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Présidentielles 2014. Pourquoi l’Algérie n’a jamais raté son rendez-vous avec l’histoire ? Pour que les jeunes générations comprennent !

 Il est impératif que les jeunes générations comprennent que l’Algérie n’a raté aucun rendez-vous de son histoire. Qu’ils doivent s’imprégner de l’histoire et que toutes les épreuves traversées le peuple algérien n’ont fait que renforcer sa stature internationale. Et encore aujourd’hui, contrairement à la « décennie noire » où les nations hostiles ont crû que l’Algérie, comme nation révolutionnaire, comme nation qui a aidé tous les peuples dans leur aspirations à l’indépendance, était fini, bien fini. Tous les pays du monde la voyaient ainsi, en particulier les pays d’Europe et les États-Unis qui envoyaient des panels pour enquêter sur les crimes commis en Algérie. L’Algérie était alors en prise avec l’hydre islamiste.

 Aujourd’hui, ce passé encore récent de l’histoire algérienne est oublié. Les jeunes et moins jeunes générations trépignent d’impatience et, en ce début d’année 2014, refusent que le président sortant Bouteflika qui a demandé un quatrième mandat puissent encore gouverner les cinq années à venir 2014-2019. Par certaine lecture dans des contributions dans agoravox où il est dit « accepter que le pays soit gouverné pour les prochaines cinq années par un tel homme (Bouteflika) est un non sens, je dirai même une insulte à ce peuple qui a vaincu le colonialisme français et le terrorisme islamiste. Beaucoup d’algériens sérieux et sincères, qu’ils soient au fait de la chose politique ou simple profanes, réclament, aujourd’hui, l’instauration de la 2° République. Que cela soit. Que la 2° République naisse en ce 17 avril 2014 sans forceps et sans césarienne. Sans souffrance et sans effusion de sang. » Et des écrits de la même teneur sont foison dans la toile et la presse écrite nationale et internationale.

 Aussi l’effervescence politique qui a pris un tour hystérique sur le plan médiatique nous interpelle pour apporter une explication rationnelle aux événements et enjeux qui se jouent dans ce rendez-vous de l’histoire qu’attend le peuple algérien.

 Pour situer ce rendez-vous historique, i.e. les élections présidentielles du 17 avril 2014 et montrer la rationalité de l’histoire, nous allons nous limiter à la période 1999-2014. Et pourquoi, durant cette période, Bouteflika a exercé trois mandats présidentiels. Est-ce que le choix de Bouteflika en 1999, a été le fait du hasard de l’histoire ? Parce qu’il a été un ministre des Affaires étrangères connu et respecté qu’il a été choisi par les plus hautes instances algériennes. Certes, les capacités de Bouteflika en tant qu’ancien ministre des Affaires étrangères ont beaucoup joué tant l’Algérie subissait un feu médiatique extérieur sans précédent durant cette période de fin de terrorisme (un terrorisme résiduel). L’essentiel de la lutte anti-terroriste étant réglé sous la présidence de Liamine Zéroual. Mais on ne peut se satisfaire du talent oratoire d’autant plus que l’Algérie durant toute la « décennie noire » s’en est assez bien sortie des ingérences extérieures. Est-ce que ce sont les « tensions au sommet » qui ont commandé ce choix ? Et là encore, il est difficile de penser que ce sont les tensions au sommet qui sont à l’avènement de l’homme « providentiel » que fut Bouteflika, d’autant plus que les instances suprêmes de la nation devait former un front uni contre toutes ingérences extérieures. Il y allait de la nation et du peuple algérien face aux forces hostiles, aux forces subversives.

 Donc il ne peut qu’y avoir des causes précises qu’il faut cerner et relèvent du développement historique de la nation algérienne.

 

  1. Les « Nécessités de l’histoire ». Le premier mandat de Bouteflika 1999-2004

 Tout d’abord la situation économique et financière mondiale en 1999. Avec la crise asiatique à l’été 1997, l’économie mondiale a brusquement décéléré, la fuite des capitaux l’Europe et les États-Unis ont mis sur le carreau la Thaïlande, la Corée du Sud, la Malaisie… Seule la Chine a échappé à ce tsunami inattendu. L’Asie était victime de son propre succès. En 1998, la crise systémique a pris dans ses filets l’Amérique du Sud (en particulier le Brésil) et la Russie. C’est ainsi qu’une économie mondiale qui a vu l’Asie, l’Amérique du Sud, la Russie et l’Europe, qu’il ne faut pas oublier, en pleine préparation de l’Union monétaire, ce qui sous-entend restrictions budgétaires, lutte contre l’inflation, etc., ont entraîné un véritable marasme économique mondial. Et qui a provoqué un contrechoc pétrolier en 1998 – le pétrole avait atteint un cours de 10 dollars le baril.

