25 vérités d’Alexis Tsipras sur le chantage du lobby financier international
Al Mayadeen
Fidèle au mandat que lui a donné le peuple, le Premier Ministre grec a décidé de soumettre l’ultimatum du Fonds monétaire international, de l’Union européenne et de la Commission européenne à un référendum le 5 juillet 2015
- Depuis l’arrivée de Syriza au pouvoir en janvier 2015, la Grèce subit une « asphyxie économique sans précédents » de la part de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international, dans le but de faire plier le gouvernement progressiste et de l’empêcher de « mettre fin à l’austérité et de restaurer la prospérité et la justice sociale ».[1]
- Le but des négociations était d’arriver à un accord viable « qui respecterait à la fois la démocratie et les normes européennes » afin de sortir définitivement de la crise.
- La Troïka a exigé de la Grèce le respect des accords pris par les gouvernements précédents, dont les politiques économiquement inefficaces et socialement désastreuses ont été majoritairement rejetées par le peuple grec qui a décidé de porter Syriza au pouvoir.
- A aucun moment, le gouvernement grec n’a cédé aux menaces des institutions européennes et du FMI.
- Après près de six mois de négociations, l’Euro-groupe a présenté « un ultimatum à la République hellénique et au peuple grec ». Cet ultimatum « contrevient aux principes fondateurs et aux valeurs de l’Europe ».
- L’Europe a présenté « une proposition qui inclut des nouvelles charges insupportables pour le peuple grec et qui nuit au redressement de la société grecque et de son économie, non seulement en maintenant l’incertitude, mais en accroissant davantage les déséquilibres sociaux ».
- Ces mesures imposent « une fragmentation du marché du travail » avec une précarisation accrue des contrats, « une diminution des retraites, de nouvelles réductions de salaires dans le secteur public et une augmentation de la TVA sur les produits alimentaires, les restaurants et le tourisme, avec la suppression des réductions fiscales dans les îles ».
- « Ces propositions violent clairement les normes sociales européennes et le droit fondamental au travail, à l’égalité et à la dignité ».
- Le but de la troïka et de certains membres de l’Euro-groupe n’est pas « de trouver un accord viable et bénéfique pour les deux parties, mais d’humilier tout le peuple grec ».
- Le but est de « punir une voix différente en l’Europe ».
- Le Fonds monétaire international est obsédé par l’austérité et les mesures punitives.
- La crise grecque affecte toute l’Europe et menace l’unité continentale.
- Yanis Varoufakis, ministre grec des Finances, a été arbitrairement exclu de la réunion de l’Euro-groupe, en violation de la légalité européenne.
- « La responsabilité historique en faveur des luttes du peuple hellénique et de la protection de la démocratie et de notre souveraineté nationale. […] nous oblige à répondre à cet ultimatum avec la volonté du peuple grec ».
- Un référendum aura donc lieu le 5 juillet 2015 afin que « le peuple grec décide de façon souveraine ». « Face à cet ultimatum et ce chantage, je vous convoque afin que vous décidiez de façon souveraine et avec fierté, comme le dicte l’histoire de la Grèce, au sujet de cette austérité stricte et humiliante, qui n’offre aucune solution ni option qui permette un redressement social et économique ».
- « Dans le berceau de la démocratie, nous ne demanderons pas l’autorisation à Monsieur Dijsselbloem [Président de l’Euro-groupe] ni à Monsieur Schaüble [Ministre allemand des finances] » pour célébrer un référendum.
- Ce référendum « n’est pas une tentative de scission avec l’Europe mais de scission avec les pratiques qui sont un affront pour l’Europe ».
- « Face à cette dure austérité autocratique, nous devons répondre avec démocratie, sérénité et détermination ».
- « La Grèce, creuset de la démocratie, doit envoyer un message démocratique claire à l’Europe et à la communauté internationale ».
- « Le peuple grec dira un grand non à l’ultimatum mais en même temps un grand oui à l’Europe de la solidarité ».
- Au lendemain de ce « non », « la force de négociation du pays sera renforcée ».
- Quelle que soit l’issue de la consultation, la volonté du peuple grec sera respectée.
- Cette consultation « enverra un message de dignité au monde ».
- L’Europe est la maison commune de tous ses peuples. « Il n’a pas de propriétaires et des invités en Europe ».
- « La Grèce est et sera une partie intégrante de l’Europe, et l’Europe sera une partie intégrante de la Grèce. Mais une Grèce sans démocratie impliquerait une Europe sans identité et sans boussole ».
Docteur ès Etudes Ibériques et Latino-américaines de l’Université Paris IV-Sorbonne, Salim Lamrani est Maître de conférences à l’Université de La Réunion, et journaliste, spécialiste des relations entre Cuba et les Etats-Unis.
