Etat d’urgence, le double ennemi intérieur et extérieur ou l’urgence de vider l’eau du bocal
« Je suis fatigué d’avoir encore à répondre à ces questions.
Nous poursuivrons les terroristes partout. (…) Si on les prend dans les toilettes, eh bien, excusez-moi, on les butera dans les chiottes. »
V.V. Poutine, déclaration d'Astana, 24 septembre 1999 – Interfax
« Esli, pardon, v tualete ix pojmaem, i v sortire zamochim »
Vous ne connaîtrez ni le lieu, ni le jour, ni l'heure, mais cela arrivera comme cela est arrivé et arrivera encore. Quoique ? Quoique, en effet, car il n'y a en effet rien d'inéluctable sur ce plan-ci dès lors que, mettant de côté tout angélisme et pacifisme qui paralysent pensée et action, une solution existe pour contrer ces attentats dont il est paradoxalement possible, jusqu'à un certain point, de prévoir les circonstances de leur commission et en tout cas d'y parer.
Il faut vider l'eau du bocal en saisissant l'occasion que nous offre la tragédie qui a frappé la France et tous nos concitoyens et amis de nous débarrasser de nos ennemis.
Pareille décision est acceptable dès lors qu'il est établi que le pays, la Nation, ses intérêts sont directement menacés par un ennemi intérieur, clairement identifié et déterminé à mener des opérations de guerre et qu'il convient de combattre et éradiquer sans état d'âme. C'est aujourd'hui le cas face à un adversaire particulièrement déterminé.
Ce que l'on appelle état d'urgence est en effet principalement et avant tout un état d'esprit, comme celui qui préside, dans des circonstances plus complexes, à l'instauration de la loi martiale.
Diffusée voici quelques jours, la photographie mise ici en exergue m'avait alors permis de constater une fois de plus que tout était prétexte à surfer sur le syndrome « banlieue - djihad – kalach – trafics - criminalité » avec une production cinématographique aujourd'hui prémonitoire construite sur un scénario minimaliste et une distribution bien dans l'air du temps affichant comme prévu, ainsi que le montre la bande-annonce du film, langage adéquat, violence et sales gueules de circonstance. Puisse ce film servir à quelque chose de positif en ouvrant les yeux de ceux qui ignoreraient de quoi est fait ce virus qui se répand partout en Europe et aujourd'hui une fois de plus en France.
Il s'agit désormais d'extraire la racine du mal et de mettre un terme à cet ensauvagement du monde comme l'appelait Thérèse Delpech dans un ouvrage lui aussi prémonitoire.
1- Cataplasmes, couilles molles et bien-pensance
Voilà donc qu'au moment où avec la commémoration quelque peu appuyée de la disparition tragique de deux malheureux adolescents lors des émeutes qui enflammèrent les banlieues françaises en 2005 surgit dix ans plus tard, avec la violence qui en constitue l'essence, un acte de guerre autrement plus tragique dans son ampleur et qui n'est autre que la projection et l'importation au cœur de l'Europe d'une métastase de l'impitoyable conflit qui détruit le Proche et le Moyen-Orient et dont nous parvenaient jusqu'à ce jour les échos lointains.
L'actualité se nourrissait de la dose quotidienne des attentats perpétrés en Turquie, de l'entrée de la Russie en guerre aux côtés de la Syrie, assortie de la destruction d'un avion civil dont les causes comme l'identification du ou des auteurs nourrissaient de multiples hypothèses. La France effectuait pour sa part des « frappes » en Syrie, pays dont on avait fait savoir urbi et orbi que le dirigeant « ne pouvait être la solution d'un problème dont il était la cause », mais il n'y avait là que la banalité d'événements spectaculairement lointains, sans plus. Cop 21, élections régionales, visées sur 2017, le tableau de l'habituel Clochemerle politicard n'était toutefois pas complètement serein puisque, là encore, l'actualité était travaillée par les inquiétudes que générait l'accroissement soudain et gigantesque du flot de réfugiés-immigrants-demandeurs d'asile précisément chassés de ces pays de misère et auxquels des dirigeants européens inconscients offraient brusquement les clés d'une installation dans l'Eldorado européen, principalement germanique et scandinave. Pire encore, avec la perspective de voir des sociétés déstabilisées par une invasion migratoire incontrôlée et imposée, des esprits mal tournés osaient même formuler l'existence d'un risque de terrorisme qui pouvait profiter de l'aubaine d'un appel d'air migratoire aussi inconscient que stupide pour faciliter des agissements criminels, mais c'était là faire preuve de mépris et être injurieux, pensez-donc !
