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Accueil du site > Actualités > Citoyenneté > On est tous frères (et ta sœur ?)

On est tous frères (et ta sœur ?)

L’antiracisme... La cause est bonne, c’est entendu. Mais entre les creux symboles et les fastidieux poncifs, ne pourrait-on, au moins une fois, la défendre avec une solide argumentation ? Histoire de voir si, par hasard, ça marche mieux que les sempiternels poncifs sirupeux ?

Êtes-vous généticien ? Non ? Moi non plus. D’ailleurs, mes bulletins scolaires peuvent en témoigner : mon niveau en sciences doit probablement égaler le bagage géopolitique de notre first Lady. Et pourtant... j’ai tout comprite !

J’eus l’heur d’assister, voici quelques années, à la conférence qu’un professeur de biologie donnait et dont le sujet portait sur le concept de races. En une heure et trente minutes, l’idée de « race » était définie, disséquée et... proprement renvoyée dans les cordes. Sans exhibition de petite main jaune au revers de la veste, sans geignements caliesques, sans éructations rappeuses, sans trémolos bobos de bon aloi... bref, sans toute cette symbolique si prisée par les indigents d’esprit, lesquels, bien souvent, manient autant l’argument ad hominem que leurs ennemis (souvenons-nous du « Le Pen, porcherie » des Bérus). Argument qui est, rappelons-le, le parent pauvre de la réflexion puisqu’il s’en prend, non pas aux idées, mais à la personne qui les défend. Pardi, en quoi qualifier Le Pen de porc invalide-t-il ses idées ?

Mais ce qu’on peut comprendre de la part de zozos pelliculés ou de guignols à bonnets de laine, le peut-on vraiment de la part de journalistes ?

Peut-on admettre que, sous le prétexte louable d’éveiller les consciences à la lutte contre le racisme, ces messieurs et dames qui pontifient dans le poste s’en tiennent aux happenings comico-tragiques et autres couillonnades à poncifs ?

Nan !

On s’attendrait plutôt, dût-il être réitéré autant de fois que nécessaire pour les mal-comprenants, à un dépiautage en règle du racisme. Quelque chose dans le genre de ma petite conférence, par exemple...

Oh ! Je sais, on m’objectera la question du temps, la nécessité de faire court, de frapper les esprits plus que les consciences... L’antienne de l’efficacité médiatique, quoi.

Ah ! Oui ? Chiche qu’on essaie de faire court et efficace, pour voir ? Ça tombe bien : j’avais justement pris des notes, lors de cette conférence.

Je vais essayer d’être concis, je vous laisse juges...

D’abord ça : la classification des êtres vivants.

Qu’est-ce qu’une espèce ?

Les bases de la classification remontent au XVIIe siècle. On distingue ainsi :

1. un grand ensemble (ex. : vertébrés) ;

2. la classe (ex. : il y a cinq classes de vertébrés. Poissons, amphibiens, mammifères...) ;

3. l’ordre (ex. : les amphibiens avec queue, sans queue...) ;

4. les familles ;

5. les genres ;

6. les espèces.

A partir de ce premier tri, on rassemble, en réduisant de plus en plus le cadre, des animaux ayant pour point commun un grand nombre de caractères (un si grand nombre de gènes en commun qu’ils peuvent se reproduire).

C’est, là, la définition de l’espèce.

Mais cette définition est à affiner, car, si on s’en tient à celle citée ci-dessus, il y a un écueil. En effet, prenons l’exemple de l’union d’un âne et d’un cheval : elle donne naissance à un animal nommé mulet. L’espèce n’est plus ni celle du cheval ni celle de l’âne. De plus, on doit noter que le mulet est stérile.

Par conséquent, il faut affiner la définition de l’espèce.

Ainsi, pour qu’il y ait espèce, il faut que les animaux puissent se reproduire en donnant une descendance féconde !

Or, il se trouve qu’on entend souvent parler de « races », c’est-à-dire d’une classification, à l’intérieur de l’espèce humaine, des populations...

Ceci étant posé, qu’est-ce qu’une race ?

Il importe ici de distinguer l’influence du milieu et le patrimoine génétique.

On appelle « phénotype » ce qui a trait à l’apparence extérieure. C’est-à-dire les caractères modifiables.

On appelle « génotype » ce qui fait partie du patrimoine génétique. C’est-à-dire ce qui n’est pas modifiable.

L’idée de « races » n’a de sens que si elle s’appuie sur le patrimoine génétique, c’est-à-dire sur ce qui n’est pas modifiable dans une catégorie de population classifiée. En effet, la « race » est déterminée par le caractère génétique.

Et il faut souvent se méfier des « évidences » : se fonder sur la couleur de peau pour parler de race ne peut suffire. Ça peut sembler une évidence, mais ça ne l’est pas. Prenons un élément de comparaison : nous croyons, par exemple, pouvoir observer la course du Soleil dans le ciel. Or, c’est la Terre qui est en mouvement (elle tourne sur elle-même). Donc, ce qui semblait une « évidence » astronomique est en fait un leurre. Il en va de même pour ce qui est de la notion de races, voyons pourquoi...

... en considérant maintenant les théories racistes.

L’idée de ces théories, c’est que chaque race humaine possède un caractère génétique spécifique. D’où des différences (qui donnent lieu à des jugements de valeurs). Mais si on parle de « races », il faut le démontrer ! D’abord, on l’a vu, on ne doit pas prendre en compte les caractères phénotypiques (qui ressortent de l’influence du milieu). Donc, il faut concentrer notre attention sur les caractères déterminés par la génétique (les génotypes).

Mais voyons comment sont répartis les marqueurs qui concernent la couleur de la peau. Le constat n’a rien d’extraordinaire :

- en Afrique, les populations ont la peau noire ;

- en Europe et en Asie, elles ont la peau plus claire.

Si on ne s’en tient qu’à cette constatation, on peut considérer qu’il existe des « différences » à l’intérieur de l’espèce humaine, c’est-à-dire « des races ».

A présent, prenons le marqueur de l’intolérance au lactose. Mais précisons auparavant de quoi il s’agit. Le lactose est un constituant du lait. Les nouveaux-nés possèdent dans leur organisme un « équipement enzymatique » qui est capable de dégrader le lactose. Mais certains adultes deviennent intolérants au lactose en grandissant (c’est-à-dire qu’ils ne le supportent plus).

Or, cette intolérance est d’origine génétique (elle dépend d’une protéine qui est « codée » par un gène).

Si on ne s’en tient qu’à cette constatation, on peut considérer qu’il existe des « races » tolérantes au lactose et des « races » intolérantes au lactose.

Oui, mais voilà : la classification d’une race basée sur la couleur de la peau et la classification d’une race basée sur l’intolérance au lactose ne concordent pas ! En effet : lequel de ces deux marqueurs génétiques doit-on choisir pour « classer les races » ? C’est qu’il n’y en pas un qui soit plus pertinent que l’autre !

Et, d’ailleurs, confrontons d’une part la classification de la race par la couleur de la peau et d’autre part la classification par l’intolérance au lactose :

Marqueur couleur : Couleur noire : Afrique / Couleur claire : Europe, Asie.

Marqueur intolérance lactose : Europe (majorité : tolérance) / Afrique et Asie (majorité : intolérance).

Alors ? Comment « classer scientifiquement » les populations alors que l’évidence génétique ne le permet pas ?

Il existe des Asiatiques (peau claire) intolérants au lactose et des Européens (peau claire) tolérants ! Et encore ces populations ne sont-elles pas homogènes : il ne s’agit que d’une majorité dans chacune des populations. C’est-à-dire qu’il existe AUSSI des Asiatiques (peau claire) tolérants au lactose et des Européens (peau claire) intolérants... Et puis, nous n’avons pris en considération que deux marqueurs génétiques : il en existe d’autres, qui augmentent la confusion !

Par exemple, considérons cet autre marqueur génétique qu’est le groupe sanguin, et observons les chiffres de la répartition du groupe sanguin A : peut-on donc, par exemple, tenter de classer leur répartition géographique pour vérifier la théorie des races ?

