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Accueil du site > Actualités > Technologies > Le supervirus H5N1 de la confusion mentale se répand chez les scientifiques (...)

Le supervirus H5N1 de la confusion mentale se répand chez les scientifiques et les politiques

Comme son célèbre prédécesseur issu de la nature, le H1N1 de 2009, le nouveau virus H5N1, obtenu cette fois en laboratoire, a suscité des craintes qui se sont répandues à travers le milieu qui transmet les peurs à une incroyable vitesse, je veux parler des médias. Pour l’instant, ce virus reste confiné dans le laboratoire P3 néerlandais où il a été élaboré grâce à un protocole expérimental dont la publication dans la revue Science est bloqué mais dont on peut obtenir quelques détails puisque ces travaux ont été présentés lors d’une conférence à Malte consacrée aux risques grippaux. Le contexte sanitaire des années 2000 fournit le ressort de ces investigations. Il se disait que le virus H5N1 est très peu contagieux mais qu’il tue 60% des personnes infectées. En fait, quelques centaines de décès imputés au virus H5N1 ont été recensés mais ces résultats ne sont pas exempts d’un biais assez important dans la mesure où la recension des personnes ayant contracté le virus n’est pas fiable pour la bonne raison que si ces individus ne finissent pas à l’hosto, ils ne sont pas repérés par la « patrouille statistique ». En plus, rien n’indique la part imputable au H5N1 dans les décès constatés car tout dépend de la fragilité de la personne contaminée et d’éventuels co-facteurs. Bref, il se pourrait bien que les scientifiques aient créé une menace fantôme et que toute cette mayonnaise ait pris avec le principe de précaution, les agences sanitaires, les pouvoirs politiques, les laboratoires, la propagande et les crédits qui vont avec.

Courant octobre 2007, les médias ont évoqué une mutation naturelle du virus H5N1, relayant les inquiétudes émises par le virologue Kawaoka qui précisait tout de même que plusieurs autres mutations devraient se produire avant que la grippe aviaire ne devienne pandémique. Pour l’instant, le H5N1 ne provoque qu’une épizootie, décimant les oiseaux par milliers. Si on veut être honnête, il faut reconnaître que c’est la promiscuité des volatiles dans les élevages qui rend le virus plus létal qu’il ne l’est lorsqu’il se propage dans la nature. Des centaines de millions d’oiseaux sont morts depuis suite aux abattages préventifs diligentés par les pouvoirs publics dans les élevages présentant les signes d’une contamination. Il faut garder à l’esprit quelques notions d’écologie et notamment le fait que le destin d’un virus, mutations, infections et propagations, dépend des organismes hôtes et du milieu. Jusqu’à présent, tous les virus grippaux propagés par l’homme possèdent le déterminant antigénique H1, H2 ou H3. Les dernières grippes les plus sévères remontent bien avant l’usage intensif des méthodes de séquençage pratiquées en laboratoire. On s’aperçoit maintenant que cette science censée nous protéger et sécuriser notre santé est devenue prétexte à façonner des inquiétudes. Tel se dessine l’étrange paradoxe du savoir scientifique. Plus on en sait, moins le vivant est perçu comme maîtrisable car le savoir engendre des hypothèses apparemment rationnelles mais qui devraient rester du domaine de l’improbable. Sauf qu’avec le principe de précaution, tout ce qui est scientifiquement concevable doit être examiné comme une menace et faire l’objet d’études de faisabilité assorties de travaux permettant de répondre à cette menace. Ce constat n’est rien d’autre qu’une variante du principe de Gabor énonçant que tout ce qui est techniquement possible sera réalisé au moins une fois. 