 Ce qui a généré une situation extrêmement grave pour l’économie algérienne. Au plus haut sommet de l’Etat, le problème central qui se posait pour l’Algérie était de sortir d’urgence d’une « banqueroute » qui se profilait et« risquait de remettre en question toutes ces années de lutte contre le terrorisme ». Il faut seulement se rappeler la situation que fut l’année 1994 pour l’Algérie. Un accord stand by a été conclu avec le FMI qui a commandé des conséquences catastrophique pour l’économie algérienne. Un peu ce qui s’est passé avec les délocalisations en Europe mais en plus désastreux : la dissolution de milliers d’entreprises nationales,la mise au chômage de centaines de milliers de travailleurs Algériens, la dévaluation du dinar, etc., autant de maux qui allaient mettre de nouveau l’Algérie à genoux.

 On comprend dès lors le stress des décideurs algériens et l’absence de riposte contre une situation à laquelle les plus hautes instances se trouvaient désarmées. Les tensions au sommet devenaient toute naturelles. Quelle parade pour sortir de ce cul-de-sac ? Et c’est là où la carte Bouteflika est entrée en jeu. D’autant plus qu’en 1994, l’Algérie en pleine débâcle économique avec l’« accord Stand by imposé par le FMI », les autorités avaient « déjà sollicité Bouteflika, mais celui-ci, mettant la barre haute (conditions inacceptables par les décideurs), n’a pas été retenu. » En 1999, la même histoire se répète, mais en plus grave. Et c’est là où Bouteflika devenait l’homme providentiel pour l’Algérie.

 Homme politique très introduit dans les pays monarchiques, le choix sur sa personne était désormais acquit. Les pétromonarchies arabes qui devaient apporter les capitaux nécessaires pour permettre à l’Algérie de sortir du contrechoc pétrolier de 1998 commandaient ce tournant de l’Histoire algérienne. Il n’y avait donc aucune entorse à l’histoire par les hommes, ce sont les hommes qui se pliaient à l’évolution du monde. Et ce sont les « intérêts suprêmes de la nation qui ont dicté ce choix. Toutes les analyses qui ressortaient à l’époque faisaient ressortir que l’Algérie avait besoin de capitaux pour le fonctionnement de l’Etat, et ce fonctionnement passait par l’économie nationale.

 Et c’est ainsi que le président Bouteflika a accédé à la magistrature suprême. On comprend pourquoile désistement des six candidats aux élections présidentielles n’a pas influé sur la marche de l’Histoire algérienne. Une nécessité historique qui dépassait le caractère démocratique des élections. Il serait plus juste de dire une « herméneutique » de l’histoire, dans le sens qu’il y a des événements qui dépasse les hommes. Ceci pour dire que ce ne sont pas les problèmes et les conflits au sein du sérail politique algérien, même s’ils y ont joué, mais la situation économique et financière grave qui a commandé l’arrivée de Bouteflika à la présidence.L’Algérie pour ainsi direfaisait face à elle-même et à l’Histoire, comme d’ailleurs aujourd’hui.

 A cette période, on faisait état que si l’Algérie rééchelonnait une troisième fois, les conditionnalités seraient plus dures. On parlait d’hypothéquer la moitié des grands gisements pétroliers sahariens. Ce qui serait une catastrophe pour l’Algérie. Mais la bonne étoile veillait sur le peuple algérien. Les cours du pétrole ont commencé à monter à partir de l’été 1999, il passe de 10 dollars à 14 dollars le baril en juillet-août. En septembre 2000, le cours du baril de pétrole passe à 36 dollars le baril.Une « hausse providentielle » ?

 En fait, l’Algérie a peu bénéficié des capitaux qui devaient venir des riches pays arabes. On peut même parier que si les cours du pétrole n’avaient pas progressé, les aides des pays arabes n’auraient certainement pas joué comme l’auraient espéré les plus hautes instances algériennes. Pour la simple raison qu’il était nécessaire pour les pétromonarchies arabes « d’annihiler l’aura du peuple algérien », dont le passé révolutionnaire continuait de marquer les peuples d’Afrique, arabo-musulmans, d’Asie et d’Amérique du Sud. L’« aura historique » du peuple algérien et le régime politique républicain constituait un danger certain pour les régimes monarchiques arabes.

 

  1. Le deuxième mandat 2004-2009. Le GMO, une donne mondiale et son impact sur une « nécessité » pour la sécurité

 Par conséquent, si les cours pétroliers ne s’étaient pas redressés et des capitaux arabes octroyés à l’Algérie au compte-goutte, il était peu vraisemblable que le président Bouteflika aurait apporté ce dont il était attendu de lui. L’Algérie, affaiblie par une décennie 1990 de terrorisme, serait retombée de nouveau dans une crise « déjà planifiée » et bien plus grave. Et on peut se douter ce que l’Algérie aurait été, ce que les médias nationaux et internationaux auraient eu à écrire. Mais la belle étoile veillait sur l’Algérie, une « herméneutique » qui a non seulement sorti le peuple algérien, auteur d’une des révolutions les plus marquantes du XXe siècle, de la crise des années 1990, mais de le maintenir comme « phare pour le réveil les autres peuples ».