Or il est particulièrement intéressant de voir que moins d'un mois après la parution le 21 octobre 2015 dans sa traduction française intitulée « Insurrections en France, du Maghreb colonial aux émeutes de banlieues, histoire d’une longue guerre », l'ouvrage de l'universitaire britannique Andrew Hussey intitulé « The French Intifada : The Long War Between France and Its Arabs », entre en conjonction avec la survenance, le 13 novembre 2015, de la plus sanglante manifestation de terrorisme que la France ait pu connaître avec les attentats perpétrés à Paris et revendiqués par l'Etat islamique.
2- Le double ennemi intérieur et extérieur
Il doit être clairement établi que deux fronts qui n'en font plus qu'un seul sont aujourd'hui clairement déterminés avec la confirmation, comme ce fut déjà le cas lors de la tuerie commise le 7 janvier 2015 contre les membres de la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo, de l'existence commune - en France mais aussi en Europe - d'un double ennemi extérieur et intérieur dont les motivations comme les objectifs sont ceux d'une guerre islamique aussi implacable que déterminée et qui revêt les aspects bien connus de la « libanisation » qui s'installe insidieusement en Europe comme en France.
Il y a aujourd’hui deux types d'événements séparés.qui se rapprochent dans leur fréquence ; d'un côté, des actes terroristes qui sont devenus des actes de guerre que l'Etat s'efforce de déjouer du mieux qu'il le peut et de l'autre, des émeutes urbaines que l'état serait incapable de contrôler, sauf au prix fort, si elles venaient à éclater.
L'étape suivante serait la réunion coordonnée des deux événements avec un embrasement des deux fronts auxquels l'armée devrait alors faire face. Aujourd'hui tout semble sous contrôle, hormis les populations dont on ne sait comme elles pourraient réagir si d'autres événements se produisaient.
Or ils se produiront encore, d''où la nécessité d'agir très vite en amont en procédant à la neutralisation effective de tout ce qui constitue une réelle source de déstabilisation. Les enseignements tirés de la réaction du roi Hussein de Jordanie lors du fameux Septembre noir (12 septembre 1970) qui vit l'élimination que représentait le danger palestinien pour la sauvegarde du royaume Hachémite sont toujours d'actualité, ce que le malheureux Liban n'a pas compris.
Il n'est en effet plus temps de tergiverser. Les sanglantes opérations dont Paris a été victime dans la nuit du 13 au 14 novembre devraient appeler une réaction immédiate, silencieuse, efficace, qui consisterait à éliminer physiquement toute personne déjà identifiée comme « radicalisée » (euphémisme officiel), potentiellement dangereuse en la privant de toute possibilité de passer à l'acte.
Nul besoin d'exercer les fonctions de Premier minsitre ou de ministre de l'Intérieur pour constater en effet que les précautions prises, les mesures adoptées en vertu des dispositions cosmétiques d'un plan Vigipirate poussé au rouge impérial chinois se seront finalement révélées aussi inefficacement dissuasives que la présence dévouée des soldats patrouillant trois par trois au pied des monuments ou dans les halls des aéroports et gares parisiennes ou encore celle des vigiles invitant poliment les clients à produire les objets métalliques en leur possession comme à ouvrir leur sac à l’entrée des musées et des grands magasins. Le ministre de l’Intérieur ne se félicitait-il pas récemment encore de la vigilance qui avait permis à la police de déjouer un projet d’attentat contre la base navale de Toulon ? Pendant ce temps et dans le secret le plus absolu plusieurs commandos de fanatiques parfaitement armés, pourvus d'engins de mort et dont l’enquête révèlera (c'est déjà fait) qu'ils étaient fichés comme « radicalisés », particulèrement dangereux, pseudo-compatriotes et indiscutablement "Français de papier" déjà partis ou revenus de Syrie, condamnés sans être incarcérés, voire même déjà objet d'un mandat d'arrêt international, mettaient la dernière touche à la préparation de leur carnage.
