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Les commentaires de Le Promeneur



  • Le Promeneur Le Promeneur 2 mars 2012 11:59


    1OO% des bébés boivent du lait.

    100% de ces bébés mourront un jour.

    Donc :

    Boire du lait mène inévitablement à la mort.

    Voilà le genre de raisonnement que vous tenez !

    Vous êtes très sympathique, Papy, mais il vous faut bien reconnaître que là, vous vous êtes laissé berner.
    D’autres que moi ont déjà tenté avec talent de vous le faire observer plus haut.

    Amicalement.



  • Le Promeneur Le Promeneur 28 février 2012 17:58

    Poutou a donné samedi soir une magistrale leçon de courage, de ténacité, de conviction et d’altruisme.

    On pensera ce que l’on veut de son programme, mais il nous en faudrait un peu plus dans le paysage politique, que des hommes et des femmes de cette trempe.

    Merci , Monsieur.



  • Le Promeneur Le Promeneur 21 février 2012 16:32

    @l’auteur

    Je n’ai jamais voté pour le FN et ne le ferai jamais. Je m’oppose clairement au FN. Cependant, je ne rate jamais une intervention télévisée de M.Lepen comme je ratais pas celles de son père.
    Ces deux-là se sont toujours montrés des adversaires particulièrement redoutables et retors. Or, pour combattre efficacement son ennemi, il est nécessaire de le bien connaître.

    Malheureusement, je crains qu’un article aussi « bas de plafond » ne soit totalement contre-productif.

    L’intention est louable, mais les moyens lamentables. Vous ne tiendriez pas trois secondes devant elle sur un plateau.

    Affûtez vos arguments, sinon, abstenez-vous. Ce sera plus efficace.



  • Le Promeneur Le Promeneur 11 février 2012 17:42

    D’accord avec l’auteur.

    Il est impératif de revaloriser le français à l’école.

    Ecoutez donc les jeunes parler dans la rue, les journalistes à la radio ( qui ne font plus les liaisons, pour qui le mot « espèce » est devenu masculin etc...), lisez leurs articles truffés de fautes d’orthographe, stérilisés par un vocabulaire approximatif.

    On cède peu à peu sur l’apprentissage du français. Le langage courant s’appauvrit dangereusement. C’est une politique délibérée.
    Moins un individu possède la langue, plus sa pensée est pauvre, plus il est facile de faire de lui un esclave décervelé( voir 1984 de G. Orwell ).

    En finissant ce billet, j’ai une pensée émue pour mon beau-père né en 1925 aujourd’hui décédé qui, quoi que pratiquant au quotidien un rugueux patois du Nord, savait à l’occasion manier l’imparfait du subjonctif avec une élégance et une virtuosité qui me ravissaient.

    Enfin, s’il vous plaît, voyez ceci :

    http://www.dailymotion.com/video/xgyjbc_les-dix-strategies-de-manipulation-de-masse_news



  • Le Promeneur Le Promeneur 6 février 2012 17:46

    Existence ou non existence de Dieu ?

    C’est une question qui n’a aujourd’hui aucun intérêt : la réponse est au bout du chemin.

    La sagesse serait que chacun vive en paix avec ses convictions sans chercher à les imposer à autrui.



  • Le Promeneur Le Promeneur 1er février 2012 15:03

    Malheureusement, easy, bien des pathologies restent hermétiques à la raison.
    Je crains que votre légitime remarque ne soit qu’un coup d’épée dans l’eau.
    Aussi, afin de vous épargner des dépenses énergétiques inutiles, je ne peux que vous inciter à la compassion (et au zapping).
    Amicalement.



  • Le Promeneur Le Promeneur 13 octobre 2011 11:29

    Paroles d’expert.



  • Le Promeneur Le Promeneur 15 mai 2010 19:40

    à l’@uteur

    Nous sommes donc bien d’accord sur l’utilité du Net, sur l’incroyable révolution qu’il représente, et sur l’auto édition.