 Il est évident que si la situation économique et financière s’était aggravée, i.e. il n’y aurait pas eu de redressement des cours pétroliers, et les pétromonarchies faisant faux pas au deal attendu, il n’y aurait probablement pas d’alternatives pour le peuple algérien que de poursuivre le combat contre les forces hostiles à l’Algérie. Et c’est ainsi que l’Algérie grâce à la manne providentielle que l’Algérie est sortie progressivement de la crise politique et économique et financière, et que la politique porteuse du président Bouteflika dans la « Concorde nationale » et la « main tendue aux terroristes » a confortée.

 Mais, dès 2003, la situation géopolitique et géostratégique du monde arabo-musulman va gravement se détériorer. Les attentats du 11 septembre 2001 vont changer les donnes mondiales. Les États-Unis partent en guerre contre le terrorisme international. Et c’est le monde arabo-musulman qui est ciblé. L’Afghanistan est envahi en novembre 2001, l’Irak en avril 2003. L’Iran est désormais menacé aussi d’invasion ou d’attaques préventives suite à la découverte du programme secret d’enrichissement nucléaire. Grâce à l’occupation rapide de l’Afghanistan et de l’Irak, les États-Unis se sentaient déjà en force de dessiner le monde arabo-musulman au grand bonheur de ses alliés notamment d’Israël, qui mena durant les opérations anglo-américaines, une forte pression militaire sur les fédayins palestiniens dans les Territoires occupés.

 La Libye, la première, chercha les bonnes grâces de la première puissance mondiale. Le 13 août 2003, laLibye versa 2,7 milliards de dollars d'indemnités aux familles des victimes de l'attentat de Lockerbie et reconnaît sa responsabilité civile dans l'attentat. De son côté la France exigea préalablement le versement d'« indemnités équitables » aux familles des victimes de l'attentat contre le DC-10 d'U.T.A, qu’elle obtient le 11 septembre, amenant le Conseil de sécurité de l'O.N.U. à voter la levée des sanctions contre la Libye. Et surtout l’idée du Grand-Moyen-Orient qui mit en émoi toute la classe politique maghrébine, proche et moyen-orientale. Les Arabes, affaiblis, visées par la nouvelle politique hégémonique américaine, n’ayant aucun recours, l’Union soviétique a cessé d’existe, la Chine convertie en économie de marché ne pourrait être qu’un hypothétique rempart puisqu’elle-même est dépendante de l’économie américaine. Les pays arabes, en 2004, ne pouvaient qu’obtempérer aux desiderata de la superpuissance. C’est ainsi que la « reconduction du président Bouteflika qui était bien vu des Américains devenait une nécessité ». Le régime politique cherchait avant tout la sécurité.

 La politique du président sur la « concorde nationale » s’est encore renforcée grâce à la hausse spectaculaire des cours pétroliers qui a contribué à payer les indemnités des pertes humaines aux centaines de milliers de familles victimes du terrorisme. L’Algérie était réellement entrée dans une croissance économique qu’elle n’a pas connue depuis les années 1980. Bien plus les cours du pétrole ont atteint des sommets inconnus jusque-là.

 

  1. Le troisième mandat 2009-2014. Le désir de stabilité

 En 2009, la situation économique s’est nettement améliorée. L’Algérie est devenue un véritable chantier à ciel ouvert. Le président a apporté avec lui la richesse, n’en déplaise les pétromonarchies qui ont vu et voient encore aujourd’hui un pays qui porte de l’ombre à leurs régimes. L’Algérie, qu’on l’accepte ou non, est devenu un ilot de stabilité et où il fait bon de vivre, n’en déplaise ceux qui n’aiment pas l’Algérie. Y compris les nationaux qui n’ont pas compris leur pays. Et aujourd’hui, la stabilité est telle qu’elle donne des ailes à la jeunesse qui cherche à prendre en main ses destinées. Ce qui est très positif en soi, mais ce n’est pas si simple que cela. L’Algérie évolue dans un monde mouvant et, qu’à la moindre inattention, elle risque de payer chèrement les frais.