Essayons :

- chez les populations islandaises, pygmées et hindoues, le groupe A est présent à environ 30 % ;

- chez les populations polynésiennes : à + de 60 %.

Problème : il n’y a pas de regroupement possible par couleur de la peau ! Mais continuons quand même nos tentatives de classification en regardant ce qu’il en est chez deux catégories de populations géographiquement proches l’une de l’autre :

- Amérindiens d’Argentine : 1,5 %,

- Amérindiens du Mexique : 22,5 % !

C’est l’évidence : on ne note aucune correspondance entre les « marqueurs sanguins » et les couleurs de peaux (les « races » donc, pour les racistes).

On peut donc conclure à partir de ce simple exemple que le concept de « races » n’a strictement aucun sens sur le plan génétique !

Enfin, il paraît utile de préciser que la nature n’est pas raciste !

L’idée de « race » est une pure invention de l’homme.

Ce qui différencie l’homme du reste du monde animal, c’est sa dimension culturelle. Et l’un des effets de cette dimension réside dans ce constat : l’homme est capable de modifier la nature.

Et, justement, les « races » (ou plutôt les « variétés ») animales et végétales ont été créées par l’homme. Par exemple, il n’y a pas de berger allemand ni de caniche dans la nature ! Ces deux « races » canines sont le résultat de sélections faites par les hommes au fil des siècles : une « race » ne peut naître que si on a opéré une sélection.

Pour qu’il y ait une « création de races humaines », il faudrait qu’il y ait un très long isolement (environ 2 000 ans) d’une population d’individus : un « isolement sexuel ».

En effet, sur le plan biologique, cela supposerait que le brassage des gènes soit atténué.

On peut donc induire une double conclusion de ce constat :

1. l’idée de « race humaine » est un concept biologique (cela n’existe pas) ;

2. mais l’idée d’ « ethnie » est un concept culturel (il existe bien des ethnies). Or cette idée d’ethnie est souvent assimilée à celle de « race ».

Et puis, quand même, y a une morale à cet exposé : la question du fardeau génétique.

Pour les observateurs scientifiques de la nature, il existe une certitude : la diversité, c’est la survie ! C’est-à-dire qu’on constate par exemple que la « purification » biologique rend les individus plus fragiles aux attaques, des épidémies, par exemple. Ainsi, un chien dit « de pure race » aura plus de risques de développer des maladies qu’un chien dit « bâtard » ! De même, des plants de maïs trop « purement » sélectionnés seront plus facilement décimés que des plants « moins purs » dans un même champ !

La conclusion qui s’impose est donc celle-ci : la nature considère comme un « fardeau génétique » tout ce qui s’oppose au mélange, au brassage de gènes.

Maintenant, permettez-moi une petite question : combien de temps avez-vous mis pour lire cet article ? Cinq minutes ? Dix ? A tout casser. Imaginons alors ce que donnerait pareille démonstration, étalée sur deux heures de plateau télé, à 21 heures et non à minuit, reprise dans les pages des journaux ? Avec croquis à l’appui, explicitations des points délicats, multiplication des exemples...

Pourquoi ne le fait-on pas au sujet du racisme ? On sait le faire : il n’y a qu’à regarder toutes ces émissions sur la santé (la mode est à la mémoire, té !), qui parviennent à drainer un paquet de téléspectateurs !

Pourquoi préfère-t-on s’en tenir aux harangues de bateleurs, aux petites phrases, aux coups d’esbroufe, aux "grotesqueries" qui n’ont jamais persuadé que les convaincus d’avance ?

Comment qu’ils disent, déjà, les bondissants analphabètes ? Ah ! Oui : « Yoh ! Mon frère ! »

Mais non. Non, z’êtes pas mes frères et heureusement parce que je ferais un procès à mes parents si c’était le cas. Z’êtes pas mes frères, mais z’êtes pas non plus d’une autre race.

Ce dont le pékin moyen n’a pas fini de douter, tant qu’on lui brandira une sotte symbolique plutôt qu’une solide argumentation !


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71 réactions à cet article    


  • Gilles Gilles 15 avril 2008 11:35

    Pourtant Lion et Tigre peuvent donner naissance à un tigron. Mais est-il stérile lui aussi ? Ou alors Lion et tigre sont finalement de la même espèce ?


  • Le péripate Le péripate 19 avril 2008 12:07

    C’est surprenant, mais tous les félidés sont susceptibles d’être croisés, tant ils sont proches sur le plan génétique. Avec l’aide éventuelle d’une pipette, car un chat et une lyonne.... Et, je ne crois pas qu’ils soient stériles.

    Un exemple intéressant est fourni par un oiseau (le nom m’echappe) dont la variété est présente sur tout le tour du globe. D’un point, en partant vers l’est (ou l’ouest), toutes les variétés sont susceptibles de se croiser. Mais à l’endroit ou la boucle se referme, c’est fini. On a donc une succession de continuité, qui aboutit à une discontinuité. Amusant, non ?


  • F. 14 avril 2008 15:01

    Vous illustrez particulèrement bien le caractère prophétique des classifications.

    De ce bel héritage d’Aristote, nous avons d’une part construit la capacité de ranger les connaissances trop multiples que nous produisons en disséquant la nature que nous observons.

    Le hic, c’est que classifier, c’est artificiellement segmenter des concepts pour les distinguer.

    Or on peut avoir tendance à oublier, en segmentant, en critérisant les objets appartenant ainsi à une même classe, que ces opérations définissantes restent bien des tautologies, des énoncés de principes premiers nécessaires comme fondations et appuis à un raisonnement.

    Tant qu’on reste dans les ’grandes masses’ d’un système simple et qu’on n’oublie pas qu’on est en train de mener des raisonnements vrais sur des schémas faux (le but est de rendre les choses intelligibles (dans la limite de ce qui est formulable de manière intelligible)), tout va bien.

    Mais quand on a oublié ce postulat implicite de base, on en arrive à vouloir juxtaposer à la réalité complexe - où chaque objet, par la réalité de sa singularité (une conjonction unique et inédite de critères) définit sa propre classe et interagit potentiellement avec tous les autres - une vision arborescente des choses.

    C’est par exemple ainsi que les technocrates ou les idéologues de tous bords projettent une vision (par essence réductrice) de la société, sur la société (la sociétalisation de la société ?).

    Sans rire, la nature est fortement maillée, dans toutes les directions, l’invisible à nos sens prédomine sur le champ limité de ce que nous percevons. La nature n’est pas un arbre de concepts, avec une racine et des branches dissociées qui n’en finissent pas de se ramifier.

    C’est pourtant la vision culturelle de la science en ce début de XXIème siècle.

     

     

     


    • jako jako 14 avril 2008 15:15

      J’ai mis plus de 20 minutes à le lire.... chui de quelle race ?

      Merci pour cette belle démonstration !


      • jako jako 14 avril 2008 15:18

        Ah j’oubliais , la question la plus importante est à la fin bien sûr !

        Pourquoi ce n’est pas diffusé ? Ainsi que certaines démonstrations d’ économie ou de géopolitique ? Comme un article de Forest Ent par exemple ? C’est une excellente question mais qui a la réponse ?


