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Accueil du site > Actualités > Politique > Les collectivités territoriales vont trinquer

Les collectivités territoriales vont trinquer

Le métro du grand Paris risque d'être un simple rêve pour les parisiens et les "banlieusards" qui pourront continuer à galérer dans les transports.

Austérité et Union Européenne obligent mais la colère continue à monter !

Les collectivités territoriales qui sont à l'origine de plus de 70% des investissements publics qui génèrent de l'emploi, sont inquiètes.
La « règle d'or » s'appliquera directement et indirectement, déjà l’État annonce un gel des dotations globales de Fonctionnement et bloque des crédits comme ceux qui devaient aller au métro grand Paris .
L’État commence à appliquer le traité que la majorité PS, sauf surprise va ratifier par son vote.
Rappelons que ce traité met sous tutelle le parlement français et,comme l'expliquent les sénateurs communistes, « prévoit pour la première fois des mécanismes de sanctions automatiques et un droit de saisine, État contre État, de la Cour de Justice de l’union européenne à l’encontre des « mauvais élèves » de l’austérité. »

Venons en à la décision de blocage des crédits d’État pour le métro grand Paris

Alors qu'un accord avait été conclu entre les représentants de l’État et ceux de la Région Ile de France le 26 janvier 2010 pour le chantier de transport en commun attendu par de très nombreux franciliens ;
Alors qu'il s'agissait de créer de nouvelles liaisons indispensables permettant de désenclaver des villes de la banlieue et améliorer le transport des travailleurs et de leurs familles ;
Le gouvernement n'a pas inscrit le moindre milliard de dotation dans le cadre de son budget pluriannuel de la période 2013-2016 .
Comme l'explique clairement l'ANECR ( l'Association Nationale des Lus Communistes et Républicains :

« Ce métro est une urgence aussi pour la relance de l’emploi et la croissance de la région capitale et de l’ensemble du territoire. Se priver de cet outil de développement économique sous prétexte de rigueur budgétaire c’est prendre un risque sérieux de récession.

On ne nous rassure pas avec les quelques paroles ministérielles assurant que le projet serait maintenu, mais qu’on verrait en janvier un plan d’actualisation, des financements… Le métro du Grand Paris Express est déterminant pour l’avenir des territoires et des habitants. Tous les débats sur les schémas de développement territorial, avec l’État sur le schéma de développement régional d’Île de France, sur la réforme territoriale, la métropole, n’ont plus aucun sens sans ce projet concret qui est devenu l’objectif commun des Franciliens.

Par ailleurs, des impôts additionnels sont déjà payés par les familles et les entreprises pour le métro Grand Paris Express : 500 millions par an sont collectés. Il serait inadmissible de les affecter à un autre usage.... »


Le président du Conseil Général du Val de Marne et de nombreux maires et élus de toutes tendances se mobilisent pour que les promesses soient tenues et que les financements d’État soient prévus...
Ici ce sont les élus d’Île de France qui se mobilisent et là dans de nombreux départements, des élus qui commencent à juste titre de s'apercevoir que l'application du traité européen aura des conséquences désastreuses pour les finances territoriales.
En bout de chaîne, c'est la population la plus en difficulté qui trinquera le plus.
Pour prendre un exemple parmi beaucoup d'autres, En Aveyron, ce sont mille emplois du BTP qui sont perdus.

Jean-François Chalot


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21 réactions à cet article    


  • Yves Dornet 4 octobre 2012 09:01

    oui...en même temps quand on voit ce que font les barons locaux de l’argent des contribuables...la multiplication des rond-points, par exemple, qui coûtent une fortune alors qu’avec 4 parpaings roule ma poule...ou des routes et des rues à peine refaitent et déjà éventrées parce que l’on a oublié telle ou telle canalisation. Combien de piscines, de zéniths, de patinoires...pour pas grand chose ?

    non, vraiment faut arrêter maintenant.


