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Accueil du site > Tribune Libre > Marchands de petites histoires

Marchands de petites histoires

« Hétéroclite et insolite » sont les mots qui viennent à l’esprit à la vue d’une brocante, d’un marché aux puces. Pourtant, un certain charme envoûtant demeure.

0d2f2bf4c59ea10392d3f4ce79d2e54f.jpgCe n’est pas un marché comme un autre. C’est une braderie où l’on brade le passé. Les brocantes sont toujours les antiquités du pauvre. Quand elles passent un autre cap, elles ne se retrouvent plus à même le sol mais derrière des vitrines bien éclairées. Celles-ci se doivent seulement de sortir de l’ombre, en plein jour, pour exister et espérer reprendre de la valeur dans l’imagination du visiteur d’un matin. Le marchand de ces objets n’est que l’intermédiaire distrait des petites histoires du réel vendeur dont on a oublié jusqu’au nom. Les acheteurs de tous les horizons sont là à l’appel. Moments de vie que l’on vient voir par curiosité plus que pour le plaisir d’acheter. Quoique... la belle affaire attire comme l’aimant.

Le plus souvent, les matins de week-end sont réservés à cette sortie dominicale. On faisait jusqu’ici grise mine dans les rangs des vendeurs et des acheteurs. Les dimanches se ressemblaient un peu trop, l’air renfrogné et grisaillant. Ce matin, 5 août, le soleil est encore bas sur l’horizon, mais bien présent déjà. On sait qu’avec une journée telle que celle-ci et qui fait soudain commencer réellement l’été dans la pratique, cela allait faire du monde. Alors, on se rassemble, on se rencontre sur la grande place.

Cette rencontre avec le passé se fait souvent bizarrement dans le voisinage des églises. L’affluence est là, silencieuse, religieuse ou bruyante et dépendante des tempéraments, des origines des interlocuteurs vendeurs ou acheteurs.

52227b8e3e6ae44d6c1783db76b1c8bb.jpgLe moment est solennel, mais on n’y pense plus. Le présent va rencontrer le passé pour espérer créer le futur. Les "vide-greniers" ont fait ample moisson de choses d’un autre temps, d’une époque complètement révolue même et qui se réfugie dans les souvenirs les plus reculés. On vend de tout sur ce marché, sur ce bazar de l’insolite.

Avec mon vélo à mes côtés, mon appareil numérique en batterie, je m’avance, je fends la foule bien décidé à réveiller ces objets par l’esprit. On va "chiner", on va fouiner, on va brocanter. Pour y arriver, on est près à vendre son âme au diable. Pour se faire, blaguer, charrier, plaisanter, critiquer, râler sont les verbes qui vont le mieux dans le décor. b9f27fbea3e73ebf117a06900b20c6a4.jpg

Les échoppes d’occasions sont là, tantôt à même le sol, tantôt sur des présentoirs en échafaudage patiemment agencés pour offrir le maximum d’impact dans le domaine de l’imaginaire ou du rêve tortueux.

Pas moyen d’énumérer les objets qui vont défiler dans l’espace restreint : des vieux bouquins, des tableaux voisinent avec des miroirs, des fers à repasser, des abat-jour, des machines à laver dont on ne doit surtout pas demander le certificat de garantie... des éléphants roses ou peut-être au fond d’une boîte, la perle du Bengale. Parfois, au sortir d’un détour, on aperçoit une belle commode qui dérange le désordre établi avec l’imagination du hasard.

141118a45ce471b554beb5afbe8011a1.jpgPour ajouter à l’exotisme, les vendeurs se sont habillés en dignes représentants camelots. L’exotisme est de la partie.

Non, nous ne sommes pas dans les souks, enfermés à l’abri du soleil. Souks qui feraient ressurgir les souvenirs des vacances récentes, nous sommes au grand jour, sur une place inondée de soleil.

