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Accueil du site > Actualités > Politique > Dissoudre l’UMP au profit d’un nouveau parti

Dissoudre l’UMP au profit d’un nouveau parti

Nombre de responsables politiques de droite et de gauche se sont décrédibilisés face à l'échec de toutes les politiques anti-chômage, anti fracture sociale, anti échec scolaire, anti délinquance, anti drogue, anti immigration sauvage, etc. Tous les indicateurs sont au rouge. Résultat, les électeurs n'ont plus confiance. Le PS perd la moitié de ses électeurs et les Verts perdent les 2/3 des leurs, sans que cela profite à l'extrême gauche exsangue. Le Front National est passé en 20 ans de 3% à 30% des intentions de vote. L'UMP, de plus en plus fragilisée, cherche une solution pour empêcher un risque de désastre historique en 2017. Son auto-dissolution s'impose en toute logique dans l'espoir de repartir sur du neuf.

Dissoudre l'UMP au profit d'un nouveau parti ?

Oh que oui !

Surtout avec une nouvelle âme, un nouvel élan, un nouveau programme contenant au minimum ses trois grands axes, sans lesquels tout progrès économiques, scientifiques, écologistes et sociétaux deviendront impossibles à financer :

Libérer enfin, solidement, définitivement, constitutionnellement l'entreprenariat ; et par voie de conséquence, libérant la création de richesses et d'emplois (sources d'abondantes futures recettes au profit de l'Etat, des collectivités territoriales et de l'indispensable renforcement social et national).

Notamment plus jamais de lois rétroactives discréditant la signature de la France, ni de lois confiscatoires (plus jamais de charges sociales et d'impôts au delà de 50%).

Orienter le système bancaire au profit de l'économie réelle, de la création d'entreprises, de logements, de richesses et de la consommation.

Notamment sanctionnant les activités bancaires majoritairement spéculatives et les taux de crédit abusifs. (Un taux de 25 à 50% qu'un Président de gauche, qu'un Gouvernement de gauche, qu'un Sénat de gauche et qu'une Assemblée Nationale de gauche ont tour à tour défendu, en opposition aux décisions de justice de 2013 puis 2014, contre l'intérêt des milliers de communes spoliées, en contradiction avec l'éthique républicaine la plus élémentaire et en contournant l'avis du Conseil Constitutionnel).

Le rétablissement de la discipline, de l'imagination et de l'efficacité dans notre Education Nationale (qui n'éduque plus, ou si peu, et qui jette une quasi-armée de 230.000 jeunes à la rue, sans diplôme, chaque année). Des pensionnats originaux ainsi que des centres éducatifs fermés créatifs, redonnant une deuxième chance pour les jeunes délinquants multirécidivistes. Instauration d'un service national à la carte, pour tous, femmes comprises, avec des formations éducatives et professionnelles offrant une troisième chance à tous nos jeunes, sans restriction.

Ces trois grands axes réunissent quelques une des 100 mesures "trans-partis" qui devront mobiliser et forger le rassemblement républicain en prévision d'une belle victoire électorale en 2017 et d'un spectaculaire redressement de la France dans les années qui suivront.

Les hommes et les femmes de droite qui ne croient pas en cette ligne n'auront rien à faire dans un gouvernement de rassemblement républicain. Plus d'eau tiède, de médiocrité et de promesses non tenues. Pas de compromis politiciens sur le programme de salut national. Les citoyens, y compris du centre, de la gauche et de la société civile, qui défendront fermement et publiquement cette ligne seront les bienvenus. La mobilisation des républicains de bonnes volontés, par delà les partis, doit être massive. Pour cela, cette offre d'ouverture politique claire, limpide, rassembleuse doit revêtir un caractère solennel ; à l'image du serment fondateur de notre démocratie effectué à Versailles le 20 juin 1789. 

En résumé, face à une gauche éclatée et effondrée, face à l'alternative FN menaçante, il ne peut y avoir qu'un oui logique et déterminé en faveur d'un nouveau parti "gaullien", ouvert, rassembleur et courageux ; un oui à une nouvelle façon de penser l'économie et à une nouvelle façon de faire de la politique ; un oui pour une France motivée, dynamisée, industrieuse, fraternelle, riche et rayonnante.