      • poetiste poetiste 14 avril 2008 15:29

         

        Racisme culturel

         

        J’ai écrit sur ce site : racisme et laïcité. Bien sûr que le mot « racisme » appliqué aux hommes ne concerne pas un problème génétique puisqu’il n’y a pas incompatibilité pour la reproduction. Parlons d’inadaptation à admettre la différence culturelle ou de xénophobie. Il y a des légendes fondatrices de certains cultes et de certaines cultures, particulièrement violentes et expansionnistes. Le concept de race est avancé au sein de ces identifications religieuses et culturelles qui, considérant que la vérité leur appartient, ne sont pas ouvertes à l’universalité. Quand une religion ou une culture sont fermées sur elles-mêmes, il est essentiel de percevoir l’aspect instinctif primitif et grégaire qu’elles contiennent. Une population ne peut se détacher de la fiction de sa légende fondatrice, elle en perdrait son identité collective et se déliterait. Tout commence par des idées et une culture se base sur ces considérations aléatoires de l’imagination : on invente un dieu et on reçoit des paroles d’une pythie, de l’ange Gabriel ou je ne sais quelle autre fantaisie ; et voilà tout un peuple fédéré, relié dans la même croyance. Tout se joue sous la tyrannie des instincts de conservation et grégaires que l’on habille de légendes qui font le particularisme de la tribu, lui donnent une identité. C’est un peu comme les identifications IFF « friend and foes ». Donc amis ou ennemis suivant le pays qui nous a vus naître et nous a imprimé sa culture de manière indélébile. Le mot « racisme » n’a pas de sens pour le raison qu’il n’y a qu’une race d’hommes et le mot « religion » n’a pas plus de sens pour la raison qu’il y a plusieurs religions et qu’elles se sont inventé des dieux différents. Quelles aberrations poussent à galvauder ainsi ces deux termes ? Il conviendrait donc de dire aux racistes qu’ils sont d’une intelligence plus qu’indigente et que l’alibi du racisme est d’une tare inavouée qui les rend violents. Il faudrait dire aussi aux religieux extrémistes qu’ils n’ont jamais connu la liberté pour cause d’un endoctrinement qui est comme un tatouage de l’âme. Ils ne sont qu’esclaves et mercenaires du dogme. Avoir une identité culturelle, c’est très bien, mais renier pour elle son esprit critique, sa propre identité, c’est vraiment déléguer ses pouvoirs à une culture sans tenir compte de ses aberrations cultuelles et culturelles. L’homme libre ne dépend ni d’une légende ni d’un comportement mimétique qui le poussent à la phobie de la différence. L’homme libre, c’est Boris Vian quand il chante, dans « le déserteur » : « et qu’ils pourront tirer ». Autant dire qu’il y a très peu d’hommes libres et beaucoup qui hurlent avec les loups. Vous avez dit : « raciste » ? Quel mot absurde ! Il paraît que les instincts, ça se maîtrise. On peut essayer.

        A.C


        • jako jako 14 avril 2008 16:10

          Seb vous ne vous êtes pas suffisament branlé l’intellect avec l’article, nous différons du Japonais pas la couleur et la culture ouala !


        • ZEN ZEN 14 avril 2008 16:20

          Seb 59 nous resort l’argument qu’on trouve dans "Mein Kampf" où un auteur tristement connu nous explique que la différence entre un levrier et un basset permet de comprendre celle qui existe entre un "blanc"(?) et un "noir"(?) : reductio ad animalem.

          .Et voilà comment , par des analogies pseudo-scientifiques, on passe de la différence à l’inégalité et de l’inégalité ,à l’oppression, comme l’avait bien vu Montesquieu

           

           

           

           

           

           

           

           

           


        • Le péripate Le péripate 14 avril 2008 16:29

          Il a un maître en la matière, un certain F. Fyon, qui refaisait le coup il y a peu sur ces fils, avec le teckel qui pleure de ne pas être labrador. Sauf, bien sur, que laissés en liberté, tous les chiens copulent allégrement sans respecter les désirs de pureté de leurs maîtres.

          Au fait, moi je suis fromage compatible...


        • Traroth Traroth 14 avril 2008 19:24

          Pour faire simple, il peut y avoir plus de différence génétique entre deux individus dont *vous* diriez qu’ils sont de la même race (mais qui ont par exemple des yeux de couleurs différentes, ou qui sont l’un gaucher, l’autre droitier ou que sais-je) qu’entre deux individus dont *vous* diriez qu’ils sont de races différentes. Ce qui signifie que, biologiquement, ce concept de race concernant les êtres humains est tout simplement dénué de tout fondement scientifique.

          Après, vous pouvez parler de "branlette intellectuelle" si vous voulez, mais la réalité est là. Et le fait qu’on parle de race depuis des siècles n’y change rien. On a bien parlé de génération spontanée pendant des siècles, jusqu’à Pasteur. Il n’empêche que la génération spontanée, c’est de la connerie.


        • Jocrisse Jacques 14 avril 2008 22:07

          SEB59

          Pas d’article de Morice aujourd’hui. Belle journée, mais ça fait comme un vide.


        • Dame Jessica Dame Jessica 15 avril 2008 09:41

          @ Seb

           

          Des études ?Vraiment ?lesquelles ?je serai réellement curieuse de connaître le nom du diplôme qui sanctionne l’indigence mentale...


        • Dame Jessica Dame Jessica 15 avril 2008 11:16

          @ Jako

          Vous êtes un baume pour l’esprit...C’est un plaisir que de lire vos posts...Merci pour cette bouffée d’oxygène au milieu des émanations fétides qui se dégage de certains commentaires !

          Bien à vous.

           


        • alceste 15 avril 2008 11:36

          @ Seb59

          Seb, supposons que vous partiez en voyage au Japon : vous êtes victime d’ un accident grave( ce que je ne vous souhaite pas ! ) et vous perdez beaucoup de sang...le service des urgences japonaises décide de recourir à la transfusion de sang. Allez-vous vous redresser avec fureur de votre brancard pour interdire qu’on vous inflige du sang "japonais" ?


        • Gilles Gilles 15 avril 2008 11:53

          Seb, comme à son habitude, s’obstine à se focaliser sur les différences visibles telle la couleur de la peau ou les différences culturelles, que ce soit chez les chats ou les hommes. Exactement ce que l’auteur a voulu démonter, ainsi que le ferait tout être suffisament instruit et intelligent de nos jours qui n’a pas été elevé dans la haine permanente de l’autre

          Moi je me sens surement plus proche des gens que Seb considère comme étant d’autres races et sous races, que de cette sale race de sale con crypto fasco à laquelle appartienent tout ceux de sa race ; la différence intellectuelle entre nous est telle que je ne peux considérer que nous soyons de la même race

          En tout cas j’espère qu’il continuera à se branler, histoire d’éviter que sa semence ne contribue à la prolifération de sa race de mou du bulbe. Race qui de toute manière finira par disparaitre du fait de ses moindre possibilités d’adaptation déduite du fait que ces mous du bulbes, jugeant le Monde à l’aune de leurs préjugés et de leur bêtise crasse le comprenent moins et quand ils essaient d’agir dessus font n’importe quoi. Le problème c’est que les sous races races de sales cons, naissent un peu partout spontanément ;. ;on en a pas fini !

          Les cousins de seb, ceux allemands en 1930, gazaient juifs, gitans, prévoyaient de génocider les slaves ...en picolant des bibines se croyant la race la plus forte ! Ils ont presque disparu, s’autodétruisant débilement comme des crétins en voulant envahir et buter tout le monde, 100 fois plus nombreux qu’eux ! Quels vrais cons... ;z’avaient aucune chance !

          Maintenant, ses cousins, issus d’une branche pourrie, mais qui a réussi à muter pour survivre dans le monde contemporain, remettent ça en édulcorant un peu le tout du pire tant qu’ils sont en sous nombre. Mais ils pourraient trés bien, s’ils proliféraient de trop comme des rats, à se mettre à brailler, la bibine et le fingue au poignet , comme des chacals pour exterminer d’autres "races" de météques jugés incapables (musulmans, nègres et autres basanés) . Ces sales cons finiraient par s’en prendre aux 3-4 milliards de gens différent d’eux et comme leur cousins nazis, s’autodétruire...manque de pot, une branche pourrie risque de survivre !

          Donc Seb ne te reproduit pas ! De toute façon tu es une impasse ! Tes decsendants finiront par s’éradiquer eux mêmes


        • Mjolnir Mjolnir 15 avril 2008 12:11

          @Seb

          "Tous les chats sont differents, pourtant ils ont des caracteristiques qui se ressemblent suivant leur race, meme s’ils ont des differerences. bien sur les croisements les attenuent."