Les prix chantonnent doucement. On ne compte pas en milliers d’euros. On se trouve à l’étage bien en dessous. Il ne s’agit pas d’antiquaires de la place du Grand-Sablon de Bruxelles. Sur la plus connue place du Jeu-de-Balle dans les Marolles, les antiquaires supplantent aussi de plus en plus les brocanteurs au grand dam de ces derniers et des habitants qui touchent parfois les mêmes secteurs d’activité.

Nous sommes sur une place d’une commune près de chez moi. Dans le même espace-temps, je suis sûr que les mêmes scènes se déroulent de multiples fois.

La nostalgie est bien là, lassive. On prend en main certains objets, délicatement, de peur de casser. On se questionne parfois, mais que vais-je pouvoir faire de cela dans mon intérieur cossu ? Et, puis tout à coup, étincelle : "Et si je mettais cette assiette aux côtés de celle que m’a donnée grand-mère qui y tenait tant ?"

48f0fc78af01793aa537b7288acee368.jpgOn achète pourtant sans beaucoup réfléchir. L’hésitation n’est que passagère. Pris dans un engrenage avec molette à deux directions : "oui" ou "non". Le "ce n’est pas cher", l’emporte à coup sûr pour effacer le "peut-être".

On le serait à moins. Tout ce qui se trouve ici a été récupéré dans les greniers pour pas grand-chose. Le pourfendeur des greniers délaissés a plus pensé à la quantité qu’à la qualité. Du moins, c’est ce qu’il a laissé comprendre au vendeur initial de ce passé d’occasion.

La tranche Valeur-Ajoutée viendra plus tard. Ici, même, peut-être, sur cette place de soleil vêtue.

Les objets ont accompagné des vivants qui ne sont plus là pour en discuter les prix. Ils auraient certainement refusé de lâcher l’objet de nombreuses fois époussetés, usés presque par le frottement de la main caressante et par le temps. Ces objets, ils veulent encore vivre dans une autre vie. Un objet ne meurt pas comme un humain. Ils se soignent, ils se bichonnent avant et peut-être bien par après pour ressusciter. Ils sont uniques par leur physique mais aussi par tout ceux qui les ont fait vivre. Ils ont trop de choses à raconter pour celui qui sait les entendre, avant de tomber définitivement, lamentablement dans la poubelle ou dans l’oubli définitif et irrémédiable.

Je disais "hétéroclites", particuliers certainement, ces objets. C’est évident. Une vie n’est pas une autre. Celle-ci s’est effilochée dans le pluralisme et la diversité.

925928f12fe3ff07e13eec5cd7107fbf.jpgPourquoi d’ailleurs chercher à rassembler les exemplaires d’un même assortiment ? Tout s’éparpille, se dissout dans l’environnement créé par le hasard.

Nous, humains, ne sommes pas des clones non plus et, certes, un peu plus que des "objets" du passé. Chacun, en écho avec les objets de son environnement, y a mis du sien, de sa personnalité. Là, réside la valeur ajouté.

Je m’arrête. Je plonge la main vers un disque 33 tours qui me ferait ressurgir une musique bien connue. Un Nat King Cole de première. Vais-je me renseigner sur le prix ? Non, je suis à vélo. Comment pourrais-je emporter ce souvenir sans risquer le casser ? Et, je le remets dans sa caisse, malheureux, lui et moi, désolés de ne pas avoir fait plus ample connaissance. Peut-être m’aurait-il fait danser comme il l’a certainement fait dans le passé ? Perte sèche pour moi.

Tout à coup, je suis sorti de ma rêverie. Mon vélo gêne un acheteur qui me le fait remarquer de manière assez ostentatoire. Je dois dégager. Ce rappel à l’ordre était certainement nécessaire. Rêver n’est pas salutaire pour tous. La réalité a de ces lois où la raison et le temps prennent la prépondérance.

Les magasins qui bordent la place n’en ont cure. C’est dimanche, on se ressource pour le lendemain. Car, demain, c’est un autre jour. Celui-ci aura été un intermède. La folie, il faut bien qu’elle trouve des exutoires.

