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« Les vrais patrons ! » sont derrière les rideaux – Quatre traités inégaux

Quatre monstres commerciaux (quatre traités de libre-échange) sont en cours de négociation (ou a été paraphé) par les guignols politiques aux ordres de leurs patrons.

Les quatre Accords de libre-échange

Les électeurs sont invités à sélectionner la clique électoralistes (Libéral, Parti Québécois, CAQ, UMP, Socialiste, Front de Gauche, Conservateur, NPD, Républicain, Démocrate, Travailliste, etc.) qui obtiendra l’insigne honneur d’administrer les affaires de l’État policier des riches, pour le bénéfice exclusif des riches. Pendant ce temps, « Les vraies affaires ! » se négocient en catimini dans l’antichambre des parlements et dans les suites d’hôtels luxueux à l’insu de ceux-là mêmes – politiciens – qui demain seront forcés d’entériner ces traités inégaux ayant une grande incidence sur la vie des salariés (1).

Quatre monstres commerciaux (quatre traités de libre-échange) sont en cours de négociation (ou a été paraphé) par les guignols politiques aux ordres de leurs patrons. Ces accords ont pour noms : Accord de partenariat transatlantique (APT), qui, même s’il ne concerne directement que les États-Unis et l’Union européenne, aura des conséquences majeures au Canada-Québec via l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en vigueur depuis 1994 (2). Accord économique et commercial global entre l’Union européenne et le Canada (AECG), le Trans-Pacifique Partnership (TPP) et Accord de libre-échange Canada Corée du Sud, le quatrième fils de Belzebuth sorti des manigances des négociateurs cachés derrière des entrées fermées (3).

L’Accord de partenariat transatlantique (APT)

L’APT, inspiré de l’Accord multilatéral sur les investissements (AMI), révèle la revue Coup/Rage (4), est en négociation depuis juillet 2013 entre les États-Unis et l’Union européenne. Ce sera un sommet dans le domaine de la dérèglementation ! L’objectif des négociateurs patentés est de contourner les réformes mises en place par les gouvernements américains et européens suite à la crise des subprimes de 2007-2008 (5). On se rappellera que ce montage financier, de type Pyramide de Ponzi, imaginé par les banquiers de la JP Morgan, consistait à mettre en marché boursier des « actifs » toxiques, amalgames de prêts hypothécaires sulfureux ; approuvés comme placements sécurisés par les agences de notation américaines (Moody’s, Standard and Poor’s), filiales des banques étatsuniennes qu’elles sont chargées de surveiller (6). Ce sont ces « actifs » toxiques que la Caisse de dépôt et placement du Québec acheta par milliards et avec lesquels elle « évapora » 40 milliards de dollars des épargnes des salariés québécois (7).

Accord commercial global entre l’Union européenne et le Canada

Cet accord (AECG) réglementera plusieurs secteurs économiques, le commerce des biens et des services, les investissements, la protection des investisseurs, l’attribution des contrats publics, la mobilité de la main-d’œuvre, les charges sociales. Selon le premier ministre Stephen Harper, cet accord aura plus d’impact sur la vie des Canadiens que l’ALENA en a eu depuis vingt ans (8). L’AECG renferme l’article 11 de l’ALENA, ce qui signifie que les administrations canadiennes des niveaux fédéral, provinciaux et municipaux doivent renoncer à une partie de leur souveraineté et abandonner leur juridiction à une Mission commerciale internationale (9). Cet accord économique inégal, avec la mise sur pied de tribunaux servant à protéger les droits des entreprises privées canadiennes et européennes, mettra l’ensemble de l’économie canadienne sous le joug des corporations qui ont initié des recours judiciaires pour l’abrogation du salaire minimum obligatoire, ou contre la limitation d’émissions de gaz toxiques (Pérou), sans manquer d’autoriser les exactions de l’industrie minière internationale où le Canada est un joueur majeur (10).

Tous les partis politiques canadiens, y compris les partis bourgeois québécois, ont applaudi à cette mise sous tutelle du droit financier, minier, commercial, social canadien et québécois. À la lumière de ces accords supra nationaux importants et contraignants, tous auront compris que les velléités sécessionnistes dites frauduleusement « indépendantistes » d’une fraction des bouffons de la bourgeoisie québécoise sont risibles et nuisibles. Ces balivernes pseudo « souverainistes » sont avancées tandis que l’on soumet l’économie québécoise aux diktats de la concurrence internationale sauvage. Cette bataille sécessionniste rétrograde et réactionnaire voudrait placer la classe ouvrière à la remorque des capitalistes québécois. Ces turpitudes sécessionnistes dilapident les énergies ouvrières et détournent la colère étudiante et populaire des luttes de résistance quotidienne contre les politiques d’austérité, et des combats pour la conquête du pouvoir d’État par le prolétariat. Malheureusement, la signature de pétitions de protestation, les manifestations pacifiques, les sit-in devant les places boursières ne suffiront pas à faire reculer les apparatchiks politiques, sous-fifres du grand capital.

