...
Très mauvaise cette caricature. La laïcité ce n’est pas abandonner ses convictions, bien au contraire c’est être libre d’avoir les convictions que l’on veut et de pouvoir les afficher (sinon où serait la liberté ?). Seul l’État et les ACTES des fonctionnaires (pas leurs habits ni ce qu’ils portent) doivent être neutres d’un point de vue de la consciences et des convictions. L’État s’interdisant toute interférence dans les questions de conscience et de convictions et vis versa.
Les armes non rien non plus à voir avec la laïcité mais bien avec la violence qui est réprimée par ailleurs.
Non, cette caricature (comme très souvent les caricatures d’ailleurs) est très mauvaise mais alors vraiment très mauvais (sans atteindre cependant le niveaux abyssale des immondes caricatures de Charlie qui ne font rire que les imbéciles brutes grossières et surtout incultes).
PS. la liberté d’expression est une liberté, pas un droit, et comme toute liberté, il faut en user avec discernement (mot et concept inconnu chez Charlie). Sans ce discernement on obtient le chaos et c’est bien l’intention et le résultat obtenu par Charlie. Je ne suis résolument pas Charlie parce que je suis un vrai démocrate.
Iter n’est pas un projet industriel ais un outil de recherche à l’instar du Cern ou de l’ISS. Le cout n’a que peut d’importance car ce sont les théories scientifiques et les technologies qui y sont inventées et mises en œuvre qui importent. La production d’énergie n’est que le stimulant intellectuel du projet.
Iter a déjà eu des retombées nombreuses en terme économique. Et la France est la première à bénéficier des retours sur investissements du fait que les autres pays contributeurs investissent sur son territoire.
La recherche a toujours un coût démesuré tant qu’elle reste à l’état de recherche mais même durant cette période elle produit des connaissances qui valent plus que l’investissement.
Iter est un projet intermédiaire entre la théorie et la technologie industrielle. Sans ce type de projet, la connaissance resterait dans les amphithéâtres et l’industrie serait toujours celle du XIXe siècle.
Éric Zemmour et les échos de l’histoire
RécidivesLe problème dans ce genre de forum, et c’est quelque peu désespérant, c’est que les intervenants ne réagissent qu’aux titres, sans réellement lire et essayer de comprendre le texte proposé, sans volonté de s’ouvrir à d’autres thèses. Ce qu’on, constate dans ces forum c’est que les individus ce braquent sur leur certitudes et deviennent agressifs dès qu’ils pensent -sans avoir réellement essayer d’écouter et de comprendre— que leurs certitudes réactionnaires sont remises en question.
On comprend dès lors le racisme puisque s’il est intolérable de métisser sa pensée alors pourquoi serait-il tolérable de se métisser.
Quelle tristesse, pauvre France , France de l’obscurantisme et non plus des lumières.
@pemile
Quelle méconnaissance de la science vous avez.
@Hokken Visiblement vous méconnaissez les définitions du racisme et de l’islamophobie. Critiquer l’islam ou même en avoir peur n’est pas de l’islamophobie pas plus que du racisme.
@Gilles Mérivac
Votre entêtement à essayer de disqualifier mon propos n’apporte absolument rien au débat.
@foufouille
https://www.cairn.info/revue-sociologie-2014-1-page-13.htm?try_download=1#
@foufouille Vous ne connaissez visiblement pas la définition du mot racisme.
A vous lire, il n’y aurait pas de racisme puisqu’il n’y a pas de race au sein de espèce humaine.
Qu’est-ce que le racisme ?
Mai 2017
Le racisme naît de la confrontation à l’altérité humaine. Il s’est manifesté dans les sociétés occidentales modernes sous des formes multiples (esclavagisme, génocides, ségrégation raciale…). Aujourd’hui, la question de la compatibilité des cultures lui donne un second souffle.
