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L’Orphelinat : laissez-vous hanter

Bienvenue chez les fantômes ! L’Orphelinat, premier film de Juan Antonio Bayona produit par le maître du genre Guillermo del Toro (Hellboy, le labyrinthe de Pan), est déjà le plus gros succès cinématographique espagnol de tous les temps.

2,5 millions de spectateurs espagnols sont déjà entrés dans cet Orphelinat. Le film a raflé cinq Goyas, les César ibériques.

« Il ne faut pas retourner sur les lieux du crime, pardon, de son enfance, raconte lesechos.fr. Laura a passé la sienne dans un orphelinat. Trente années plus tard, elle y remet les pieds, avec son mari et leur fils, le jeune Simon (sept ans). Elle veut transformer l’établissement abandonné - superbe demeure nichée dans les Asturies - en un foyer pour enfants handicapés. C’est sa dette envers la société. Mais, voilà, les orages se succèdent, les portes grincent, les parquets crissent (et chuchotements)... ».

Pour latribune.fr, « ce qui a séduit le producteur Guillermo del Toro, dans L’Orphelinat, c’est la profonde mélancolie et l’ultime rebondissement. "Je suis particulièrement ému par les quinze dernières minutes qui se rapprochent du conte de fées", confie-t-il ».

Libération estime que « ce thriller d’"orphelinat" oublié en proie aux remords, obsession du cinéma ibérique travaillé par la guerra civil, ne commence pas mal. L’esprit des lieux prend corps, avec une névrose palpable ».

Mais c’est après que ça se gâterait...


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Babar

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