Trans-Pacifique Partnership

Cet accord est un traité de libre-échange qui vise à intégrer les économies de la zone Asie-Pacifique. Ce traité regroupe déjà Brunei, le Chili, la Nouvelle-Zélande et Singapour, auxquels veulent se joindre les États-Unis, l’Australie, le Canada, le Mexique, le Japon et le Pérou. Les États-Unis sont anxieux de se joindre à ce regroupement avant que la Chine, sa principale rivale commerciale, n’y adhère, de façon à négocier férocement les conditions d’adhésion des Chinois. Les États-Unis espèrent ainsi mieux se positionner pour conserver leurs parts de marché dans cette région développée. Ce dernier avantage ne concerne qu’un certain nombre de produits ciblés (avionnerie, automobile, armement, énergie, prospection, technologie des communications), les États-Unis étant incapables de subvenir à leurs besoins domestiques dans nombre de secteurs de production. Ce sont les plus grands importateurs de la planète et depuis 1970 leur balance commerciale est lourdement déficitaire. En 50 ans, depuis 1960, l’importance du commerce extérieur étatsunien a chuté de 571 % dans le PIB national, un revers économique important. Sans compter que la balance des paiements courants (incluant les transferts de capitaux) est déficitaire depuis 1982, ce qui signifie que depuis trente ans le rapatriement des profits des multinationales monopolistes a cessé de compenser pour le déficit commercial gargantuesque (11).

Ce sont ces faits commerciaux qui entraînent l’effondrement de la monnaie américaine et non pas les tribulations de la monnaie étatsunienne qui amène la destruction de l’économie de ce pays. Il en est de même pour la zone euro, ce n’est pas la monnaie commune qui pose problème aux pays du marché commun et qui entraîne la crise européenne. C’est la dégénérescence de l’économie, l’ouverture des frontières à la concurrence étrangère à l’intérieure de l’Espace Schengen qui entraîne les problèmes monétaires et sociaux dans toute la zone euro. La monnaie n’est qu’un outil, un instrument économique – si l’économie s’effondre – la monnaie s’effondre – jamais l’inverse.

« Les effets de ce traité (TPP) sont multiples : favorisation de la délocalisation d’emplois, pression pour importer la nourriture et diminuer les normes d’étiquetage, limitation de la liberté sur Internet, prolongation de la durée des brevets des médicaments (donc augmentation des frais, donc plus de risques pour la santé), permission aux entreprises de poursuivre les pays qui entravent leur accumulation de profits et, bien sûr, dérèglementation des marchés financiers » (12).

L’impérialisme canadien est très actif dans cette région du globe comme l’atteste la signature de l’Accord de libre-échange Canada Corée du Sud en mars 2014, éliminant, une fois en vigueur dans un an, pratiquement tous les tarifs douaniers entre les deux pays, la Corée du Sud s’étant engagée à en effacer 81,9 % dès le premier jour de son application tandis que le Canada a promis d’en retirer 76,4 %. D’autres droits de douane nécessiteront des dizaines d’années avant d’être complètement éliminés (13).

Cependant, il ne faut pas se fourvoyer, ce que les oligarques (et les réformistes gauchistes) appellent « dérèglementation néolibérale » est en fait la promulgation de nouvelles lois, de nouvelles normes et de nouveaux règlements plus aptes, espèrent-ils, à assurer la valorisation de leurs avoirs de même qu’une reproduction élargie du capital.

Nous l’avons souligné précédemment, ce ne sont pas les capitaux (productifs) qui font l’objet de la spéculation des banquiers (puisqu’il y a de moins en moins de marchés à conquérir il semble inutile de chercher à produire davantage sinon pour se repartager les marchés), mais les devises, les monnaies, les écritures comptables et les « actifs spéculatifs », volatiles et fragiles parce que nullement adossées à des marchandises ayant une valeur tangible, qui sont l’objet de leur convoitise. Ils savent tous pourtant que la spéculation boursière sur du vent engendrera un nouveau krach boursier, mais ils ne peuvent s’en empêcher. Ils seront déçus les capitalistes, car même en étendant mondialement leur prévarication et la « tonte des coupons » – et même en élargissant les aires géographiques d’accumulation des devises – ils ne parviendront pas à résoudre le paradoxe de la baisse tendancielle du taux de profit moyen (alors que la masse d’argent augmente) inscrit dans les gènes du système économique capitaliste parvenu à son stade suprême de dégénérescence impérialiste moderne.