Son nouvel ouvrage s’intitule Cuba. Les médias face au défi de l’impartialité, Paris, Editions Estrella, 2013 et comporte une préface d’Eduardo Galeano.
Contact : [email protected] ; [email protected]
Page Facebook : https://www.facebook.com/SalimLamraniOfficiel
[1] Alexis Tsipras, « Discurso », 27 juin 2015. http://www.eldiario.es/internacional/discurso-Tsipras-referendum-Grecia_0_403159823.html ; Infobae, « Grecia : Tsipras instó a ‘un enfático NO’ en el referéndum sobre la oferta de los acreedores », 27 juin 2015. http://www.infobae.com/2015/06/27/1738104-grecia-tsipras-insto-un-enfatico-no-el-referendum-la-oferta-los-acreedores
22 réactions à cet article
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et les 25 mensonges de l’Europe pour lui répondre ......
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Tout le monde sait que derrière l’UE il y a Wall Street, Washington, la FED, les grandes banques mondiales, comme Goldman Sachs dont de nombreux anciens employés sont aujourd’hui dans les arcanes de l’Union européenne. La Troïka n’a rien à faire des peuples européens. La seule chose importante, ce sont les actionnaires et autres fonds de pensions, résultant de l’ultra libéralisme appliqué depuis 35 ans. Espérons que le peuple grec, comme il y a 2500 ans, montre l’exemple aux autres peuples européens, surtout de la Méditerranée. Contre les peuples unis, ils ne peuvent rien. 500 millions de personnes contre 5000, nous en ferons une bouchée de pain. Il faut les trucider et exposer leurs têtes pour que ceux qui s’égareraient sachent ce qui les attend !
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@Allexandre Vous êtes très irréaliste !
1- tout le monde ne sait pas ce que vous savez et écrivez. Peu de gens connaissent l’article 123 par exemple.
Peu de gens savent ( ou se souviennent après l’avoir lu une fois ds le journal) que le mafieux Draghi travaillait pour G.S. et a truqué les comptes grecs.
Peu de gens savent « qui » est la Troïka.
Peu de gens savent que des fonds de pension US et GB sont investis ds des affaires françaises, dont les PDG et cadres sup sont royalement payés pour étriller toujours un peu plus leurs clients.
( par ex : 60 € pour frais de dossier chez un assureur)2- même contre des peuples unis ILS peuvent agir car ils détiennent le pognon et savent assujettir des lèche-cul qui en veulent.
3- cela dit, s’il était possible de condamner, selon leurs fautes, les eurofachos et les politicards qui les servent à des travaux d’intérêt général ( combinaison rose fluo, lever à 5h, ni presse ni radio ni télé..) et d’autres à faire des choses d’intérêt civique sur une île française inhabitée ( ça doit exister) selon un régime carcéral dur, je serais tout à fait d’accord !
Et croyez-moi, je serais aussi en mesure de suggérer des travaux à faire. Sans nuire à des entreprises privées.
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@jakem
Certes je vous concède que peu de gens le savent. Mais je pensais à ceux qui traitent ici le sujet. Et de toutes façons, il faut le dire pour que ceux qui ne le savent pas le sachent. L’intérêt d’internet, c’est justement d’informer tous ceux qui n’ont que les médias grand public pour les informer. Je vous rejoins. Je verrais bien Merkel, Hollande, Junker et Lagarde en combinaison fluo, cassant des cailloux à Cayenne, histoire de les faire réfléchir sur leurs mensonges. Mais nous n’en sommes pas encore là. Nous en approchons lentement mais sûrement ! -
@Allexandre Je crois que ceux qui parlent de « ça » ici savent ; ce sont des gens convaincus favorables à un bord ou à autre, ou bien à une idée ma^tresse ou une autre.
Les gens qui ne savent pas ne lisent pas les articles et les commentaires sur le net, mm s’ils possèdent un truc-à-puces. Ils regardent la télé et lisent le quotidien local.
J’ai écrit les lignes de mon com. précédent après avoir fait ces constatations ; ça n’a pas de valeur statistique. Je ne sais mm pas à combien de personnes j’ai parlé ; j’aime bien causer aux gens et les aborde sans chichi lors de vide-grenier ou au bistrot ou au marché ou en promenant mon chien... Et la plupart du temps je tombe sur des personnes assez aimables pour s’arrêter et parler.