          Non, c’est le contraire : le chat "originel" est le chat de gouttière (chat européen), il porte en lui toutes les caractéristiques des chats dit "de race" qui ont été créés par des croisements et qui sont plus fragiles que le chat européen.


        • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 13:49

          Seb, la nuit, tous les chats sont gris !

           smiley


        • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 13:56

          Et voilà comment , par des analogies pseudo-scientifiques [...]

          Je dirais même pseudo tout court moi...


        • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 13:57

          Moi aussi j’ai fait des etudes, moi aussi je connais les genes et l’adn, et l’article n’est qu’un avis subjectif.

          Et vous avez tout lu et tout compris Freud aussi ???!!


        • jako jako 15 avril 2008 16:15

          @Jessica je vous remercie de cette aimable remarque.


        • Goldy Goldy 14 avril 2008 18:24

          J’aimerais me permettre quelques remarques.

          Vous dites :

          "Pour qu’il y ait une « création de races humaines », il faudrait qu’il y ait un très long isolement (environ 2000 ans) d’une population d’individus : un « isolement sexuel »."

           

          Il est pourtant important de noter que la construction de nos civilisations a été faite sur ce shémas. Ça fait pas si longtemps que ça que les populations se meuvent librement à travers le monde. Et jusqu’au siècle dernier, les populations étaient isolées et ne se mélangeaient pas tant que ça, c’est bien d’ailleurs ce qui a permis de donner de si fortes disparités physiques et génétiques entre les civilisations.

          De même que deux animaux d’une même "race" n’ont pas un patrimoine génétique commun (leurs gènes sont différents bien qu’ayant une apparence physique similaire), je ne pense pas que l’argument de la tolérence ou non au lactose soit recevable (une mutation génétique ne remet pas en question un ensemble de critère morphologiques), je reste un peu convaincu que ces théories s’adaptent à l’idéologie égalitariste que vous semblez dénoncer.

          Pour ne pas passer pour un salaud de raciste, je tiens à préciser que le problème n’est pas tant de penser que telle ou telle personne appartiendrait à telle ou telle race, mais bien de penser que telle ou telle race serait suppérieur ou inférieur à une autre. Pour moi, c’est un peu comme si on supprimait la définition du genre féminin ou masculin sous prétexte que les hommes et les femmes sont égaux.

          Bref, je pense de toute façon que le mot "race" n’est pas le meilleurs terme applicable à l’humain, même si je pense qu’un concepte de race existe bel et bien chez nous comme chez n’importe qu’elle espèce animale. Ce n’est pas parce que la race a été un prétexte aux pires comportements de l’humanité qu’il faut nier son existance.

          J’espère avoir convenablement expliqué mon point de vue, et désolé pour les nombreuses fautes d’orthographes.


          • Traroth Traroth 14 avril 2008 19:48

            Il n’y a pas de disparité génétique, justement. Et la séparation entre les civilisations dont vous parlez est une illusion : invasions barbares, conquêtes de nouveaux territoires, des Polynésiens conquérant toutes îles du Pacifique dans des barques, les Celtes conquérant l’Europe, du Bad-Würtemberg à la Galicie, Alexandre traversant l’Indus, l’Empire romain du Golfe persique aux portes de l’Ecosse, les Scythes, Attila, les Sarrasins, les Vandales, les Francs, les Alamans, les Goths, les Angles, les Saxons, les Burgondes, Gengis Khan, les Vikings remontant le Rhin, descendant le Dniepr, conquérant le Groenland ou Terre-Neuve, les Inuits circulant tout le long du cercle polaire arctique, les Croisades, la poussée arabe vers le nord et vers l’Europe, les grands explorateurs européens et chinois, la conquête du bassin méditéranéen par les Ottomans, les colonisations...

            On vous parle de 2000 ans d’isolement, dans l’article. Vous les casez où ?


          • fouadraiden fouadraiden 14 avril 2008 18:34

            "L’idée de « race » est une pure invention de l’homme"

             

             pas tt-à -fait ou précisons alors de quel type d’homme ns parlons et surtout de quelle culture il s’agit.

             

             c’est l’ Occident qui a inventé cette histoire de hiérarchie raciale . il est donc pas étonnant de voir aujourdhui encore les Noirs américians ,pour ne prendre que cet exemple significatif, et ttes les minorités non occidentales vivant en parmi les héritiers des droits de l’homme patir encore de cette fumeuse hiérarchie.

             

             ns ns débarrasserons de la race et de ses implications ( faites pour avantager les Occidentaux partout où ils se trouvent) le jour où l’ Occident cessera d’influencer le monde de sa vision héritée de son histoire et pas avant.

            on a encore probablemenbt une centaine d’années à subir le racisme occidental

             à suivre donc...


            • Pierredantan Pierredantan 14 avril 2008 18:51

              Jules Cesar était-il raciste ?

              Ah, les races et le racisme... Ils ont été inventés tous les deux en même temps voici environ 100 ans comme le dit Seb59. La race fut alors l’alibi douteux de l’explication de la suprématie de certains peuples sur d’autres. On sait où cela mena. Funeste époque.

              Aujourd’hui, c’est beaucoup mieux, car on parle surtout de racisme, plus tellement de race : "raciste" c’est l’anathème terrible lancé à ceux là même que vous voulez détruire. A écouter les médias, il s’agit d’une maladie connue de l’Homme Occidental, entendez "blanc" qui voit des races partout comme support de sa haine de l’autre. 

              L’Africain, l’Arabe où l’Asiatique eux, ne voient pas de races, ils ne peuvent donc être racistes : ils ne voient que des peuples, expression utilisée déjà par Jules César, que nos média traduisent intelligemment par "éthnies". Du coup le terme et son sens en deviennent quasiment fréquentables : on parle alors de luttes ou massacres inter-éthniques, de gouvernement éthnique, de préférence éthnique etc. C’est comme le racisme mais sans l’anathème et la mise au ban de l’humanité. Pas totalement irréprochable, mais bon, pas loin. Fantastique non ?

              Donc, les Africains ne peuvent être racistes. Et pourtant, qui accepterait au XXI siècle la politique d’un Mugabé s’il était blanc, à l’encontre des blancs, s’ils étaient noirs (faut suivre) ? Personne. Idem pour les Chinois avec les Tibétains. Idem pour les Japonais avec les Coréens etc... Et ne parlons même pas des Indiens d’Inde qui ont eux un système de caste bien mieux fichu qui leur permet de faire l’économie du racisme.

              Aux origines

              Cette haine de l’autre n’est en fait motivée que par les émotions basiques que l’Humain traine derrière lui depuis sa descente de l’arbre originel : faim, peur, envie, ignorance. N’allez pas chercher plus loin. Et cette possible haine de l’autre sera amplifiée par tous les phénomènes de regroupements connus : territoire, famille, dogmes (politiques, religieux) et rendue affreusement efficace par l’industrialisation des moyens de destruction.

              Alors, OK, ne parlons plus de races, elles n’existent pas. Du coup, cessons également de parler de racisme et admettons que l’Homme Occidental, le Blanc, n’est pas mieux loti que ses cousins d’Afrique, d’Asie et d’ailleurs lorsqu’il s’agit d’accepter l’étranger. Personne n’est dupe.

               


              • Dalziel 14 avril 2008 19:45

                "La race fut alors l’alibi douteux de l’explication de la suprématie de certains peuples sur d’autres."

                Mais non. Le sentiment de suprématie vient de l’image que les "autres" ont donné d’eux-mêmes.

                Que s’est-il passé, en Afrique, à partir du XVe-XVIe siècle ?

                Les explorateurs ont découvert des peuplades qui vivaient à cul-nul, qui avaient une sexualité débridée, qui se faisaient la guerre et se bouffaient entre eux, et enfin, c’était très important à l’époque, qui ne connaissaient pas Dieu...

                Ils ont tiré des conclusions. Nous aurions tiré les mêmes ! Soyons sérieux, et un tout petit peu honnêtes... Il n’y avait pas d’alibi douteux !