À ceux qui suggèrent de contrebalancer la mondialisation néo-libérale par la création de structures internationales dont la création d’alliances multinationales d’États impérialistes qui cogiteraient des lois supranationales de réglementation bancaire et monétaire comme le Glass Steagall Act II (14), nous répondons que de telles agences de gouvernances et de tels organismes internationaux existent déjà, ils ont pour nom ONU, OCDE, CPI, FMI, BM, OMC, OMI, OIT, OACI, Union européenne, et tous ils contribuent au saccage de l’économie (15). Selon Le Monde diplomatique : « Cinq ans après l’irruption de la crise des subprimes, les négociateurs américains et européens ont convenu que les velléités de régulation de l’industrie financière (sic) avaient fait leur temps. Le cadre qu’ils veulent mettre en place prévoit de lever tous les garde-fous en matière de placements à risques et d’empêcher les gouvernements de contrôler le volume, la nature ou l’origine des produits financiers mis sur le marché » (16).

De l’inévitabilité de la crise économique systémique

Le bon sens financier et la logique commerciale commandent que ces produits boursiers sulfureux soient prohibés. Mais comme ils sont très lucratifs – du moins pour les émetteurs de ces papiers – et comme ils constituent la seule façon de faire tourner l’argent, d’un cycle économique à un autre, les banquiers ne peuvent s’en priver et ils travaillent sans relâche à dérèglementer, en réalité à modifier les règlements des secteurs financiers, afin de réintroduire ces pratiques frauduleuses et à terme suicidaires.

Les banquiers, les milliardaires, les politiciens et les oligarques sont totalement impuissants à empêcher le développement spéculatif inéluctable de ce qu’ils appellent l’économie « irréelle », et qui pourtant est bien réelle comme le prochain krach boursier le leur rappellera. Ils ne sont que des pions, des apparatchiks de l’appareil financier, entraînés par les lois nécessaires du développement économique impérialiste moderne.

Sur ces lois économiques, nul n’a de prise – le mode de production et les rapports de production impérialistes modernes fonctionnent ainsi dans leur course au profit pour assurer la valorisation du « capital monétaire inflationniste » (sic) et ils entrainent ainsi le système à sa perte inexorable. En effet, ce mécanisme purement monétaire et spéculatif est totalement dissocié du cycle de valorisation et de reproduction du capital industriel et marchand. Si bien que la bourse peut engendrer des masses énormes de profits monétaires – d’actifs corporatifs spéculatifs frauduleux – tout ce numéraire n’est que du papier, des entrées aux livres de comptes corporatifs, sans aucune valeur matérielle réelle, car aucune de ces inscriptions n’est passée par l’étape obligatoire de la production de plus-value industrielle et marchande – là ou se crée toute richesse sous le mode de production capitaliste-impérialiste.

Fondamentalement, c’est la compréhension et la conscience de cette nécessité implacable des lois économiques capitalistes qui distinguent un économiste marxiste des différentes variantes d’opportunismes et de réformismes de gauche comme de droite. Les lois qui régissent le mode de production capitaliste ne peuvent être transgressées – manipulées – modifiées – elles sont impératives, obligatoires, imprescriptibles et contraignantes ; qui ne s’y soumet s’attire de graves problèmes et qui leur obéit appelle de graves crises systémiques. Il n’y a aucune porte de sortie, et personne ne peut sauver ce bateau ivre lancé contre Prométhée, voilà ce que Marx a voulu signifier à l’humanité. Ce mode de production doit être renversé et remplacé par un mode de production planifié.

C’est la raison pour laquelle nous certifions que la dérèglementation-règlementation des secteurs boursiers, financiers, bancaires, monétaires, du prêt à la consommation et des emprunts gouvernementaux (dette souveraine) vont se poursuivre parallèlement aux mesures d’austérité qui accompagnent ces politiques économiques suicidaires mais nécessaires, n’en déplaise aux réformistes gauchistes et droitistes.

La politique de la classe ouvrière La classe ouvrière existe plus que jamais, elle est peu présente sur la scène politique il est vrai, mais cela va changer. Le problème pour la classe ouvrière et pour l’ensemble des salariés ce n’est pas que ces accords commerciaux soient bilatéraux, plurinationaux, transnationaux ou multinationaux, le problème ce sont les objectifs que poursuivent tous ces accords, traités inégaux et alliances contre nature. Ils visent à créer les conditions juridiques, politiques, diplomatiques et militaires :

- pour une pleine expansion économique impérialiste ;
- pour assurer la consolidation de la division internationale inégale du travail entre les différents pays signataires ;
- pour consolider l’accaparement des ressources naturelles (énergie, minerais, forêts, eau, agriculture, pêches) ;
- pour favoriser le contrôle des marchés et de la production anarchique ;
- et surtout, ils ont pour but d’assurer la spoliation de la plus-value ouvrière, le plus commodément possible par les grandes corporations monopolistes qui ne souffrent d’aucune allégeance nationaliste.