J’en profite toujours pour faire de l’info anti Eurokratur.Dites, pour les 4 crapules que vous citez, il faut pas les confiner à Cayenne ! Mais les faire travailler en métropole : créer et entretenir des chemins de promenade accessibles aux personnes invalides et à celles qui promènent un bébé en poussette, balayer les trottoirs avec un balai dès 6 h le matin, ramasser les saletés qui jonchent le sol et mm les pelouses, repeindre des grilles de square, nettoyer des monuments, faire la promenade et la parlotte à des gens âgés ou malades, nettoyer les cours d’eau.... Non ! Junker lui il doit aller sur une île tailler des troncs ( éventuellement importés de métropole) et des rochers. Et n’avoir que de l’aqua simplex à boire.
Je suis d’accord pour être gardien à tiers-temps bénévolement.
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@Allexandre
« Espérons que le peuple grec, comme il y a 2500 ans, montre l’exemple aux autres peuples européens.. »Ce n’est plus du tout le même
Celui d’aujourd’hui est le produit de 2000 ans d’invasions et de métissage.C’est ainsi que la Grèce d’Homère, d’Hippocrate, de Périclès, de Thucydide, d’Aristophane, de Démosthène, d’Alcibiade, de Praxitèle, de Platon et d’Aristote, est devenue celle des Karamanlis, Papandréou et Tsipras-Varoufakis.C’est quasiment un changement de planète... -
@César Castique
Vous semblez oublier que les Grecs d’il y a 2500 ans étaient déjà métissés et fruit de mélanges ethniques. Mais obsédé par l’air ambiant de xénophobie et de racisme, vous fantasmez sur des peuples antiques purs, chose totalement erronée. Sortez de vos fantasmes ethniques et tout ira mieux ! -
@Allexandre
« Sortez de vos fantasmes ethniques et tout ira mieux ! »
Voulez-vous dire par là que la Grèce d’aujourd’hui possède et cultive toutes les qualités et vertus qui avaient cours aux Ve et IVe siècles avant J.-C., et qui en ont fait l’un des piliers de notre civilisation ? -
@César Castique
Décidément, vous le faites exprès ou quoi ? Bien sûr que non, je ne veux pas dire cela. Vous répondez à côté par une pirouette : vous auriez pu être politique. Je dis seulement qie les Hellènes du Vè siècle av JC étaient déjà le fruit d’un métissage ethnique comme tous les peuples d’ailleurs. Les Achéens et les Doriens envahirent la péninsule entre le XXIè et le XIIIè siècles av JC. Il y avait là des peuples issus de la Crète et du Proche-Orient. Voilà ce que je dis. Si vous ne sortez pas de cette obsession du métissage, très en vogue depuis quelques années, et exacerbée par ce connard patenté de Zemmour, fruit d’un métissage plus que visible, vous vous enfoncerez dans les méandres d’une xénophobie irrationnelle, d’autant que nous avons tous le même ancêtre. Mais visiblement, c’est dur à intégrer pour beaucoup de personnes qui croient encore à la « pureté » de la race. -
@Allexandre
« Si vous ne sortez pas de cette obsession du métissage, très en vogue depuis quelques années, et exacerbée par ce connard patenté de Zemmour, fruit d’un métissage plus que visible... »
Ça veut dire quoi ? Qu’il y a des mélanges qui donnent de meilleurs résultats que d’autres ? Vraisemblablement, parce que nous avons ici, l’exemple d’un peuple entier qui fut un phare, et qui n’est plus un modèle en quelque domaine que ce soit.
« ...vous vous enfoncerez dans les méandres d’une xénophobie irrationnelle... »,La seule xénophobie que je connaisse est celle qu’éprouvent les gens qui ont le sentiment d’être progressivement dépossédés de leur territoire et de leur mode de vie*, et elle est naturelle.« ...d’autant que nous avons tous le même ancêtre. »Comme le Fila de Sao Miguel et le Shar-Pei, mais ça n’en fait pas de proches parents. Tout au plus de très vagues cousins, qui ne se reconnaissent même pas comme tels.* Deux Français sur 3 déclaraient ne plus se sentir chez eux comme avant, alors qu’ils ne savaient pas encore que, dans leur pays aussi, on pouvait désormais se faire assassiner pour des dessins satiriques. -
@jakem
les voilà !!Christine Lagarde est mise en examen dans l’affaire de l’arbitrage favorable rendu à Bernard Tapie (403 millions d’€) : elle était alors ministre de l’économie.
> http://www.liberation.fr/…/la-mise-en-examen-une-bonne-et-u…- Jean-Claude Junker a été premier ministre du Luxembourg, favorisant l’évasion fiscale massive vers son pays au détriment de ses partenaires européens.
> http://www.lemonde.fr/…/evasion-fiscale-tout-sur-les-secret…- Mario Draghi était vice-président Europe de Goldman Sachs lorsque la banque privée a aidé le gouvernement grec de l’époque à maquiller son déficit avec des produits dérivés.