3 – Cécité, pusillanimité, incapacité et réalités
La réalité des faits est aujourd'hui implacable, avec un bilan revu à la hausse par le Procureur général de Paris qui annonce 129 morts et 352 blessés parmi lesquels figurent des ressortissants de quinze nationalités parmi lesquels Belges, Allemands, Portugais, Espagnols, Roumains, Britanniques, Tunisiens, Algériens, Marocains, Chiliens, Mexicains, Italiens, Suédois, Brésiliens, Néerlandais.
La raison de cet échec majeur - car c'en est un - tient à la volonté d'éluder la réalité du monde, ainsi qu'à la coupable pusillanimité de dirigeants en réalité incapables de nommer et traiter l'ennemi ainsi qu'à l'inadéquation, voire peut-être à l'absence de recours à la seule méthode qui vaille lorsqu'un organisme (humain, social) est attaqué de l'extérieur : la production d'anti-corps pour éliminer le virus tueur.
Mais voilà, comme l'écrit l'excellent Dominique Jamet dont je reprends ici les propos, « la France avait pris le parti, avec les moyens dont elle dispose, de participer aux opérations de bombardement menées depuis des mois dans le ciel de l’Irak et de la Syrie par l’étrange coalition qui poursuit dans le désordre et l’inefficacité des buts compliqués et des ennemis variables au Moyen-Orient. On annonçait à son de trompe au début de cette semaine le départ pour la région de notre unique porte-avions flanqué d’une frégate britannique et d’un bâtiment belge. Pouvions-nous imaginer, écrit-il encore, que nos actions qui, pour limitées qu’elles soient, frappent à quatre heures d’avion de Paris les positions djihadistes et leurs alentours, resteraient indéfiniment sans réplique ? Pouvions-nous imaginer que Daesh ou Al Qaeda, qui disposent en Europe d’une cinquième colonne infiltrée dans la population n’exerceraient aucune représaille contre notre pays ? Ce n’est ni dans leur caractère ni dans leurs habitudes. »
Ce n'est pas tant que nous nous soyons impliqués dans un conflit qui ne connaît ni trêve ni frontières, où l’adversaire ne fait aucune distinction entre le front et l’arrière, entre militaires et civils, entre innocents et coupables. Nous sommes en première ligne, comme nous l'avons toujours été, et avons vécu vendredi 13 novembre 2015 pour la première fois, une situation qui est depuis des années le quotidien de Bagdad, Kaboul, Beyrouth, Damas ou Mogadiscio dont une grande partie de la population européenne suit distraitement le martyre à travers les quelques lignes et les quelques secondes que veulent bien accorder les média(s) dès lors que le nombre des victimes d’un attentat y dépasse les dizaines.
La guerre que nous nous flattions de tenir à distance ne nous a pas rattrapés. Elle s'est déplacée avec « son haleine brûlante sur nos villes, nos aéroports, nos gares, nos stades, nos théâtres, nos cinémas, nos cafés, nos restaurants, nos écoles, nos collèges, nos lycées, nos facultés, nos stades, nos métros, nos commissariats, nos avenues, nos rues. Les cibles sont partout, nous sommes tous des cibles et les assassins sont parmi nous, prêts à frapper où ils veulent, quand ils veulent. Il faut nous rendre à l’évidence : nous ne pouvons faire la guerre au loin et avoir la paix chez nous. »
4 - Militarisation de la paix : traiter l'ennemi
Il va donc falloir que nous nous battions puisque nous sommes chez nous et que ceux que nous avons d'abord généreusement accueillis, soignés, protégés, éduqués, permis de s"établir, faire souche et prospérer depuis tant d'années dans notre pays nous y contraignent désormais au nom d'une "inclusion", d'une "intégration" fantasmatique et dévoyée par certains de ceux-là-mêmes avec qui nos gouvernants nous ordonnent de « vivre ensemble » et « faire société » au nom d'une « mixité sociale » (en réalité ethnique et religieuse), se prévalant à tout bout de champ des armes de « l' islamophobie » et de tout « amalgame » au nom de « la diversité » , nous enjoignant d'abdiquer notre propre identité, notre propre culture, notre propre civilisation, notre propre histoire, nos propres valeurs, nos propres coutumes, nos propres traditions. Et cette entreprise de subversion profiterait impunément de la pusillanimité des dirigeants des pays hôtes pour y compléter la subversion déjà en cours par une entreprise de carnage ? Certainement pas.
Nous sommes en France et en Europe et n'avons que faire des métastases d'un cancer islamique qui veut notre propre disparition.