Le capital n’a ni patrie, ni nationalité, il n’a pas d’émotivité. Le capital sert celui qui lui permet de fructifier, de se reproduire et d’accomplir son cycle de reproduction élargie jusqu’à sa disparition inéluctable.

La crise systémique de l’impérialisme moderne découle de cette contradiction. Malgré l’extension sauvage des conditions, des normes, des lois, des traités inégaux et des accords de non-réciprocité, la tendance à la diminution de la reproduction élargie du capital « productif » est inexorable et aucun traité ne peut inverser ce cycle dépressif. Abolir ces accords, déchirer ces traités, rejeter ces alliances d’affaires, commerciales, économiques et militaires ne sert à rien. Chaque fois, le système économique impérialiste reconstituera ces partenariats nécessaires à l’accaparement de la plus-value ouvrière et à sa concentration monopolistique, car cette concentration est une condition obligée de sa reproduction élargie – finalité ultime de ce mode de production moribond.

« La finalité constante de la production capitaliste est d’engendrer, avec le minimum de capital, un maximum de plus-value (…) Dans cette conception les ouvriers eux-mêmes apparaissent comme ce qu’ils sont dans la production capitaliste : de simples moyens de production, et non une fin en soi, ni la finalité de la production » (17).

Pour les ouvriers et leurs alliés (les autres salariés, les étudiants, les travailleurs immigrants), il est très difficile de s’opposer à la signature de ces accords négociés en secret et signés par les gouvernements à la solde des riches. Chaque fois que des référendums ont été organisés, visant à faire entériner ces traités par les salariés, ou bien les dés étaient pipés, ou encore les résultats ont été ignorés. Conséquemment, est-il futile de résister de toutes nos forces et par tous nos moyens aux conséquences de ces traités et de ces accords inégaux sur notre quotidien, au foyer, au travail, au bureau, sur le chantier, au supermarché et dans nos quartiers ? NON ! Il est obligatoire, indispensable et nécessaire que chaque ouvrier et ses alliés résistent férocement et opiniâtrement, par tous les moyens à leur disposition, aux conséquences néfastes, immédiates et à long terme, de ces traités inégaux, de ces accords inéquitables et de ces alliances multinationales de non-réciprocité. Lutter contre leurs effets sur notre pouvoir d’achat, sur nos conditions d’emploi, sur les cadences de travail, contre les mesures d’austérité qui viennent avec la crise et qui servent à faire payer ceux qui en pâtissent sans jamais avoir l’opportunité d’apporter leurs solutions à ces malversations en édifiant une nouvelle économie politique socialiste.

VOLUME D’ÉCONOMIE GRATUIT » http://www.robertbibeau.ca/VolumeDe...

(1) « Ensemble, pour les vraies affaires ! » était le slogan électoraliste du Parti libéral du Québec lors des élections bidon du 7 avril 2014. (2) On trouvera une description de l’ALENA à cette adresse : http://www.international.gc.ca/trad... (3) http://www.ledevoir.com/economie/ac... (4) Nous remercions le journal Coup/Rage de la CLAC de Montréal, de nous avoir permis de nous inspirer de leur article. Coup/Rage. Printemps 2014. Page 11-12. http://www.clac-montreal.net/ (5) http://les7duquebec.org/7-au-front/.... Voir aussi http://www.les7duquebec.com/7-au-fr... (6) L’arnaque de type Pyramide de Ponzi est connue depuis les années 1920 et pourtant les grandes banques d’affaires la pratiquent toujours avec quelques modifications cosmétiques comme ici dans la vente de paquets d’hypothèques risquées que chaque spéculateur refilait au suivant. Le drame de la Caisse de Dépôt et de Placement étant de s’être fait prendre avec la patate chaude entre les mains entre deux transactions http://www.captaineconomics.fr/actu... (7) Robert Bibeau (2014) Le déclin de l’impérialisme contemporain. 60 pages. Téléchargez le feuillet gratuit http://www.robertbibeau.ca/VolumeDe... (8) Cet accord commercial récent est présenté ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord.... Voir aussi, http://www.les7duquebec.com/7-au-fr... (9) http://www.tradejustice.ca/fr/. Voir aussi http://www.international.gc.ca/trad... (10) http://www.monde-diplomatique.fr/20... (11) http://perspective.usherbrooke.ca/b... . Voir aussi http://data.lesechos.fr/pays-indica... (12) Coup/Rage. Printemps 2014. Page 11-12. http://www.clac-montreal.net/ (13) http://www.ledevoir.com/economie/ac... (14) http://fr.wikipedia.org/wiki/Glass-... (15) http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d’organisations_internationales (16) http://www.monde-diplomatique.fr/ (17) Karl Marx, Le Capital, Théories Sur la Plus-Value II, Éditions Sociales, pages 654. http://marxisme.fr/telecharger_musi...