REMY Ronald

Droit de reproduction partielle ou totale autorisée. Mention d'auteur non obligatoire.


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26 réactions à cet article    


  • pierre 28 novembre 2014 09:13

    Bonjour Remy, faire un parti avec les mêmes membres et les mêmes dirigeants, ce ne sera pas un nouveau parti, il faut le dissoudre tout court ainsi que tous les partis d’ailleurs.


    • Pascal L 28 novembre 2014 09:16

      l’UMP ne pose pas plus de problèmes que tous les autres partis politiques. Les partis politiques ne sont plus que des tremplins pour des ambitions personnelles de recherche de pouvoir.

      L’organisation de la cinquième république sans réel contrepouvoir en est une des causes.

       Les Français ne devraient plus voter pour des hommes, mais pour des projets et les hommes devraient juste être selectionnés sur leur capacité à les réaliser.

      • foufouille foufouille 28 novembre 2014 10:36

        union des pourris ?
        tu vas déporter les travailleurs ?
        on voit de nouveau parti


        • Le p’tit Charles 28 novembre 2014 10:49

          Nous verrons très vite ce que compte faire « Don-Sarkozy »...


          • Fergus Fergus 28 novembre 2014 11:33

            Bonjour, P’tit Charles.

            Simple : Sarkozy se moque de la France comme d’une guigne, et des militants de l’UMP également, pourvu qu’ils soient à sa botte. Son double objectif : 1) tenter de masquer les turpitudes de l’UMP dont il a été le principal bénéficiaire (et sans doute le donneur d’ordres) sous une nouvelle appellation à peu près aussi trompeuse que l’emploi du mot « consolidation » pour les acquis sociaux que l’on veut casser ; 2) façonner ce parti afin d’en faire une machine de guerre électorale à son seul profit. Le reste, il n’en rien à battre, pourvu qu’il soit au centre et que les autres se prosternent devant lui. 


          • Le p’tit Charles 28 novembre 2014 12:11

            bonjour...d’ou le nom de « Don »...comme dans la mafia.. !


          • Fergus Fergus 28 novembre 2014 12:51

            Bonjour, P’tit Charles.

            Exact. C’est pourquoi il m’arrive également de désigner Sarkozy comme un « parrain ».


          • njama njama 28 novembre 2014 11:12

            L’UMP (Union pour la Majorité Présidentielle) * n’était qu’une création opportuniste entre les deux tours de l’élection de 2002, on a tendance à l’oublier
            une sorte de programme commun ou une union de la droite de dernière minute ** qui associait des courants politiques assez divergents particulièrement sur certains sujets, en schématisant de façon simpliste, un courant gaulliste, européiste mais nationaliste hostile à une intégration dans l’OTAN (RPR et droite nationaliste) et un courant atlantiste, européiste mais fédéraliste et OTAN incarné par l’UDF, DL, centre droit ...

            Faut donc pas trop s’étonner que née sur ces fonds baptismaux électoralistes opportunistes, l’UMP n’ayant pas de ligne politique définie et claire à sa naissance, elle n’a jamais cessé depuis d’être traversée par des turbulences importantes. Des associations de ce genre ne peuvent durer bien longtemps
            Changer l’UMP pour un nouveau parti avec les mêmes gugusses, ça avancera à quoi ? à part changer l’emballage ..
            Il serait peut-être plus sain de créer deux partis, chacun pouvant mieux se positionner démocratiquement ... ce qui permettrait aussi de sortir de ce bipartisme UMP_PS à l’anglo-saxonne
            .
            * devenu 6 mois plus tard Union pour un Mouvement Populaire
            ** encore que personnellement je pence pour l’idée que ce cheval de Troie était dans les cartons avant même l’élection présidentielle, simple question de stratégie électorale. Et que JP Le Pen n’avait statistiquement aucune chance d’être élu au 2° tour.


            • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 28 novembre 2014 11:36

              L’UMP est une haute trahison des urnes et du choix des citoyens, la dissoudre serait rendre justice aux Français et aux Françaises qui avaient été trahis par les magouilles du Sorcier CHIRAC en 2002 !

              Les faux socialistes étaient aussi pleinement impliqués dans cette haute trahison par la personne de Jospin.

              Il est clair que ces deux formations, la première bâtarde et illégitime, la seconde anachronique et plus qu’archaïque ne peuvent plus prendre en charge les exigences des Français : Une autre solution est possible en dehors du Pendule Gauche-Droite !


              • lsga lsga 28 novembre 2014 12:33

                Je propose le nom de : RPR. 


                • Alice Rupert 29 novembre 2014 02:08

                  Rassemblement Pour Rien


                • 1984 28 novembre 2014 12:50

                  Dissolution dans l’acide !


                  • confiture 28 novembre 2014 19:42

                    oui mais y aura t’il suffisament d’acide


                  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 28 novembre 2014 12:54

                    @sampiero (---.---.---.82) 28 novembre 11:52

                    «  »C’est un fait curieux, on s’en prend aux partis qui sont sans âme, alors que les responsables ce sont des hommes. Ce sont eux qu’il faut changer pas le nom !«  »

                    C’est plutôt curieux, cette tendance à personnifier la responsabilité politique, je pense au contraire qu’il faut banaliser la gestion des affaires publiques !

                    C’est la même chose pour les « États » ... Évidemment que ces « partis » ou les États ont une « âme » ; ce sont des « choses vivantes », ce sont des systèmes qui vivent des idées de ceux qui s’y ’impliquent !

                    Pourquoi le problème est aujourd’hui les « partis », les « États » et non pas les hommes, c’est parce que précisément ce sont les systèmes et ce sont les États qui sont obsolètes ! La preuve est qu’en écartant Sarkozy en 2012 pour recruter Hollande, les choses se sont aggravées ! Il ne s’agit plus aujourd’hui de chasser Hollande pour rappeler Sarkozy, ce serait gravissime ! 

                    La simple solution du changement des hommes à la tête des institutions ne règle plus les problèmes, il faut plus, c’est-à-dire il faut changer l’Organisation sociale et humaine pour la mettre en conformité avec le XXIe siècle  : Comme dirait Hollande « Le changement c’est maintenant » ..ou jamais !


                    • zygzornifle zygzornifle 28 novembre 2014 15:55

                      comme on retrouvera les mêmes un coup de peinture sur la crasse ne changera rien .....


                      • REMY Ronald REMY Ronald 28 novembre 2014 16:03

                        Bonjour. Je répond toujours aux internautes, et je décide de le faire déjà globalement aux quinze premières interventions.

                        La question principale : Faut-il dissoudre ou non l’UMP ?

                         
                        Pour l’instant, je n’ai lu aucun argument en faveur du maintien de l’UMP.

                        La question subsidiaire : Quels seraient les bases minimum d’un regroupement citoyen capable à la fois de bloquer l’arrivée du FN, de proposer une alternative crédible aux échecs répétés de l’UMPS et de palier au rejet par les citoyens de tous les partis actuels (extrême gauche et Verts compris) ?

                        Là aussi, les arguments sont tout aussi curieusement absents face à ...

                        ...100% de votes négatifs !

                        Certes, il y a néanmoins quelques réactions et propositions que je me dois de relever :

                        1
                        « Changeons les hommes, sinon cela ne servira à rien ».

                         
                        Devons-nous attendre le départ de 577 députés et 344 sénateurs avant de proposer quelques solutions pour notre pays en difficulté ? Combien de temps faudra t’il attendre pour enfin amorcer le débat citoyen sur l’actuelle asphyxie entreprenariale, sur l’échec scolaire et la délinquance impunie des banques ?
                        Si nous ne changeons pas tous les parlementaires, lesquels pourront rester  ? Sur quelle base programmatique conditionnelle ? La fameuse réponse du « tous pourris, y a qu’à les virer » n’est donc pas aussi simple si on n’aborde pas les critères de sélection. L’éthique, bien entendue. Mais aussi l’engagement programmatique et l’outil électoral capable de faire démocratiquement ce tri.