Le gouvernement, dans l’urgence, n'a pas eu d'autre choix que de proclamer l’état d’urgence et décider, face au terrorisme, de reprendre le contrôle de nos frontières que la grande invasion pacifique des migrants ne lui avait pas paru justifier. Funeste erreur. Face à la réalité de la menace terroriste, il a dans les faits, en cas de flagrant délit, rétabli la peine de mort rayée de notre droit, et il ne se trouvera personne, espérons-le, pour le lui reprocher.
- Mais aura-t-il le courage de décider de mettre hors d’état de nuire - c'est-à-dire en les liquidant physiquement, facilitant ainsi leur volonté eschatologique d'un martyr ardemment désiré - les quelques milliers d’individus repérés et fichés comme dangereux ?
- Aura-t-il le courage de donner le coup de pied qui s’impose dans la fourmilière salafiste, d'incarcérer ou d'expulser les prêcheurs de haine, les propagandistes de la soumission, leurs complices, les adeptes de la violence et d’une manière plus générale tous ceux qui, vivant en France ou titulaires de papiers français, sont dans leur tête et se conduisent dans leurs actes comme de fidèles ressortissants du califat des Barbares ?
- Aura-t-il le courage d'interdire définitivement toute construction de mosquées, de désaffecter celles existantes, de proscrire le port comme l'usage de toute distinction d'ordre vestimentaire, de proscrire les interdits alimentaires, la mixité, les mariages arrangés, les pratiques religieuses d'un autre âge telles que les mutilations sexuelles (circoncision, infibulation), les écoles confessionnelles et établissements musulmans ?
- Aura-t-il le courage de purger une bonne fois pour toutes le pays d'une immigration illégale, d'y mettre un terme, de lui imposer pour celle qu'il décidera de règlementer les conditions draconiennes exigées de n'importe lequel d'entre-nous lorsque nous voyageons à l'étranger (billet d'avion, garanties financières, visas, certificats de santé etc.) ?
Peut-être comprendra-t-il enfin que les islamistes ne nous offrent le choix qu’entre la soumission et la guerre et que, tout compte fait, s’il faut faire la guerre, il vaut mieux, comme disait Louis XIV, la faire à nos ennemis qu’à nos enfants. »
Encore faut-il avoir le courage de désigner l'ennemi pour le combattre.
Main forte et discernement sont impératifs car plus que tout, encore faut-il avoir l'intelligence de distinguer ses vrais amis et ses vrais alliés...et ne pas enferrer et enliser par ailleurs le pays et l'Europe dans des traités commerciaux (TAFTA) et une submersion d'immigration mortifères.
Passé le moment de la stupeur, le temps du deuil et l’appel à l’unité nationale, nos dirigeants vont naturellement déclarer vouloir être à la hauteur de leurs responsabilités.
En sont-ils au moins capables, qu'il s'agisse de MM. Hollande, Juncker ou encore de Mme Merkel ?
La réponse est à mes yeux négative, car pour reprendre le propos que M. F. Hollande a tenu à propos de son collègue syrien, je dirai à mon tour à son endroit, s'agissant de la situation dans laquelle se trouvent désormais la France et l'Europe et des difficultés immédiates auxquelles elles doivent faire face et qu'il a contribué à aggraver par choix idéologique et politique, qu'il ne peut pas faire partie de la solution.
Les représailles menées par l'aviation française en Syrie en réponse immédiate aux sanglants attentats qui ont touché notre pays n'ont aucun intérêt.
Ce qu'une population attend d'un pouvoir fort devrait prendre la forme d'une allocution sous forme d'un message à la Nation, à l'Europe et au monde entier, en réponse au soutien international adressé à la France, dans laquelle le chef de l'Etat désignerait clairement l'ennemi et annoncerait les mesures prises à son encontre pour en éradiquer les fondements.
On verra très vite ce qu'il en est. La survie du régime est à ce prix et il y a fort à parier que les Français ne s'accommoderont pas de demi-mesures destinées à ménager la chèvre et le choux et à protéger un électorat quel qu'il soit au détriment de la sécurité et de la sûreté nationales.