Les définitions du racisme sont multiples. Par exemple, les chercheures Évelyne Heyer et Carole Reynaud-Paligot du musée de l’Homme expliquent que le racisme « consiste à considérer des différences entre individus, qu’elles soient physiques ou culturelles, comme héréditaires, immuables et naturelles ; il établit une hiérarchie entre des catégories d’êtres humains ; il peut se traduire par des sentiments et des actes allant de la discrimination jusqu’à l’extermination de l’autre ». Autrement dit, le racisme repose sur trois piliers : catégoriser des individus en groupes (un réflexe du cerveau humain, mais les critères de classement varient selon les contextes sociohistoriques), les hiérarchiser (certains sont valorisés ou dévalorisés pour une raison arbitraire) et les essentialiser, c’est-à-dire présenter ces différences comme étant indépassables, inévitables car relevant d’une transmission héréditaire. Le racisme se distinguerait ainsi de la xénophobie qui ne considère pas nécessairement l’autre comme irrémédiablement différent.
L’historien Jean-Frédéric Schaub, pour sa part, considère que le racisme a une dimension politique, car c’est l’une des réponses utilisées pour gérer l’altérité inhérente à l’espèce humaine. Les différentes formes de racisme (antisémitisme, anti-Noirs, etc.) relèveraient ainsi d’un même principe. Là où certains optent pour un traitement égal et équitable, d’autres discriminent certains groupes en raison de critères variables (la race, mais aussi le sexe, le handicap, l’orientation sexuelle, etc.), souvent pour imposer leur supériorité aux autres.
Autre définition allant dans ce sens, selon le philosophe et militant antiraciste Pierre Tévanian, auteur de La Mécanique raciste (2017), le racisme n’est pas à chercher dans la psychologie de l’homme, mais dans les idéologies politiques, telles qu’elles prennent corps dans les institutions (justice, police, école, etc.) : « Le racisme, en un mot, est un système de domination. »
Les historiens ne s’accordent pas sur l’origine du racisme. Si on entend le mot dans un sens étroit (une ségrégation fondée sur des critères biologiques), alors, selon l’historien J.F. Schaub, ses premières manifestations en Occident seraient apparues avec la persécution des Juifs ibériques au 15e siècle. L’historien américain Benjamin Isaac a fait valoir de son côté que chez les Grecs et les Romains, les stéréotypes de types raciaux fondés sur le « sang », les critères physiques et géographiques étaient très répandus.
Il existe peu de traces de populations discriminées en raison de leurs différences biologiques. Les plus marquantes sont celles qui reposent sur un racisme institutionnel (lorsque les institutions politiques, juridiques, éducatives imposent un traitement différencié en raison de la race réelle ou supposée). Par exemple, dans le cadre de l’exposition « Nous et les autres » au musée de l’Homme, sont distinguées trois principales formes de racisme institutionnalisé : l’esclavagisme et la colonisation, le régime nazi et le massacre des Tutsis et des Hutus au Rwanda. Le plus souvent, les exemples cités impliquent les sociétés occidentales, non pas qu’elles soient les seules à être racistes, mais plutôt que leur système de pensée le favorise
https://www.scienceshumaines.com/qu-est-ce-que-le-racisme_fr_38059.html
@Gilles Mérivac Je n’ai aucune certitude. J’énonce des faits.
@pemile Il n’y a aucune confusion. La science se fonde sur des croyance. Tout scientifique sait ça. La première croyance de la science est de croire que nous pouvons décrire le réel, qu’il est unique et qu’il peut être réduit à des lois simples. Si vous en doutez encore, étudiez la philosophie des sciences et l’épistémologie.
"Le nationalisme m’est [...] très étranger. Il se fonde sur des erreurs doctrinales majeures. Tous les états contemporains ou presque se soumettent à ces trois religions séculières que constituent les idéologies suivantes : libéralisme, socialisme, nationalisme. Elles découlent de la modernité philosophique. En effet, elles prônent chacune à leur manière l’avènement d’une cité d’hommes tournés et centrés exclusivement sur eux ou l’État. [...]
Avant tout, je m’oppose à l’idée que « le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation ». Je combats également la thèse expliquant que « tous les pouvoirs émanent de la nation »."
Sans partager ses motivations argumentaire,je fait mienne cette assertion de Franck ABED.