                        2
                        « Changeons le système tout entier, sinon rien ne sera possible ».

                        Devons nous attendre l’effondrement du système (effondrement par quel moyen ?) avant d’avoir le droit de proposer un programme aux électeurs pour encadrer les banques, pour booster la création d’entreprises, de richesses et d’emplois, pour améliorer l’éducation nationale ? N’est-il pas possible d’obtenir une majorité sur quelques mesures urgentes, indispensables, évidentes, avant de trouver une majorité en faveur de telle ou telle variante de VIeme république ?

                        3
                        « Etrange conversion de l’auteur en faveur d’un capitalisme total. Rothschild n’aurait pas fait mieux !…/…Il y a du medef, du Le Pen, du Tatcher dans ce qu’il propose ».

                        L’absence d’argument raisonné a donc même laissé la place à des diatribes contradictoires, à du mépris et des accusations dignes des célèbres procès staliniens. Espérons que le web-débat qui suivra ces prochains jours sera un peu plus constructif. D’autant que l’auteur faisait déjà les mêmes propositions il y a 25 ans. Y compris via un livre gratuitement envoyé à tous les parlementaires en 1993 puis à nouveau en 1995. En vain. Car cette absence d’écoute de la classe politique de droite et de gauche a entraîné la plus grande crise financière jamais vue depuis les années 30. Avec un FN devenu maintenant, hélas, le premier parti de France. Rappelons que l’auteur, inutilement méprisé, insulté et rejeté ici par 100% de votre premier lot de votes, n’est aucunement responsable des spectaculaires échecs cumulés depuis un quart de siècle. Proposer une autre solution alternative à celles expérimentées par la droite et la gauche (avec le malheureux résultat que l’on sait) est une démarche citoyenne apte à animer un débat républicain sur ce site. Sans attaque de personne. Qu’en pensez-vous ?


                        • Piotrek Piotrek 28 novembre 2014 22:24

                           Quels seraient les bases minimum d’un regroupement citoyen capable à la fois de bloquer l’arrivée du FN, de proposer une alternative crédible aux échecs répétés de l’UMPS et de palier au rejet par les citoyens de tous les partis actuels (extrême gauche et Verts compris) ?

                          L’UMPS n’a techniquement pas « échoué », ils n’ont fait que ne pas tenir les promesses pour lesquelles ils étaient élus (plus personne n’aura a dormir sur un banc, Sarkozy 2006).
                          Ce n’était pas un gros problème, on s’était habitué, alternant promesses non tenues de droite et de gauche.

                          Et la crise est arrivée, les partis n’ont pas changé. L’absolue inefficacité de la besogne politicienne s’est révélée au grand jour. Un grand mitraillage de promesses non tenues de droite comme de gauche. Les incompétences, l’amateurisme, les affaires, le scooter, la Carla ne passent plus face à des citoyens qui commencent à suivre les infos. Les politiciens n’ont même pas le panache de l’orchestre sur le Titanic, ils ne servent à rien, il deviennent une charge, un coût, une honte à supporter.

                          Donc penser qu’il suffit de renommer, re-bricoler l’existant pour « bloquer le FN », c’est une très très mauvaise approche. Car le FN c’est du populisme en vrac, c’est un choix de colère, pas un choix de raison.
                          Vous voulez avoir vos chances contre le FN ? Alors il faut une alternative de raison, c’est à dire qui sait expliquer simplement la problématique de la France actuelle, qui va être capable d’apporter des solutions crédibles aux problèmes. (je pense la dream team Piketty, Sapir, Berruyer...)
                          Il faut en avoir les moyens intellectuels, c’est à dire un gros chargement cohérent d’experts aguerris et indépendants pas politiciens pour deux sous.
                          Ensuite il faut avoir les moyens de convaincre ceux qui dirigent vraiment la France, à savoir tout le convoi multinationales, hauts fonctionnaires...
                          Faut bosser si on veut proposer une alternative face au FN.

