Ce que dit le soutien de Cohn-Bendit à Tsipras
Pourtant, la question du plan B est devenue, depuis cet été, la question clé qu’il faut poser. Il faut noter que Jean-Luc Mélenchon a clarifié son discours, comme l’a rapporté Laurent de Boissieu sur son blog en notant que cela se trouvait déjà dans des documents de son parti de 2011. L’ancien candidat à la présidentielle a affirmé au JDD dimanche « s’il faut choisir entre l’euro et la souveraineté nationale, je choisis la souveraineté nationale ». Reste à savoir s’il persistera dans cette direction dans les prochains mois et s’il sera prêt à tenir un discours d’une absolue clarté. N’y-a-t-il pas quelque chose de gênant à cette réticence qu’ont certains à évoquer la souveraineté nationale, qui semble pour eux forcément un pis-aller par rapport au rêve européen, aussi monstrueux soit-il devenu depuis quelques années ?
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