Pour moi nationalisme et nation défient la liberté, la fraternité et l’égalité. Car elles distinguent, en droit, les individus en dehors de la nation (un groupe arbitraire) de ceux en dedans. Mais aussi elles oblitèrent le pouvoir du citoyen en l’attribuant à la nation y compris en démocratie qui légitimiste la délégation de pouvoir par une institution nationale que sont l’élection et ses modalités. L’étranger, celui qui en dehors de la nation est de facto un danger, un concurrent, un ennemi potentiel dont-il faut se méfier, se préserver.
Le concept de nation, tel que nous le connaissons aujourd’hui, est récent et date du XIXe siècle, époque des unifications (Allemagne, Italie,..), uniformisation (France...), limitation (Pays-Bas, Espagne...) ou imposition (Belgique état tampon par imposition externe, Grande-Bretagne agrégation interne) de territoires et la fixations de limites à ces territoires, les frontières, à la suite de guerres de territoires violentes. C’est pour justifier ces territoires que simultanément ont été mis en place des romans nationaux rapportant une histoire falsifiée pour les glorifier et légitimer
Partout, les nations et les états qui en découlent ont toujours été arbitrairement, comme leurs institutions, imposés aux peuples (les administrés) par des gens de pouvoirs pour assoir leurs pouvoirs. Seul le mode de validation (légitimation) de cette usurpation de pouvoir a changé de modalités passant d’une légitimité de droit divin en une légitimité des urnes. C’est d’ailleurs cette légitimité ou plutôt ce mode de légitimation qui est remis en cause aujourd’hui.
L’avancée des révolutions des
XVIII et XIXe siècle est d’avoir apporté ce qu’on appelle la démocratie
en ce qui la défini c’est à dire les principes de liberté, fraternité,
égalité et laïcité ainsi que la Chartes Des droits de l’Homme qui fixe
ces principes Quatre principes toujours interprétés, instrumentés et
utilisés, avec plus ou moins d’autoritarisme et de mauvaise foi, par les
dominants détenant le pouvoir (la fraternité, par exemple, a été
réduite à la solidarité et même cette solidarité est de plus en plus
remise en cause). Quant au libéralisme, tant au niveau idéologique que
politique et économique, il a réduit ces quatre principes à la libre
compétition de tous contre tous, le pouvoir de l’état étant réduit à
imposer des arbitrages et surtout à maintenir l’ordre établi (l’état
n’est effectivement plus qu’un policier. Le néo-libéralisme a, au
surplus, délégitimer la suprématie des assemblées législatives et
l’indépendance de la justice pour les subordonner à l’exécutif cela au
nom de l’efficacité et du « réalisme » (réalisme par nature toujours
réactionnaire et conservateur).
La démocratie est par essence "le
débat" mais même ce débat libre et tolérant est aujourd’hui de plus en
plus mis à mal par des limitations du droit d’expression, de la laïcité,
de la légitimité législative, la délégation de pouvoir vers des
institutions supranationale guère démocratiques et vers des entreprises
privées au nom du néologisme « l’efficience » ou la délégitimation des
contre-pouvoirs ainsi que la monopolisation du débat public pour en
faire un mode de légitimations idéologiques (notamment de l’économie
libérale et de l’écologisme réchauffiste). Le débat est aussi
aujourd’hui escroqué par la formule « on n’a pas le choix », formule
anti-politique qui justifie que les politiciens subordonnent leur
pouvoir et abandonne la politique à l’idéologie économique libérale
présentée nom de droit divin mais « naturel » (c’est à dire irrévocable
car anthropologique et indépassable). Cet abandon et cette subordination
interdit de facto tout débat sur les choix économiques et tous ceux qui
selon l’idéologie libérale (et surtout l’intérêt des dominants) en
découlent.
N.B.
Les détenteurs du Pouvoirs et les Dominants
sont tout comme les assujettis, administrés, dominés et autre sujets
« victimes » de leur position sociale. Mais ils en sont les bénéficiaires.