                          Alors des initiatives commencent se mettent en place. On voit émerger plein de courants idéologiques nouveaux qui tentent de sauver le système. L’idéologie devient capitale, car elle rend la politique lisible, prévisible et donc qui aura plus tendance à coller à une ligne directrice et donc aux promesses.
                          J’ai constaté pour ma part une forte montée des libertariens (portés par BFMTV), des royalistes (de droit divin, les bien velus) Si vraiment j’étais pour le sauvetage du système, je m’engagerai dans l’UPR. Ils font un vrai travail de fond, ils font des débats particulièrement intéressants, et le grand manitou connait le système.

                          Mais bon, je prends ma calculatrice et je me rend compte que sauver le système c’est devenir la Grèce (ou j’étais aux premières loges car j’y ai vécu 10 ans) car c’est rembourser la dette de tous ces soixante-huitards qui viennent nous faire la morale sur Agoravox.
                          Moi je suis pour du vrai gros changement intelligent, internationalement viral, auto-entretenu et naturellement immunisé.
                          Moi je suis pour la démocratie directe de Chouard. Le problème c’est que ça va pas plaire, c’est pas consensuel du tout (car ça change la définition politique et économique du 1%)

                          Vous voulez réussir ? Oubliez tout. Puis réapprenez tout et reposez vous la question de l’équité de la justice dans une société. Même le gars de l’Aube Dorée vous écoutera.


                        • foufouille foufouille 28 novembre 2014 17:05

                          on a pas lu ton livre et l’UMPS est peu apprécié


                          • REMY Ronald REMY Ronald 28 novembre 2014 20:24

                            Bonjour.

                            Je ne cherche pas à vendre un livre mais à faire avancer le débat citoyen face à une classe politique globalement défaillante dans nombre de domaines.

                            Les idées contenues dans ce livre se retrouvent dans les articles que j’ai soumis à la critique des internautes sur Agoravox depuis 2 ans.

                            .

                            Entre 1990 et 1993, je dénonçais déjà que la majorité des actifs bancaires étaient investis dans la spéculation et non dans l’économie réelle.

                            J’avais proposé une « taxe sociétale » sur les flux financier spéculatifs. Mais la majorité « rouge-verte » a décidé de censurer le mot spéculatif et de tout taxer sans distinction en remplaçant l’appellation par « taxe Tobin » (contre l’avis de Monsieur Tobin lui-même). Cette escroquerie intellectuelle a été pain béni pour les banques dont la spéculation n’était plus menacée. Cette taxe dévoyée et castrée a été adoptée par la majorité des parlements d’Europe (y compris par la majorité gouvernementale de Sarkozy).

                            .

                            Les dirigeants Verts ne nous ont jamais écoutés. Idem pour les autres partis. Résultat de cet aveugement généralisé imbécile, lorsque l’énorme crise dite « des subprimes » a éclaté fin 2007 (aux causes soigneusement occultées et aux lourdes conséquences que nous subissons tous aujourd’hui), certaines banques avaient atteint un taux de 90% dans la spéculation.

                            Plus rien à voir avec l’indispensable service bancaire (public ou privatisé) dont nous n’avions cessé de réclamé (en vain) un cahier des charges précis (sous peine de leur faire perdre leur précieux statut de banque).

                            .

                            Même l’actuelle « crise des subprimes française » qui plombent scandaleusement les contribuables en lieu et place des banques délinquantes (en raison de taux d’intérêt variables atteignant 35 à 50%) ne fait l’objet d’aucun débat médiatisé. 20 milliards de rackets impunis et personne n’en parle !!! Le 27 Août 2014, l’Assemblée Nationale a même voté une loi « rétroactive » (ripoublique bananière ?) pour soutenir les banques fautives et les taux variables abusifs, pour donner tort aux milliers de communes spoliées, pour contrer les décisions de justice de 2013 et 2014, pour contourner le jugement du Conseil d’Etat (voir un de mes articles précédents). Un jour, cela va exploser, mais tout le monde s’en fout. Aucun débat médiatique.