La France a su se doter tout au long d'une histoire politique agitée d'un ensemble de dispositifs juridiques exceptionnels réunis sous le vocable de légalité de crise (état d'urgence, état de siège, Article 16) qui confère à ses autorités le pouvoir de faire face à des situations extrêmes sur tout ou partie de son territoire. Suivant une tendance mondiale caractérisée par l'apparition de nouveaux mondes rebelles et la mondialisation du terrorisme comme des nouvelles criminalités, l'évolution vers une osmose entre défense nationale, sécurité nationale et sécurité intérieure a très naturellement conduit à la mise en place d'un dispositif technico-juridique particulièrement élaboré destiné à prévenir sinon contrer les menaces et attaques d'un double ennemi extérieur et intérieur susceptible de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
Il va donc très vite falloir constituer une équipe capable de se servir des outils précités et décidée à mettre en oeuvre sans état d'âme, au nom de la défense des intérêts fondamentaux de la Nation, de la préservation, de la sauvegarde et de l'affirmation de notre intégrité tant nationale qu'européenne, la résolution consistant à extraire la racine du mal. La solution est là, qui consiste - pour reprendre là encore une expression pour le moins explicite et parfaitement intelligible dont l'auteur n'a pas craint d'user sans considérations superflues -, ; « buter les terroristes jusque dans les chiottes ».
Notes, sources et références :
Thérèse Delpech, L’ensauvagement. Le retour de la barbarie au XXIe siècle. Paris, Grasset/Fasquelle, 2005, 366 p. http://questionsdecommunication.revues.org/2553
Andrew Hussey, Insurrections en France, du Maghreb colonial aux émeutes de banlieues, histoire d’une longue guerre. Paris, L’Artilleur, 488 pages, 24 €.
http://www.courrierinternational.com/article/2014/02/26/les-banlieues-vues-par-les-britanniques
http://www.nytimes.com/2014/06/29/books/review/the-french-intifada-by-andrew-hussey.html?_r=0
Loi n° 2013-1168 du 18 décembre 2013 relative à la programmation militaire pour les années 2014 à 2019 et portant diverses dispositions concernant la défense et la sécurité nationale », Journal officiel de la République française (JORF) n°0294 du 19 décembre 2013, page 20570.
Loi n° 2002-1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure, Journal officiel de la République française, Version consolidée au 01 mai 2012.
Loi d’Orientation et de Programmation pour la performance de la Sécurité Intérieure, dite LOPSI 2, qui complète la « LOPSI 1 » que M. Nicolas Sarkozy avait fait adopter en 2002 lorsqu’il était ministre de l’Intérieur. Cf. Journal officiel de la République française (JORF) n°0062 du 15 mars 2011, page 4582.
http://fr.sputniknews.com/france/20151115/1019543756/france-etat-durgence-hollande.html
http://www.bvoltaire.fr/richardhaddad/situation-de-france-pire-celle-liban,219202?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=657421fc48-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-657421fc48-30618357&mc_cid=657421fc48&mc_eid=af7ab9acbf
http://www.lesclesdumoyenorient.com/Septembre-noir.html
http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20151114/1019516215/attentats-paris-syrie.html
En Belgique et dans la banlieue de Bruxelles (qui a servi de base arrière aux terroristes dont au moins trois d'entre eux étaient de nationalité française) comme en France à Lyon, Toulouse, Grenoble et Bobigny notamment, des opérations liées ou non à l'enquête sur les attentats parisiens ont été effectuées avec pour résultat plusieurs interpellations ainsi que la découverte (comme à Lyon) d'un véritable arsenal de guerre.
Mark Steyn (Steynonline)
On parle de l’actuelle invasion migratoire en Europe et des faux-réfugiés-vrais-terroristes. C’est vrai, mais cela n’explique pas tout. Si ces terroristes peuvent être aussi efficaces, c’est qu’ils bénéficient d’appuis locaux, d’une « zone de confort ». En effet, sans forcément s’engager dans le terrorisme actif, certains citoyens « nominaux » ne font montre d’aucune allégeance à l’égard de leur Nation et représentent un gisement logistique pour l’islamisme et un cauchemar pour la police vu la masse d’individus à contrôler. Et que font Merkel et l’UE ? Ils augmentent cette zone de confort ! Qu’on arrête de brûler des chandelles à l’autel des valeurs universelles ! Soyons concrets. Il s’agit d’une attaque contre une partie de l’humanité qui a bâti le monde moderne, menée par une autre partie de l’humanité qui se moque des libertés publiques. Qu’adviendra-t-il quand 30 % de la population européenne n’aura plus cure des libertés publiques, de la liberté d’expression ?
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