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Accueil du site > Actualités > Economie > Hausse du carburant : le mouvement de protestation des marins-pêcheurs (...)

Hausse du carburant : le mouvement de protestation des marins-pêcheurs s’étend

Cela fait maintenant plus d’une semaine que les marins-pêcheurs sont en grève, attendant une aide du gouvernement pour faire face à la hausse du carburant. Chaque jour de nouveaux ports sont bloqués, comme celui de Lavera dans les Bouches-du-Rhône qui a vu son accès fermer lundi.

De plus en plus de ports bloqués face à la hausse du carburant

Les marins-pêcheurs sont en colère et ils le font savoir. Cela fait plus d’une semaine qu’ils bloquent l’accès aux ports pour protester contre la hausse du carburant et faire réagir le gouvernement. Les principaux ports touchés par les barrages sont ceux de La Rochelle, de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et des Sables-D’Olonne sur la côte Atlantique. Mais la colère s’étend aujourd’hui à la Méditerranée ; le port pétrolier Lavera, dans les Bouches-du-Rhône, a vu son accès bloqué lundi matin.

D’autres marins se mettent également en grève dans le Pas-de-Calais, tout comme à l’île d’Yeu en Vendée, au Croisic en Loire-Atlantique et à l’île d’Oléron en Charente-Maritime.

Un plan d’aide de 310 millions d’euros pour faire face à la hausse du carburant

D’autres ports attendent également la réunion qui doit se tenir mercredi 21 mai avec le ministre de la Pêche, Michel Barnier. Un plan d’aide du gouvernement de 310 millions d’euros en trois ans pour les pêcheurs français y sera examiné. Michel Barnier a précisé qu’il examinerait « avec les responsables professionnels les conditions dans lesquelles les quinze mesures du plan ont été mises en œuvre sur le terrain et les adaptations éventuelles à lui apporter ». Dans un communiqué, il rappelle également « les engagements pris » par le gouvernement en janvier dans le même contexte de hausse du carburant. Le ministre du Budget, Eric Woerth, a affirmé que « les aides promises » à ce moment « seront versées ».

Le blocage face à la hausse du carburant durera « au moins jusqu’à mercredi »

Mais, selon Pascal Leclerc, président du Comité des pêches de Saint-Malo, de nombreux bateaux qui ne se déclarent pas en grève ont cessé toute activité par manque de rentabilité. Selon lui, les charges de gazole représentent aujourd’hui « la moitié du chiffre d’affaires » d’un navire de 15 à 20 m.

Gérard Mesly, pêcheur mandaté sur le dossier gazole par le syndicat des marins d’Arcachon, réclame quant à lui « la mise en place de cours planchers » du poisson afin de répercuter le coût du gazole. Selon Pascal Guénézan, un organisateur du mouvement à La Rochelle, le blocage durera « au moins jusqu’à mercredi ».

Nombreux sont ceux qui estiment cependant que les marins-pêcheurs ne sont pas les seuls touchés par la hausse du carburant et ne devraient donc pas être les seuls à bénéficier du plan d’aide du gouvernement. Les professionnels du tourisme en mer ou sur la Seine à Paris sont également concernés, comme les bateaux-mouches, les services publics Voguéo ou encore les bateaux proposant des croisières sur la seine… Une grève aura-t-elle lieu sur le réseau fluvial français ?


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19 réactions à cet article    


  • tvargentine.com lerma 20 mai 2008 11:18

    Curieux quand même de voir des professions ultra individualistes et demander l’aide de la solidarité !

    Et demain,les automobilistes vont demander aussi des aides pour se déplacer en voiture ????

    Il faut arrêter ce comportement égoiste qui consiste toujours à demander des aides de l’Etat uniquement pour permettre à des petits patrons egoistes qui ne pensent à eux et rien d’autres

    Ce n’est pas l’Etat qui fixe le prix du gasoil c’est les marchés

     


    • Vincent 20 mai 2008 17:16

      Ce matin j’entendais sur RTL, le ministre de la pêche entre autres, qui parler des aides mais qui est passé très vite sur les marges des intermédiaires.