    • kalagan75 4 octobre 2012 09:17

      en 2010 , le gouvernement sarko a supprimé 32 000 fonctionnaires , les collectivités locales ont embauché 33 000 personnes dans le même temps ...


      • Michel DROUET Michel DROUET 4 octobre 2012 10:35

        Oui et c’est principalement le fait du groupe « communes/intercommunalités ».

        Par contre je ne suis pas certain du bien fondé de la RGPP aveugle qui a conduit à la suppression de 32000 fonctionnaires.

        Cela procède davantage d’une logique ultralibérale et aux ordres des marchés que d’un véritable souci d’organisation du vivre ensemble dans notre pays.

         


      • kalagan75 4 octobre 2012 11:02

        effectivement la RGPP ne pouvait être poursuivie sans une réforme structurelle et profonde des services publics , et particulièrement dans l’éducation nationale . Or , si tu regardes le budget de l’état sur 2013 , il est en augmentation de plus de 6 Ma € , somme allouée aux fonctionnaires .

        Tant que nos élus n’auront que, pour seule ambition , leur propre réélection , tant que nous filerons vers une situation à l’espagnole .


      • Michel DROUET Michel DROUET 4 octobre 2012 10:31

        Bonjour CHALOT

        Je peux comprendre les inquiétudes pour l’emploi, mais pour autant doit-on continuer dans un systéme d’investissements coûteux et pas toujours nécessaires (aménagements urbains, ronds points,...) ?

        Il faudra bien que l’on arrête un jour, non ? et que l’on réoriente les crédits vers l’aide à la personne ou le maintien des services de proximité en milieu rural pour stopper la désertification. Cela créera des emplois également.

        C’est de la responsabilité des élus de préparer cette transition, mais comme d’habitude on reste dans le court terme et on refile la patate chaude aux générations futures.

        Les élus dans leur grande diversité politique et leurs collectivtés diverses et variées (le mille feuille) sont la proie des lobbies du BTP, du ramassage des ordures, du traitement et la distribution de l’eau et des transports qui leur glissent délicatement dans l’oreille que leur réelection future pourrait être compromise s’ils ne signent pas de nouveaux contrats juteux pour ces entreprises et coûteuses pour le contribuable.

        Une solution ? Reprendre un certain nombre de contrats en régie, c’est à dire en gestion directe par les collectivités.

        Il faut arrêter de dire que lorsque c’est le privé, ça coûte moins cher et c’est mieux fait : c’est largement faux désormais, je le sais (pour les transports collectifs par exemple). De nombreuses collectivités s’en rendent compte actuellement et reprennent les services en gestion directe.

        Ce n’est donc pas en maintenant des volumes d’investissement ou des contrats de délégation de service public ou bien en souscrivant des Partenariats publics privés (une horreur !) que l’on traitera le problème de l’emploi, mais c’est en faisant preuve d’un peu de courage politique.

        Cela passe également par la réforme du mille feuille (voir mon article sur le sujet) et avant tout par l’interdiction du cumul des mandats et leur limitation dans le temps (pas plus de deux consécutifs).


        • bernard29 bernard29 4 octobre 2012 11:55

          eh bien moi aussi qu’il est temps que les collectivités locales réfléchissent un peu plus à leurs investissements, en associant la population. 
          C’est pas mal de mettre un coup d’arrêt à la gabegie poussée par les corporatismes qui bloquent la société française.

          la mutation que tout le monde appelle de ses voeux passe d’abotrd dans un investissement dans la réfléxion et la démocratie.


          • bernard29 bernard29 4 octobre 2012 13:33

            je crois que Chalot fait du bourrage de crâne.

            il répercute une info d’un de ses élus sans nous expliquer de quoi il retourne.
            Le grand Paris ; « Le paradoxe, c’est que cette somme ( le milliard qui n’est pas dans le budget sensément !!) n’était pas du tout dans les plans de financement initiaux »
            voir http://grandparis.blogs.liberation.fr/vincendon/2012/10/grand-paris-express-lhistoire-vraie-du-milliard.html 


          • CHALOT CHALOT 4 octobre 2012 14:38

            Bernard 29 ! Votre lien n’infirme pas mes propos, il interprète la situation.
            Il ne s’est pas agi pour moi de partir des écrits d’un élu rencontré mais du communiqué du l’ANECR ( Association nationale d’élus)


          • bernard29 bernard29 4 octobre 2012 16:00

            ANECR ; votre association ( Association Nationale des Elus Communistes et républicains).


