@Pierre
Comme l’emploi de « treks » plutôt que randos ? (dans votre présentation)
@Fanny
Merci beaucoup pour votre réponse détaillée.
@Pierre
@Fanny
Et en français ça donne quoi ?
Et un anglicisme de plus et un !
@leypanou
Je ne vois pas pourquoi vous évoquez le projet de loi sur les Infox ?
Asselineau avait dit, avant même l’élection de Tsipras, que strictement rien ne changerait dans la situation grecque. Pire, qu’il serait un larbin dévoué de la Troïka. Il y avait des signes qui ne pouvaient tromper personne, notamment lorsqu’il s’est rendu à Washington prendre ses consignes avant les élections. Ce qui prouve bien l’étroite complicité entre les USA et l’UE qui parlent décidément d’une seule voix : la voix américaine. Ne vous demandez plus qui pilote la Grèce et les autres Etats membres (l’Allemagne étant à mettre à part).
Oh que si !
Il y a bien plus crédible, l’UPR.
Il faut vraiment que la France sorte de ce piège à rats.
Portons François Asselineau au pouvoir le plus vite possible.
Notre homme providentiel, c’est lui.
Le seul en qui nous pouvons croire.
Le seul a être intègre. Le seul à se battre contre l’emprise de l’empire et à nous éveiller aux enjeux considérables que l’on nous cache.
Le seul à dire que l’UE est une volonté américaine en vue de notre annexion aux EU planifiée pour 2015 par le biais du marché unique transatlantique où ils nous imposeront : langue (c’est en bonne voie), culture (aussi), monnaie, politique, guerres, normes et réglementations économiques, industrielles...
Le seul à dire que nous sommes témoins de notre propre colonisation sans qu’aucun média vous le présente ainsi.
Le seul à dire que c’est la fin de notre pays si nous laissons faire.
Le seul à dire que l’Allemagne en n’a rien à faire de la France, que son véritable partenaire est les Etats-unis, que le couple franco-allemand est une duperie (une de plus).
La France est soluble dans l’UE. Nous assistons à sa fonte inexorable jusqu’à sa disparition complète. Tous les autres pays de l’UE le sont aussi (seules l’Angleterre et l’Allemagne auront un traîtement à part).
Voilà le but recherché et qui est en passe d’advenir.
Je ne sais pas pour vous, mais moi, si rien de capital ne se passe à court terme maintenant, tant le temps nous est compté, je crains d’être pris par des crises d’ angoisse de plus en plus fréquentes.
Alors après le réveil : les urnes ou la rue ? Les deux ?
Oui claquons la porte de l’UE, de l’OTAN, de l’Euro... et à jamais !
Reprenons notre indépendance !
Le ton enjoué que l’auteur prend pour nous annoncer un non-événement est pathétique.
Comment peut-on aujourd’hui encore croire à ses salades ? Comment peut-on encore essayer de nous vendre un fédéralisme dont personne ne veut ? Comment peut-on encore vanter une institution de façade d’un grand-tout dictatorial imposé aux peuples européens qui est entrain de les faire crever ?
L’UE nous sera profitable seulement le jour de sa disparition. Espérons que ce jour arrive vite.
Au travail pour en accélérer l’avènement.
« Le recul du poids de l’État dans les décisions collectives est une constante depuis 40 ans. Rien pour l’instant ne semble en mesure d’enrayer cette tendance lourde, laquelle devrait donc conserver, au moins sur plusieurs décennies, son infreinable inertie. »
Ne pensez-vous pas que vous voyez l’inertie rester « inerte » sur un trop grand laps de temps ?
Ne pensez-vous pas que l’effondrement de leur joujou qu’est l’UE, pour moi inéluctable, et pièce maîtresse de leur stratégie, ébranlerait d’une façon durable leur hégémonie ?
Doit-on s’attendre alors à ce que l’ existence de l’UE nous soit imposée par la force, contre notre gré, les amerloques ne pouvant consentir à une telle perte ?
Devront-ils alors s’en prendre physiquement à ses populations pour maintenir leur glacis géopolitique patiemment mis en place depuis la dernière guerre ?
De libérateurs (je commence sérieusement à me demander si c’est le mot à employer) deviendraient-ils nos occupants ?