       

      Il me semble que le problème essentiel se situe à ce niveau, un pêcheur interroger expliquait  que si on lui payer 2 e de plus le kg des produit de sa pêche, il vivrait correctement, on lui achète en moyenne à 5 ou 6 € le kg et on retrouve ce même kg entre 18 € et 25 € le kg suivant les étals.

       

      Je veux bien admettre qu’il faille intégrer les coûts de transport et autre frais, mais bon quand même cela fait une augmentation de 200%.

       

      Si les grossistes décidaient un peu de réduire leur marge sans impacter sur le prix final, je pense que cela serait profitable pour toute la profession.

       

      En ce moment le poisson va être rare, donc il va augmenter c’est l’effet de la loi de l’offre de la demande.

       

      Si ça augmente trop ben cela sortira du panier moyen des consommateurs, donc la demande baissera et les prix d’achat aussi, ce qui plombera encore plus les comptes de nos amis marins.

       

      Alors est-ce qu’il s’agit là d’une façon déguiser de réduire les quotas de pêche ou en tout cas de les faire respecter, car nous savons tous que pratiquement aucun pêcheur ne les respectent.

       

      Enfin, si les pêcheurs non rentables finissent par  mettre leurs bateaux en calles sèches, seuls les gros armateurs résisteront.

       

      En fait en ce moment quoi que l’on fasse il vaut mieux avoir les reins solides pour résister à la conjoncture économique organisée par notre gouvernement qui pour finir rappeler ce matin par la voix se son ministre Barnier, qu’en fait il ne pouvait pas faire grand-chose, mais que c’était avant tout Bruxelles qui autoriserait les éventuelles subvention.

       

      Ou en d’autre termes, si on vous aide, ce sera grâce à nous, et on vous laisse crever ce sera la faute de Bruxelles.

       


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 20 mai 2008 18:20

      Concernant les prix des grossistes et des distributeurs, il ne faut pas oublier qu’il s’agit ici d’une denrée fortement périssable, avec des coûts de stockage (chambre froide) très élevés, et des risques d’invendus importants.


    • Sylvain Poirier Sylvain Poirier 20 mai 2008 11:46

      Effectivement, la non-rentabilité d’un secteur aussi fondamentalement privé étant l’expression du marché, n’a nullement de droit légitime à des subventions pour continuer comme si de rien n’était.

      Si le prix du carburant augmente, c’est que l’offre ne peut plus suffire à répondre à la demande dans les conditions de prix précédents. Cela exprime la nécessité de réduire la consommation de carburant pour parvenir à un rééquilibrage. Alors continuer à subventionner la demande de carburant indéfiniment est une course à pleine vitesse dans le mur, non seulement de la pénurie de carburant et de son envolée des prix qui engloutirait une quantité indéfiniment plus grande de subventions qu’on ne peut pas fournir (les caisses de l’Etat étant vides), mais aussi du péril climatique lié aux émissions de CO2, pour ne pas parler du danger de disparition du poisson.

      La seule aide qui serait honorable vis-à-vis de l’intérêt de tous, c’est une aide structurelle à la reconversion des marins-pécheurs vers d’autres métiers plus rentables, afin notamment d’entraîner une hausse du prix du poisson permettant à ceux qui restent de vivre (je ne dis pas de vivre confortablement, sinon personne ne voudrait se reconvertir).

      Qu’est-ce que c’est donc que ce blocage psychologique qui enferme les marins-pécheurs dans l’idée qu’ils n’auraient qu’un seul choix, celui de continuer le même métier toute leur vie et exiger d’en vivre ?


      • Tintin Tintin 20 mai 2008 14:54

        Outre l’aide à la reconversion qui dépasse le cadre de la pêche, l’Etat peut, sans avoir à céder face à ceux qui réclament des subventions, chercher à comprendre pourquoi les marins-pêcheurs ne parviennent pas à répercuter leurs coûts, pour ensuite éventuellement appliquer la loi.


