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La relativité et les sciences en crise. Quelle est cette révolution qui advient ?

I Exposé très sommaire de la crise

JPEG 1915-2015. La relativité générale d’Einstein a cent ans. Elle a peiné à être acceptée les décennies ayant suivi sa publication mais depuis un demi-siècle, elle est reconnue comme la meilleure théorie qui permet de calculer des phénomènes astronomiques mais aussi de spéculer sur l’univers et de le décrire, y compris les objets qui ne se voient pas comme les trous noirs et l’espace courbé qui ne se perçoit qu’à travers les effets cosmologiques des masses et les phénomènes lumineux. Contrairement à une idée répandue, il existe, selon des philosophes de la science, deux relativités, l’une astronomique, l’autre cosmologique. Mais les deux utilisent la même formule, celle qui s’écrit, sous forme réduite à l’extrême, Géométrie = Matière. La géométrie étant en l’occurrence décrite par le membre de gauche de l’équation où figurent des tenseurs (métrique et courbures) alors que la matière est décrite par le terme de droite avec le tenseur impulsion énergie.

Nul ne remet en cause l’usage de la relativité dans les calculs et c’est légitime. Par contre, c’est en cosmologie (et aussi en ontologie) que cette théorie a ses limites, pour ne pas dire qu’elle est fausse au sens de la philosophie naturelle. Autrement dit, la cosmologie relativiste n’est pas la théorie qui convient pour décrire le cosmos. Je me suis déjà exprimé sur ce sujet que je vais essayer de présenter sous un autre angle. Et pour commencer, un angle esthétique et métaphysique. D’après les propos sibyllins d’Einstein, la relativité est faite d’un membre taillé dans un marbre de qualité supérieure et d’un membre fait d’un bois de qualité moyenne. Le marbre représente les tenseurs géométriques et le bois sert à décrire les caractères physiques de la « matière » dans le cosmos. Dans l’esprit d’Einstein, la géométrie spatiotemporelle possède les attributs du monde idéal, platonicien ou divin, alors que les masses sont en quelque sorte une impureté du cosmos, ou une « maladie » de l’espace-temps pour reprendre une formule facétieuse prononcée par un Einstein peu avare de jeux sémantiques.

Quelque chose ne colle pas si l’on se réfère au schéma platonicien et cartésien, avec un monde sensible quelque peu dévalué chez Platon alors que l’étendue homogène chez Descartes est opposée à la pensée qui elle possède quelques traits partagés avec le divin. Je suggère dans la cosmonadologie de concevoir une matière dont l’essence est commune avec la pensée mais de degré très inférieur. Ainsi, c’est la matière qui contient le marbre et la géométrie qui est faite de bois. Cette présentation allégorique expose mon différent esthétique avec la « vision » d’Einstein. Mais la physique ne se réduit pas à des questions d’esthétique. En quelques lignes, je me propose d’expliquer pourquoi la relativité ne convient pas à la description du cosmos. Avec deux arguments physiques.

Commençons par la géométrie spatiotemporelle et l’usage d’un tenseur de métrique g qui contient dix composantes dont quatre sont liés au système de coordonnées choisies. Comme l’explicite Julian Barbour, le temps absolu de Newton est remplacé par un temps local qui s’ajuste à l’espace en chaque lieu de l’étendue. Je n’entre pas dans les détails (que je ne maîtrise pas du reste). L’important est d’étudier la compatibilité de la relativité générale avec la physique quantique. Or, cette dernière prévoit de ne plus décrire un « objet » matériel, qui du reste n’existe pas comme objet, dans un espace-temps qui se « dissout » dans la représentation comme l’indique la relation d’Heisenberg souvent présentée avec un contresens évident. Ce constat suggère qu’il faut abandonner l’espace-temps en 4D et donc la métrique g, quitte à garder une autre description, en laissant tomber l’espace, ou le temps. En utilisant si possible une autre description comme cela se fait actuellement avec la dynamique des formes. Les tenants de cette option pensent qu’elle pourra à terme être conciliée avec la théorie quantique, bien mieux que la relativité d’Einstein. Laissons du temps au temps comme dit si bien l’adage.

La géométrie compte dans la relativité générale car cette théorie décrit l’étendue cosmique mais aussi mais aussi la gravité et les phénomènes qui en découlent ou du moins, dont la description impose d’introduire la gravité. C’est le cas des masses qui se meuvent dans l’univers mais aussi des corps qui tombent sur la terre. Dans la mécanique de Newton, la description fait intervenir une force à distance qui maintient les planètes sur leur trajectoire. Cette force est invisible et nul ne sait si elle existe. La relativité d’Einstein ne fait plus appel à une force mais à la géométrie dynamique. Une masse dans le cosmos suit les géodésiques de la géométrie. Admettons. Maintenant, imaginez-vous au bord d’un grand canyon. Vous lancez une pierre horizontalement, elle tombe avec une trajectoire parabolique. Vous allumez une lampe, le rayon lumineux va tout droit. Où se trouve la géodésique ? La question n’a pas d’intérêt au sens scientifique moderne. La relativité d’Einstein permet de calculer la trajectoire des masses, dans le cosmos ou lancées du précipice, ainsi que le sort du rayon lumineux.