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28 réactions à cet article    


  • Moray Moray 24 avril 2014 12:34

    je suis tout à fait daccord (surtout avec l’infographie qui est magnifique) mais il ne faut surtout pas oublier que une des bases de l’économie est qu’il faut des riches ET des « moins riches » cependant ce qu’il faut montrer du doigt et qui est « dégeulasse » est le fait de bafouer les droits de l’homme pour de l’argent (sale ?) et faire de l’abus de faiblesse sur des enfants (ou adultes) qui n’ont pas le choix

    je vous laisse voir les techniques de google qu’on appelle le sandwich neerlandais pour les connaisseurs 

    • Le421... Refuznik !! Le421 24 avril 2014 17:05

      Les électeurs sont invités à sélectionner la clique électoralistes (Libéral, Parti Québécois, CAQ, UMP, Socialiste, Front de Gauche, Conservateur, NPD, Républicain, Démocrate, Travailliste, etc.) qui obtiendra l’insigne honneur d’administrer les affaires de l’État policier des riches...

      Vous avez oublié le « premier parti de France » !!

      Ah ?? Ce n’est pas un oubli !! Le FN est hors-système... Bien sûr !!
      Suis-je bête.  smiley


      • Robert Bibeau Robert Bibeau 24 avril 2014 19:13

        NON Monsieur 421 ce fut réellement un oubli de ma part

        Je crois sincèrement que le FN est en plein dans le système et qu’il représente une fraction de la bourgeoisie française -et il lui servira d’alternative le cas échéant.

        Merci de me le rappeler.


        • AlainV AlainV 24 avril 2014 23:38

          A l’auteur,
          Tout le monde est dans le système, sauf vous.
          Vous ne pouvez pas écrire : "Les électeurs sont invités à sélectionner la clique électoralistes (Libéral, Parti Québécois, CAQ, UMP, Socialiste, Front de Gauche, Conservateur, NPD, Républicain, Démocrate, Travailliste, etc.) qui obtiendra l’insigne honneur d’administrer les affaires de l’État policier des riches« 
          car c’est faire honte à ceux qui se battent pied à pied pour éviter le pire, partout où c’est encore possible. Quand l’empire règnera sans limite, il sera trop tard pour dire :  »Si j’avais su, j’aurais combattu".

          En refusant de combattre partout et en tout lieu, vous êtes comme les Français de 1940 qui se sont accommodés de l’occupation, alors que des dizaines de milliers de soldats français avaient perdu la vie contre les troupes hitlériennes (40 000 morts, rien qu’à Dunkerque).
          Il faut combattre ces traités infâmes, mais plus encore, il faut combattre le capitalisme, la source de tous nos maux. Il faut combattre par solidarité avec tous ces Grecs qui souffrent et meurent à cause de la Troika, ces Grecs qui manifestent dans la rue de semaine à semaine et sont appelés à mettre Syriza au pouvoir et une vraie opposition au Parlement Européen.
          Si vous croyez que la démocratie, le pouvoir du peuple, est la manière civilisée de gérer notre pays, alors il faut voter pour les partis qui s’opposent au quotidien à ces négociations TTIP. Le FN n’en fait pas partie puisque la Lepen a voté pour les négociations.


          • Robert Bibeau Robert Bibeau 25 avril 2014 01:24

            A ALAIN Vous ne semblez pas avoir lu mon texte jusqu’à la fin -c’est votre droit mais attention alors de faire des commentaires inappropriés.

            Deuxième chance pour vous MON DERNIER PARAGRAPHE « Pour les ouvriers et leurs alliés (les autres salariés, les étudiants, les travailleurs immigrants), il est très difficile de s’opposer à la signature de ces accords négociés en secret et signés par les gouvernements à la solde des riches. Chaque fois que des référendums ont été organisés, visant à faire entériner ces traités par les salariés, ou bien les dés étaient pipés, ou encore les résultats ont été ignorés. Conséquemment, est-il futile de résister de toutes nos forces et par tous nos moyens aux conséquences de ces traités et de ces accords inégaux sur notre quotidien, au foyer, au travail, au bureau, sur le chantier, au supermarché et dans nos quartiers ? NON ! Il est obligatoire, indispensable et nécessaire que chaque ouvrier et ses alliés résistent férocement et opiniâtrement, par tous les moyens à leur disposition, aux conséquences néfastes, immédiates et à long terme, de ces traités inégaux, de ces accords inéquitables et de ces alliances multinationales de non-réciprocité. Lutter contre leurs effets sur notre pouvoir d’achat, sur nos conditions d’emploi, sur les cadences de travail, contre les mesures d’austérité qui viennent avec la crise et qui servent à faire payer ceux qui en pâtissent sans jamais avoir l’opportunité d’apporter leurs solutions à ces malversations en édifiant une nouvelle économie politique socialiste. »