      • tmd 20 mai 2008 12:56

        Le problème ne vient pas de la seule augmentation du prix du gazole. Il vient de la combinaison de deux facteurs : l’augmentation du prix du gazole et la non augmentation du prix de vente. Parce qu’après tout, si les pêcheurs vendaient leur poissons plus cher, ils n’auraient pas de problèmes pour payer le gazole, et ils en seraient les premiers contents.

        Comme le prix du poisson est lui aussi soumis au marché (il y a des criées pour cela), j’en déduis qu’il y a trop d’offre de poisson par rapport à la demande. La conclusion logique de cela, c’est que pour que les prix du poisson augmentent, if faut qu’il y ait moins de poisson à vendre, et pour cela il faut qu’il y ait moins de pêcheurs.

        Finalement, le fait qu’une partie des pêcheurs ne puissent plus continuer à faire ce métier, et qu’une partie des bateaux de pêche parte à la casse me semble être une solution naturelle. L’autre solution serait d’aller pêcher avec des bateaux à voile ...


        • geko 20 mai 2008 13:23

          La loi du marché n’est elle pas tronquée par une position oligopolistique des acteurs de la distribution ? J’écoutais sur France Inter ce matin : un poisson vendu 34 centimes le kilos par le pêcheur se retrouve à 12 euros le kilo à l’étalage ! La répartition de la marge me semble plus que déséquilibrée d’autant plus que le pêcheur engage des frais avec la probabilité de revenir les filets vides !


        • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 20 mai 2008 17:33

          Les marins pêcheurs sont confrontés à plusieurs problèmes :

          Une règlementation étouffante : Quand des technocrates se réunissent pour définir la taille des mailles des filets, la longueur des chaluts, les périodes de pêche, il est normal que ces mêmes pêcheurs crient "à l’aide" dès qu’ils ont un problème.

          A coup (à coût ?) de subvention, le marché de la pêche est complètement biaisé. Cela crée un concurrence déloyale vis-à-vis des élevages marins : Il est abérrant, qu’au XXI ème siècle, nous soyons encore et toujours dans une économie de cueillette et de prédation ! Mais tant qu’il sera impossible d’être propriétaire d’une zone maritime, qui voudra investir dans une ferme marine ? Et les ressource halieutiques continuerons a baisser, les pêcheurs à s’enfermer dans leur dépendance vis-à-vis de l’Etat, et à rouspéter dès qu’il y aura un grain.

          Le prix du pétrole augmente, les marins manifestent. Le temps est à l’orage, les maraichers vont-ils manifester ?

          Notre ministre interventionniste annonce des aides. Pourquoi un pétrole détaxé pour les marin-pêcheurs, pour les transporteurs, pour les agriculteurs, et pas pour les taxis, pour les VRP, pour les livreurs ???, voire pour les vendeurs de barbe-à-papa et les équilibristes-jongleurs ?

          Sans compter qu’une fois ces aides distribuées qu’adviendra-t-il ? Pas grand chose. Donc, dans six mois ou un an, le même scénario se reproduira !

          Enfin, la question de la grande distribution provient aussi d’une réglementation imbécile qui oblige à vendre. Un producteur ne peut pas refuser de vendre. Pourquoi ? Parce qu’un Enarque quelconque l’a un jour décidé. Et tant pis si cela provoque la ruine des producteurs.

          Quand il y a une règlementation, cela profite TOUJOURS au plus fort.

          Donc, nous sommes encore et toujours dans un système où c’est le pouvoir de nuisance qui gouverne : Si vous pouvez nuire à un maximum de gens, vous pourrez bénéficier de privilèges. Sinon, vous n’aurez qu’a vous écrasser et payer les privilèges des autres.

          Avec les subventions à l’agriculture nous avons désertifié certaines régions de France, nous avons scandaleusement enrichi quelques céréaliers, et nous affamons l’Afrique. Avec la politique de la pêche, le même shéma se reproduit.