              • Traroth Traroth 14 avril 2008 20:00

                "Les explorateurs ont découvert des peuplades qui vivaient à cul-nul, qui avaient une sexualité débridée, qui se faisaient la guerre et se bouffaient entre eux, et enfin, c’était très important à l’époque, qui ne connaissaient pas Dieu" : Votre ignorance est vaste, visiblement. En Afrique, par exemple, il y avait des villes, de l’artisanat, bref une civilisation. Et par charité, je ne parlerais pas des civilisations précolombiennes. Mais les gens comme vous ne peuvent pas démordre de leur propagande "la colonisation apporte la civilisation"...


              • Dalziel 14 avril 2008 20:50

                Mais les gens comme vous ne peuvent pas démordre de leur propagande "la colonisation apporte la civilisation"...
                 

                Ah non. La civilisation ne s’apporte pas. La civilisation est le produit d’une identité culturelle et elle n’est pas transposable à ceux qui possèdent d’autres identités culturelles.

                C’est d’ailleurs pour cela que la colonisation s’est cassée la gueule.

                Donc, vous vous trompez complètement sur ¨"ma" propagande.


              • Dalziel 14 avril 2008 20:52

                En Afrique, par exemple, il y avait des villes, de l’artisanat, bref une civilisation.

                Là où elle existait, ce n’était pas partout, elle n’a pas été perçue comme telle, preuve qu’elle n’est pas aussi évidente qu’on essaie de nous le faire croire aujourd’hui, pour les besoins de la cause antiraciste...


              • Dame Jessica Dame Jessica 15 avril 2008 10:40

                @ Dalziel

                Je ne doute pas que VOUS ussiez tiré des conclusions aussi erronnées que discutables...Tout est question de profondeur de vues et de discernement et comme malheureusement vous semblez aussi dépourvu de l’un que de l’autre, qu’attendre d’autre de vous si ce n’est les inepties ordinaires dont vous semblez si riand ?

                 


              • Traroth Traroth 15 avril 2008 12:22

                @Dalziel : Et bien, exposez clairement vos opinions, ça évitera de jouer aux charades.


              • Dalziel 15 avril 2008 17:07

                Et bien, exposez clairement vos opinions

                Mon opinion est toute simple, c’est que les gens d’il y a cinq siècles, ne disposaient pas des faramineux microscopes de l’Albert pour aller traquer l’inexistence des races humaines dans l’infiniment petit...

                Et, donc, qu’on peut difficilement leur reprocher quoi que ce soit...

                Dame Jessica (Fletcher ?),

                Puis-je vous recommander la lecture de Boileau-Despréaux. A une époque où on ne connaissait pas encore l’exsitence des races humaines, il a établi, ce qui n’a pas pris une ride, que :"

                Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
                Et les mots pour le dire arrivent aisément


              • Dame Jessica Dame Jessica 16 avril 2008 13:12

                @Dalziel

                Je vous remercie mais j’ai déjà eu le plaisir de lire l’ouvrage dont vous faites mention...

                Pour ma part, je vous recommande la (re)lecture des tous les humanistes de référence, vous verrez c’est trés instructif, vous y gagneriez certainement les qualités qui vous font défaut ;

                Bonne journée


              • Dalziel 14 avril 2008 19:00

                Cet article est inutile, et son principal intérêt est d’’être beaucoup long à absorber qu’un exposé de l’ineffable Albert, parce que j’imagine que c’est de lui qu’il s’agit.

                La couleur est l’élément visible, auquel tout le monde se laisse prendre, mais complètement superficiel, qui dissimule le facteur fondamental de rejet de l’"autre" : le facteur culturel.

                Un exemple, un seul :

                L’exode urbain des petits blancs, qui a abandonné les banlieues aux populations que l’on sait, n’était pas lié à la couleur des nouveaux venus, mais à leurs mœurs, leurs habitudes, leurs manières, leurs us, leurs coutumes et, in fine mais in fine seulement, à leurs tronches, par exaspération…


                • Jocrisse Jacques 14 avril 2008 21:38

                  Dalziel,

                  Je suis d’accord avec vous.

                  J’ai eu plusieurs collègues magrébins et africains, plutôt de bon niveau, dont nous ne remarquions absolument plus la couleur de peau, pour la simple raison qu’ils avaient adopté des comportements en tous points identiques aux notres.

                  En revanche, ceux qui veulent conserver leurs habitudes de vie (sans parler de culturel) et les imposer à leurs voisins déclenchent ces situations de rejet.

                  Pour modérer celà, je reconnais que nous possédons de fameux "bourrins" gaulois qui ne font pas dans la finesse sur ce sujet.

                   


                • Dalziel 14 avril 2008 23:41

                  « J’ai eu plusieurs collègues magrébins et africains, plutôt de bon niveau, dont nous ne remarquions absolument plus la couleur de peau, pour la simple raison qu’ils avaient adopté des comportements en tous points identiques aux notres. »

                  Ça ne marche toutefois qu’à condition qu’ils restent minoritaires dans le groupe. Autrement, ils retrouvent, entre eux, des marques d’appartenance communautaire et ils les cultivent, au détriment de leur processus d’intégration. Intégration qu’ils ne souhaitent pas forcément, d’ailleurs.

                  « En revanche, ceux qui veulent conserver leurs habitudes de vie (sans parler de culturel)…  »

                  Quand je parle de culture, c’est au sens large, qui va de l’alimentation à la langue, de l’attitude envers les femmes aux goûts musicaux, de la façon de se vêtir à la perception des liens familiaux, du rôle de la religion aux structures mentales… Toutes ces choses qui distinguent les peuples les uns des autres.

                  « … et les imposer à leurs voisins déclenchent ces situations de rejet. »

                  Je pense plutôt, mais c’est peut-être ce que vous avez voulu dire, qu’ils ne prétendent imposer leurs habitudes à leurs voisins, mais qu’ils leur infligent les effets collatéraux de leurs habitudes.

                  « Pour modérer celà, je reconnais que nous possédons de fameux "bourrins" gaulois qui ne font pas dans la finesse sur ce sujet. »

                  Oui, mais eux, ils sont chez eux, et ils tiennent à le faire savoir à ceux qui, phénotypiquement, n’y sont pas, ou apparemment pas…
                   


                • plume plume 14 avril 2008 19:15

                  Vous admettez que chez les animaux les races sont des sous ensemble des espèces

                  mais que chez l’homme ça n’existe pas .... oui pourquoi pas , mais l’homme est un animal

                  vos exemples prouvent que le sang et les maladies ne sont pas un sous ensemble de notre espèce , mais bien un point commun BRAVO

                  si vous preniez la peau , la forme des yeux ,les cheveux ,le grain de peau, la morphologie ,etc ... là vous risquez de trouver des groupes, que l’on appelle (excuse moi de l’expression ) : des races

                  et je ne trouve pas que ce mot est un gros mot.

                  dans votre bouche (ou sous votre plume) cela semble être la pire des choses .

                  mais c’est bien grâce à ces différence que l’être humain à pus survivre jusqu’ à vous.

                  Chaque groupe a su se développer en fonction de son environnent et au fil des SIÈCLES( oui si vous regarde sur les 100 dernières année vous n’allez pas trouver grand chose).

                  je ne vois pas non plus pourquoi les gens devraient être identique et égaux

                   

                  je trouve cela d’une grande hypocrisie de dire cela et ce genre de fausse bonne idée à toujours était très bien exploité par les dictateurs et les extrémistes (les facho , les communismes, les religions etc ... ) qui ont su faire gobé ça à une bande de C...S sans cervelle .

                   

                  il faut admettre les différences , les forces et les faiblesses des gens pour les connaître et pour savoir se connaître .

                  autre chose aussi "

                  le racisme occidental"
                  le fait d’être con et borné n’est pas propre aux occidentaux
                  les autres peuples de cette planète ont démontrés leur grandeur dans ce domaine
                  la chine (dans le passé , et un peu aujourd’hui ) , l’afrique , l’amerique , les pays arabes tous ont mis leur petite pierre sur l’édifice de la conneries humaine


                  • Traroth Traroth 15 avril 2008 12:27

                    Désolé, mais certaines réalités scientifiques sont incontournables : biologiquement, la race n’a pas de sens, quand on parle des humains. Point final.