L’autre problème, c’est que dans la RG d’Einstein on ne s’explique toujours pas comment une masse accélère. Elle « capte » l’énergie du champ de gravitation mais par quel processus ? Le phénomène a d’ailleurs été utilisé pour permettre à la sonde Rosetta d’économiser du carburant en utilisant la « force » de gravitation des planètes du système solaire pour rejoindre la comète Tchouri. Plus précisément, cette sonde a utilisé l’assistance gravitationnelle de Mars et de la Terre à quatre reprises et cela a parfaitement fonctionné. C’est un peu un miracle qui échappe à la compréhension physique mais qui colle parfaitement avec les calculs astronomiques. C’est pour cette raison entre autres qu’il faudra trouver une autre description de la gravité. Je crains que la physique ne se soit égarée depuis un siècle en s’accrochant à la relativité générale. Même si cette théorie permet de faire les bons calculs pour le GPS entre autres. Egarée la physique ? Peut-être il y a longtemps, depuis Newton à vrai dire. Disons que la physique moderne est née en quelque sorte « hémiplégique », en délaissant ses fondements métaphysiques comme disait Heidegger.

La gravité ne se « conçoit » pas avec l’équation d’Einstein. Car il y a deux gravités. Je n’en dis pas plus. Cette méditation ouvre des perspectives passionnantes pour les uns mais inquiétantes pour la majorité des physiciens qui, comme les théologiens au temps de Galilée, ne sont pas prêts à abandonner la théorie qui leur a servi de modèle pour le système du cosmos. En fait, la physique quantique impose de revoir la gravité mais aussi la mécanique statistique et peut-être au final, la mécanique hamiltonienne. Et pourquoi pas la relativité restreinte qui repose sur un non sens physique, celui d’une vitesse de la lumière. D’une part la lumière n’a rien de corpusculaire, d’autre part, l’espace-temps n’a de sens que lorsqu’on le mesure ou on le parcourt, avec des repères matériels solides. Quant à la courbure de l’étendue, elle n’est pas forcément due aux masses mais peut-être aux volumes occupés par ces masses. Je n’en suis pas sûr alors je préfère parler à l’interrogatif et formuler des hypothèses.

Bref, par un effet domino, c’est tout le système de la physique qui bascule, entraînant dans une « chute refondatrice » la biologie, la théorie de l’évolution, les neuroscience, la philosophie de la conscience et même la théologie. Le changement de paradigme est simple dans son principe. On passe d’une Nature mécanique qui est manipulée par une science opérante à une Nature qui en plus de ses propriétés mécaniques, communique, exprime, transmet et reçoit des informations, puis les ordonne pour organiser les composants en système cohérent. La science n’est pas qu’opérante, elle devient connaissante. Science avec conscience disait Rabelais, science avec connaissance dira-t-on au 21ème siècle. Ceux qui interdisent à la science cette quête gnostique sont les héritiers d’Auguste Comte, devenus membres d’un nouveau clergé voué à la technoscience. Et comme dans tout clergé qui se respecte, on y trouve un cortège d’intégristes et autres fanatiques du transhumanisme, ou quelques gourous prophétisant la singularité.


II Méditations intempestives sur la crise de la physique

Une Nature mécanique est aveugle. Une Nature qui communique et ordonne les information est capable d’évoluer avec des intentions, non conscientes puis parvenue à la conscience chez cet animal spécial qu’on appelle l’homme.

Ce jeu de domino est assez mystérieux et certainement inquiétant. Beaucoup me prendront pour un fou, ce qui est légitime. Face au mystère, il y a des dangers et les défenses rationnelles sont utiles comme dirait Ken Wilber. Il faut être prudent avant d’aller dans le mystère et les énigmes de l’universel. Je n’ai rien à craindre de ceux qui me prennent pour un illuminé. Il me faut juste prendre soin de mes pensées et veiller à ne pas disjoncter. Mon principal adversaire, c’est moi.