Jusqu’à présent, le virus H5N1 n’est pas dangereux pour l’homme, même s’il a été agité par d’imprudents virologues à des fins qu’on ne cherchera pas à cerner. Et comme il faut absolument se protéger de tout, alors les scientifiques essayent depuis quelques années de produire un variant pouvant présenter un danger pour l’homme. Le big one n’a pas été observé dans la nature, alors créons-le ! Quelques laboratoires travaillent sur ces projets, disposant de technologies très pointues nécessitant des crédits mais aussi l’aval des autorités car si un méchant virus était créé, il ne faudrait pas qu’il sorte par une porte et se répande dans l’atmosphère. D’où les normes de sécurité requises. Plusieurs stratégies sont utilisées pour fabriquer un virus dangereux. Il est possible de jouer sur les réassortiments, c’est-à-dire sur les échanges de segments d’ARN. C’est ce que fit par exemple Kawaoka qui effectua il y a deux ans des manipulations visant à réaliser les 256 combinaisons possibles à partir d’une souche H3N2 humaine et une souche H5N1 aviaire. Ces travaux n’ont pas vocation à jouer aux apprentis sorciers mais à tester l’éventualité d’un réassortiment possible qui ne peut se produire que si un individu est infecté à la fois par le virus humain (souche A, H3N2, Tok 07) et le H5N1 aviaire. Cette éventualité est hautement improbable, tout comme l’est celle d’un réassortiment réussi et la libération d’un virus pandémique dans la nature. Mais bon, c’est de la science, c’est de la curiosité, il faut savoir et les travaux présentés ont été réalisés en prenant comme modèle la souris. Parmi les 75 virus fabriqués et présentant l’antigène H5, 22 se sont révélés plus virulents que le H5N1 ayant servi aux réassortiments. Ces 22 souches ont la particularité de posséder le segment PB2 présent dans le virus de la grippe A. Et donc la conclusion est qu’un virus H5N1 faiblement pathogène sur la souris peut le devenir s’il incorpore l’élément Pb2 de la souche humaine (Chenjung Li et al. PNAS, publié en ligne le 22 février 2010).

On retrouve dans l’actualité ce même Kawaoka dont un article sur H5N1 est lui aussi bloqué, comme celui du sulfureux Fouchier à l’origine de cette tempête médiatique concernant la production d’un supervirus. On peut penser que l’intéressé a été assez maladroit en criant sur les toits sa découverte. La concomitance du film Contagion et du blocage de son article ont fait le reste. Mais c’est surtout Paul Keim, le directeur de l’agence de biosécurité américaine, qui a affolé les médias en déclarant que, comparé au virus de Fouchier, l’anthrax ne lui fait même pas peur.

 J’ai fini par trouver quelques informations scientifiques sérieuses, divulguées par Fouchier lui-même dans la revue Scientific American qui a couvert la conférence de Malte début septembre. Fouchier a d’abord fabriqué par des méthodes génétiques un virus H5N1 présentant la capacité de se fixer sur des muqueuses nasales et trachéales. Il a suffit de cinq mutations pour rendre le virus aviaire perméable au système respiratoire. Ce mutant fut testé sur le furet et là, surprise, ou plutôt non, le virus était très peu contagieux. C’est alors que, selon les dires de Fouchier, une personne de son labo lui a conseillé de faire quelque chose de stupide. Il s’agissait d’infecter un furet par le nez, puis une fois malade, de récupérer les sécrétions nasales pour en infecter un second et ainsi de suite. Au bout de dix opérations, le virus était devenu contagieux. Et c’est de là qu’est partie le buzz H5N1. Qui a fini par se solder par une discussion des ministres du GHSI, groupement d’échange d’informations sanitaires réunissant le G7, le Mexique, la Commission européenne et l’OMS représentée par sa présidente M. Chan. Ces messieurs ont réfléchi avec des experts sur l’opportunité de mener ces recherches mais surtout, on soulevé des questions sur la manière de communiquer ce type d’information sensible dans les médias. Quant au virus, certains envisagent de le mettre à l’autoclave.

Et la science dans tout ça ? Ce virus était-il une menace, une sorte de big one pandémique pouvant tuer des millions d’individus ? Cette hypothèse est assez improbable puisque le propre d’un virus contagieux est de se transmettre en jouant de concert avec les systèmes moléculaires de l’hôte. Il n’est pas du tout certain que ce virus soit adapté à l’homme, surtout si l’on prend en compte sa méthode de fabrication assez artificielle, utilisant la main du scientifique plutôt que la main de dame nature. Et c’est d’ailleurs toute la question de l’épistémologie de laboratoire qui ressurgit. Une question que de rares philosophes des sciences ont étudiée, comme Florence Burgat qui évoqua les critiques de Lorenz minimisant l’éthologie lors qu’elle est proche d’une épistémologie de laboratoire ; suivie Marion Thomas dont les travaux portent sur « l’expérimentation dans les sciences du comportement animal, entre pratiques de terrain et de laboratoire, en particulier dans le contexte de la "transformation de la biologie" qui, au tournant du XIXe et du XXe siècle, voit l’épistémologie du laboratoire s’imposer à celle du terrain. En privilégiant deux modèles, celui des sociétés d’insectes et des singes, et à travers deux questions, celle des facultés mentales et de l’organisation des sociétés, cette recherche vise à révéler la dimension anthropocentrique des études sur le comportement animal »