    Revenons au papier.
    Que faites-vous des gens qui ne possèdent pas, et pour part d’entre eux de possèderont jamais de PC, ni de connexion internet ? De ceux qui vivent sous sous une dictature qui filtre les contenus ? Ceux-ci représentent l’énorme majorité des lecteurs, sans nul doute. La France n’est pas le monde, n’est-ce pas ? Et le combat pour la liberté sur le Net est bien loin d’être gagné, s’il l’est jamais un jour.
    Je me permets, en toute amitié, de vous conseiller un peu de ciné, pour changer. Avez-vous vu « La vie des autres », de Florian Henckel von Donnersmarck (Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2006, je crois, ainsi que récompensé par de nombreux autres prix) ?
    Et peut-être aussi de relire Soljenitsyne ( en version papier svp, pour le plaisir).

    Voici qui peut-être vous procurera d’autres angles de vue et alimentera votre réflexion.

    Merci enfin pour la qualité de cet échange de vues, qualité qui devient bien rare sur AG.



  • Le Promeneur Le Promeneur 15 mai 2010 16:45


    @ l’auteur
    Bonjour,

    Je suis ce qu’on appelle un gros lecteur depuis l’âge de 8 ans. Aujourd’hui dans la cinquantaine, quelques milliers de volumes me sont passés dans les mains.
    Je surfe sur le Net depuis 1995.
    Ceci pour vous dire que malgré ma forte tendance au « geekisme », je n’ai pas du tout le même rapport aux livres que vous.

    Il me semble que vous évacuez un peu vite un élément à mes yeux essentiel, à savoir l’aspect sensuel de l’objet livre. Car un livre, ce n’est pas qu’un contenu.
    Certes ils jaunissent, s’écornent, se tâchent, accumulent poussières et odeurs, vieillissent, s’égarent pour un jour réapparaître. Bref, ils vivent.
    Mais aussi, on les annote, on les relit là où on les avait cornés, on les prête, on les donne, on les conserve précieusement pour les donner à ses enfants.
    Quand au confort d’utilisation, il est imbattable. Il peut être lu dans tous les lieux, dans toutes les positions, ne nécessite aucune source d’énergie autre que de la lumière, il est très solide et ne tombe jamais en panne.
    Il y a quantité de livre que je conserve près de moi ( non loin de mes trois PC !). J’en ai grand besoin, car ils m’ont construit, ils font partie de moi. M’en séparer reviendrait à me couper le bras droit (je suis droitier).
    Quand un ami se vois envieux de lire le livre dont je viens de lui parler, je préfère lui en offrir un neuf que de lui prêter mon vieil exemplaire, car celui-là, c’est le mien. Il est vrai que je pratique l’innocente manie d’utiliser pour marque-page tickets de ciné, lettres,cartes postales, petits mots qu’on m’a passé, articles de journaux, billets de train ou d’avions, entrées de musées, d’exposition etc... Fragments du passé chargés de nostalgie.
    Le Net ne permet rien de tout cela, mais possède ses propres atouts, en particulier pour tout ce que j’appellerais la documentation qui venait autrefois encombrer nos étagères (la cuisine chinoise, installez votre aquarium, soignez votre bonsaï, entretenir sa moto, ouvrages professionnels, de droit, de fiscalité, guide des vins etc...). Formidable le Net, sans compter la possibilité qu’il offre de lire des extraits de romans avant de partir en chasse dans sa librairie préférée, ou celle de retrouver d’occasion des oeuvres rares, pilonnées ou depuis longtemps épuisées.
    Mais ce qui me choque, c’est que vous avouez qu’il vous arrive de jeter des livres. Impensable pour moi.
    Bien sûr, l’encombrement est un réel problème.
    Alors on pourrait les vendre. Cette idée me répugne. Les donner à qui ils peuvent faire plaisir est la meilleure solution, il y a ensuite les organismes caritatifs, les nombreux sites de don.
    Ma préférence actuelle va au Book Crossing (si vous ne connaissez pas, Google est votre ami) en version sauvage.
    J’ai pris l’habitude d’abandonner les livres que je ne souhaite pas conserver, simplement dotés d’un pot-it portant la mention « cadeau, prenez-moi », dans des lieux fréquentés, tels que gares stations de métro ou de bus, bistrots, restaurants, présentoirs des boutiques, boites aux lettres, rebords de fenêtres, quand je ne les donne pas directement dans la rue, de la main à la main. C’est très amusant de savoir que ce livre continuera à vivre et procurera du plaisir à d’autres lecteurs.