Au final, cette aventure conduira vers une nouvelle physique, articulée autour de la monadologie quantique, la cosmonadologie et la thermonadologie. La biologie suivra, avec les neuroscience, la conscience et au bout, la théologie et ses mystères. Bref, pas si simple, endosser trois costumes, Darwin, Einstein et Luther et les grands habits font le moine, autant entrer dans les ordres pour sortir dans le désordre. On saura peut-être que le long 20ème siècle scientifique est une étape intermédiaire entre la Modernité et une nouvelle ère des sciences avec un système de la Nature élucidé et accompagné de mystères. Le 21ème siècle sera monadologique !

Je m’interroge néanmoins sur la nécessité de consacrer du temps et de l’énergie pour essayer de connaître les secrets de la Nature étant donné que le succès n’est pas garanti et que de plus, pas grand monde n’est demandeur pour parler comme les hommes du marché global. Les physiciens ont un champ infini de formules mathématique à construire, surtout avec la RG et la MQ, tandis que l’homme de la rue demande qu’on fabrique des cœurs artificiels, des lunettes augmentées, du Wifi sur la planète et des machines technologiques pour augmenter son pouvoir de magicien à l’époque de la génération Harry Potter.

Me voilà bien avancé. Surtout que l’affaire se corse. Car il se pourrait bien que l’on découvre également la nécessité de formaliser deux dynamiques quantiques ou du moins une double signification physique contenue dans le monde quantique. Mais pourquoi deux physiques ? Eh bien parce que les processus de la Nature sont suffisamment distincts dans leurs caractères pour qu’il soit nécessaire de les décrire avec deux physiques (mécanique et information). Après tout, il y a bien la physique du champ électromagnétique de Maxwell et la théorie de la gravitation de Newton-Einstein. Si donc il y a deux physiques quantiques, on peut penser que chacune pourrait être conciliée avec l’une des deux théories de la Gravité-cosmos. Cette éventualité est incroyable et c’est pour cette raison qu’elle est plausible !

Me voilà embarqué, tout seul, dans un mystery train comme dirait Greil Marcus mais sans Elvis. Les années 2010 sont différentes. Embarqué avec Bach, Hindemith, les Pink Floyd et les opérateurs de la mécanique quantique. Une étrange solitude. Sortir de la physique moderne, c’est une sorte d’Exode, à l’image de la sortie d’Egypte. Ne plus voir cette mécanique moderne et ses mécanismes qui réduisent l’âme en esclavage. Je prophétise une nouvelle physique. Si Dieu voulait bien me révéler les tables de la loi. Pas celle des commandements, mais les lois mathématiques de la monadologie quantique. La symbolique de l’Exode est universelle. Il faut savoir lire les écrits. Mais en ce 21ème siècle, ce n’est pas une terre mais les cieux qui sont promis. La nouvelle physique conduit vers une récompense promise à Stockholm mais c’est vers le mystère qu’il faut aller et c’est cela l’essentiel. La science ne nourrit pas la soif de mystère et d’émerveillement.

La science peut rejoindre le mystère, celui de la Trinité. Avec une création sans créateur. Sous réserve que l’on ne tombe pas dans les pièges du passé et notamment la tactique du bouche-trou par laquelle la science tente de rationaliser le mystère pour le rendre accessible à l’entendement humain alors que d’un autre côté, le Dieu bouche-trou comble les lacunes d’une science qui n’explique pas l’univers. La meilleure façon de procéder, c’est d’élargir à la foi la science et la théologie aux dimensions d’un Logos transfini. Un défi qui laisse sans voie. Alors il faut poursuivre le chemin sans savoir où il mène. Impossible de reculer.

Si tout se passe comme prévu, la présentation de la cosmonadologie sera disponible dans une revue disponible en kiosque. J’aurai l’occasion de reparler de ma stratégie qui n’est pas conventionnelle. Et qui ne vise pas l’isolement. C’est même l’inverse. Partager et discuter les idées et interprétations. Accueillir avec bienveillance les travaux alternatifs des physiciens... Pour l’instant, essayez de comprendre les lignes précédentes.


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40 réactions à cet article    


  • Le p’tit Charles 8 avril 2015 10:28

    Des mots barbares pour le commun des mortel...
    Nous sommes « enfermés » dans notre système solaire pour une science imparfaite...
    Les hommes manquent singulièrement de modestie pour nous sortir des théories à tous bouts de champs...Notre navire terre est et restera l’unique moyen de transport pour l’humanité dans la galaxie.. !


    • Nicolas_M bibou1324 8 avril 2015 10:40

      Vous partez en vrille. En fait, il vous manque une notion de base, la notion de théorie. Si l’on va sur wikipédia, on trouve ceci :


      Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») est un ensemble d’explications, de notions ou d’idées sur un sujet précis, pouvant inclure des lois et des hypothèses, induites par l’accumulation de faits trouvés par l’observation ou l’expérience.