        • geko 20 mai 2008 19:23

           

          Vous faites bien de souligner que les subventions n’ont profités qu’aux grosses entreprises agricoles et non aux agriculteurs. De manière corollaire la FNSEA favorise les semenciers de la mort, tout est lié dans ce business !

          Pourtant je pense que l’Etat doit rester maître des règles concernant le monde agricole si ce n’est pour préserver notre autonomie alimentaire et une alimentation qui ne soit pas une menace pour notre santé.

          L’Etat et l’Europe font-ils leur boulot correctement, le lobbying et les copinages ne pervertissent -ils pas la donne ? Si les invendus existent, ils ne font pas couler l’hyper ou la chaîne qui les distribue et encore moins la multinationale de l’enseigne, tout au moins la marge monstrueuse diminue. J’ai envie de dire que les pêcheurs en entrant dans le système de la grande distribution ont détruit leurs ressources et se sont fait bouffer leurs marges par des gens qui ont pour seul métier de faire de la marge !


        • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 21 mai 2008 10:49

          @ geko

          [par des gens qui ont pour seul métier de faire de la marge !]

          Connaissez-vous quelqu’un qui ne travaille pas pour gagner sa vie ? Vous, peut-être ?

           

          Faire de la marge est indispensable, vital même. On ne peut donc reprocher à personne de vouloir faire de la marge.

          En revanche, se sont les rentes de situation, les privilèges, les copinages, les passes-droit qui sont à critiquer. Bref, tout ce qui est induit par la multiplication des règlementations. Dans un marché libre, l’acheteur a autant de pouvoir que le vendeur.


        • TSS 20 mai 2008 13:16

          voir sur agoravox l’article "le cabillaud marche sur la tete" les interventions de ar brezonneg ,lui même marin pecheur,il ny a pas d’autre commentaire à faire

          c’est marrant ces gens qui crachent sur les chomeurs et rmistes(fainéants assistés)et sur tout ce qui a trait à l’etat 300 jours par an et dès qu’ils ont un pet de travers pleurnichent des subventions.


          • lharmas 20 mai 2008 13:32

            Lorsque les scientifiques ont commencé à leur dire qu’il fallait y aller mollo sur nos ressources, ils n’en avaient que faire et ont continué à joyeusement se gaver, c’était le cas à l’époque.

            Ils paient aujourd’hui leur individualisme et leur irrespect pour le milieu naturel qui les fait vivre.

             


            • MagicBuster 20 mai 2008 13:58

              Priez pauvres pêcheurs . . .


              • Bulgroz 20 mai 2008 15:50

                “ Les professionnels du tourisme en mer ou sur la Seine à Paris sont également concernés, comme les bateaux-mouches, les services publics Voguéo ou encore les bateaux proposant des croisières sur la seine… Une grève aura-t-elle lieu sur le réseau fluvial français ? “

                Donc vous estimez que tout ce qui roule sur l’eau devrait bénéficier d’allégements fiscaux ?.

                Pas d’accord.

                Ces professionnels ont des clients directs à qui ils proposent des services. A eux de répercuter la hausse des carburants dans la limite de que le marché leur permet d’accepter.

                Pour les pécheurs, il en va différemment.

                Les pécheurs sont victimes d’un mode de vente de leur production archaïque héritée de l’époque où on ne conservait pas le poisson dans des chambres froides. La vente à la criée, immédiate, au retour du bateau et sans possibilité de discuter le prix, à des intermédiaires, les mareyeurs.

                Certains pécheurs (en particulier les pêcheries armement/conserverie) conservent leur poisson et ne passent pas par la criée. Le prix du fuel dans ce cas est bien répercuté sur le produit fini.

                Il faut donc,

                soit, réformer la vente à la criée en stockant la production dans des coopératives.

                taxer les ventes à la criée en reversant la taxe collecftée auprès des maréyeurs aux pêcheurs.