> http://www.humanite.fr/goldman-sachs-et-la-grece-une-histoi…Voici les visages de la Troïka qui donne des leçons à Alexis Tsipras et qui appelle à voter Oui-Oui et à accélérer l’austérité en Grèce !
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@Allexandre
Décidément, vous le faites exprès ou quoi ?Oui, il le fait exprès. Ce type est d’une mauvaise foi en béton armé, oubliez-le. -
La force de dire non ..... !
Par exemple..........
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Appel Audit citoyen
Chères amies, chers amis,
Dans la soirée du 26 juin, Alexis Tsipras a annoncé son intention d’organiser un référendum sur le plan d’austérité imposé par les créanciers de la Grèce. Depuis, les pressions politiques et médiatiques se multiplient contre ce recours démocratique. Face à ces intimidations inacceptables, nous disons « NON à l’ultimatum des créanciers, oui à la démocratie ! »
Dans la continuité de la semaine d’action européenne en soutien avec la Grèce, nous appelons, d’ici au 5 juillet, à « voter » symboliquement contre l’ultimatum des créanciers, en signant et en faisant signer l’appel (cliquer ici), et en organisant partout en France des votations citoyennes symboliques et rassemblements ou manifestations.
À Paris, une grande manifestation est prévue jeudi 2 juillet 18h30 au départ de la place de la Bastille.
pour les autres villes ; se renseigner ici http://www.audit-citoyen.org/?page_id=2
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« ...les politiques économiquement inefficaces et socialement désastreuses ont été majoritairement rejetées par le peuple grec qui a décidé de porter Syriza au pouvoir. »
Les eurocrates sont peut-être des salauds, mais il ne faut pas les prendre pour des cons. Ils savent que 63.7 % des votants et 76.8 % des inscrits n’ont pas voté Syriza.-
Ce qu’on voudrait nous faire croire, c’est qu’il n’y a 2 camps en présence, celui du gouvernement grec et la Troïka. Il y a un 3e camp, passé sous silence, de tous ceux qui ne sont pas d’accord avec Syriza et encore moins avec la Troïka..., ceux qui veulent la sortie de l’ UE et de l’euro.
Lettre du PC grec à Syriza.-
Je note en préalable, le ravaudage de la CEE sur le referendum.
Pris de court, les voila maintenant a etre obligé d’étaler leurs mensonges et surtout leur faiblesse.
En d’autres temps plus glorieux, l’UE aurait démis de ses fonctions l’infame, pour le remplacer par un du cru (Goldman ou autre) on l’aurait au moins mis au pilori, l’aurait obligé a un vote a la Sarko, ou a l’irlandaise.
La non on n’ose plus, on fait monter des journaleux au creneaux (ceux des JT parmi les plus incultes imbeciles), de nouvelles propositions, nenni, juste une vague propagande en lieu d’argumentaire,
Si la Grece dit non elle dit non a l’Europe ...a bon ...et ?
Voir et revoir a ce propos comment J. Sapir remet a sa vrai place l’idiote du Village Global.-
@ykpaiha
La Troïka joue sur du velours..
D’entrée, Tsipras a annoncé que la Grèce rembourserait la dette, et qu’il voulait rester dans l’ UE & l’euro. Il s’est donc privé des 3 leviers qui pouvaient faire peur à la Troïka.
« Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques ». -
@Fifi Brind_acier
Pour l’heure, personne n’en sait rien, il s’agit d’une partie de poker menteur. C’est pure supposition de ma part, mais il n’est pas impossible que Tsipras laisse à l’Union européenne en général, et à l’Allemagne en particulier, la responsabilité du clash – la sortie de l’euro.Vous semblez oublier que Syriza n’a pas été mandatée pour la sortie de l’euro, c’est peut-être pourquoi Tsipras a mis son mandat dans la balance. Politiquement parlant, un « non » au exigences démentielles des eurocrates inverserait les rôles, Tsipras se retrouvant en position de force. L’hystérie des médias – qui nous rappelle des souvenirs – est un signe. -
C’est une méthode américaine, très utilisée en France également, il faut « casser » ou la personne, ou le groupe de personne, ou la nation. En gros, dévitaliser, mettre à terre, pour bien dominer et en faire ce que l’on veut ensuite ! avilir, bref coloniser !
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@ l’auteur : Combien on a donné de « milliards » pour sauver « nos » banques ???..... Et on ne trouve pas 3 sous pour sauver un peuple tout entier ??... C’est CA « l’EUROPE » ???... Ben M.... alors !..... Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement « l’Europe » comprendra que l’argent ne se mange pas !...... Merci « Sitting Bull », ça vaut encore « 10 » !....!.........Adishatz.
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