C’est une bonne nouvelle pour les communes. Les français d’une manière générale y sont très attachés et dans ce cas précis, leur volonté, exprimée par le vote, doit être respectée par les « décideurs » qui ont de plus en plus la très fâcheuse manie de vouloir imposer leur seul point de vue. Ce qui est parfaitement inacceptable.
Pour la préfète, c’est un discrédit total.
Je crois qu’ils sont de plus en plus nombreux, qu’ils soient préfets, députés, sénateurs, ministres, à devoir faire face à une défiance grandissante de la population, voire une exaspération, face à leurs actes, leur absence d’actes, leurs agissements digne du « fait du prince ». A croire que la France leur appartient et qu’ils sont donc en droit d’en faire ce qu’ils veulent. Nous représenterions alors à leurs yeux qu’une entrave à leurs desseins.
Le divorce est consommé.
« Mais il ne faudra plus s’étonner si les partis, souvent qualifiés de “populistes”, qui sont opposés aux institutions européennes montent rapidement dans les sondages. »
Si Jacques Sapir est souvent à suivre dans ses analyses, ses conclusions me laissent perplexe.
L’UE est une machine à broyer infernale et il ne se prive pas de le dire à sa manière mais semble redouter, ou pour le moins avertir, que cela fait le jeux de ceux qui veulent en sortir. Comme si la solution ne se trouvait pas dans le démentellement pur et simple de cette institution dictatoriale.
Il dénonce les outrances devenues illégales de ce monstre tentaculaire mais ne veut pas qu’on lui fasse la peau.
J’avoue ma perplexité.
N’aurais-pas compris ?
C’est la volonté affichée de nous faire disparaître en nous amenant, tel du bétail, à un degré d’américanisation extrème afin que nous nous fondions dans le mondialisme amerloque auquel ils obéissent.
Nos gouvernants veulent aujoud’hui nous confisquer notre langue. Jamais, je n’aurais pensé cela possible. Un peuple sans sa langue n’existe plus. Nous vider de ce que nous sommes, c’est bien le projet qu’ils poursuivent en plus de celui de vouloir marchandiser le savoir, et de ce fait l’interdire à tous ceux qui n’ont ni l’argent ni la maitrise de cette putain de langue étrangère qui aujourd’hui agit comme un formidable outil de domination.
L’anglais, le Round-up qui ne laissse rien derrière lui. Une langue devenue une arme politique, ravageuse, polluante, tueuse.
Et que l’on se méprenne pas sur mon propos, l’anglais en soit n’a rien qui m’horripile, c’est le projet d’asservissement qu’elle porte que je dénonce. Son hégémonie jamais remise en cause par personne comme acceptée par fatalité.
Pour moi, comme pour l’auteur, défendre notre langue c’est le premier acte de résistance que nous devons poser pour continuer à exister. Il y va de nos propres intérêts ainsi que de ceux de la francophonie.
La France qui abandonne sa langue, c’est inconcevable. Et pourtant nous en sommes là.
Je m’adresse à tous les étudiants, les premiers concernés, refusez en bloc, pour votre propre salut et celui de vos familles. Il faut faire échec à ce projet de loi. Si il s’avère qu’elle soit votée, protestez, refusez de suivre cette trahison. Devant l’infamie, notre premier devoir est de désobéir.
Ils dépècent la France un peu plus tous les jours.
Ce n’est plus tenable. Ils sont devenus nos ennemis.
Il est vraiment temps que nous reprenions notre indépendance et notre souveraineté.
Je soupçonne encore les directives de l’UE d’être derrière ça comme de tout le reste. Et aucune opposition de la part des dirigeants de ce pays qui ne sont là que pour mettre en place cette politique de destruction, dociles et zélés.
Le cauchemar continue.
(commentaire posté une autre fois sur l’autre article traitant du français aujourd’hui )
Votre article résume très bien la situation.
C’est la volonté affichée de nous faire disparaître en nous amenant, tel du bétail, à un degré d’américanisation extrème afin que nous nous fondions dans le mondialisme amerloque auquel ils obéissent.
Nos gouvernants veulent aujoud’hui nous confisquer notre langue. Jamais, je n’aurais pensé cela possible. Un peuple sans sa langue n’existe plus. Nous vider de ce que nous sommes, c’est bien le projet qu’ils poursuivent en plus de celui de vouloir marchandiser le savoir, et de ce fait l’interdire à tous ceux qui n’ont ni l’argent ni la maitrise de cette putain de langue étrangère qui aujourd’hui agit comme un formidable outil de domination.