 En deux mandats 1999-2009, les réalisations nationales ont été immenses. L’Autoroute Est-Ouest de 1500 km, voire plus, des autoroutes construites entre villes, des centaines de milliers de logements – on parle d’un million de logements mais il est plus juste de parler de centaines de milliers de logements, ce qui est déjà considérable –, des centaines de milliers de voitures – il faudrait parler de millions de véhicules (légers et lourds, Poclain, etc.) importés – plusieurs centrales électriques de plusieurs milliers de mégawatts. Des barrages, des écoles, des lycées, des universités, des hôpitaux dans plusieurs départements, le métro d’Alger en service, des tramways dans les grandes villes d’Algérie, des centaines de trémies, es édifices de portée internationale pour conférences, et tant de réalisations qui ont demandé des sommes astronomiques. Et le remboursement de presque la totalité de la dette publique qui était considérable. Et enfin le pactole de 186 milliards de réserves de change. L’Algérie est classée, deuxième détentrice de réserves de changes après l’Arabie saoudite, elle surplombe tous les pays arabes et non arabes du cartel pétrolier. Elle est treizième détentrice dans le monde. Avec 186 M$, elle surplombe la France avec 182 M$, l'Italie avec 164 M$, les États-Unis avec 143 M$ et le Royaume-Uni avec 119 M$.

 Aujourd’hui, elle dispose plus de 200 milliards de dollars.

 On comprend dès lors pourquoi un troisième mandat a été échu à Bouteflika d’autant plus que les figures charismatiques qui recueillent un large consensus n’existent pratiquement plus. Si le danger des ambitions américaines s’est écarté en définitivement en décembre 2011, avec l’évacuation totale des forces américaines d’Irak, un nouveau phénomène a surgi dans le monde arabe, le « Printemps 2011 ».

 Le « Printemps arabe » n’a pas pratiquement pas touché l’Algérie pour la simple raison que l’Algérie l’a vécu dès 1988, il y a 22 ans et les années de terrorisme de 1990 qui ont suivi. Le multipartisme est entré en Algérie avant même la chute du « Mur de Berlin ». Et là aussi on constate une avancée majeure de l’Algérie dans la modernité, certes balbutiante mais non moins réelle. Il faut seulement se rappeler qu’après que le multipartisme a été inscrit dans la constitution algérienne en 1990, l’Algérie est devenue le pays à abattre. Le pays qu’il faut à tout prix « déstabiliser », tant la crainte était palpable auprès des pétromonarchies arabes féodales et les autres dictatures arabes. Et c’est la raison pour laquelle la décennie noire a suivie avec ses souffrances indescriptibles que le peuple algérien a vécues, alors que les autres pays arabes n’étaient pas touchés.

 

  1. Le mandat 2014-2019. Le temps venu pour l’Algérie de tourner une page d’histoire

 L’expérience que le peuple algérien a vécue s’est à la fin étendue aujourd’hui aux autres pays arabes. Des tentatives ont été tentées en janvier 2011 pour déstabiliser l’Algérie, mais « vaccinée », n’ont pas eu les effets projetés. Cependant le « Printemps arabe », qui est un plan planétaire et auquel l’Occident et les pétromonarchies ont souscrit parce qu’ils craignent une fin de règne, est en train paradoxalement de prendre une toute autre direction. La démocratie, et on entend par là, la « vraie démocratie », est en train de faire école dans le monde musulman. En balbutiement, certes, avec de grosses difficultés, mais réellement est lancée. Il est évident que cela prendra encore quelques années, mais c’est un mouvement inéluctable.

 Les forces réactionnaires ne peuvent arrêter le « Temps de l’Histoire des peuples ». Elles ne peuvent arrêter le progrès qui est inscrit dans les gènes du monde humain. Aujourd’hui, l’Algérie est arrivée à une nouvelle page de sn histoire. Et avec un président malade, et gravement malade, il est évident qu’il n’a plus les facultés minimales pour continuer son œuvre d’autant plus qu’on fait beaucoup mention de corruption. Mais, au-delà de la corruption qui, en réalité, a été de tout temps, l’Algérie doit se renouveler avec un sang neuf mais un sang qui appelle la stabilité d’autant plus que la situation aujourd’hui avec les autres pays arabes est mouvante. Par conséquent, même avec un quatrième mandat, l’ère de Bouteflika a déjà pris fin au cours du troisième mandat. Et on doit même penser que le président en appelle à la stabilité et au bonheur du peuple. On ne peut oublier que c’est la nation algérienne qui a porté son nom dans l’histoire.

 Quant au brouhaha politique qui se passe en Algérie, il n’est mouvant qu’en surface. L’Algérie a déjà son président tout désigné. Il sera le « président de la continuation de la stabilité », le président qui certainement cherchera à rompre avec le zaïmisme (l’homme providentiel) qui est néfaste pour la nation. Il cherchera, avec toute l’humilité et la hauteur de sa fonction, à se rapprocher de la jeunesse, de la « jeune et moins jeune génération ». L’Algérie a une destinée comme chaque pays a une destinée dans le concert des nations, et l’histoire témoigne qu’elle n’a jamais raté un rendez-vous de son histoire. Tous ses rendez-vous ont été assumés depuis la conquête coloniale jusqu’à son indépendance. Et 2014 est en train d’écrire une nouvelle page de son indépendance.