      La théorie de la relativité générale, est comme son nom l’indique une théorie. C’est à dire qu’Einstein a compilé des observations, et à partir de ces observations en a bâti une hypothèse, une formule se vérifiant dans un domaine bien spécifique. Cette formule, comme toute les théories scientifiques, n’a pas vocation à avoir un sens philosophique. Elle a vocation à prévoir et maîtriser des phénomènes observables. C’est un outil. Si un nouvel outil, une nouvelle théorie apparaît, cela n’invalidera jamais la théorie de la relativité générale, qui restera valide dans son domaine.

      Votre approche, maintenant. Vous essayer de combiner philosophie et science. Vous essayez d’ajouter une dimension philosophique à un outil. En gros, vous regardez un tournevis, vous lui reprochez de ne pas faire le café, et vous prophétisez une révolution. Une théorie, votre théorie, la cosmonadologie, qui permettrait de créer un tournevis qui fait le café.

      Sauf qu’on n’en a pas besoin. Lier ontologie et théories scientifiques est sans intérêt. Pourquoi ? Simplement parce que tous les scientifiques, y compris Einstein, sont d’accord pour affirmer que la théorie de la relativité générale ne s’applique pas de partout. Ca n’a jamais été un outil miraculeux, du domaine du sacré. C’est un outil profane, comme une équerre d’architecte ou un fil à plomb. Vous pouvez calculer les déformations de l’espace, mais vous ne pourrez jamais faire de calculs d’interactions faibles avec cette formule.

      Vous affirmez être tout seul dans votre lutte d’unification. C’est normal. Vous souhaitez créer une théorie qui engloberait des choses qui n’ont pas d’utilité à être ensemble. Vous courez après un Graal qui unifierait tout, biologie, philosophie, astronomie. Sauf que même si on trouvait ce Graal, personne n’en voudrait.

      • bourrico6 8 avril 2015 10:54

        @bibou1324

        Ca lui a déjà été expliqué maintes et maintes fois, mais le môssieur se prends pour le grand génie qui va non seulement reléguer Einstein & Co au rang d’amateurs à peine éclairés, mais qui va aussi vous révéler la vraie nature des choses, qui va vous révéler « Dieu ».

        Que ses postulats soient faux (définition d’une théorie), ou douteux (il n’a aucun doute sur le fait que l’esprit humain soit apte à saisir l’essence de l’Univers, la « Vérité »), voir inexistants (rien sur la nature des maths et leur intimité avec la physique) il s’en contrefout totalement !!

        Je ne lis plus les articles de ce clown depuis longtemps, c’est aussi indigeste que du Morice.


      • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 11:33

        @bibou1324

        Dommage qu’il n’y ait pas de physicien pour alimenter ce débat avec sérénité, bienveillance et compétence.

        Vous êtes un ignorant doublé d’un âne. N’importe quel historien de la physique vous fera remarquer que votre sentence sur la théorie scientifique et la genèse de la relativité générale passe complètement à côté de la plaque. Einstein ne vous tirerait même pas la langue mais vous botterait le cul comme à tout ado qui se croit plus fort que le prof et sabote l’enseignement

        Je vous signale que parmi les scientifiques, nombres reconnaissent légitime la quête de l’unification, d’autres se posent des question ontologiques. Il y a des centaines d’articles sur ce sujet dans les revues spécialisées. Enfin, je vous rappelle qu’Einstein a construit sa RG non pas à partir des observation mais des principes physiques traduits en mathématiques, avec le concours de Grossmann et Hilbert. Les observations sont arrivées bien plus tard.


      • bourrico6 8 avril 2015 11:55

        @Bernard Dugué

        Dommage qu’il n’y ait pas de physicien pour alimenter ce débat avec sérénité, bienveillance et compétence.

        Oh mon pauvre chou, t’as qu’a aller poster tes élucubrations sur des forums spécialisé au lieu de venir le faire sur le nid de troll qu’est AV.
        Tu vas être bien reçu je pense.

        Je vous signale que parmi les scientifiques, nombres reconnaissent légitime la quête de l’unification

        Tu crois nous apprendre quoi ?
        Même Einstein cherchait déjà la théorie unifiée, certains l’appellent le « Graal » de la physique, figures toi que ce n’est pas pour rien.
        La seule différence, c’est qu’eux cherchent une théorie globale, et non la Vérité.


      • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 12:48

        Bernard Dugué a grand tort de se plaindre qu’il n’y ait pas de physiciens compétents sur Avx. Il y en a, et c’est bien malheureux pour lui : ils se tapotent la tempe avec l’index, quand on leur montre Bernard Dugué.

        Les charlataneries de Bernard Dugué ne tiennent pas dix minutes en face d’un physicien. En face d’un biologiste non plus, du reste (car ce charlatan se croit en mesure de donner aussi des leçons de biologie religieuse à chacun).