                 


                • Bulgroz 20 mai 2008 18:03

                  Dans le cadre du plan Barnier, il a été instauré depuis le début d’année, une taxe de 2% sur les ventes de poisson dans la grande distribution (les petites poissonneries sont exemptées comme les coquillages).

                  Cette taxe s’ajoute à la taxe à la criée (1,5% à Quiberon par exemple) qui est destinée à financer le concessionnaire de la criée.

                  Depuis l’instauration de cette nouvelle taxe, les prix du poisson ont baissé de 7,7 % sur les trois derniers mois (Insee Mai 2008).

                  Cette nouvelle taxe est destinée à financer le plan Barnier dont le surcoût du Fuel et la rénovation des moteurs soit 80 millions par an.

                  En Alaska, patrie du poisson où le fuel marine coûte 0,50 Euro le litre, il y a plusieurs taxes payées part ceux qui achètent du poisson à un pécheur :

                  Fisheries Business Tax
                  Fishery Resource Landing Tax 
                  Seafood Marketing Assessment
                  Salmon Enhancement Tax
                  Dive Fishery Management Assessment

                  La « fisheries business tax » varie entre 3% et 5%.Cette taxe est payée par l’acheteur de poisson sorti bateau., le produit de cette taxe est reversée pour moitié aux pécheurs et pour moitié à la communauté. Il est vrai que les USA sont la patrie de la simplification : la déclaration mensuelle de ces taxes poisson fait 32 pages !!

                  La chute des prix du poisson en France est largement due aux importations, malgré la hausse des prix du fuel qui, je suppose, s’applique à tous de la même manière. On peut se poser des questions de savoir pourquoi du poisson aussi concurrentiel arrive en France.

                  En tout état ce cause, c’est au consommateur de poisson à payer le sur coût du fuel, de la même manière que c’est au touriste de payer le sur coût de la ballade sur la Seine.

                  Ce n’est pas à l’Etat ( la collectivité) de payer ces surcoûts.

                   


                • nebari 20 mai 2008 18:03

                  les pêcheurs des autres pays de la communauté ne sont pas en grève.

                  Est-ce que le diesel serait moins cher chez eux.

                  Je ne pense pas étant donné qu’il est déjà détaxé pour les pêcheurs.

                  Alors ???


                  • impots-utiles.com 20 mai 2008 19:11

                    On peut comprendre la colère des pêcheurs, l’inflation touche tout le monde !
                    et ce n’est pas prêt de s’arreter...
                    le prix du lait et des pâtes a augmenté jusqu’ a +49% en à peine trois mois... et les salaires ont eux augmenté de +1,1% pour la même période...
                    croyez vous sincèrement que la loi de modernisation de l’économie permette de mettre un frein à la flambée des prix ??

                    http://www.impots-utiles.com/insee-hausse-des-prix-pour-la-periode-20072008.php


                    • TSS 20 mai 2008 20:19

                      la reponse est NON.car le Gvt a occulté l’arme absolue des distributeurs(toutes tailles confondues)le dereferencement !!

                      quel est l’industriel ou le producteur qui acceptera d’être dereferencé pendant 1 an parce qu’il ne se sera pas plié au bon vouloir de la centrale d’achat(il y en a 5) ? reponse :aucun !

                      un referencement se prepare d’une année sur l’autre en serrant les fesses et priant que personne ne soit moins disant que vous !!

                      d’ailleurs une grande enseigne a deja prevenu danone que si il alimentait le hard discount (Aldi,Lidl) à des prix preferentiels il serait dereferencé chez eux


                      • impots-utiles.com 22 mai 2008 19:59

                        et ce n’est pas pret de s’arranger pour les pecheurs... le prix du baril vient de dépasser le seuil des 132 dollars, avec de nouveaux risques sérieux d’inflation !

                        http://www.impots-utiles.com/cours-du-petrole-le-baril-a-depasse-les-132-dollars.php

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Marie24


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