    Cependant, je suis tout à fait d’accord avec vous pour dire que le Net est une opportunité formidable pour les jeunes auteurs qui peuvent se faire connaître, diffuser leurs oeuvres et s’auto-éditer. Mais je pense que rien ne surpassera jamais l’édition papier, car aucune loi, aucun lobby, aucun pouvoir, aucune HADOPI n’est parvenu et ne parviendra jamais à manipuler, à faire taire ou à faire disparaître les livres, ce qui sera bien plus facile sur le Net. (relire au besoin 1984, Farenheit 451, ou simplement se souvenir de l’histoire des religions, du nazisme ou des dictatures communistes ou fascistes)

    N’oubliez jamais que l’un des tout premiers actes de toutes les dictatures est d’interdire, de réécrire ou de brûler des livres.



  • Le Promeneur Le Promeneur 16 avril 2010 18:22


    De nouvelles preuves, tant dans l’article que dans les commentaires, en faveur de la théorie qui veut que la sensibilité à l’humour soit génétiquement déterminée.
    (Pour les cas les plus réfractaires : c’est de l’humour)

    Nous vivons parmi les infirmes et les malades, n’est-ce pas ?
    Ce qui me paraît grave, c’est que le rire mène à la tolérance, et que bien peu d’entre nous franchissent ce pas, faute de pouvoir faire le premier.
    ( là, ce n’en n’est pas)



  • Le Promeneur Le Promeneur 6 février 2010 19:00

    Halte à la censure !

    Le droit à une totale liberté d’expression est un droit qui reste à conquérir.
    Pour ce qui concerne le contenu, des lois existent pour réprimer les abus. Que ceux qui se sentent blessés intentent des actions en justice qui leurs semblent nécessaires.
    De plus, rien n’oblige personne à lire les écrits qui dérangent ou qui choquent.

    Messieurs qui approuvez la censure, vous êtes des esclaves qui adorent leurs chaînes.

    « Je ne partage pas vos idées mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous puissiez les exprimer » Voltaire PS : Moi non plus, je n’apprécie pas spécialement Y.M.


  • Le Promeneur Le Promeneur 5 décembre 2009 17:21

    @l’auteur,

    Je faisait appel à votre éthique rédactionnelle.

    Un article signé par un journaliste est un article de journaliste. Un article écrit par un rédacteur se présentant comme psychologue est un article de psychologue. Vous auriez dû faire preuve de plus de prudence, au moins de retenue. Le simple mot de « témoignage » paraît bien insuffisant comme courte précaution liminaire. L’évocation de votre profession, je le répète, procure un poids injustifié à votre article, vous ne pouvez le nier. Voilà ce qui ne me paraît pas éthique.

    Par ailleurs, je vais vous étonner : je suis clairement d’accord avec vous sur le positionnement que vous adoptez au sujet de la science et des scientifiques. De ce fait, il est vain en guise de justification de m’attribuer à tort des conceptions que je n’ai pas, dont vous ne saviez rien jusqu’à maintenant, puisque je ne les avait nulle part exprimées( tiens,tiens ! De l’hypothético-déductif ).
    Vous axez, pour esquiver la critique, votre système de défense sur la voie laborieuse du détournement approximatif et de la manipulation, au lieu que de développer d’honnêtes arguments. Un trait de personnalité qui perce nettement dans vos propos et qui les affaiblit d’autant. Dommage... Le désir de convaincre est tout à fait honorable, mais il est tellement plus efficace de faire appel à une argumentation libérée d’artifices dialectiques.

    Enfin rassurez vous. Je ne suis pas en colère, et ce commentaire souligne l’intérêt que j’ai porté à votre article. Sans doute ai-je été trop brutal. Ne considérez pas ma critique comme une agression, mais comme un encouragement. Je suis convaincu que vous serez beaucoup plus convaincant en usant d’un peu plus de rigueur.
    Ne vous ai-je pas dans mon premier commentaire encouragé invité à écrire d’autres articles ?