 

Medjdoub Hamed

Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,

Relations internationales et Prospective.

www.sens-du-monde.com

 


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21 réactions à cet article    


  • claude-michel claude-michel 4 mars 2014 10:01

    Il me semble qu’a l’époque de la colonisation...c’était un rendez vous manqué..non.. ?


    •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 4 mars 2014 13:46

      Il est vrai qu’il faut aimer son pays et le défendre et voir son avenir avec optimisme et c’est à votre honneur contrairement à ceratins oiseaux de mauvaise augure.


      Concernant le bilan du président Bouteflika force est de constater qu’il a réussi à degager l’Algérie de fléau du terrorisme et apporté la paix civile aux algériens mais son bilan économique est désastreux.

      L’économie algérienne reste tributaire des hydrocarbures alors les resreves s’épuisent et que le pays est en phase de devenir un impportateur net de ptrole à terme de l’avis des experts algériens. Quand on sait que 98% des exportations sont constituées par les hydrocarbures et que le pays importe les 3/4 de ses besoins on voit l’impasse. Des économistes algériens ne cessent de tirer les sonnettes d’alarme et appellent à mettre en place rapidement une stratégie visant diversification de l’économie. C’est à quoi doit s’atteller le nouveau président à moins de conduire ce pays à l’abime.

      Par ailleurs des affaires de corruption trés graves mettant en cause de hautes personnalités dont des ministres ont entachées les années Boutaflika.

      Enfin, celui-ci n’est pas arrivé à mettre au pas les militaires et les renvoyer à leurs casernes la ou ils doivent étre. C’est le défi qui attend aussi le nouveau président qui doit demanteler le DRS qui étouffe le pays et maintient la population algérienne sous tutelle et le rendre aux civils 

      • Hamed 4 mars 2014 19:24

        Je pense que vous n’avez pas bien lu l’article. Pourtant les réalisations durant trois mandats ont considérables. Et elles ont bien été énumérées. A moins que vous ne les aviez pas bien lu. Et cela est anormal. Quant au DRS, il ne faut pas que cela une fixation. La mission des services de sécurité est de protéger la nation comme partout ailleurs.


      • Hamed 4 mars 2014 19:41

        Bien dit Omar
         Quand il n’y a plus de pétrole, on fera comme nos voisins. Culture intensive du haschich et exportation.
        On se disputera les bases américaines. Les Américains auront l’embarras du choix. Au point qu’à force de nous voir les solliciter, ils vont planter leurs tentes ailleurs.
        Pas de pétrole, on n’est plus intéressant.
        L’Arabie saoudite, le Qatar, etc. suivront. Le pétrole n’est pas éternel.

        Même le DRS dont la mission est de protéger la nations des menées subversives, des forces hostiles contre le peuple ne servira plus à rien.Voilà je crois ce à quoi pense ou nous destine notre Taqadoum bouliq. Pauvres de nous, Arabes.


      •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 5 mars 2014 08:20

        @Omar 33 et autres il faut arreter vos carricatures et les insanités de la presse algérienne sous la botte de généraux vereux.


        1) Pour le kif tu sais trés bein que la culture de cette plante existe dans le nord du Maroc depuis des siécle et n’était jamais utilisé comme elle l’est acuellement par les eurepéens qui en profitent avec des dealeurs maghrebins en France essentiellement des algériens. Que les petits fellahs marocains ne récoltent que des miéttes et que ce n’est pas ça qui fait vivre le pays.

        2) Il n’y a pas de base américaine au Maroc.

        3) Le Maroc entretient des relations prévilégiée avec l’Arabie Saoudite mais est autonome dans sa plitique interieure et extérieure : les couacs avec les USA et récemment avec la France le prouvent.

        4) Le tourisme ne constitue de 7% du Pib et les 10millions et des touristes viennent en famille visiter le pays, le tourisme sexuel qui accompagne tout tourisme dans tous le pays du monde est durement sanctionné.Les dérniers jugements qui ont frappés certains grrace à la vigilence de la sociéte civile sont la pour le démontrer20 à 30ans de prison.

        Quand aux fondamentaux de l’économie marocaine il n’y a qu’a consulter le net les rapports de la Banque Mondiale et du FMI. Elle est basé sur le travail pas la rente comme chez vous.

      • Hamed 5 mars 2014 11:13

        @ Omar 33

        Bien dit. Tes arguments parlent comme une massue. Comment peut-on se dire digne de dire « d’être humain » quand un homme baise la main d’un homme qu’il ne connaît pas, dusse-t-il être un roi. Evidemment, ce n’est pas la faute aux Marocains mais au système.
        Donc il ne faut pas en vouloir à notre ami taqadoum. Déjà le pseudonyme et le fait qu’il ait commenté mon article est positif en soi. Par conséquent, Omar continue de réveilleer les Esprits colonisés du XXIe siècle comme Zaratoustra.