                    J’ajoute que, si on peut considérer que la race est un sous-ensemble de l’espèce, c’est un sous-ensemble artificiel, issu de la sélection faite par l’homme : Il y a des races de chien, de chat, de cheval ou de vache, mais pas de lion, de gazelle ou de loup.


                  • plume plume 15 avril 2008 13:36

                    le probleme est que même si il est artificiel , cela existe


                  • claude claude 15 avril 2008 16:40

                    @ traroth,

                     

                    les "races" d’animaux domestiques sont artificielles, puisqu’elles découlent de l’action de l’homme sur les caractéristiques de l’animal originaire pour développer ou faire disparaitre certaines caractéristiques :

                    Autres sous-espèces [modifier]

                    Cette classification du chien et du dingo tend à s’imposer actuellement, en concurrence avec les anciennes dénomination qui étaient respectivement Canis familiaris et Canis familiaris dingo ou Canis dingo. Cela en fait des sous-espèces du loup.

                    l’homme a sélectionné telle ou telle caractéristique afin que les animaux qu’il élevait aient le plus de chance de survivre et donc de garantir la fonction qui lui avait été dévolue.

                    dans la nature, on retrouve cette même sélection, et la diversité des gazelles, lions, loups, tigres le prouvent.

                    fr.wikipedia.org/wiki/Photo-guide_taxinomique_du_monde_animal


                  • Traroth Traroth 15 avril 2008 12:29

                    "L’éducation du Sud", ça veut dire quoi ? La plupart de gamins qui disent ce genre de choses sont nés en France, je vous signale.


                  • Traroth Traroth 15 avril 2008 14:04

                    J’ajouterais que les gamins ayant des parents d’origine européenne, mais vivant dans les mêmes quartiers que beaucoup de gamins ayant des parents d’origine étrangère, n’ont pas vraiment de meilleurs manières. Que pouvez-vous en conclure ?

                    Moi, j’en conclue que le problème n’a rien à voir avec les origines et tout avec l’environnement social. Les ghettos créés dans les années 70, on en paie les conséquences encore maintenant. Cela dit, rien n’a été fait pour améliorer les choses depuis...

                     


                  • alceste 16 avril 2008 11:20

                    @ Aegidius REX

                    Croyez-vous vraiment que l’éducation "du Nord" ait autant de vertus ? Croyez-vous vraiment que l’"Occidental" puisse donner des leçons d’humanisme aux peuples "du Sud" ? Si tel est le cas, je vous invite à consulter un article du "Telegraph", datant du 28/03/2008. Regardez bien la photographie qui accompagne l’article de Rosa Prince. C’est l’un des visages du "choc des civilisations".

                    (j’ajoute ,au cas où vous penseriez qu’il s’agit d’un journal altermondialiste, que le "Telegraph" est un des derniers quotidien de qualité de la presse anglaise, et qu’il est de tendance conservatrice.)

                    http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2008/03/27/wmod127.xml

                     


                  • gloagf 15 avril 2008 09:29

                    Bonjour Guerra,

                    Tu montres ta frustration sur le fait que ta démonstration scientifique de l’inexistance des races (tout-à-fait justifiée) n’est pas diffusée correctement. Je suis d’accord avec toi pour les médias, mais il y a 5-6 ans, j’étais en terminale S, et cette démonstration faisait partie du programme, on y passait quelques temps pour dire en gros tout ce que tu as résumé. Alors je ne sais pas si les autres filières en parlent, mais les étudiants lycéens scientifiques sont à jour !

                    Bien à toi

                     


                    • docdory docdory 15 avril 2008 11:51

                       @ Guerra 

                       

                      Impeccable et irréfutable démonstration . Et qui permet de définir le racisme comme l’opinion erronée de quelqu’un qui croit à l’existence de races . Cette nouvelle définition permet de voir que le racisme est essentiellement la manifestation d’un raisonnement pré-scientifique . Il ne s’agit donc pas de stigmatiser les racistes , ce qui est contre-productif , mais de leur faire acquérir un esprit scientifique .

                      Cette nouvelle définition a également pour avantage de combattre intellectuellement les extensions abusives du concept de racisme telles que " le racisme anti-religieux " , extensions abusives qui aboutissent à des revendications de rétablissement du délit de blasphème , par exemple .


                      • Gilles Gilles 15 avril 2008 12:17

                        Tout d’abord, vous semblez vous étonner que ce genre d’argumentation solide ne soit pas médiatisée suffisament. Pourtant ces arguments sont largement enseignés, de long en large, du moins chez les élèves arrivant au moins au bac

                        Je crois plutôt que ces arguments n’ont pas de prise chez un certains nombre de nos concitoyens qui préfèrent consciemment ou non voir et appuyer sur les différences entre les humains pour expliquer les propres limites, difficultés et défaillance de leur "peuple" face aux autres ; ils leur faut un autre à attaquer, culpabiliser, incriminer. Et mettre tout un peuple dans le même panier, dans les mêmes cases est un raccourcis intellectuel facile à prendre pour les neuneux et facile à exploiter pour les populistes

                        Le racisme n’est d’ailleurs presque plus basé sur les traits physiques (indéfendable, justement par cet enseignement dont vous parlez) mais est devenu culturel.

                        Exemple, Sarkozy lors de son discours de Dakar a pointé l’infériorité des africains, non pas parce qu’ils sont noirs mais du fait de leur culture qui les empêche de s’adapter au monde moderne. Voici encore 100 ans, le seul argument de la couleur de leur peau suffisait à les qualifier de race inférieure ; Maintenant çe ne suffit plus à convaincre mais il faut travailler sur le comportement, issus de leur culture.

                        Autre exemple, se sont les musulmans qui sont considérés par certains comme inférieurs et non les arabes ou perses ou turcs. On passe de la "race" au comportement encore (religieux cette fois, religion qui les enfermerait dans une infériorité d’adaptation)

                        Juste un commentaire sinon

                        ""Pour qu’il y ait une « création de races humaines », il faudrait qu’il y ait un très long isolement (environ 2000 ans) d’une population d’individus : un « isolement sexuel »."

                        Si c’était le cas les amérindiens, isolés depuis au minimum 10 000 ans (voir plus) seraient devenus une race à part entière. Il faut beaucoup, mais beaucoup plus de temps. Il me semble que les néandertaliens se sont différenciés de l’homo sapiens à partir de l’homo erectus à l’issu de dizaines de milliers d’années de séparation...et encore on est même pas sûr que les croisements étaient impossibles

                         


                        • docdory docdory 15 avril 2008 12:51

                           @ Gilles 

                           

                          Ce que vous dites est un exemple de l’extension abusive du domaine du racisme , tel que ceux que j’analysais dans mon précédent peuple . En effet , chaque culture à ses points faibles et ses points forts , il n’est donc absolument pas raciste de dire que certains aspects de certaines cultures ou de certaines religions sont un frein au progrès dans certains pays . Mustafa Kemal Atatürk l’avait bien compris à son époque , et entreprit les réformes nécessaires . Malheureusement son oeuvre de progrès est en train d’être détruite par le gouvernement turc actuel ...


                        • docdory docdory 15 avril 2008 12:52

                           @ Gilles 

                           

                          C’est " précedent post " que je voulais dire , pardon pour cette coquille !


                        • docdory docdory 15 avril 2008 12:54

                           @ Gilles 

                          Mais peut-être soutiendrez-vous que Mustafa Kemal Atatûrk pratiquait une forme de racisme , selon votre extension abusive de définition ?


                        • Gilles Gilles 16 avril 2008 10:25

                           

                          Doctory

                          Mustafa Kemal Atatûrk fut un visionnaire pour faire entrer la Turquie dans le XXem siècle, notamment en ce qui concerne la promotion de la laïcité. Pour le nationalisme exacerbé et l’abandon de l’alphabet arabe par contre je ne suis pas sûr que se fût une si bonne idée. Mais bon c’est plutôt aux turcs de faire leur inventaire, pas à nous.