          • ZenZoe ZenZoe 4 octobre 2012 12:19

            Je vais être un peu hors sujet mais bon : en parlant de gabegie, d’aéroports et de rond-points, ça me fait penser à une info entendue hier : la Grèce, dans la panade jusqu’au cou, qui licencie ses fonctionnaires, qui réduit les montants de retraites, qui vend ses îles, vient de débloquer 30 millions pour la construction d’un circuit de F1.
            Même les collectivités locales dans la Nièvre ont fini par s’apercevoir que ce genre de plan était mauvais car très coûteux pour elles. Comme quoi, il y a toujours plus fou que soi.


            • Francis, agnotologue JL 4 octobre 2012 12:24

              ZenZoe,

              belle démonstration qu’UBU roi est le grand manipulateur.

              « De quoi Ubu est-il fondamentalement la figure ? Du despote parasitaire. Avant l’Etat fiscal, il y a eu la servitude féodale… et après lui il y a la prédation actionnariale. …Quelle est la puissance despotique d’aujourd’hui qui soumet absolument le corps social et le laisse exsangue d’avoir capté la substance de son effort ? Certainement pas l’Etat – dont on rappellera au passage qu’il restitue en prestations collectives l’ensemble de ses prélèvements… – mais le système bancaire-actionnaire qui, lui, conserve unilatéralement le produit intégral de ses captations. » (Frédéric Lordon)


            • Le péripate Le péripate 4 octobre 2012 12:36

              En France le cout d’un euro redistribué est d’environ un autre euro. A moins donc de considérer comme « redistribution » la masse salariale de l’état, les dépenses de structures et ses gaspillages il est impossible de prétendre que l’état redistribue la totalité de ce qu’il prélève.

              Mais ce n’est pas tout. Ce qui est redistribué est un pactole que des groupes organisés cherchent à capter. Il est facile de comprendre que ces groupes iront dépenser dans la recherche de ce pactole des sommes importantes qui auraient été mieux employés ailleurs. Et ce jusqu’à concurrence du montant du pactole de la dite redistribution.

              C’est à dire très exactement que l’action de l’état tend en tendance à détruire la totalité des sommes qu’il capte.

              Alors, Lordon, et son baratin de fonctionnaire appointé....


            • Francis, agnotologue JL 4 octobre 2012 14:55

              péripate, de deux choses l’une :

              ou bien pour un euro dépensé par A, c’est un euro encaissé par B (l’argent circule, vous aurez remarqué ?), quel que soit le ’consommateur’ - particulier, entreprise, État

               -ou bien celui qui dépense en a grignoté un morceau ! Comme je ne crois pas à la magie, j’exclue cette hypothèse.

              Maintenant : ou bien celui qui dépense, le fait dans le cadre géo-économique où il a reçu cet argent, ou bien il le fait en jouant sur les marchés internationaux, en le planquant à Jersey ou Monaco pour acheter un jour, une île en Grèce, ou bien pour acheter des palais au Qatar ... ou encore, pour investir dans des industries diaboliques, je laisse à votre imagination, ... toutes chose que l’État ne fait pas (*)

              Et c’est cela qui ruine la France : cet argent capté par les fonds de pension Anglo-saxon ou même les Pinault qui s’expatrient, sont autant d’hémorragies pour l’économie française.