Ce cadre épistémologique peut être transposé dans le contexte de l’étude des virus. La dimension anthropocentrique s’y exerce sur un autre plan, celui de la confusion entre ce que les hommes produisent dans un environnement maîtrisé, contrôlé, et le cours des choses lorsqu’elles se déroulent dans la nature. Pour résumer, le scientifique croit que ce qu’il manipule existe réellement dans la nature. La confusion est édifiante. Ces études ne permettent pas de tirer la moindre conclusion sur ce qui pourrait se produire dans une nature où les virus mutent spontanément et où les animaux n’échangent pas leurs sécrétions nasales. Bref, les supputations sur ce supervirus sont infondées. Les virologues finissent par devenir aussi suspects que les climatologues et les politiques semblent enclins à se servir des craintes virales pour agiter les peurs et asseoir leur pouvoir. Le virologue confus croit reproduire dans un laboratoire la nature, le climatologue confus croit que la terre est comme une pièce dont on peut régler la température. Comme quoi la science n’élargit pas l’esprit, bien au contraire. Et la politique adhère aux visions rétrécissantes. Et donc même verdict que dans mon livre sur la pandémie H1N1, nous vivons dans une époque crépusculaire. La lumière des savoirs est filtrée par des œillères.


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21 réactions à cet article    


  • lambda 15 décembre 2011 11:47


    Ca y est !!! - la trouille a été inoculée par cette annonce foudroyante de mise au point d’un super virus

    Les esprits sont donc préparés pour accepter de se faire vacciner pour tout et n’importe quoi !
    Les labos doivent se refaire une santé après leur échec du vaccin H1N1

    Si seulement on pouvait inventer un vaccin(sans adjuvant) contre la naïveté, ce serait un grand moment dépassant le vaccin de Pasteur (imposteur) contre la rage

    La peur a toujours été un outil privilégié des gouvernants



    • lebreton 16 décembre 2011 00:14

      bonsoir lamda 


      je partage votre idée que ce qu’on inocule c’est la peur et ça marche bien voir les résultats des labos comme servier , cette affaire n’est pas réglée,si ça dure autant que les détournements d’argent de chirac ,je pense que beaucoup de gens vont mourir sans connaitre la vérité ,mais au dela de toutes les manigances en tout genre je me pose une question ,aujourd’hui qu’es devenu le medecin généraliste sinon le marchant a la petite semaine de médicaments mis sur le marché . des gens qui on avoues en tant que visiteurs médical cette vérité qui consiste a persuader votre toubib a vous prescrire leur produit !ou il est complice et la c’est grave ? ou je vais allez chez un vétérinaire , ceci dit la secu ou ceux qui gere seraient d’accord !!!!!!!!!!!! bref c’est désesperant 

    • foufouille foufouille 15 décembre 2011 13:09

      allez 6 milliards de morts
      bientot


      • Muriel74 Muriel74 15 décembre 2011 13:36

        le génétiquement modifié n’est qu’un fabrique de chimères dont on cache soigneusement les effets négatifs en toute conscience.Travaux de recherche falsifiés, pas d’éthique, evaluer la conséquences de ses actions jusqu’à la 7ème génération ( sagesse des indiens) ? n’en parlons pas. Science sans conscience....
        http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=les%20probl%C3%A8mes%20%C3%A9thiques%20de%20la%20biologie&source=web&cd=1&ved=0CB8QFjAA&url=http%3A%2F%2Fsergecar.perso.neuf.fr%2Fcours%2Fvivant2.htm&ei=vuLpTuWeCtOEhQfCvZHDCA&usg=AFQjCNEm37anOZyBjw_B8rg3htqkuakm1Q&cad=rja


        • clamavit 15 décembre 2011 14:14

          Excellent article, même s’il peut paraître un peu long pour les non initiés et ceux qui n’ont jamais été ni grippés ni influencés. Le H5N1 a certainement tué plus que les quelques centaines d’hospitalisés, généralement trop tard et dans des hôpitaux mal équipés. La majorité de ses victimes sont de jeunes enfants employés à nourrir la volaille et à enterrer les cadavres lorsque la grippe HP (hautement pathogène) tue. Pour le H5N1 trafiqué, il se peut qu’il soit tellement transmissible et mortel qu’il n’irait pas loin en pays « civilisé ». Nous ne sommes plus au temps de la grippe espagnole. Mais bien sûr, il ferait des dégâts dans les tiers-monde à forte densité d’une population circulant sans masque ou sans cache-nez.