                          Bref,  je ne vois pas le rapport avec mes propos...franchement. Vous dîtes ;

                          En effet , chaque culture à ses points faibles et ses points forts , il n’est donc absolument pas raciste de dire que certains aspects de certaines cultures ou de certaines religions sont un frein au progrès dans certains pays

                          Encore faudrait-il être d’accord sur le sens de progrès. A t-il le même sens pour les autres que pour nous ? Certainement pas, notre définition du progrès n’est pas universelle. Et d’ailleurs parle t-on de progrès technologique, humain, développement durable ? Polluer la planète à mort est ce un progrès ? Travailler plus pour gagner plus est ce un progrés ? L’Africain qui par nature jamais  ne s’élance vers l’avenir, refuse le progrès et dont l’idéal de vie est d’être en harmonie avec la nature (cf discours de Dakar) crée en fin de compte peut être moins de dégâts que l’occidental pour qui la fuite en avant par le progrés , pour le progrés est la raison même de son existence. Comme quoi le mot progrès est difficilement définissable précisement et juger les autres selon notre définition du concept de progrés n’est pas raciste, mais crétin et condescendant.

                          Le racisme c’est d’amalgamer à l’aune de vos préjugés toutes les personnes dont vous décidez qu’elles ont des traits physiques communs mais aussi telle culture, telle religion. Dire que l’islam est rétrograde n’est pas racistes, que l’on soit d’accord ou pas, mais assurer que les musulmans sont rétrogrades, sous entendu le fait d’être musulman ou juste d’avoir un nom ou un faciès qui vous rappelle l’islam  suffit à vous classer ainsi….ça c’est du racisme, qu’il soit haineux ou condescendant

                           

                          J’ose espérer que vous voyer la différence....beaucoup trop ne la font pas !


                        • foufouille foufouille 15 avril 2008 12:19

                          le terme de race a plutot tendance a recouvre le sens de difference externe

                          le probleme est plutot de savoir a laquelle on appartient : hitler etait un petit brun aux yeux de cochons. selon sa propre doctrine il etait donc un untermenschen et aurait du se suicider. ce qui montre bien la connerie du raciste

                          ensuite les racistes ne se limite pas a une race generalement mais a tout ceux differents d’eux memes. dans notre cas les races rousses, blondes ou chatains ont ete absorbes comme les nains et geants

                          de plus il y a 13000a, avant que les glaces fondent, l’europe etait recouverte de glaciers. les blancs, arabes, noirs vivaient obligatoirement dans la meme zone restreinte


                          • gnarf 15 avril 2008 12:25

                            Vous demandez pourquoi ce genre de demonstration n’est pas diffuse dans les medias ?

                            Parce que sur tous ces problemes, les gens ont leur certitude. Vous pourrez leur expliquer n’importe quoi ils seront surs que vous essayez de leur faire prendre des vessies pour des lanternes.

                            Ceux qui sont ouverts et tolerants le sont deja avant. Ceux qui sont obtus le restent...les demonstrations, pas plus que les bons sentiments ne font changer d’avis les gens. Dans le meilleur des cas ca les renforce dans leur certitude.


                            • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 13:55

                              C’est-à-dire qu’on constate par exemple que la « purification » biologique rend les individus plus fragiles aux attaques, des épidémies, par exemple.

                              On trretrouve d’ailleurs une analogie semblable en informatique : en utilisant le même système d’exploitation (par ex. Windows mais l’ex fonctionne avec tout système d’exploitation) partout dans une infrastructure, on multiplie les chances de compromission car la même faille du même système se retrouve partout (et il y en a dans tous les systèmes d’expl. sans exception). Donc pour faire tomber l’infrastructure, il suffit d’appliquer la même méthode à toutes les machines ayant ce système.

                               smiley


                              • foufouille foufouille 15 avril 2008 15:35

                                mauvais exemple

                                les os comme windows sont proprietaires et remplis de faille de securite reparable uniquement par microsoft. au moins 3000 pour XP. en plus microdaube installe au depart des backdoors pour espionner les utilisateurs


                              • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 15:56

                                Mon analogie ne s’appplique pas qu’à Windows. Il existe des failles dans tous les OS, donc si on construit une infrastucture basée sur un seul système, même s’il n’a qu’une faille, il suffit d’exploiter cette unique faille sur tous les postes.

                                Il n’était pas question de troller sur windows, même si je suis d’accord que les politiques de mise à jour des logiciels propriétaires en général sont foireuses. Il est clair qu’un parc linux ou unix maintenu correctement par un/des administrateurs consciencieux sera plus fiable qu’un parc windows où les mises à jour sortent une fois par mois par pincée de correctifs, à la bonne volonté de l’éditeur.

                                Mais revenons à nos moutons...

                                 smiley


                              • Dolores 15 avril 2008 14:03

                                Notre esprit aime couper les cheveux en quatre et à compliquer ce qui devrait être simple.

                                Il n’existe qu’une seule race : la race humaine.

                                Nous descendons tous ( 6 millards et 1/2 de personnes) d’un tout petit nombre d’individus.Nous avons donc les mêmes gènes qui se sont combinés .

                                La couleur de peau n’est que le signe de l’adaptation au mileu qui s’est déroulée sur des millénaires.Selon le lieu où les populations vivaient, elles ont développées un taux de mélanine différent.

                                Tous le reste n’est que balivernes et préjugés sur l’infériorité, que nous souhaitons, des personnes en face de nous.

                                Ce que je vient de lire dans certains commentaires me rappelle les livres de géographie des années 40-50 où on expliquait les "races" : les "blancs" civilisés, beaux et intelligent, les "noirs sauvages et enfantins aux cheveux crépus et grosses lèvres, (pas beaux) incapables de se diriger eux-même (sans les blancs), les "rouges" (indiens des USA) peinturlurés féroces et inhumains, les "jaunes" aux yeux bridés (pas beaux non plus)sournois et barbares.

                                Il serait temps que les "blancs" beaux et civilisés se montrent intelligents et admettent les preuves scientifiques.

                                Nous sommes donc tous Frères ou pour le moins cousins.


                                • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 16:37

                                  Ce que je vient de lire dans certains commentaires me rappelle les livres de géographie des années 40-50 où on expliquait les "races" : les "blancs" civilisés, beaux et intelligent, les "noirs sauvages et enfantins aux cheveux crépus et grosses lèvres, (pas beaux) incapables de se diriger eux-même (sans les blancs), les "rouges" (indiens des USA) peinturlurés féroces et inhumains, les "jaunes" aux yeux bridés (pas beaux non plus)sournois et barbares.

                                  Ah ! C’était donc ça les études de Seb59, des vieux livres poussiéreux de sa grand-mère qu’il a retrouvé dans son grenier... Je me disais aussi.

                                  J’ajouterais que, vu les exploits réussis par notre civilisation occidentale (à savoir de nombreux génocides, l’utilisation de bombes nucléaires, puis de bombes à sous-munitions, puis de munitions à l’uranium appauvri qui polluent durant des millions d’années elles-aussi, ...), nous ferions mieux de faire le canard en matière de sauvagerie et de barbarie.


                                • foufouille foufouille 15 avril 2008 17:30

                                  moi aussi on m’appris des conneries de cure. mais j’ai evolue. par contre certains reste ds les vieilles BD ou le gentil cowboy se fait agresse par des mechants indiens qui refusent de donner leurs terres a des gentils liberalistes...... ah c’est vrai que c’est aujourd’hui ca....


                                • Nobody knows me Nobody knows me 15 avril 2008 14:05

                                  @Seb, Aegidius, Dalziel

                                  Putain mais y a toute la clique, bonne mère !!

                                  Vous avez pas un article de morice à lapider vous ??!!