            Il n’y aucune résistance avec un bulletin de votes - un bout de papier sans danger et qui atteste que vous adhérez - et croyez à cette mascarade ridicule pour élire des gens qui n’ont aucun pouvoir véritable,

            Vaut mieux faire comme les ouvriers - ne plus croire à leur bouffonnerie et les attendre dans l’usine et sur la Rue mais sur la rue il faut casser pas seulement se promener dans l’usine il faut occuper - il faut apprendre le maniement des armes et s’en trouver avec munition. etc. Voilà l’opposition.


          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 07:56

            Robert Bibeau
            Pour les Français, il y a un moyen simple d’échapper à ces Traités, c’est de sortir de l’ UE par l’article 50.
            Le seul Parti qui le propose, c’est l’ UPR. Il présente des listes dans les 8 circonscriptions.


          • prolog 25 avril 2014 10:25

            Pour moi en combattant, on est encore dans ce « système », mot qui ne veut rien dire d’autre que « fonctionnement du cerveau humain actuel ».
            On est tous à rouler pour nos pommes et on blâme les grands méchants qui y arrivent le mieux... En combattant, on fait les mêmes erreurs et on n’aura jamais le moindre changement.
            Je ne dis pas de ne rien faire. Je dis simplement que si on décide de combattre la violence par la violence c’est qu’on n’a pas du tout compris quel était le problème.
            L’article a l’avantage de recenser une partie des faits, c’est important, les solutions sont individuelles, propres à chacun et la société en découlera, pas l’inverse.
             


          • AlainV AlainV 24 avril 2014 23:52

            Ceci dit, il est intéressant d’avoir un point de vue canadien.
            En France, le Front de Gauche fait partie de ceux qui refusent et ont toujours refusé la poursuite des négociations TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership), comme beaucoup de partis de gauche en Europe (les partis de la socialdémocratie ne sont plus de gauche). C’est dans cet esprit que ce qu’il reste du NPA avait demandé, un peu tard certes, de faire partie des listes du Front de Gauche.
            Aux électeurs de faire le bon choix le 25 mai ; l’abstention, c’est donner carte blanche aux négociateurs.


            • jaja jaja 25 avril 2014 00:00

              Totalement faux ! Le NPA a proposé une alliance électorale au FdG et à Lutte Ouvrière sur un programme à négocier et non de simplement participer aux listes FdG !


            • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 08:16

              jaja,
              Que vous soyez sur la même liste ou sur des listes différentes, cela ne change rien au fait que toute la Gauche dite radicale, est radicalement pour rester dans la construction européenne...


            • jaja jaja 25 avril 2014 11:27

              Dis comme ça ça me va... Rupture avec l’UE... Pour mener notre politique nécessité de sortir unilatéralement des traités mais refus du repli nationaliste sous domination des capitalistes comme le propose l’UPR... construction d’une autre Europe....Les États-unis socialistes d’Europe !


            • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 18:51

              jaja,
              Vous confondez le patriotisme avec le nationaliste qui est la détestation des autres.
              Ce qui est curieux, c’est que vous utilisez l’expression « repli nationaliste », qui fait partie du vocabulaire des européistes et des banksters les plus convaincus.

              Le peuple vous remercie bien de votre internationalisme, qui abandonne la France et les Français à leur triste sort pour l’utopie de l’ Europe sociale, et laisse la porte ouverte au FN. On peut difficilement faire pire en matière de stratégie politique.


            • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 26 avril 2014 09:51


              LES SOCIALOS SONT DANS LE COUP LAMY ET SON OMC PUIS L AGCS

              PUIS CE TRAITE NORD ATLANTIQUE

              NE VOTEZ PAS OU VOTEZ :    SI VOUS VOTEZ  VOTEZ PCF FDG OU NPA :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: ::

            • HELIOS HELIOS 28 avril 2014 11:17

              exactement TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 

              Vous avez parfaitement raison, il faut appeler a voter pour ceux qui ne sont pas déjà au pouvoir.

              Et pour ceux qui ne veulent pas voter plus a gauche, il faut voter pour le FN, eux ne sont pas au pouvoir non plus, et on ne peut les accuser de soutenir ceux qui nous ruinent actuellement.