          • Lisa SION 2 Lisa SION 2 15 décembre 2011 14:46

            H5N1 mortifieur shooté ! H4N0 phare à youd éteint ! H3N7 restoroute en vue !
            c’est pas suffisant d’inventer des maladies fictives, maintenant ça va être dur de trouver les clients potentiels sans la maison poulaga. le mieux serait d’inoculer définitivement ces poisons à ceux qui les produisent, à tous ces doc maboul.


            • penajouir penajouir 15 décembre 2011 15:44
              Le H1N1 c’était la grippe du cochon
              Le H3N1 c’était la grippe de canard
              Le H5N1 c’est la grippe du co-nard

              • Jean Umber 15 décembre 2011 18:29

                Un chercheur en biologie végétale me faisait part d’une observation étrange : lors d’un croisement entre espèces (pour obtenir par exemple des espèces plus résistantes), il n’apparaissait de virus que lorsque ce croisement était obtenu en laboratoire, en utilisant les milieux de culture classiques. Dans la nature, ce virus n’apparaissait pas.
                Je me suis demandé si le milieu de culture en lui-même ne pourrait pas être une des causes de l’expression virale.
                Par exemple, Aquaro a montré que la réplication du VIH dépendait de la présence d’oxydants azotés dans le milieu de culture.
                Or dans ces milieux, on retrouve souvent deux oxydants azotés : les nitrates et les azotures (qui tue les bactéries).
                Est-ce que finalement ces virologues ne se sont pas trompés eux-mêmes à cause de leur trop grande confiance dans les milieux qu’ils utilisent ?
                Peut-être est-ce là une des plus grandes erreurs scientifiques des deux siècles passés.


                • Bernard Dugué Bernard Dugué 16 décembre 2011 10:54

                  Merci pour cette information. Enfin un commentaire constructif et en effet, l’observation que vous placez s’inscrit dans la critique de l’épistémologie de laboratoire que j’ai mentionnée ici. La biologie reste encore ignorante de la logique des virus et du rapport entre l’organisme et le milieu. Cela fait des décennies que ça dure.

                  Message aux autres commentateurs. Cet article avait comme objectif de montrer que ce virus est probablement inoffensif chez l’homme et je me demande pourquoi c’est le contraire qui a été compris. Décidément, bien joué, l’amerlocke de la biosécurité qui en déclarant le virus plus dangereux que l’anthax et en bloquant la publi a semé le trouble chez les Européens !


                • lebreton 16 décembre 2011 00:30

                  Ce n’est pas nouveau ,hitler cherchait a créer une race supérieur par l’accouplement naturel de gens sélectionné en fonction de leur physique ,monsanto fait la meme chose avec les plantes et on vois bien le résultat des milliers de morts a venir ,et peut etre pas seulement pou le fric , derrière tout cela les puissants ne rêve t’ils pas d’etre immortel ? 


                • Sat is Fay 15 décembre 2011 22:07

                  Comme dit Petit, pour la mort y en a d’ la thune !


                  • TSS 16 décembre 2011 00:21

                     ENCORE UN COUP DES APPRENTIS SORCIERS !!

                    Dans 6 mois on apprendra qu’une erreur de manipulation a fait que le virus est dans

                    la nature (comme le HIV) et ce sera parti pour une regulation sauvage de la population !!

                    Même si cela n’arrive pas ,ça permettra de faire avaler plein de couloeuvres

                    en instillant la peur... !!


                    • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 09:33

                      Si quelqu’un veut réguler la planète y a déjà ebola pour ça.
                      Cette peur c’est juste pour agiter l’opinion et avoir des crédits, la recherche sur ce virus est nécessaire par contre parce que si on élimine les théories soucoupistes, le H5N1 peut un jour revenir en mode furieux de façon naturelle, il vaut mieux être prêt.


                      • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 11:42

                        Si t’as des questions sur pourquoi faire de la recherche expérimentale tu te débrouilles, t’es grand.
                        J’ai pas que ça à faire de t’expliquer.