        Fraternellement


      •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 5 mars 2014 13:11

        @Omar33 et @Hamed


        J’ai déja répondu aux affubilations de Wikealiks dans cette article en 2011. Vous devriez le lire au lieu de continuer de raconter des idioties.Lutte implacable du Maroc contre le trafic de drogue et la corruption.Qui peut imaginer que MohammedVI encourage la culture du kif au risque de perdre tout controle sur le pays ?

         Si j’avance des évidences sur l’économie algérienne puisées sur les rapports du FMI ou de la Banque Mondiale et developpées par des économistes algériens, c’est juste pour dire une chose trés simple qu’il n’est que grand temps pour ce pays de développer et de diversifier son économie avant de« s’genouiller » pour manger du sable.

        Quand à mes sentiments à l’egard du peuple algérien, lisez un peu ça. Contre le chaos en Algérie.

        Et pour terminer lisez un peu le début de cet autre article publié sur Agora. Vous allez comprendre le dépis avec lequel je parle des dirigeants algériens jamais du peuple comme vous avez le tord de faire avec le peuple marocain qui vous a tant donné à travers l’hisoire sans rien recevoir que de l’ingratitude et une guerre non déclarée

      • Hamed 5 mars 2014 14:42

        @ takadoum

        Je crois que vous êtes naïf. Pensez-vous que le système royal de votre pays vous aime bien ? Il vous aime que si vous l’aimez c’est-à-dire à vous agenouiller jusqu’à perdre du sens humain que vous êtes. Alors mon ami, l’argent n’a pas d’odeur et arrêtez de dire des sottises sur le kif ou Mohamed VI. D’ailleurs Mohamed VI n’est que la devanture du système, il ne commande rien, même pas sa personne.

        Quant au FMI et la Banque mondiale, savez-vous que ce sont deux institutions nées en 1944 (Bretton Woods, USA) et qui ont pour mission de domestiquer le monde.
        Et s’il y a des économistes algériens qui se gargarisent de FMI et de BM, c’est qu’ils n’ont rien compris au fil à couper le beurre.
         Et merci pour le souci « il est grand temps pour ce pays de développer et de diversifier son économie avant de s’agenouiller pour manger du sable ». Lorsque cette éventualité se présentera, on fera appel à vous. Cependant sans s’ « agenouiller », nous sommes « allergique » à cette position.
        Fraternellement


      • legrind legrind 4 mars 2014 14:05

        RAB que les algériens « français » ( ceux qui , entre autres, se baladent avec des tee-shirt « l’Algérie mon pays jusqu’à la mort ») rentrent dans leur bled chéri.


        • Hamed 5 mars 2014 11:23

          @ legrind

           "RAB que les algériens « français » ( ceux qui , entre autres, se baladent avec des tee-shirt « l’Algérie mon pays jusqu’à la mort ») rentrent dans leur bled chéri.« 

          Non mon ami, Rab les Algériens »français« qui se baladent en France avec leur T-shirt propres ne rentrent pas chez eux, une partie de la France leur appartient.Il fallait simplement que la France il y a 184 ne défiasse pas le »diable algérien". Elle a pris beaucoup de l’Algérie, et ce beaucoup se trouve en France, donc c’est tout naturellement que les Algériens veillent à leurs intérêts en France. Et pourquoi pas, avec le temps les mentalités peuvent changer et ce serait un Français d’origine algérienne qui aura à présider les destinées de la France. L’Algérien, c’est après tout un homme comme le fut Napoléon, un Corse d’origine arabe qui a élevé la France au-dessus de l’Europe.
          Amicalement dit


        • Serpico Serpico 4 mars 2014 22:30

          "Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,

          Relations internationales et Prospective.« 

          --------------------------

          Si c’est vrai, ce serait une honte pour l’Algérie d’avoir des »auteurs et des chercheurs spécialisés" d’une telle nullité.

          Du début à la fin, je n’ai pas trouvé l’ombre d’une prise de position. Vous faites l’équilibriste à chaque ligne, ménageant la chèvre et le chou comme tout bon opportuniste à l’affut. Vous glissez doucement que 4 mandats c’est trop et en même temps vous passez la pommade à Boutef.

          Comment l’Algérie peut-elle produire de tels invertébrés ? Tout du long vous tenez le bâton par le milieu.

          Or c’est un bâton merdeux.

          Boutef a massacré le pays et les dollars dont vous parlez ont juste servi de cataplasme. S’il n’y avait pas ces dollars (qui n’ont rien à voir avec la compétence de boutef loin d’être un foudre de guerre), il serait plus qu’à poils à l’heure actuelle.