              (*) Pardon : en me rappelant la fable des « Animaux malades de la peste », je dois confesser que les malheureux picaillons que l’État redistribue aux pauvres, sont souvent utilisés pour acheter de la merde made in China, pour la grande joie des importateurs et des pollueurs d’océans. Mais les pauvres ont-ils le choix, vu que nos industries et manufactures sont parties là-bas avec leurs profits. Reprocher aux miséreux d’acheter des pacotilles qui, en rapport qualité prix coûtent la peau des fesses ou bien, des Ipad qui ruinent la planète, les malheureux mineurs du quart monde et leurs agricultures vivrières, c’est cela se prévaloir des ses turpitudes.

              C’est cela, UBU, typiquement. Et c’est cela que vous défendez.


            • Francis, agnotologue JL 4 octobre 2012 15:16

              péripate,

              Quand je dis un euro de redistribué c’est un euro qui revient dans l’économie, j’émets un point de vue scientifique, que ceux ne sont capables de comprendre les lois de la thermodynamique mettent en doute.

              Vous mélangez économie et idéologie : la différence que vous évoquez entre ce qui rentre et ce qui sort serait perdue. Mais par qui ? Mais où ça ? Parti en fumée ? Dans des cigarettes ? Mais même là, les cigarettiers sont gagnants.

              Vous me rappelez l’autre imbécile qui disait ici : « A cause de vos conneries contre le vaccin H1N1, la commande n’a pas été renouvelé, et les labos sont obligés de licencier. »

              Je lui ai demandé si la solution de commander des vaccins que nous aurions naturellement jetés, principe de précaution oblige aurait été meilleure. Voilà typiquement votre idéologie :

              « l’argent dépensé par le pouvoir démocratique qui ne produit pas un enrichissement particulier, c’est de l’argent perdu. »

              Ce principe a pour corollaire que les profits doivent être privatisés et, corolaire du corolaire, les pertes doivent être socialisées.

              Votre idéologie est celle de ceux qui ont pour dieu, non pas l’argent, mais le profit. Nuance, parce que l’argent n’est qu’un moyen, neutre, et qui pourrait servir le collectif ; c’est d’ailleurs sur cet argument qu’on a vendu l’euro aux peuples.


            • Francis, agnotologue JL 4 octobre 2012 18:59

              péripate ?

              ouh ouh ! Y a plus personne ?

               smiley


            • eric 4 octobre 2012 12:29

              Ah mais cela, ce n’est pas une surprise. Depuis 30 ans, la masse d’une fonction publique très organisée, très syndicalisée, fait que quelque soit le gouvernement, la pente naturelle est de consacrer de plus en plus d’argent à leurs salaires au détriment de l’investissement. Seul Sarkozy a commencé a essayer de tenter de renverser la vapeur. Notamment en tentant de remettre en cause un petit peu la notion de mesures votées par rapport aux mesures nouvelles. En réalisant une relance fondée sur l’investissement au lieu de n’emprunter que pour boucler les fins de mois.
              Maintenant que ce sont les mêmes qui gouvernent, le seul frein à leurs appétits est la situation financière de l’État. 70% des Ministres de plein exercice sont des fonctionnaires dont 45% de profs.
              Ce n’est même pas vraiment de la mauvaise volonté. Dans tout arbitrage, ils sont le choix entre eux même et leurs collègues a court terme et de vagues projets fumeux dont la finalisation aura lieu peut être après même qu’ils aient cessé d’être Ministres.

              Tous ce qui se produit et va continuer à se produire était clair depuis longtemps et je vous en avait prévenu. Tous ce qui est compressible de leur point de vue va être compressé.
              - Les budgets et postes du monde associatif non statutaire : vous .
              - Les budgets d’investissement : le métro
              -les budgets d’interventions en général : , on s’apprête a recruter des profs, mais à supprimer Erasmus qui était une bouffée d’oxygène pour des tas d’étudiants français
              - Les budgets sociaux, là ou les gens votent mal, par exemple les « pauvres blancs » les 92% de nos « pauvres » qui ne vivent pas dans des « citées » proche des grandes villes. Ainsi, on risque d’avoir des pensions de reversions pour les couples mariés homosexuel pour quelques milliards d’euro, parce que c’est une « priorité sociale d’égalité » plus importante que d’augmenter le smic.