                                  • foufouille foufouille 15 avril 2008 15:40

                                    le seul interet des races est l’adaptation a des crires specifiques (soleil). si une race isolee finit par devenir degenere pour cause de trop grandes ressemblance genetique, le resultat d’un metissage total finirait longtemps apres par etre identique. les "bons" genes seraient selectionnes mais pas les mauvais qui pourraient luttes contre epidemie malgre leur inconvenients


                                    • foufouille foufouille 15 avril 2008 16:10

                                      il y a donc interet a garder un juste milieux. meme les trisomiques devraient faire des momes. un metissage partiel permettraient de gagner de nouvelles capacites mais interdirait a cette nouvelle race.........

                                      bon de toute maniere nous avons 98% de genes en communs avec le chimpanze....donc les 2% represente 1 humain. mais le reste c’est quoi ? je me bat pas pour 2 centimes

                                      de toute maniere les gens comme moi sont uniques et donc forcement superieur


                                    • foufouille foufouille 15 avril 2008 21:26

                                      les racistes ont eut pour une fois......ils se sont sauves


                                    • Cartman 16 avril 2008 22:45

                                      Les arguments de l’auteur, aussi rationnels et justes qu’ils soient, ne convaincront pas les racistes.

                                      Leur xénophobie est basée entre en grande partie sur l’illusion que le territoire de leur pays leur appartient, et donc qu’un étranger, en passant la frontière, viole leur propriété. Cela est plus particulièrement frappant concernant les génération précédentes pour qui la xénophobie avait pour cible les italiens, les portugais, avec qui les différences physiques ne sont même pas mesurables.


                                      • foufouille foufouille 17 avril 2008 13:44

                                        pas pour ceux que j’ai rencontre.. x a ete emmerder petit ou a vecu une injustice, Y est en concurrence avec des types qui bossent plus que lui pour moins cher.......

                                        vision deforme des choses


                                      • Gilles Gilles 17 avril 2008 10:09

                                        Franchement

                                        Tous les posts postés hier aprés midi sur deux trois articles ont disparus ce matin. Ces quoi ces conneries ?


                                        • libre dissidence 19 avril 2008 09:48

                                          Un nettoyage @ thnique !!!


                                        • libre dissidence 19 avril 2008 09:47

                                           

                                          "Si on ne s’en tient qu’à cette constatation, on peut considérer qu’il existe des « différences » à l’intérieur de l’espèce humaine, c’est-à-dire « des races ».

                                          Ou plutôt des sous espéces c’est pas parce que l’on a des études ’’limites’’ que l’on doit modifier l’ordre de ces arguments a volonté pour établir des faits en modifiant des ordres et classements biologiques.

                                           


                                          • frédéric lyon 19 avril 2008 12:45

                                            Il est vrai que toutes les races humaines descendent d’un petit nombre d’individus, et donc.............

                                            Donc quoi ?

                                            Toutes les races canines descendent elles aussi d’un petit nombre d’individus et pourtant ces quelques individus ont donné, après des milliers de générations, plusieurs genres de Canis lupus et plusieurs types de Canis lupus vulgaris.

                                            Que celui qui ne voit aucune différence entre un Loup gris du Canada et un Chihuahah me jette la première pierre. Et la branche des Canis lupus est apparue sur Terre depuis au moins deux ou trois millions d’années.

                                            Tandis que l’espèce Homo sapiens sapiens n’est apparue sur Terre que depuis cent cinquante mille ans environ. Un temps qui a été pourtant suffisant pour que les premières différentiations apparaissent au sein de cette nouvelle espèce au hasard des mutations génétiques.

                                            Il est dores et déja impossible de pratiquer des transfusions sanguines entre deux membres de notre espèce pris au hasard. Pensez-vous que c’était déja le cas il y a cent cinquante mille ans ?

                                            Alors ?

                                            Est-ce que le fait qu’on puisse encore croiser un Chacal d’Afrique avec un Coyotte du Texas vous sauvera du désastre logique dans lequel vous vous enfermez en prétendant que la pression sélective s’est arrêtée de jouer sur toutes les espéces vivantes le jour de l’apparition de Homo sapiens sapiens ?

                                            Pourquoi ce serait-elle arrêtée brusquement ?

                                            Les differences génétiques entre deux humains portent tout au plus sur 0,1% de leurs génomes. Vous me direz que ce n’est pas beaucoup. Certes.

                                            Mais les différences entre les génomes du Chimpanzé et celui d’un Homme ne portent que sur 2 à 3% de leurs nucléotides, et celà suffit pour que changions non seulement d’espèce, mais de genre dans la classification des espèces vivantes :

                                            Homme moderne = Homo sapiens sapiens

                                            Chimpanzé = Pan troglodytes


                                            • foufouille foufouille 19 avril 2008 16:49

                                              sapiens sapiens remonte a 30000a avant il y avait l’homme de neanderthal jusqu’il ya 200000a

                                              il ont coexister durant 170000a. sapiens a toutefois exister en meme temps pour ce que l’ont sait. on peut trouver des ancetres jusqu’a 4Ma. certains ont trouver des bipedes de 20Ma.

                                              personne ne sait quel etait leur couleur ou race.

                                              les anthropologues modernes ne considerent plus nos ancetres comme des singes mais comme des hommes peu different de nous.

                                              l’histoire de la "naissance" en petit nombre en afrique/eden a ete cree, comme l’homme des cavernes, par des "scientifique" tres chretien.

                                              les fouilles recentes ds les autres continent montre des vieux fossiles hominides. c’est donc pas sur du tout qu’on soit "nes" a un seul endroit.

                                              ce qui n’empeche pas qu’on se ressemble entre nous que des chiens.......


                                            • Dolores 19 avril 2008 19:24

                                               

                                              @ Frédéric Lyon

                                               

                                              Quelles sont donc, à votre avis l’étendue des différences génétiques, qui vous séparent vos deux parents ?

                                              Représentez-vous une sous espèce de la leur ? Car il est probable que ces différences représentent plus de 0,01 %. comparées à chacun des deux.

                                              Sachant que nous sommes plus de 6 milliards d’individus parmi lesquels aucun n’est identique à un autre, ou les espèces ou les races n’existent pas, chaque individu étant une race à lui tout seul.

                                              En dehors de l’apparence physique, il y a moins de diiférences génétiques entre le chihuahua et le loup que vous le supposez !


                                            • Le péripate Le péripate 19 avril 2008 19:52

                                              On a fabriqué certaines races par des croisements consanguins extrêmement proches : les dalmatiens, les chihuahuas, les cockers, parmi les chiens, sont des créations artificielles de populations presque composées de clones. Évidemment, les populations humaines, au sein desquelles les gens se marient librement et sans assortir leurs caractères physiques et génétiques, ne correspondent pas du tout à cette situation.

                                              Concernant les groupes sanguins, si l’on étudie la distribution des groupes sanguins dans les divers peuples et les diverses races humaines, on constate qu’il y a entre celles-ci des différences, mais que nulle part elles ne sont telles qu’on puisse identifier la race et le groupe sanguin. Dans tout peuple, on trouve côte à côte des individus de caractères anthropologiques très voisins, et appartenant pourtant à des groupes sanguins différents. Ce qui, par contre, peut être caractéristique des peuples et des races, c’est le pourcentage des individus des divers groupes sanguins : c’est donc simplement un résultat statistique. Ainsi les Indiens d’Amérique, les Philippins, les Esquimaux appartiennent en grande majorité au groupe O, et très peu aux trois autres. Les Européens occidentaux, par contre, comptent une grande proportion d’individus A, mais en ont peu de B. Le type le plus riche en individus B englobe, les Hindous, les Chinois du nord, les Mandchous et les Tziganes


                                            • foufouille foufouille 19 avril 2008 21:39

                                              pour la genetique il faudrait deja savoir a quoi servent les genes.....un pourcentage ne veut rien dire si cette difference englobe des poils ou pas......ou des griffes.......le chimpanze peut etre aussi bien notre ascendant comme il pourrait etre le descendant d’un de nos ancetres degeneres

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