Je souris et je m’avance un peu plus loin après une dernière photo.

Un air de revanche se dessine sur mes lèvres et je plante là mon "disturbateur" en lui disant que j’ai rendez-vous avec Louis, la Brocante, un peu plus loin. Il me regarde étonné de cette familiarité mal venue. Il ne cherchera pas à me comprendre. Il s’écarte et ne pense déjà plus à moi.

Le monde du réel est bien plus dur. La lutte entre les vide-greniers, les brocanteurs professionnels et les antiquaires n’a pas fini de faire du bruit pour dénoncer une concurrence déloyale entre ces vrais et faux métiers. Commerce parallèle et en décallage ? Vu la situation économique paupérisante, ce marché attire de plus en plus de monde. Ce n’est plus l’attirance vers l’ancien seul qui prend le pas, mais la recherche de l’utile au meilleur prix. Peu importe le vieillissement. Des paires de chaussures de deuxième "pied" sont là pour le faire comprendre.

Alors, vendre pour combler un manque, oui. En supporter les charges, il faut y passer pour éviter de déforcer l’entièreté du commerce. Quand les gros sous entrent en jeu, des règles s’imposent plus drastiques et plus lointaines du rêve dans lequel j’avais commencé cet article.

Il paraîtrait même que les brocanteurs ont leurs secrets d’après Hubert Duez.... Un autre brocanteur (à Londres, cette fois) parlait de son métier. Dans un autre temps, en 1769, la brocante avait également son histoire.

Personnellement, je me devais d’écrire ce billet sur le vif, sur place, en direct indépendamment de l’aspect économique pourtant bien présent.

Chacun son truc et sa vision. Chez moi, l’hétéroclite finit toujours en hétero-clic ou en hétéro-script.

Michel Jonasz chantait Le Brocanteur pour nous en rappeler les fondements tandis que Serge Lama, lui, l’associait à une vieille qui inspire à une nouvelle vocation.

J’espère seulement avoir réveillé vos imaginations, vos rêves par cette matinée dominicale.

Qui sait, à l’intérieur d’un de ces bibelots, d’une de ces lampes du passé, y aura-t-il un sortilège compris dans le prix ? En héritier, notre rêve serait alors devenu réalité pour pas grand-chose.

  • « Vieux foin est difficile à enflammer, plus difficile à éteindre. », Miguel de Cervantes
  • « N’importe quel objet peut être un objet d’art pour peu qu’on l’entoure d’un cadre. », Boris Vian
  • « Nos coeurs et nos greniers sont des cimetières d’objets. », Monique Corriveau
  • « Plus un objet nous devient précieux, plus il nous semble fragile. », Madeleine Ferron

Des images de la Mecque bruxelloise de l’antique


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19 réactions à cet article    


  • Boileau419 Boileau419 30 août 2007 11:12

    Ik heb een artikel dat nog niet goedgekeurd is door het heilige comité, Jefke. Ik wacht al vijf dagen op de grote beslissing. Kun je iets doen, zeg ? Het is over het Heilig Evangelium, niets over politiek.


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 11:28

      @Dag Waterproof,

      Ik heb je artikel gelezen en geaccepteerd. Ik ben niet op dit spoor, maar dat maacht niet uit. Als conversatie, heb je al gelezen een van de boek van Begbeider gelezen. Intersant en op dezelfde methode. Het werd een conversatie tussen 2 perdonaliteiten op twee verschillende opinies en niveau.

      Iedereen zijn eigen personaliteit en idee, dat is mijn gevoel. We zijn op agoravox.fr en niet op medium4you.be... Dus... Franstaaligig hier smiley


    • Boileau419 Boileau419 30 août 2007 11:44

      Ja, dank je maar ik ben erover bezorgd dat ze het verkeerde artikel publiceren. Ik heb namelijk twee artikels geschreven over hetzelfde thema, maar het eerste van 26 augustus wil ik niet meer publiceren. Ik hoop dat mijn debuut niet bedorven zal zijn door een fatale vergissing.

