modalités. « Connaître est agir » de Miguel Benasayag ( avec la collaobration d’Angélique del Rey).

    Quant à mon histoire...J’essaierai de faire mieux la prochaine fois smiley

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 11:18

    Négatif !

    Ce genre de globalité que vous dressez pour l’associer à ce désir, ce souhait de voir le respect et la paix concrets être vécus ne me satisfait pas. Ce n’est pas avec ce regard imbécile, comme vous le dites, que je le conçois.

    Je pense que l’homme peut encore réagir, agir même et cela pour « imposer » d’autres voies que celles qu’il doit subir sans cesse ! C’est toute la tension entre le déterminisme et la liberté ! Bien sûr on est ici dans le domaine de l’aspiration. « I have a dream » était du domaine de l’aspiration et un jour cela s’est concrétisé.

    Mais évidemment il ne faut pas être niais au point de croire que tout peut changer d’un seul coup en zappant l’humanité tel qu’il est ! Elle est complexe et fragile. Faut nuancer vos propos : par exemple lorsque vous citez pour une même comparaison ces deux événements : la pluie qui tombe le week-end et la mort qui fait partie de notre vie. Je ne peux rien contre cette mort naturelle ( en tout cas à ce jour) mais contre la mort « guerrière », certainement je peux contribuer à diminuer la quantité de sa production ! la pluie le week-end ... vous trouvez pas le rapport légèrement scabreux ?

    Un jour, un jeune homme relancait dans la mer des étoiles de mer qui s’étaient échouées très nombreuses sur la plage. Un homme s’approcha de lui pour lui demander pour quelle raison il faisait cela, sachant qu’il y en avait trop et que son action ne suffirait pas pour les sauver toutes. Il répondit : « Je le sais...mais toutes celles que j’aurai jetée à la mer resteront vivante » Je trouve ce genre d’action motivante, positive et laissant un modèle d’espoir face aux difficultés insurmontables de notre humanité...

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 10:19

     smiley

    Nous pourrions aussi associer l’anti-oedipe de Gilles Deleuze et Félix Guattari pour parfaire ce tableau...

     smiley



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 09:50

    Certainement parce que je n’en vois pas l’utilité ! Mais si vous y voyez un intérêt, vous pourriez me dire ce qui constitue ici une blague à smiley

    Bien à vous,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 septembre 2006 08:36

    Merci pour votre sollicitude. Evitons les encouragements religieux ici. Je pense que la place des ces commentaires est à la confrontation des idées en partant d’un article. Parfois ce sont les opinions qui s’affrontent, parfois des apports d’informations qui corrigent et apportent des nuances ou des compléments non négligeables et parfois c’est de la bêtise, etc... mais c’est cela la joie et l’intérêt d’un journal citoyen qui ouvre la discussion grâce aux commentaires !

    Je ne sais, par contre, si Demian a écrit à mon sujet. Je pense, mais qu’il me corrige si je me trompe, qu’il s’adressait à Taverne et que son rire concernait ses dires...Sinon je n’aurai pas compris le message !

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 5 septembre 2006 22:36

    Bonjour La taverne des poètes,

    Et oui, vous remarquez la même chose ! Solidarité dans un esprit fraternel, c’est, me semble-t-il donner corps et force à ce mot. C’est lui assigner une identité citoyenne, humaine avec un rayonnement puissamment constructif, motivant et positif. Amour intellectuel, spirituel sont très certainement sources de cette fusion possible ...mais si rare !

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 5 septembre 2006 22:30

    Bonjour Pingouin perplexe,

    Merci pour votre commentaire.

    C’est étonnant ce que les volontés de puissances se perpétuent. Cette ambivalence, entre la cruauté et la paix, qu’on retrouve dans le Baal babylonien, assimilés plus tard à Kronos, tourne toujours autour de cette bipolaire représentation de l’existence que nous nous faisons. Si vous nous parlez de la légende de Kronos il est nécessaire de la placer sous le signe de la haine et de son redoublement, la vengeance : tisis...Tant de peine encore, usure du temps. Jeu de mot que s’autorise Aristote ( De Mundo) : Kronos, Chronos, Temps...

    A quand le contre-temps ?

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 5 septembre 2006 17:37

    Vous avez raison, on ne gère pas un pays avec une Bible ou un autre livre sacré.

    Je me permet juste une rectification qui nous permettra certainement d’éviter les opinions creuses ou les a-priori légers : ce sont les convictions auxquelles certains s’attachent fortement qui mettent parfois en péril le lien d’humanité : Les plus manifestes sont exprimées dans le cadre religieux et/ou politique. L’idéologie, le dogme, sont à la base de ces convictions ; ce qui restreint ou empêche une souplesse dans l’interprétation des événements, une évolution dans la société. C’est un « fondamentalisme » exigu, sans ouverture d’esprit, refusant un vivre ensemble extériorisant la pluralité. Je lis la Bible, les autres livres sacrés, les concepts philosophiques,...Chacun apporte. Ils n’ont pas à mes yeux là même intensité d’inspiration mais ils ont leur utilité particulière. C’est quoi qui produit « ce bordel » dont vous parlez ? c’est ce qui motive l’action. Certains utilisent la Bible ou le Coran pour agir en son nom mais contre son intention en produisant de la bêtise ou parfois des actions inhumaines...Question d’interprétation, d’inspiration et de motivation...

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 juin 2006 14:11

    Il serait intéressant de connaître les raisons de ce glissement interprétant la proposition de Gilles Deleuze comme étant irrationnelle.

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 juin 2006 14:09

    Merci pour votre commentaire.

    Effet du discours...Certainement en partie, mais pas complètement à mon avis. Les méthodes, les paradigmes de pensées font que si on peut y voir des complémentarités, l’inverse est aussi vrai. Pascal ne faisait-il pas la différence dans ses Pensées, du dieu des philosophes (métaphysique) du Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ( Dieu religieux, monothéiste) ? Les alliances ou pas entre la philosophie et la théologie sont souvent une affaire de choix, de sensibilité intellectuelle, de repères au concret. Ne trouvez-vous pas ?

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 juin 2006 14:00

    réponse à Marsupilami

    Et pour continuer je vous propose cette extrait :

    « La simplicité est paradoxalement le signe extérieur de la profondeur de pensée. Il me semble qu’elle est la chose la plus difficile à acquérir dans la science et dans l’écriture. Combien difficile est la clarté de pensée et cependant, seules des pensées claires rendent la simplicité possible. Quand nous voyons un écrivain se battre avec une idée, soyons certains que c’est l’idée qui le bat. La vraie simplicité de pensée et l’aisance de l’expression ne se trouvent-elle pas chez celui qui vit d’expérience. La simplicité présuppose la digestion et aussi la maturité... »

    Lin Yutang, « Importance de vivre », Ed. Corréa, 1948, Paris, p 88

    J’ai encore du travail...mais c’est passionnant !

    Chaleureusement,

    Christian



  • Christian Pradel Christian Pradel 6 juin 2006 13:54

    Votre remarque est pertinente. S’il y a une contiguïté entre le sens et le lien, c’est le mouvement des deux qui donnent une raison de vivre qui est intéressante et représentative des aspirations humaines. C’est ce qui me semble. Votre proposition montre ce mouvement. Effectivement, rester agrippé à une seule notion est plus problématique.

    Chaleureusement,

    Christian