        La seule carrière de grandeur qui s’offre encore à sa mégalomanie est celle d’un bourreau, et à condition qu’il vienne ici une dictature théocratique : ils offriront une machete à Dugué, avec l’ordre de massacrer un maximum d’incroyants. Là il pourra enfin pleinement s’épanouir...


      • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 10:59

        Dugué n’est déjà pas capable d’appliquer la conservation du moment angulaire, donc il est un vrai expert et un vrai prophète ! « Mais c’est vrai ! Croyez-le, mes enfants ! » :
        " Le phénomène a d’ailleurs été utilisé pour permettre à la sonde Rosetta d’économiser du carburant en utilisant la « force » de gravitation des planètes du système solaire pour rejoindre la comète Tchouri. Plus précisément, cette sonde a utilisé l’assistance gravitationnelle de Mars et de la Terre à quatre reprises et cela a parfaitement fonctionné. C’est un peu un miracle qui échappe à la compréhension physique ". Dugué scribouillavit.


        • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 8 avril 2015 11:23

          Roulez le couscous, Dugué et roulez-le bien !

          Je pense qu’un bon plat Tadjine vous fera du bien, tombez donc votre café congelé et allez faire un tour au soleil .


          • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 11:31

            L’art d’invoquer ce qu’il ne comprend pas du tout : « En fait, la physique quantique impose de revoir la gravité ».
            Sauf que Dugué n’a jamais pratiqué de physique quantique de sa vie entière : il répète ce que les vulgarisateurs répètent, en faisant semblant d’avoir compris la théologie hégémonique.

            Preuve ? Je mets Bernard Dugué au défi de vous expliquer lui-même l’oscillateur qui génère la raie à 21 cm que les radioastronomes observent et mesurent dans tout l’Univers. Cela se calcule sans la théologie standard, le calcul suffit, heureusement.


            • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 11:37

              @JC_Lavau

              Je vous mets au défi de comprendre la monadologie quantique qui est une innovation radicale qu’on ne trouve chez aucun vulgarisateur, ni même des savants avertis comme Rovelli ou Bitbol.

              Cessez de me dénigrer, Lavau, on dirait le gamin d’une cours d’école qui lance des oeufs au premier de la classe parce qu’il est jaloux de ne pas être aussi bien noté. Juste un conseil. Faites le clown si ça vous chante mais évitez le comique de répétition, ça devient lassant


            • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 12:28

              @Bernard Dugué.

              « Prends garde, devin ! Les prédictions d’Obélix se réalisent souvent. »


            • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 8 avril 2015 16:41

              @JC_Lavau

              Bravo !


            • tRivi 8 avril 2015 11:32

              Article qui n’a rien à faire dans la rubrique technologie mais plutôt religion


              Les articles de Mr Dugué passent et se ressemblent, toujours cette même volonté de lier science et religion.

              Merci aux modérateurs de réorienter ce type d’article dans la rubrique correspondante.
               


              • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 11:40

                @tRivi

                Avant de conseiller les modérateurs, essayez d’écrire un article sur Agoravox.

                Dieu merci, vous n’êtes pas copilote dans une compagnie allemande de transport aérien.


              • tRivi 8 avril 2015 12:06

                @Bernard Dugué

                Je vois que vous avez du mal avec la critique dommage pour vous. Mais j’ai bien le droit de donner mon avis ^^ 


                « Dieu merci, vous n’êtes pas copilote dans une compagnie allemande de transport aérien. » 

                 Il faut avoir un esprit vraiment sordide pour remercier Dieu...



              • Rmanal 8 avril 2015 12:13

                @Bernard Dugué
                Votre réponse est sans rapport avec le propos de tRivi. Effectivement votre ambition, et je ne vous ai jamais vu le contredire et cela transpire dans tous vos articles, est de donner un sens religieux à une science que vous jugez sans doute trop « cartésienne ».
                Sinon cela ferait longtemps que vous seriez sur un forum spécialisé et non pas sur Agoravox.


              • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 12:24

                @Rmanal

                Vous n’avez pas bien lu mes articles le sens religieux est très récent car il faut arriver à un certain stade de réflexion pour oser faire une jonction qui du reste n’est pas essentielle. Le religieux n’a pas besoin de science pour alimenter la foi, comme cela est expliqué dans ma recension sur le bouquin d’Arnould


              • Rmanal 8 avril 2015 13:53

                @Bernard Dugué
                Je vous lis depuis quand même un moment et le sens religieux, notamment avec votre cosmonadologie, un des premiers articles que j’ai lu, est présent depuis bien longtemps, plus d’un an je dirai. Pour moi ce n’est pas « récent », mais c’est une définition personnelle du mot récent.
                Quant à votre « certain stade de réflexion pour oser... », vous osez surtout un ego surdimensionné. Le lien religion science est un débat qui existe depuis plus de 2000 ans, et qui a justement amené à définir ce qu’était la science et comment elle devait être menée pour ne pas tomber dans les amalgames religieux.
                Et donc je suis aussi bien d’accord que la Religion n’a pas besoin de la science ; alors pourquoi vous entêtez à essayer d’y voir un lien ?


              • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 14:06

                @Rmanal

                L’emploi du mot religieux prête à confusion. Il est question de connaissances. Bien évidemment que la religion n’a pas besoin de science et réciproquement.

                Vous conviendrez avec moi que les questions sur l’origine de la vie et de la conscience peuvent légitimement faire appel aux physiques disponibles. Je vais juste plus loin que la plupart. Je pousse la physique jusqu’au verbe et à la création sans créateur, du quantique au cosmos et à la Trinité (réformée par mes soins). Sciences physiques et cosmologie, puis psychologie et enfin théologie, la transcendance et l’universel déployé dans le cosmos et ses êtres....

                Pour info, la première présentation de la cosmonadologie est disponible dans la revue science cerveau conscience, disponible ce jour en kiosque


              • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 14:47

                @Bernard Dugué : « Je pousse la physique jusqu’au verbe », tandis que Boris Vian poussait un peu le feu, et sur la place ainsi dégagée, etc.

                Il y avait plus d’esprit dans Boris Vian, qui nous expliquait que la définition de la pataphysique est elle-même pataphysique...


              • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 14:58

                @Bernard Dugué : « l’origine de la vie et de la conscience ».

                L’origine de la vie n’est pas de ton ressort, car depuis longtemps tu n’es plus biologiste au courant du métier... Si même tu l’aurais été.

                Quant à la conscience, c’est encore moins de ta compétence, tu n’as jamais étudié les neurosciences. Excepté les ignares, qui pourrais-tu encore abuser ?


              • rhea 1481971 8 avril 2015 12:01

                L’erreur c’est le prix Nobel de 1903, une feuille de format A4 suffit pour arriver à cette conclusion.


                • #gcopin Gcopin 8 avril 2015 12:22

                  Bonjour
                  Je ne comprends pas la finalité de ces deux postulats. (Je cherche à comprendre)
                  1) « Vous lancez une pierre horizontalement, elle tombe avec une trajectoire parabolique. Vous allumez une lampe, le rayon lumineux va tout droit. Où se trouve la géodésique ? »

                  La pierre est composé de particules dotées d’une masse (fermions), le rayon lumineux est composé de photons particules de masse nulle (bosons). Je ne vois pas le problème c’est parfaitement conforme à la RG et à la MQ. Pour le rayon lumineux, c’est un peu comme si je prends une règle étalon d’un mètre et que je la pose sur le sol de la planète, elle ne plaque pas le sol alors j’en déduis que la théorie « la planète est sphérique » est fausse.
                  De plus, On suppose que dans le référentiel en chute libre les deux corps se suivent en ligne droite, à des vitesses différentes et constantes. Alors dans un référentiel la gravitation (ou accélération théorie d’équivalence) constante est ressentie, chacun suit une géodésique différente. L’ expérimentation depuis 50 ans des géodésies par les objets célestes est parfaitement conforme à la RG. La dernière en date, soit 2015.
                  http://www.science-et-vie.com/2015/03/une-croix-deinstein-pour-celebrer-lanniversaire-de-la-relativite/

                  2) « Quant à la courbure de l’étendue, elle n’est pas forcément due aux masses mais peut-être aux volumes occupés par ces masses. »

                  Ok mais alors il n’existe plus de mécanique céleste, Kepler, Galilée, Newton, Riemann, Hubble, Eintein, Hawking ….. exit !

                  Une étoile à neutrons qui mesure environ 10 kilomètres de rayon et possède une densité extraordinaire - une cuillère à café de matière pèse des centaines de millions de tonnes. Elle déforme le tissu de l’espace-temps beaucoup plus que Bételgeuse une étoile de 15 m de masse solaire dont le rayon atteint celui de l’orbite de Saturne. Tout cela parfaitement calculable, mesurable et observable, même avec trois corps grâce à la RG. Et je ne parle pas des trous noirs, si je remplace dans la théorie le volume occupé par la masse.

                  Pouvez vous expliquer !


                  • Bernard Dugué Bernard Dugué 8 avril 2015 12:40

                    @Gcopin

                    Vos questions sont intéressantes, elles portent sur des hypothèses que je formule. C’est un terrain plus que mouvant que cette histoire de volumes.