Ils vivent, de fait, cloitrés dans l’idéologie et les points de vues de
leur caste et presque toujours ils agissent de bonne fois ne pensant
même pas nuire, du moins globalement, à autrui. Ils sont de simple
croyants, souvent, simplement dociles à leur foi. De leur position
sociale, sans un effort difficile à consentir, ils sont incapable
d’accéder au vécu et la réalité des dominés. Cela n’exclut pas la
présence de nombreux sociopathes et psychopathes parmi eux, ceux-ci
étant particulièrement doué et très bien équipés pour d’oblitéré tout
impact affectif sur eux et leurs actions, pour assumer des postes de
pouvoir et de domination.
Il est évident que l’UE a fait tous les mauvais choix vis à vis de la Russie à commencer par soutenir la fausse révolution en Ukraine (fait de la CIA), puis s’opposer à l’autodétermination de la Crimée et son ralliement à l’URSS, son soutient aveugle aux néonazis et corrompu pro-NATO. Le déploiement de missiles et de troupes dans les ex-pays de l’Est. Et plus généralement les engagements débiles successifs de la NATO (souvent en opposition à la Chartes de l’ONU et aux règles internationales) depuis la Serbie, le Kosovo en passant par la Libye jusqu’en Syrie et au Yémen ou encore la Géorgie sans parler du Venezuela.
Plutôt que de faire de la Russie un partenaire, les Européens se sont acharnés à en faire un ennemi. Cela sans raison objective mais avec des raisons psychologiques de la caste dirigeante occidentale qui craint toujours que son hégémonie ne soit contestée.
L’opportunité d’un rapprochement avec la Chine quant à elle semble déjà passée.
Autre erreur colossale par manque total de vision, c’est le refus d’intégrer la Turquie dans l’UE. La Turquie a depuis, comme la Russie, pris une autre direction tournée vers l’Orient.
La caste dirigeante occidentale, dont l’UE, noyée dans son narcissisme impérialiste ne fait que des mauvais choix, à tous, sans exceptions, niveaux, depuis l’entrée dans le XXIe siècle.
C’est la caste dirigeante, repliées sur elle-même et ses certitudes fondées en croyances qui délite l’occident et ses cultures. Pas les peuples.
Il ont mis l’occident dans un tel état que sa chute est déjà en cours et est désormais, pour le bien de tous (sauf des potentats privés et publics occidentaux), irréversible.
Analyse simpliste qui devrait être étayée de façon plus convaincante. reste que de tout temps la pensée dominante a été celle des dominants (cfr. Durkheim), les dominants ayant toujours les moyens de la diffusion des idées, sauf à des instants historiques où les dominés, aux intérêts normalement disparates et souvent pressants, s’unissent. Les dominants, moins nombreux ce qui simplifie l’affaire, eux s’unissent volontiers car leurs intérêts, souvent sur le long terme, sont convergents même quand ils se font concurrence. Ce que dit le Marxisme(notamment) c’est que les dominés (et pas que les ouvriers) doivent s’unir et agir collectivement pour le bien de tous face à une oligarchie qui est unie autour de ses seuls intérêts.
Lorsqu’il y aune gréve, on voit tout de suite la difficulté d’unir les dominés qui ne pensent (par nécessité) qu’à défendre leurs intérêts immédiats. Le problème des dominés c’est leur précarité (relative) réelle ou perçue. C’est ce manque d’unité qui fait que les dominés ne feront jamais rien d’efficace pour réduire cette précarité. Ainsi que depuis les années septante, malgré les promesses successives et continuelles de tous les gouvernements, partout dans le monde, le chômage n’a jamais diminué réellement sauf de manière très conjoncturelle. Le chômage, notamment, sert le système et donc n’est pas prêt de disparaître. Le chômage peut être inexistant ou en forte chute lorsqu’un pays en retard de développement émerge car il est de l’intérêt des dominants d’unir les forces productrices. Lorsque l’économie devient équilibrée c’est à dire quand la production assure les besoins alors nait la société de consommation où le travailleur s’embourgeoise et devient un consommateur servile mû par les besoins de consommations qu’on lui dicte. Le plus grand médiat d’aliénation (dont ne parle pas l’article ci-avant) est la publicité véhicule occulte remarquable de la propagande des dominants. Cet embourgeoisement ôte au dominé toute aspiration politique, remplacée par l’unique besoin égocentrique, auquel il réduit sa liberté. On a alors atteint la servilité volontaire parfaite que dénonçait déjà La Boétie. Les dominés ne se rebellent plus vraiment car la rébellion du dominé implosé est inopérante et laisse la place, sans contrainte, à l’Uberisation généralisée.