          La fin du terrorisme a été réussié par Zeroual. Quand Boutef est arrivé, il a ramassé les fruits du travail des autres. L’affaire était déjà bouclée.

          3 mandats, ça suffit. 52 ans d’indépendance pour en arriver à cette mascarade : maintenir en état de semi-vie les vieillards du vieux placard à anciens combattants.

          On en a marre !


          • Hamed 5 mars 2014 11:02

            @ Serpico

            Vous répondez par par le coeur et non part l’esprit. Je veux dire par la raison et donc l’analyse. D’autre part, il faut sortir de l’esprit sous-développé parce que je crois que cet article vous dépasse. Donc laisser les grandes choses aux grands esprits.
            Amicalement dit.


          • Serpico Serpico 5 mars 2014 15:32

            « laisser les grandes choses aux grands esprits »

            -------------------

            Ouais. Vous voulez que je réduise en poussière votre « raisonnement » ?

            Vous vous surestimez. Grand esprit...

            Je t’en foutrais, moi du grand esprit. Analyste de café.


          • Hamed 5 mars 2014 18:29

            @ Serpico

            Merci pour le Grand esprit.
            Amicalement


          • Kalmac 5 mars 2014 00:03

            @Serpico,

            vous avez tout dit ... une honte cet article.


            • Hamed 5 mars 2014 11:34

              @ Kalmac

              Oui, mon ami Kalmac, Serpico a tout dit Il a exprimé son sous-développement. Et dire qu’il est en Europe. Et je ne sais pas si vous êtes en France, en Europe... Au Maroc, je comprendrais, Ce n’est pas la faute aux Marocains.
              Quant à « une honte cet article. », vous avez raison, c’est une honte. Comment il a osé cet article de porter atteinte au baise-main à un système qui, si nous sommes de son côté, on doit le défendre bec et angle contre la plèbe marocaine ou toute plèbe qu’il faut « domestiquer » au besoin par la force.
              Donc c’est une honte. Il faut continuer à adorer votre roi, votre sous-développement.
              Amicalement dit


            • rabah 5 mars 2014 00:06

              Donc pour vous, c’est un « act of God » que Bouteflika, malgré la maladie qui le rend totalement impotent, rempile pour un 4ème mandat ?

              N’importe quel quidam, victime d’un AVC aussi sévère aurait été déclaré invalide par la Sécurité Sociale !!
              La corruption, la malvie, le sous-développement chronique sont, pour vous, totalement accessoires.
              L’Algérie a un font de 180 milliards $ grâce au pétrole. Enlevez ce pétrole et vous verrez que l’Algérie est au même niveau que la Somalie. 
              Monsieur, je ne sais pas où vous avez fait vos études mais, visiblement, il vous manque beaucoup de bouts essentiels quant à la situation de l’Algérie et des algériens.
              La solution pour que l’Algérie prenne le bon train est de détricoter tout le système et le régime qui l’a mis en place.
              Parmi les centaines de milliers de diplômés algériens, il doit bien y avoir quelques dizaines capables de sortir l’Algérie de cette malédiction.

              • Hamed 5 mars 2014 11:56

                @ Rabah

                Il ne faut pas rester sur la maladie du président, c’est un fait et qui ne peut être occulté. Le problème n’est pas la maladie mais comment assurer la stabilité en Algérie avec les forces hostiles que vous occultez et que vous n’avez pas comprises.
                Pour preuve, »La corruption, la malvie, le sous-développement chronique sont, pour vous, totalement accessoires.

                " comme="comme" vous="vous" ils="ils" sont="sont" les="les" buts="buts" de="de" tout="tout" gouvernement="gouvernement" et="et" qui="qui" coeur="coeur" la="la" et="et" mission="mission"> L’Algérie a certes 200 milliards de dollars. Mais la technologie ne s’achète pas, ne s’importe pas, c’est une culture scientifique de longue haleine. L’Europe, elle a mis cinq siècles voire plus. Et vous simplifiez, l’Algérie est un grand pays, ce n’est pas la Somalie, c’est même plus que la France, parce que l’avenir appartient à l’Algérie et non à la France. Les pays d’Europe sont des pays vieux, et ils ont commencé à se dépeupler. Le progrès chez eux est arrivé au sommet, la roue tourne...
                Les problèmes en Algérie s’inscrivent dans ce changement. Et vous avez raison de vous insurger, mais il faut donner le temps au temps.
                Amicalement


              • El_Arabi_El_Acil El_Arabi_El_Acil 5 mars 2014 13:08

                J’aurai bien voulu l’article dans son intégralité mais , je l’ai fait en diagonal ce qui est mieux que rien !