            • Grandloup74 25 avril 2014 00:20

               Tous ces traités honteux n’engagent que ceux qui les signent. Le peuple souverain, pourra et devra les dénoncer sitôt la clique d’imposteurs virés des instances.
               L’occident se targue de représenter la « démocratie » ? Eh bien, le peuple souverain devra imposer ses choix et non ceux d’une équipe vendue à Washington, qui ne demande pas l’avis de son peuple pour des décisions aussi importantes.
               Les partis d’opposition, ont le devoir d’informer dès à présent le gouvernement US qu’ils ne reconnaitrons pas les signatures des gouvernements actuels et dénonceront tout accord défavorable au peuple Français. Ils auront été prévenus !
               Une façon claire de voir qui se situe, où, et qui s’engage clairement à ne pas tromper le peuple. Manière de savoir plus clairement pour qui voter, hors des vagues baratins.


              • Robert Bibeau Robert Bibeau 25 avril 2014 01:27

                Les partis d’apposition sont en collusion et totalement d’accord avec ces traités inégaux (parfois ils souhaitent changer une virgule)

                Rien à attendre de cette pseudo opposition.

                L’Opposition est dans les quartiers beurres - au bout du fusil - lors de la manifestation masquée.... comme en Ukraine est en ce moment

                 


              • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 08:33

                Robert Bibeau,
                Il y a eu une tentative après la 2e guerre mondiale pour élaborer un projet économique au profit des peuples, rédigé par plus de 50 pays, c’est la Charte de la Havane.

                Les USA ont refusé de la signer, se sont lancés dans des guerres de pillage et ont mis en place toutes sortes de traités de libre échange.

                Aujourd’hui les USA, pour sauver leur économie en perdition et le dollar, essayent d’étendre leurs colonisations au Canada et à l’ Union européenne.

                En Europe, tous les Partis politiques sont européistes, ils ont donné leur accord à la Commission européenne qui négocie en grand secret, et les Parlements nationaux ne seront même pas consultés.

                Il n’y a aucun moyen pour les peuples de se défendre dans le cadre de l’ UE, tous les dés sont pipés, les Syndicats corrompus, les Partis politiques font tous des promesses d’Autre Europe, y compris le FN.

                Le seul niveau où les peuples européens peuvent se défendre, c’est le niveau national. C’est le but de l’ UPR, de sortir la France de l’ UE, et sortir du même coup, de l’euro et de l’ OTAN dont vous ne parlez pas, mais qui est imposée par l’ UE et nous entraîne dans des guerres dont nous ne voulons pas.

                « Programme de Libération Nationale » de l’ UPR.


              • zygzornifle zygzornifle 25 avril 2014 09:41

                Voila qui installera bien douillettement la crise pour quelques décennies .....


                • julius 1ER 25 avril 2014 11:41

                  un point de vue Canadien est toujours intéressant car il montre, que la problématique économique est la même partout, et que cette oligarchie capitaliste sera difficile à déloger

                  tellement son implantation a parasité toutes les structures nationales et internationales.çà me rappelle le proverbe « ce ne sont pas ceux qui t’ont mis dans la merde qui vont t’en sortir » c’est O combien actuel ......

                  • kalon 25 avril 2014 13:42

                    J’ai, peut être, une vue décalée par rapport à la majorité des lecteurs mais, pour moi, une crise financière ,’est pas une crise économique !
                    En effet, quelque soit la valeur financière d’un bien ou d’une entreprise, c’est sa valeur économique qui compte en réalité.
                    Prenons l’exemple d’un pont, quelque soit sa valeur comptable, sa valeur économique n’en sera pas affectée
                    Qu’on lui donne une valeur comptable de 10,00 euros ou de 100.000,00 euros, cela ne changera rien à son utilité économique qui consiste a franchir un fleuve !
                    De même pour une aciérie, que sa valeur comptable soit de 100.000,00 euros ou d’un milliard d’euros, finalement sa vraie valeur économique est de fabriquer de l’acier !
                    Ou d’un bâtiment, car quelque soit sa valeur financière, le principal est qu’on puisse y vivre et s’y abriter.
                    Quant a dire qu’une banque vaut des milliards, si elle ne sert à rien d’un point de vue économique, sa valeur est nulle !
                    Je pense que les financiers de cette planète ont perdu le sens de la logique des choses !


                  • kalon 25 avril 2014 13:43

                    Ainsi, si vous supprimez l’entièreté des dettes qu’elles soit bancaires, publiques ou privées, il nous restera toujours des ponts, des aciéries et des maisons.
                    Et c’est cela qui nous est utile pour vivre.
                    Par contre, nous n’aurons plus de dette ! smiley


                  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 18:54

                    julius,
                    Comparaison n’est pas raison.
                    Les Canadiens sont trahis par leurs Partis politiques, mais le Canada est un pays souverain.
                    Nous, nous avons deux obstacles, changer de personnel politique + retrouver l’indépendance et la souveraineté.