              le bouclier fiscal, c’est en gros deux fois la subvention aux voitures électriques, ou la subvention publique sur l’essence pour ceux qui ont les moyens de rouler. de mémoire. Sauf que ce n’est pas démagogique ( les bénéficiaires n’ont pas d’influence sur les élections, 11 000 personnes) On peut penser que c’est une bonne ou mauvaise idée, mais cela part d’un raisonnement économique, arrêter la fuite fiscale, favoriser l’esprit d’entreprise.
              L’actualisation des tranches de l’IR pour les deux premières tranches, cela revient à faire échapper le bas de la classe moyenne sup à l’effort collectif. La CSG pour tous, cela reveint à faire payer les pauvres.

              Essayer d’avoir une analyse marxiste de ce gouvernement ; de vous le représenter comme un gouvernement de classe au service de sa base électorale et de ses clientèles. Vous verrez que cela fonctionne très bien.
              On économise sur les heures sup dont on sait à qui elle profitait, pour augmenter les dépenses de l’état de 7 Milliards avant de faire semblant d’en économiser 10. Et comme au bout du compte les ménages et entreprises sont liées, on ponctionne 20 milliards pendant que l’état prétend en économiser 3.

              Aujourd’hui plus que jamais,le choix des pauvres, du vrai social passe par un engagement à droite.

               


              • eric 4 octobre 2012 13:07

                Excellent, même si a peu prêt aussi fraiche que celle du renard libre dans le poulailler libre. Maintenant parlez moi d’UNE mesure prise par l’actuel gouvernement qui n’illustre pas ce que je dis. Personnellement j’en ai trouvé une, les frais d’inscription dans les classes préparatoires, qui taxeraient, un peu, les catégories sociales qui profitent le plus de l’État. mais ce n’est qu’une piste et je doute que la mesure soit appliquée. En revanche, les exonérations fiscale pour frais de maquillage pour les journalistes, dont le lobby est représenté par une certaine Treierweiler, il parait que c’est en bonne voie.


              • foufouille foufouille 4 octobre 2012 13:16

                Aujourd’hui plus que jamais,le choix des pauvres, du vrai social passe par un engagement à droite.

                genre jeter de la bouffe a la poubelle plutot que baisser les prix ou la donner
                la bonne droite


              • eric 4 octobre 2012 15:02

                Elle n’est pas plus récente mais elle est moins rigolotte, à part cela vous avez des arguments ?


              • TSS 4 octobre 2012 18:19

                Depuis 10 ans on a une vue precise des bienfaits de la droite pour les classes populaires ... !!


                • Michel DROUET Michel DROUET 4 octobre 2012 20:45

                  Bonsoir CHALOT

                  « Les collectivités territoriales sont inquiètes »

                  On attend avec impatience comment les élus nationaux de tous bords qui cumulent avec des mandats locaux vont expliquer localement que les mesures votées au Parlement par eux sont un véritable scandale pour les collectivités dans lesquelles ils siègent.

                  Quant aux investissements des collectivités territoriales, j’aimerais que les élus sortent du conformisme des ronds points, des déviations et autres aménagements urbains et qu’ils nous proposent une autre voie pour investir autrement que dans le goudron, les bordures en ciment et les réverbères qu’on éteint la nuit parce qu’on ne peut plus payer l’électricité.

                  Des emplois perdus dans le BTP ? Oui parce que les élus n’ont pas su négocier la transition et sont pieds et points liés face aux lobbies.

                  Rassurez-vous , les grands groupes économiques et financier sauront se diversifier et aller vers les autres politiques qui seront proposées par les élus. On peut leur faire confiance ! Et dans 10 ans on en sera au même point, sauf qu’entre temps il y aura eu de la casse sociale.

                  C’est ce qu’on appelle la politique du chien crevé au fil de l’eau.

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