                      • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 14:51

                        Je viens sur Avox pour apporter ma petite contribution, donner mon point de vu sur certains articles, pas pour avoir le dernier mot ou perdre mon temps sur des questions de moral « Papa au nom de la science, a t’on le droit d’inventer du vivant mortel ? ».
                        On s’éloigne du sujet de l’article pour aller vers l’éthique tout ça, une autre fois.


                      • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 16:41

                        Tu sais que poser des questions ?

                        moinssez moi, moinssez moi, moinssez moa aa...


                      • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 19:10

                        Je viens de me rendre compte de ton orthographe et je te trouve courageux mais je veux pas échanger avec toi, je veux qu’on reste ami.


                      • TSS 16 décembre 2011 09:58

                        Pret à quoi  ? a se faire vacciner avec une merde comme le H1N1 qui a envoyé

                         plus de personnes ad patrès qu’il n’en a sauvé,sans parler de l’argent dilapidé !!

                        Quant aux theories soucoupistes, c’est l’argument preferé de ceux qui n’en ont pas... !!


                        • ecophonie ecophonie 16 décembre 2011 10:25

                          Théorie soucoupiste, c’est mon point de vue sur ta façon de voir les choses, c’est pas un argument, on est d’accord.


                        • Deneb Deneb 16 décembre 2011 12:13

                          Pour le coup, je viens de revoir le magistral « L’armée des 12 singes ». Quel chef-d’oeuvre ! J’espère que l’on nous épargnera de le qualifier de « prophétique ».


                          • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 16 décembre 2011 13:51

                             IL Y’A UN DANGER PLUS GRAND...

                            APPROCHONS-NOUS DE LA CONCLUSION FINALE !

                            J’ai plusieurs fois expliqué sur le Web ce que devrait être la « démocratie », « la liberté », « le développement durable », « l’écologie », "le bien être"... La presse mondiale a reçu mes centaines d’articles ; les responsables politiques ont lu mes centaines de propositions ...Et le monde est toujours incertain, toujours dans une ambiance de crise, de désordre et d’anarchie !

                            Pour faire la part des choses et pouvoir comprendre l’essentiel d’abord afin aller ensuite vers le politique sophistiqué apprenez ceci :

                            Les principes fondamentaux (dans l’ensemble des domaines de la vie) n’appartiennent ni aux individus ni aux nations, ces principes ne diffèrent en rien d’un pays à un autre ou d’un grouppement humain à un autre ; c’est seulement la pratique et l’alignement sur ces principe qui fait la différence entre une nation plus ou moins organisée et une autre plus ou moin délabrée !

                            Comprenez bien que :

                            LES LOIS SOCIALES SONT A LA NATION ET A L’ETAT CE QUE LES NORMES SONT A LA TECHNIQUE ET A L’INDUSTRIE !

                            A partir de là, il ne sert à rien de bavarder à longueur de journée pour expliquer ce qui est limpide...Pour dire inutilement pourquoi tel ou tel pays hors la loi se noie dans la médiocrité malgré ses incommensurables richesses naturelles alors qu’un autre pays moins nanti jouit d’une organisation sociale et d’un bien être individuel et collectif !

                            Il est aisé de comprendre qu’avec un minimum de moyens on peut faire ce que d’autres ne peuvent réaliser avec un énorme gaspillage d’argent et d’energie !

                            On peut aisément comprendre que les pays intelligents se donnent au développement durable lorsque les pays qui ne comprennent rien dilapident leurs richesses !

                            Comme les pays intelligents ne peuvent s’éloigner ou s’isoler des pays qui ne le sont pas, comme la planète Terre devient de plus en plus petite, comme les valeurs humaines s’évaporent rapidement et laissent place aux fléaux et aux comportements nuisibles, comme les frontières s’effacent progressivement et permettent la contamination et la contagion de la maladie du désordre et de celle plus coriace de la mentalité hors la loi...Il est d’une exrême urgence de décider un NOUVEL ORDRE MONDIAL sur la base de la « DECLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS » !

                            http://www.agoravox.fr/auteur/mohammed 

                            http://www.facebook.com/groups/[email protected]

                            http://www.google.com. Tappez Mohammed MADJOUR.

                            http://www.elwatan.com Chercher dans les archives

                            http://www.liberté-algerie.com Chercher dans les archives

                            Mohammed MADJOUR.

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