                            Comme moi, les français en ont maintenant assez de cette massive incompétence à droite et à gauche. Il faut donc du neuf et ne surtout pas faire le jeu du FN qui proposent de mauvaises solutions.

                            A+ Cordialement.


                          • foufouille foufouille 29 novembre 2014 09:44

                            bonjour,
                            je serait poli vu que tu fais un effort.
                            la sortie est à court terme la seule solution.
                            l’europe n’est pas sociale et nous subirons l’austérité bientôt.
                            ensuite le smic sera baissé comme pour les autres pays.
                            le refus d’obéir à bruxelles équivaudra à des amendes.


                          • foufouille foufouille 29 novembre 2014 09:45

                            la sortie de l’europe est à court terme la seule solution.


                          • malitourne malitourne 28 novembre 2014 17:39

                            L’UMP ne sert à rien.


                            • raymond 1er décembre 2014 11:55

                              oh que si !


                            • njama njama 28 novembre 2014 17:54

                              La question principale : Faut-il dissoudre ou non l’UMP ?

                              c’est aux z’UMPistes d’en décider ... nous on s’en fout.
                              .
                              bloquer l’arrivée du FN
                              c’est une obsession pour le PS comme pour l’UMP, mais l’histoire du front républicain ça sent le réchaufé à la longue, et c’est assez nul tellement c’est creux et irrespectueux de conspuer ainsi un adversaire politique, ça pue un peu comme le maccarthisme
                              .

                              Avec un FN devenu maintenant, hélas, le premier parti de France.
                              vous parlez des résultats des dernières élections européennes de 2014, FN 25,4 % avec 56.5 % d’abstentions c’est pas une gloire tout de même, et puis ça sort du contexte de la politique nationale.
                              Un programme politique ne consiste pas à en critiquer un autre, ne vous trompez pas de sujet.

                              S’il vous faut prendre les devants, considérez que cette engagement présidentiel aura tout lieu de se produire, tant il est facile à mettre en place, alors ne pensez pas de trop à l’importance de la présidentielle. D’ailleurs l’enjeu pour Marine ne sera peut-être pas la présidentielle !

                              "Moi président de la République, j’introduirai la représentation proportionnelle pour les élections législatives, pour les élections non pas de 2012, mais celles de 2017, car je pense qu’il est bon que l’ensemble des sensibilités politiques soient représentées."

                              Mitterrand ne l’avait-il pas fait en son temps en 1985 d’un trait de plume !

                              « Introduire la proportionnelle, »c’est le seul moyen d’avoir une Assemblée nationale à l’image du pays", commentait en juin dernier l’écologiste Daniel Cohn-Bendit. "

                              La proportionnelle « intégrale » ?

                              Quitte à refléter le paysage politique du pays, autant être fidèle. C’est la position commune du FN, du Front de gauche, du NPA et d’Europe Ecologie - Les Verts : que l’Assemblée nationale soit soumise à une proportionnelle « intégrale ». Les 577 députés ne seraient alors plus rattachés à une circonscription géographique. En effet, les électeurs voteraient pour une liste nationale, comportant 577 noms maximum donc. En reprenant les résultats nationaux des législatives de juin dernier et en y appliquant le principe de proportionnelle « intégrale », le PS obtiendrait 206 députés, l’UMP 190, le FN 95, le Front de gauche 48 et EELV 38

                              http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Proportionnelle-aux-legislatives-mode-d-emploi-574520


                              • Abou Antoun Abou Antoun 28 novembre 2014 19:27

                                RPF
                                UNR
                                UD-5
                                UDR
                                RPR
                                UMP
                                What’s next ?


                                • Alexis_Barecq Alexis_Barecq 29 novembre 2014 22:39

                                  Tous les partis font partie du problème
                                  Aucun ne fait partie de la solution

                                  La démocratie, c’est le POUVOIR exercé par le peuple
                                  La démocratie représentative, c’est le contraire

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