                    Dans mon système, il existe deux gravités, l’une correspond à la mécanique céleste, l’autre à la dynamique de l’étendue. C’est assez étrange comme idée. Vous citez des observations mais sont-elles suffisantes pour tirer des conclusions comme l’étoile à neutron qui n’est peut-être pas celle que l’on pense. A mon avis les observations de notre cosmos local sont fiables mais pas celles du cosmos éloignés avec des faits qu’on peut interpréter différemment. C’est de la recherche. Je vais aller me renseigner un peu plus.

                    Pour ce qui est des géodésiques, j’ai précisé que dans mon exemple de la pierre et du rayon, il y a matière à réfléchir même si les deux phénomènes sont calculés grâce à la RG. Je suis en quête du phénomène physique qui explique la gravitation. Ni Newton, ni la RG n’expliquent ce qui ressemble à une attraction ou une gravitation dans une géodésique, mais qui n’en est pas en réalité. Je parle en toute liberté, je ne risque rien, juste me tromper ce qui arrive souvent en science. Il n’y a plus de bûcher !

                    Merci pour ces questions



                  • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 14:43

                    @Bernard Dugué..

                    Même en quadrichromie, un tas de déchets demeure un tas de déchets.


                  • MKT 8 avril 2015 17:27

                    @JC_Lavau
                    Vous êtes vous rendu-compte que M. Dugué est en fait gravement dépressif et que tout ce qui peut lui apporter un peu de réconfort (chamanisme, ésotérisme et autres considération métaphysiques) lui est indispensable ?


                  • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 18:03

                    @MKT. Ta compassion est louable. Ta recommandation thérapeutique implicite est plus discutable.

                    Je pense plutôt au travail que dût faire Alexander Dubcek après l’invasion de la Tchécoslovaquie (août 1968) : chauffeur de taxi.
                    Ou mieux encore au refuge professionnel qui fut laissé à Sándor Kopácsi, quand il put sortir de prison en 1963, dans sa Hongrie toujours envahie : il redevint tourneur fraiseur de 1963 à 1965 puis d’autres métiers manuels, jusqu’à ce qu’il put se réfugier au Canada avec Ibolya, et où était déjà sa fille. Au Canada, il continua d’exercer des métiers manuels et techniciens, en dépit de son diplôme universitaire final.

                    Travailler du chapeau quand on a le chapeau si endommagé, n’est pas un conseil d’ami. Se mettre au travail manuel, en revanche, semble une idée plus raisonnable.

                    Les moines travaillaient fort peu du chapeau (et du reste sans la moindre autonomie) : travail manuel obligatoire. Les fermes modèles du Moyen Âge furent cisterciennes.


                  • #gcopin Gcopin 8 avril 2015 14:23

                    Donc c’est une remise en question complète de la RR RG et MG, pourquoi pas, merci pour votre réponse, néanmoins ça sort de mon terrain de prédilection.


                    • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 15:08

                      @Gcopin.

                      Mais non ! Le mage fait juste semblant, pour abuser les naïfs.

                      Avec la même recette, Obama a prétendu qu’à l’avenir il obéirait moins à Israël que ses prédécesseurs. Pouf ! Prix Nobel !

                      Avec la même recette, Al Gore et le GIEC ont prétendu qu’ils comprenaient quelque chose à la climatologie, que le CO2 dirigeait tout, et prophétisaient qu’il y aurait réchauffement climatique, fonte des glaces et submersion des Pays Bas. Pouf ! Prix Nobel !

                      Dans ces conditions, Bernard Dugué caresse le rêve qu’avec lui aussi un peu de baratin pataphysique, et Pouf ! Prix Nobel !


                    • #gcopin Gcopin 8 avril 2015 23:04

                      @JC_Lavau

                      Bonjour, je veux bien faire partie des naïfs ça ne me pose pas de problème, Socrate se vantait d’être naïf, soit de ne pas connaître la vérité enfin il en savait toujours plus ….. Moi les théories de Monsieur Dugué ne me dérange pas en plus je n’ai pas d’amertume ! Si j’ai réagi aux postulats de la lumière et de la masse / volume, c’est le fait que inséré dans son article « brute de décoffrage » ça me choc ! Maintenant en relisant l’article et si je me place en dehors de la RG pourquoi pas ? En lisant le livre de Lee Smolin « Rien ne va plus en physique ! Ou l’échec de la théorie des cordes » (une merveille de bilan sans non) on a la preuve par a + b d’un malaise incommensurable en MQ, c’est quoi la solution, coller encore au moule de la MQ ou innover ou inchAllah ? Je suis désolé mais je ne vois pas l’utilité de tirer à boulets rouges, si on n’est pas d’accord. La constance de la vitesse de la lumière était une idée complètement farfelue et pourtant !