      Au fait, comment fait-on pour contacter directement un rédacteur ?

      Begbeider,euh...je ne connais pas. Pour les dialogues, je connais seulement Platon. Mon collègue m’apprend à l’instant que c’est un écrivain récent très à la mode. Ouh lala, moi qui ne lis presque rien comme auteurs contemporains à part Raspail et Yourcenar.

      Il faut dire qu’écrire un dialogue, cela donne beaucoup de liberté. On a moins les mains liées par la nécessité de construire un argument logique et les ex-cursus sont permis pourvu que l’on mette au bon moment la phrase salvatrice : « Mais revenons à nos moutons... »


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 11:48

      Voila l’info. (URL) 2004 : Je crois Moi non plus : Dialogue entre un évêque et un mécréant, Calmann-Lévy


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 11:50

      J’en parlais dans mon article « Le ciel pour horizon » (URL) smiley


    • ripouette ripouette 30 août 2007 15:03

      Ca y es, je c pourkoi lé francofones veule fair secession en Belgique ! Ca vou casserait le cu de metre la traduc pour ceux ki cause pas dans vot langue ?


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 15:09

      T’as tout pigé. smiley


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 15:21

      Sorry, Boileau, je traduis. Il n’y a pas de secret. Donc, sans trahison.

      Boileau : « J’ai un article qui n’a pas été jugé bon par le sacro-saint comité. Petit Jef. J’attends depuis 5 jours la grande décision. Peux-tu faire quelque chose, dis ? C’est au sujet de l’Evangile, pas de politique ».

      L’Enfoiré : « J’ai lu ton article et je l’ai accepté. Je ne suis par sur cette longueur d’onde, mais ce n’est pas grave. Dans le style »conversation", as-tu lu un du bouquin de Begbeider ? Intéressant cette méthode. C’était une conversation entre 2 personnalités antagonistes. Chacun sa personnalité et idées, c’est mon sentiment. Mais nous somme sur .fr et non .be, donc parlons français."

      C’était notre leçon de flamand. Quand on m’adresse la parole dans une langue, j’essaye d’accrocher. smiley


    • LE CHAT LE CHAT 30 août 2007 11:16

      merci Guy pour cet article à la gloire des brocanteurs , chineurs , accros des marché aux puces . En tant que numismate , j’y ai trouvé là mon bonheur , et pour un collectionneur , trouver la perle rare en fouillant des cartons et des boites pendant des heures est beaucoup plus jouissif que d’allonger le pognon dans des salons de collectionneurs ou chez les antiquaires .

      Le week end prochain , c’est la grand messe à Lille , 3 jours de folie , amusez vous bien , collectionneurs de tous poils smiley


      • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 11:33

        Salut Le Chat,

        Je ne suis pas souvent dans ce genre d’endroit, je l’avoue.

        D’un naturel plus pressé, je n’aime pas me balader dans les marchés et tous les endroits où on se sent à l’étroit, à la queue leu leu.

        En fait, je ne suis pas un fan des magasins en général (il faudra que je fasse un article la dessus). C’est plutôt question « madame ».

        Ce n’est pas pour cela qu’avec le recul, qu’il n’y ait pas autre chose à y voir. Le vieux a une histoire.

        C’est ce que j’ai voulu apporter. smiley


      • La Taverne des Poètes 30 août 2007 11:39

        Salut Guy : programmation de l’article le jour de la diffusion en France de « Louis la brocante ». Bien joué ! smiley


      • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 11:42

        Salut Tav,

        Comme tu as pu le voir sur mon site, la date, ce n’est qu’un coup de bol... smiley


      • ripouette ripouette 30 août 2007 15:54

        Thanks pour la traduc, en même temps osef des articles de Boileau ! Comment il met la pression le facho ! Il était nul de toute façon ton article Bois-la-tasse.

