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Quelles sont les meilleures universités américaines pour les cleantech ?

Le secteur des cleantechs, très porteur malgré une conjoncture mondiale difficile depuis 2 ans, progresse, et avec lui la demande en formations environnementales, celles-ci pouvant concerner à la fois le cœur du métier, à savoir l’ingénierie, mais aussi toutes les fonctions supports : droit de l’environnement et de la construction, communication, financement de l’innovation, droit communautaire, etc. Nous avions vu en France que ces formations avaient la côte. Voici un premier classement, forcément subjectif, des meilleures universités selon Cleantechies.


  • UC Berkeley – l’époque hippie est terminée, et c’est désormais l’endroit où il faut être pour l’ingénierie, l’écologie et les politiques publiques.
  • Stanford – nombreux sont les dirigeants des start-up « vertes » de la Silicon Valley (voir à ce sujet notre dossier sur la conversion aux cleantech des géants de l’IT aux Etats-Unis) qui viennent de Stanford, à San Francisco.
  • San Jose State – une surprise publique au milieu des grands noms américains du privé, puisque l’université de San Jose tire sa place au classement par son accessibilité et sa localisation, puisqu’il s’agit de la plus grande ville de la Silicon Valley
  • MIT – un must pour l’ensemble des sciences, toujours en avance, récemment dans les cleantechs avec des véhicules hybrides et des cellules solaires
  • Université du Texas à Austin – l’argent du pétrole va également dans les cleantech, puisque cette université dans l’Etat du pétrole américain innove régulièrement.
  • California Institute of Techonlogy – plus connu pour ses liens étroits avec la NASA (qui elle aussi verse dans les technologies propres) et une spécialisation dans l’aéronautique, un secteur dont nous avions vu qu’il avait grand besoin de l’aide des cleantech pour se sortir du tout-pétrole.
  • UC San Diego – tout simplement l’un des ratios de subvention de projets par professeur les plus élevés du pays !
  • Cal Poly San Luis Obispo – les meilleurs ingénieurs en sortent, malgré la distance d’une grande ville.
  • Oregon State – Encore une institution publique et donc abordable pour un séjour à l’étranger. OSU s’est spécialisé dans le design et le marketing des cleantech.
  • Lewis and Clark University – les articles de ses universitaires sont lus avec attention et estime, leur spécialité : le droit de l’environnement.

TechnoPropres

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1 réactions à cet article    


  • joelim joelim 23 août 2010 14:21

    J’adore le terme cleantech.

    En français je traduirais par éco-business.

    C-à-d faire des sous – un max de sous – avec l’écologie. 

    Enfin la pseudo-écologie, hein. 

    C-à-d le « clean-tech » amerloque...

    Sera-ce mieux que le dirty-tech habituel ?

    Rien n’est moins sûr. Exemple : le produit toxique déversé sur la marée noire de BP sous prétexte de « cleaner » technologiquement. C’est l’exemple même du « cleantech ». 

    On attend avec impatience les prochaines dispersions de produits toxiques qui seront nécessaires pour faire tourner le business du cleantech. 

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