                Par contre les commentaires les plus amusants sont ceux des Marocains qui fouinent dans les articles pour trouver le mot Algérie et là , ma foi , c’est...pour tomber dessus.
                Pour ma part, le problème posé est Algéro-Algériens et ne concerne ni de près ni de loin quiconque fusse-t-il tout pays qui se met dans l’habit de « pays frère » . 
                Fonction de notre expérience , nous avons vu ce que vaut ce « pays frère » qui entraîne , arme, abrite les lascars venus d’un autre monde.
                Mais ce que j’aimerai dire et préciser. Je me demande pourquoi les touristes ne vont plus en extrême orient mais préfèrent le Maroc puisque ...c’est juste à coté et...à bon prix ! 
                La réponse est claire, nette et précise. Le Marocain est d’une hospitalité qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans le monde. Et ce qui est beau à dire et à préciser, c’est que le Marocain , une fois que vous êtes dans sa propre demeure, il vous offre non seulement sa femme, sa fille et, si besoin est, il s’offre lui même pour peser sur le prix qu’il aura à payer avant que le touriste quitte le toit.
                J’ai fait l’expérience moi même. On ne me l’a pas raconté. Depuis Fez jusqu’à Marrakech...j’ai laissé mes traces . Et peut être que mes traces sont, à ce jour vivantes et...adultes.
                Ce qui est beau à dire c’est que celui qui va au royaume avec une horloge qui indique midi-pile...celui ci quittera le royaume avec des aiguilles qui indiquent 6h30.
                Le Maroc est une maison de plaisir et, tant que le richissime roi continuera a être mené par le bout du nez de ceux qui colonisent la Palestine, vous continuerez à vous offrir...en gros et en détails.
                J’ai ri quand j’ai lu un passage où un frère prétend qu’il n’y a pas de base yankee au Maroc. Je vous dirai que le royaume ne vit que sous perfusion de l’Arabie TEYHOUDITE , du colonisateur de la Palestine. D’ailleurs, ce dernier cité , vient d’offrir à celui qui se fait baiser les mains et les pieds , des avions sans pilote .

                En lisant la presse Marocaine , appuyé de certaines photos, nos chers voisins ont prétendu que l’ANP aurait tiré sur une caserne frontalière. En voyant les traces , l’impact était l’équivalent d’une balle de 6.35. Pensez vous que l’ANP tire avec un pistolet de gonzesses ? 

                Je souhaite à que mes frères retrouvent leur dignité , qu’ils cessent la culture du Haschich et la culture du...sexe. Qu’ils transforment leur royaume en république d’ailleurs, sur ce point précis, Zine El Abidine de Tunis a déjà reservé une chambre à M6 et s’inquiète de son retard.
                Tout dépend du moghrabi... il faut qu’il se réveille de son profond sommeil et recouvre sa dignité.
                C’est sans haine que j’écris ces mots mais, j’ai honte devant des étrangers qui me questionnent sur l’incompatibilité entre l’Islam et drogue....entre Islam et prostitution....entre Islam et baise mains et pieds.


                • Hamed 5 mars 2014 14:28

                  @ El arabi el Acil

                  Je ne suis pas d’accord avec vous ce que vous dîtes. Le Maroc est un pays frère, un peuple frère. Moi aussi, j’ai été au Maroc, et j’ai rencontré des Marocains qui étaient fiers de l’Algérien, de Boumédienne... mais ils le disent en cachette.
                  Quant à à l’industrie du sexe, c’est aussi l’industrie de la misère. Pensez-vous qu’un peuple quelle qu’il soit se mette à prostituer ses enfants, ses filles s’il n’y a pas une pression quelque part.
                  Les Algériens ne sommes pas plus supérieurs à aucun peuple sauf que notre pays a une destinée, par sa révolution, par ses aspirations de liberté, de dignité, contre d’ailleurs lesquelles les systèmes monarchiques arabes combattent Donc, mon ami surtout avec les élections d’aujourd’hui où la presse nationale s’exprime librement, nous sommes un exemple pour les peuples marocains et autres.
                  Amicalement


                •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 6 mars 2014 11:44

                   Apparemment tu n’est ni Arabi ni Assil et tu as usurpé ce pseudo qui ne correspond nullement à ton caractére haineux et malade. Sinon comment expliquer tes insanités et tes vomissemnts sur le peuple marocain..


                   Ce peuple fiér qui a combattu les espagnols et les portugais pendant des siécles. Qui a résisté au protectorat franco-espagnol de 2012 jusqu’a 1936. Alors qu’il a été saussissoné par la France et l’Espagne, il était donc en droit d’attendre de l’Algérie qu’elle soit à ses cotés pour récupérer son Sahara « Yahassra a la Lkhyana ».
                   
                  Quand à la protituition il faut balayer devant ta porte .voir cet article publié sur ce site par un universitaire algérien sur la postitution en Algérie et ses ravages

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