                    • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 23:29

                      @Gcopin. Dugué n’a pas de théorie qui soit de la physique. Il fait juste semblant, pour se donner une contenance avantageuse.

                      Sur ce que tu appelles « la MQ », soit le placage d’une sémantique délirante sur un formalisme correct (pour des raisons strictement territoriales et tribales d’il y a octante huit ans), nous sommes quand même quelques uns à avoir levé le lièvre. Il est désormais prouvé que nous ne faisons plus la même physique, et que cela induit une mathématisation divergente à son tour.

                      De la même façon que Galileo s’est fait détester par la papauté avec la rédaction et la publication du Dialogo, avec le crime supplémentaire qu’il était publié en italien et non en latin, donc largement plus accessible aux non-clercs, nous sommes détestés et réprimés par l’actuelle papauté, héritière de la clique Göttingen-København, qui détient tout l’enseignement et toute la vulgarisation.

                      Je le répète encore une fois pour que tu comprennes : je me suis séparé de la dite clique Göttingen-København voici vingt ans, car leur hodge-potch est incompatible avec les faits expérimentaux, il est totalement exclu de les considérer comme des partenaires sérieux sur le plan scientifique. Sur le plan du pouvoir en revanche, ils sont une citadelle difficile à contourner.


                    • JC_Lavau JC_Lavau 8 avril 2015 16:24

                      Quant au dessin en tête d’article, d’atome planétaire selon Rutherford en 1911, révision Bohr 1913, il a l’avantage de séduire et hypnotiser les ignorants, et l’inconvénient d’être supérieurement idiot et fallacieux.

                      Alors que le même Bernard Dugué faisait semblant l’autre semaine de comprendre l’équation de Schrödinger de 1926, périmée en 1928.


                      • soi même 8 avril 2015 20:43

                        Salut Bernard, je suis très dubitatif vis à vis de tes articles, Es que tu as décider de ton propre chef de de soldé la sciences ?


                        • JC_Lavau JC_Lavau 9 avril 2015 14:34

                          Avant Bernard Dugué, il y a eu Jean-Emile Charon, qui au départ avait une formation réelle de physicien, des idées a priori intéressantes, ou du moins séduisantes pour le profane que j’étais alors en 1961 (et pour les journalistes qui ne sont pas plus éclairés), et a assez vite dérivé.

                          Lui aussi il est mort fou.

                          C’est fragile, un cerveau humain.

                          Dans le genre, il y eu aussi Wilhelm Reich. Là on sait le plus gros des fins mots de l’histoire : c’était un abusé sexuel dans son enfance. Ce qui est loin d’épuiser la causalité de la déliquescence finale de Reich ; en effet nombre d’abusés ou de violés(e)s dans leur enfance ne deviennent pas fous.

                          W. Reich s’était enfermé dans son narcissisme, et ses idéations de plus en plus paranoïdes.

                          Quand résilience et réhabilitation il y a, c’est que justement la rencontre avec des adultes de référence est intervenue avant auto-incarcération dans la mégalomanie, et avant la fuite dans la mythomanie, puis la paranoïa à mesure que croissait la terreur d’être démasqué(e). Il n’y a pas de réhabilitation possible sans passer par les phases de désillusion, fort mal désignées par Mélanie Klein et Donald Winnott par « position dépressive ». Bien utilisées, les phases de désillusion sont de formidables ressources pour se redéployer avec succès et créativité. Mais si vous les refusez d’avance...


                          • Hervé Hum Hervé Hum 9 avril 2015 22:18

                            @JC_Lavau

                            "Bien utilisées, les phases de désillusion sont de formidables ressources pour se redéployer avec succès et créativité. Mais si vous les refusez d’avance..."

                            C’est on ne peut plus juste !!!

                            Mais c’est aussi, on ne peut plus subtil...


                          • Hervé Hum Hervé Hum 9 avril 2015 22:09

                            Enfin un article intéressant !

                            Mais c’est encore très incomplet...

                            Et rappelez vous d’Icare, il n’est pas interdit de s’approcher de la vérité, seulement de se brûler les ailes !


                            • JC_Lavau JC_Lavau 11 avril 2015 13:53

                              Dugué : « Le 21ème siècle sera monadologique ! »

                              Lorsque le vaticinant erratique...
                              Lorsque le poète prophète qui ne sait pas où il va
                              ...
                              Il repousse les limites du galimatias.

                              Affirmatif, Dugué, nous diagnostiquons le vaticinant erratique pour un fou.
                              Il faudrait en tenir une sacrée couche pour ne pas s’en apercevoir.


                              • stetienne stetienne 12 avril 2015 10:25

                                rien compris a ce charabia
                                après l univers ou les univers ont peut etre une complexité infini et il n y aura jamais d’unification

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