  • Le Promeneur Le Promeneur 5 décembre 2009 10:16

    @l’auteur

    Article décevant de la part d’un chercheur en psychologie !
    Prosélytisme au sujet d’une pure croyance de tendance New Age...
    Chacun est libre naturellement d’avoir ses propres croyances. Cependant en tant que professionnel puisque vous vous présentez comme tel, une bonne pratique d’honnêteté intellectuelle voudrait que vous vous penchiez sur les processus qui génèrent le besoin de croyance (en termes de bénéfices secondaires, comme apaiser l’angoisse de mort par exemple) et les dérives qui peuvent s’en suivre ( peut-être un autre article), bref, que vous donniez un peu plus de recul au lecteur. Au contraire, vous utilisez votre statut de psychologue pour procurer à votre texte une légitimité injustifiée. Voilà pourquoi il se dégage de votre article de nets relents de racolage.
    Qu’avez-vous fait de votre éthique ?



  • Le Promeneur Le Promeneur 20 novembre 2009 12:48

    Remettre le foot à sa juste place... Cela reviendrait à tenter d’éradiquer une infime partie de la bêtise humaine.
    Vaste et ambitieux programme.



  • Le Promeneur Le Promeneur 17 octobre 2009 16:57

    Aux prochaines vacances, il retourne en Thaïlande...
    C’est bien ce qu’il nous dit, non ?



  • Le Promeneur Le Promeneur 12 octobre 2009 18:21

    Excellente analyse. Impitoyable.
     L’honneur de notre société est d’accorder la totale liberté d’expression aux écrivains. Mais le prix à payer par ceux-ci devrait être de se maintenir à l’écart du pouvoir.
    F. Mitterrand a pêché par orgueil, et cela, au-delà des faits, c’est impardonnable.
    Impossible de mélander les genres.
    Démission.



  • Le Promeneur Le Promeneur 3 octobre 2009 07:23

    Selon que vous serez puissant ou misérable,
    Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

    Jean de la Fontaine. 1678.



  • Le Promeneur Le Promeneur 24 août 2009 13:54

    Notre impitoyable maître n’a que deux yeux, n’a que deux mains, n’a qu’un corps, et n’a autre chose que ce qu’a le moindre homme du grand et infini nombre de nos villes, sinon l’avantage que vous lui faites pour vous détruire. D’où a-t-il pris tant d’yeux, dont il vous épie, si vous ne les lui donnez ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne les prend de vous ? Comment a-t-il aucun pouvoir sur vous, que par vous ?

    Ce texte vieux de plus de 400 ans a été écrit par Etienne de la Boétie, alors agé de 18 ans, sous le titre « Discours sur la servitude volontaire ».
    A l’époque, il risquait pour de tels écrits ni plus ni moins que le bûcher...

    Effectivement, rien n’a changé depuis l’apparition de l’homme, sinon la technologie.

    L’homme est toujours un loup pour l’homme.



  • Le Promeneur Le Promeneur 24 août 2009 12:56
    Notre impitoyable maître n’a que deux yeux, n’a que deux mains, n’a qu’un corps, et n’a autre chose que ce qu’a le moindre homme du grand et infini nombre de nos villes, sinon l’avantage que vous lui faites pour vous détruire. D’où a-t-il pris tant d’yeux, dont il vous épie, si vous ne les lui donnez ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne les prend de vous ? Comment a-t-il aucun pouvoir sur vous, que par vous ?

    Ce texte vieux de plus de 400 ans a été écrit par Etienne de la Boétie, alors agé de 18 ans, sous le titre « Discours sur la servitude volontaire ».
    A l’époque, il risquait pour de tels écrits ni plus ni moins que le bûcher...

    Effectivement, rien n’a changé depuis l’apparition de l’homme, sinon la technologie.

    L’homme est toujours un loup pour l’homme.


  • Le Promeneur Le Promeneur 20 août 2009 07:13

    Le jour où les têtes des commentateurs d’AV roulerons dans la sciure sera le jour du triomphe de Lerma, car ce jour là, il sera le seul à n’avoir pas la peine de rendre l’esprit.