Dans cette perspective l’instrumentalisation des prophètes de l’apocalypse et notamment du prétendu réchauffement climatique anthropique apocalyptique sert les dominants à installer plus de précarité perçue et plus d’insécurité. Bref sert à diviser les dominés. De la même manière l’activation des revendications égalitaires sert à mettre dos à dos les citoyens alors que la lutte contre la domination dans toutes ses formes mais dans un seul combat unirait les citoyens et serait beaucoup plus efficace dans ses résultats.
les médiats tout le monde s’en méfie aujourd’hui (surtout depuis qu’il prétendent vouloir chasser les fake news) par contre la publicité tous en raffole et personne ne s’en plaint vraiment. Pourtant ce médiat colporteur (comme le sport) de l’idéologie dominantes nous taxe tous dans notre consommation journalière de façon occulte. Cette taxe cachée permet aux entreprises (les dominants) non seulement de financer ce médiat, mais aussi aux états de s’exonérer, au profit de ces entreprises, de distribuer démocratiquement les subventions aux associations citoyennes États gagnant à ne plus être les taxateurs invétérés tels que les présentent les dominants, ils abandonnent cette prérogative aux sponsoring et autres mécénats des entreprises (les dominants) qui les distribuent selon leurs intérêts et de façon non démocratique. Le sport de compétition qui prône non seulement toutes les « valeurs » des dominants — du profit facile à l’évasion fiscale en passant par la performance, l’exploit, le dépassement de soi, la compétition, la concurrence, l’individualisme narcissique etc...— mais qui a aussi l’effet cathartique de dépenser les pulsions et donc les velléités de révolte est naturellement un secteur d’investissement de prédilection.
Notez qu’il n’y a pas de conspiration et que vraisemblablement, même si sociopathes, il n’y a que très peu de « méchants » patrons. Comme le faisait remarquer Marx les dominants sont autant victime du système que les dominés, ils occupent, malgré eux, quoi qu’il s’attribue, simplement une autre place. Place qui lui est tout autant assignée par le système. Bien sûr cela n’empêche pas d’avoir des comportements sociopathes mais ils sont autant généralisés aux dominés qu’aux dominants comme nous l’avons vu ci-avant. Ce n’est pas un jugement ni une condamnation c’est un fait systémique qui affecte tous les acteurs du système.
On ne peut espérer d’amélioration sans renverser le système. C’est à dire sans une révolution. Non pas une révolte qui est toujours un épiphénomène absolument toujours motivée à la faim (réelle ou symbolique comme pour les Gilets Jaunes) et même si elle peut en devenir le symbole (comme la prise de la Bastille). Une révolution est un changement de paradigmes qui s’imposent et émergent du corps social. Pour se faire, il suffit (mais c’est difficile à atteindre) qu’une masse critique de citoyens prennent réellement conscience des dérives et nuisances du système de domination. C’est la seule issue opérante. Il ne s’agit pas d’être passif mais d’œuvrer à démonter et dénoncer surtout les mécanismes de domination du système et ce autant auprès des dominés que des dominants. Cela sans culpabiliser qui que ce soit car il faut se rappeler que nous sommes tous « victimes » du système (même si certains en profitent) mais surtout parce que nous avons besoin de nous unir et ne devons pas nous mettre dos à dos ce qui ne ferait que soutenir le système, C’est un fameux défit.
Les antifas, contrairement à la légende de la droite, ne sont en rien des gens de gauche bien au contraire c’est une extrême droite qui se cache derrière un anti fascisme apparent.
Les antifas : faux rebelles, vrais collabos
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-antifas-faux-rebelles-vrais-collabos-25136.html
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