                  • Cassiopée R 25 avril 2014 14:43

                    La caricature choisit est l’entière situation que vit le monde de nos jours.


                    Des grands patrons qui ont décidé de mettre en concurrence les travailleurs à niveau très inégaux, et qui en plus travaillent sur tous les traités de façon à amplifier ce phénomène dans tous les secteurs d’activités.

                    Ils sont les propriétaires des multinationales et ont des parts dans d’autres multinationales, c’est un groupe d’individus qui contrôlent les affaires financières mondiales.

                    • Robert Bibeau Robert Bibeau 25 avril 2014 17:30

                      J’ai le sentiment que vous n’écoutez pas ou que vous lisez distraitement.

                      Il n’y a pas d’accord ou de traité de la HAVANE ou de Bandung qui tienne - Il n’y a pas à choisir entre L’UNION ou sortir de l’UNION - c’est tout le problème qui vous confrontent. Vous voulez resté sous l’impérialisme (ce qui inclut l’impérialisme européen et étatsunien et chinois et canadien et ...) mais sans les turpitudes - les calamités - les crises perpétuelles de l’impérialisme. et vous cherchez un bouc émissaire EXEMPLE les USA. Mais les impérialistes français et canadiens sont aussi pourris que les étatsuniens.

                      Je site l’un d’entre vous « tellement son implantation a parasité toutes les structures nationales et internationales.çà me rappelle le proverbe « ce ne sont pas ceux qui t’ont mis dans la merde qui vont t’en sortir » c’est O combien actuel ...... » 

                      Le chois = SIMPLE = Sortir du capitalisme - impérialiste totalement complètement - abolir la propriété privé des moyens de production - ou resté dans sa variante nationale française ou sa variante atlantiste ou sa variante europenniste avec tous les traités inégaux

                      IDEM chez-nous au Canada. Point/ barre.

                       

                       


                      • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2014 18:59

                        Robert Bibeau,
                        Les expériences communistes n’ont pas fait preuve d’une grande différence avec le capitalisme...
                         C’est sans doute les raisons pour lesquelles les pays d’ Amérique du sud se réfèrent à une économie mixte, parlent de socialisme et plus de communisme.

                        « Venezuela Infos : 33 chefs d’ Etat se sont réunis fin Janvier pour établir un programme de paix et de développement »


                      • BA 27 avril 2014 09:49
                        Mercredi 23 avril 2014 : Eurostat publie les chiffres de la dette publique du quatrième trimestre 2013.

                        Dans l’Union Européenne, neuf pays sont en faillite.

                        1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 318,703 milliards d’euros, soit 175,1% du PIB.

                        2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2069,216 milliards d’euros, soit 132,6 % du PIB.

                        3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 213,631 milliards d’euros, soit 129 % du PIB.

                        4- Irlande : dette publique de 202,920 milliards d’euros, soit 123,7 % du PIB.

                        5- Chypre : dette publique de 18,442 milliards d’euros, soit 111,7 % du PIB.

                        6- Belgique : dette publique de 387,159 milliards d’euros, soit 101,5 % du PIB.

                        7- Espagne : dette publique de 960,676 milliards d’euros, soit 93,9 % du PIB.

                        8- France : dette publique de 1925,292 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.

                        9- Royaume-Uni : dette publique de 1460,975 milliards de livres sterling, soit 90,6 % du PIB.

                        La question est :

                        « QUAND ces neuf pays vont-ils se déclarer en défaut de paiement ? »


                        • Robert Bibeau Robert Bibeau 27 avril 2014 16:10

                          @ FIFI

                          Il est indubitable que les premières expériences - tentatives de construire des sociétés socialistes (oubliez le mot communisme - le communisme ne pourra exister qu’après nombre d’années de construction socialiste authentique) ont échoués. VRAI.

                          Mais ceci signifie simplement que sur le métier nous devons remettre notre ouvrage et recommencer - Malheureusement les ententes et programmes d’économie mixte ne sont que supercherie. Dieu ne far jamais ménage avec le diable...

                          QU’est-ce que je fais avec mes paraboles religieuses ??? Excusez-la comme on dit au Canada.

                           


                          • Robert Bibeau Robert Bibeau 27 avril 2014 16:15

                            @ BA

                            MERCI beaucoup pour ces statistiques précises. Elles me seront utiles.

                            Maintenant pour votre question = la réponse = dans peu de temps vous le verrez = dans peu de temps vous ne les verrez plus

                            Encore une psalmodie religieuse - ce doit être l’effet des canonisations ridicules qui ont lieu aujourd’hui Place St-Pierre - On retourne au Moyen-âge et dire que la bourgeoisie occidentale tente de nous faire croire que la religion musulmane est la seule qui soit ridicule et moyen-âgeuse et les papistes chrétiens alors ????

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