L’anglais, le Round-up qui ne laissse rien derrière lui. Une langue devenue une arme politique, ravageuse, polluante, tueuse.
Et que l’on se méprenne pas sur mon propos, l’anglais en soit n’a rien qui m’horripile, c’est le projet d’asservissement qu’elle porte que je dénonce. Son hégémonie jamais remise en cause par personne comme acceptée par fatalité.
Pour moi, comme pour l’auteur, défendre notre langue c’est le premier acte de résistance que nous devons poser pour continuer à exister. Il y va de nos propres intérêts ainsi que de ceux de la francophonie.
La France qui abandonne sa langue, c’est inconcevable. Et pourtant nous en sommes là.
Je m’adresse à tous les étudiants, les premiers concernés, refusez en bloc, pour votre propre salut et celui de vos familles. Il faut faire échec à ce projet de loi. Si il s’avère qu’elle soit votée, protestez, refusez de suivre cette trahison. Devant l’infamie, notre premier devoir est de désobéir.
Ils dépècent la France un peu plus tous les jours.
Ce n’est plus tenable. Ils sont devenus nos ennemis.
Il est vraiment temps que nous reprenions notre indépendance et notre souveraineté.
Je soupçonne encore les directives de l’UE d’être derrière ça comme de tout le reste. Et aucune opposition de la part des dirigeants de ce pays qui ne sont là que pour mettre en place cette politique de destruction, dociles et zélés.
Le cauchemar continue.
@ Re Pilou Camomille,
Merci pour toutes ces références.
@ Pilou Camomille
Vous avez raison, les livres.
Mais ils ne vont pas aux gens et les gens ne vont pas aux livres.
L’immense majorité d’entre-eux attendent qu’on leur fournisse l’information.
Même la Toile demande une démarche volontaire que beaucoup n’ont pas encore.
@Lebreton
Merci à vous d’être en accord avec moi.
Pour le reste de votre commentaire, vous commettez une grossière erreur quand vous parler de la gauche de Hollande. Elle n’existe pas.
Le problème plus largement est de considérer que le clivage gauche/droite représente encore quelque chose alors qu’il n’en est rien. Aujourd’hui ce n’est plus en ces termes que la politique doit être vue. Ils obéïssent tous à Bruxelles parce qu’ils ont voulu qu’il en soit ainsi.
Ils (gauche et droite) ont remis les clés de la maison France au NOM.
C’est ce que les journalistes ne vous disent pas. C’est pourtant la seule chose à savoir car elle nous fait entrevoir alors les problèmes majeurs qui se posent à ce pays de façon radicalement différente.
La vraie question est : est-on pour la nation ou pour l’empire ?
Si nous sommes pour la Nation, gens de gauche et de droite doivent lutter ensemble.
Il ne peut en être autrement. Comme je l’ai déjà dit sur un autre article il y a quelques temps : on ne demandait pas aux résistants si ils étaient de gauche ou de droite alors qu’il s’agissait de libérer la France. On prenait tout le monde. Il y a des priorités qui nous font mettre nos divergences dans notre poche pour un moment. C’est ce que les Français n’ont hélas pas encore compris grâce à l’habile propagande des journaleux. Voilà pourquoi mon premier commentaire.
Pour moi aujourd’hui le journalisme n’est plus. Il est devenu une gigantesque escroquerie.
Je le résumerai ainsi :
« Radio Paris ment, Radio Paris ment... Radio Paris est allemand. »
Remettez-le dans le contexte actuel et vous conviendrez qu’il n’est plus trop question d’information mais de propagande.
Rares sont les exceptions.
Le Net reste le seul endroit à échapper à cette main-mise de la désinfo calibrée.
Pour mon bien, j’ai coupé radio et télé et ne lis plus la presse. Je n’y trouve jamais ni les bonnes questions et encore moins les bonnes réponses. Jamais !
La presse à la pluralité moribonde, à l’européïsme certain, aujourd’hui je m’en protège peut-être pour ne pas devenir dingue ? tant il y a dichotomie entre elle et moi.
Moi aussi !
Votre calcul vaut 20/20.
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