        Allez moi aussi je m’essaye aux langues étrangères : Je maar namelijk twee hoop dat mijn heb een artike, erover bezorgd op de grote beslissin zijn eigen personaliteit. Ik hoop dat mijn.

        Tout en copier-coller la classe !


        • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 16:02

          @Ripouette,

          Désolé, mais je ne suis pa sûr de tout comprendre.

          A moi de demander une traduc. Je corrigerai (si je sais). Le Néerlandais est ma 2ème langue.

          Merci, d’avance et pas de problème. Peu importe si ce n’est pas du « beschaafd » (du pur) du moment qu’on se comprend.


        • ripouette ripouette 30 août 2007 16:07

          La réponse est dans la dernière phrase de mon post : « Tout en copier-coller la classe ! ». Gniark !!!


        • haddock 30 août 2007 17:04

          Hopla wassertrinker un enfoirierter , bouchour .

          Do ech a elsasser wu met eïr reda duant . D’r kenna macha wia n’r wan , d’ schénchta Hafala un floh marik sen bi uns en Elssas . Un s’ ech net waga da besch net ussa kuma , Wassertrinker , ass da muach ergend seh . Morn esch weder a tag .

          Salut vu do .


          • L'enfoiré L’enfoiré 30 août 2007 19:08

            Chers lecteurs,

            Cela pourrait être un véritable scoop. Je viens seulement de comprendre.

            La réponse à ma question est dans un des derniers commentaires de l’article.

            Bouvard et Pécuchet, actualité d’un chef-d’oeuvre par demian west (IP:xxx.x00.61.19) le 25 août 2007 à 08H20

            « Dixit DW : je n’existe pas, je ne suis qu’un leurre qui joue avec vous. Comme une nouvelle manière d’esprit robotique que j’ai nommé le « Psychogiciel ». Demian West est le prime psychogiciel, c’est tout. Et il a été créé par un auteur qui est moi-même la « NemoVenus » (mihi nomen nemo est : mon nom est personne). Les personnes qui me rencontrent savent que je suis un autre. Et mes trolls ne me rencontreront jamais. »

            L’enfoiré dit :

            Il ne s’agit donc pas d’une personne. C’est bel et bien avec une machine à qui l’on parle. Un générateur automatique de mots avec un programme dont on a le nom ci-dessus en clair.

            Donc, comme il s’agit d’une bécanne d’un certain âge, il faut utiliser un programme avec un langage ancien.

            Si cela ne marche pas, on utilisera un autre. Allons-y.

            Version 1 :

            Identification division.

            Program-id. ’psychogicielcor’.

            Environment division.

            File section.

            Select Dfile assign to disc articles.

            Select Ecran assign to screen.

            Data division.

            Working-storage section.

            77 option-todo Pic X Value Space.

            77 option-interet Pic X Value Space.

            77 zEcran Pic X(100).

            Procedure division.

            Start.

            Open Input Dfile.

            Lect.

            Read Dfile at end go to end-procedure.

            If option-interet = Space

            Move Space To option-todo

            Else

            Move ’Y’ To option-todo.

            If option-todo = Space Go to End-procedure

            Else Move ’&commentaire’ To zEcran

            Write Ecran From zEcran.

            Go to Lect

            End-procedure.

            Exit.


          • L'enfoiré L’enfoiré 31 août 2007 10:20

            @Panda après déjeuné,

            J’ai cherché « voter une clauque dans le clapier ». Je n’ai malheureusememt pas trouvé. Je creuse et je trouve du tout bon qui pourra me servir (URL). A voir.

            Que de souvenirs et de vérités. smiley


            • Lulu 6 septembre 2007 18:54

              Hubert Duez est un des rares auteurs a ne pas dire de « conneries » sur le métier (parole de pro). J’aimerais bien savoir où vous avez déniché ce texte si savoureux « La confession publique du Brocanteur » ?

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