RAS LE BOL
Nous sommes tous invités à la foire !
C'est la cacophonie des bonimenteurs de tous poils qui promettent tout et n'importe quoi.
C'est l'immense marché où LA FRANCE EST VENDUE A L'ENCAN.
Chacun des crieurs publics hurle le « programme » qui fera de lui le chantre d'une France renaissante,... cette France actuellement bien malade, décadente, pour ne pas dire moribonde.
Chaque chef de « meute » (pardon, de « parti ») clame : « qu'on me confie les rênes du pouvoir, et vous verrez... ! »
Oui, on nous promettra tout ce que l'on a envie de voir : « du travail pour tous, une économie redressée dans une France apaisée, des salaires décents pour tous, etc, etc... ».
« on réformera, on légiférera (nouvelles lois), on « détricottera » les anciennes lois trop contraignantes,... » bref : « votez pour moi et demain vous serez rasés gratis ! »
Mais combien de fois encore devrons nous subir ces périodes pré-électorales aux promesses mirifiques, toujours suivies de déceptions cruelles et déchirantes ?!
Cette gent politique qui gesticule, s'entre-déchire, mobilise tous les médias, n'est guidée que par une obsession LE POUVOIR, ce désir enivrant qui fait dire et faire n'importe quoi pour goûter à la jouissance de disposer du sort de soixante dix millions de concitoyens (nes).
Quel que soit celui qui sortira de ce « magma » politique en perpétuel remous, qu'il soit de gauche ou de droite, d’extrême gauche ou d’extrême droite, du centre, qu'il soit homme ou femme, fortuné ou « non argenté », lorsqu'il voudra exercer son pouvoir et honorer ses promesses électorales, se rendra vite compte que les caisses de l'Etat aux comptes négatifs (environ trois mille milliards d'euros de dettes) ne lui procureront pas les moyens de les réaliser.
C'est alors sur le marché de l'économie mondialisée qu'il ira trouver des prêteurs sur gages qui lui proposeront tous les milliards souhaités à des taux qui seront d'autant plus élevés que l'économie de son pays sera en mauvaise santé ( cf, la Grèce,...).
Ces prêteurs qui vendent leurs services sur le marché planétaire international sont les membres de ce que l'on nomme pudiquement LA BULLE FINANCIERE. Il s'agit de mafieux de tous bords mais aussi et surtout des familles les plus riches qui cachent leurs magots dans les nombreux paradis fiscaux qu'ils ont créés. Une des plus grande gloire de ce capitalisme triomphant est d'annoncer que les soixante deux plus grandes fortunes du monde avaient en 2014 un « avoir » équivalent à celui de la moitié la plus pauvre de l'humanité, soit environ 3,5 milliards d'êtres humains.
Si on précise que deux ans auparavant (en 2012) c'était soixante quatre familles qui possédaient autant que la moitié la plus pauvre des humains, laquelle était alors inférieur à 3,5 milliards d'individus, on constate que les très riches deviennent de plus en plus riches au détriment des plus pauvres qui deviennent encore plus pauvres.
Mais ce n'est pas en « coinçant la bulle » ni en faisant diversion en gonflant des « bulles de savon » que l'on se débarrassera de notre Bulle Financière. Après l'avoir crevée il faudra repenser tout notre système financier et économique (le second dépendant évidemment du premier).
Actuellement le « Financier Privé » pompe, telle une pompe aspirante, l'argent du « Secteur Public (de l'Etat), en accusant ce dernier de mal gérer le Bien Public. Et c'est ce même Financier Privé qui offre à l'Etat, a un taux préférentiel (! ??) l'argent qu'il vient de lui (de nous) piquer !
Le système s'auto-alimente et avance à une vitesse exponentielle.
Il faut commencer par NATIONALISER LA FINANCE : tout son circuit en commençant par la frappe de notre propre monnaie. Il s'agit de retirer au secteur privé sa mainmise sur l'ETAT ; car le SERVICE PUBLIC ne servirait plus à rien , c'est justement ce que l'on est en train de vivre aujourd'hui.
Mais il faut aller plus loin dans la démarche en décrétant la SUPPRESSION DE L'INTERET DE L'ARGENT, c'est à dire supprimer la possibilité qu'a l'argent de produire de l'argent, sans alimenter l'économie (c'est de l'énergie perdue pour l'économie de l'Entreprise). C'est aussi donner aux riches la possibilité de devenir plus riches sans qu'ils alimentent les besoins en investissement des Entreprises.
Il faut aussi se débarrasser du mythe de la MONDIALISATION cette course effrénée à la production,... elle a tué notre économie :
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par sa mise en concurrence avec des pays où la main d’œuvre est x fois moins chère qu'en France ;
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- en voulant pousser au maximum nos productions vers l'exportation nous négligeons et abandonnons des secteurs qui participaient à notre économie de subsistance telles l'agriculture , le textile, la chaussure,...
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- en soutenant avec force subventions l'industrialisation de secteurs tel celui Oh combien emblématique qu'est l'agriculture.
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Le gigantisme des exploitations, des élevages,... a tué l'exploitation à taille humaine et a permis aux pesticides, insecticides, herbicides et engrais de toutes sortes d'épuiser nos terres. Les produits de cette agriculture n'ont plus la même qualité, pis ils transmettent des maladies (allergies, cancers,...) On peut même en les évoquant parler d'homicides.
Ce ne sont pas des réformes qui changeront quoi que ce soit en France : elles auraient le même effet qu'un emplâtre appliqué sur une jambe de bois.
Il nous faut un NOUVEAU SYSTEME (paradigme) ECONOMICO FINANCIER
Ne nous faisons aucune illusion, un tel changement ne viendra d'aucun de nos dirigeants actuels, ni de ceux qui se présentent pour la curée finale de 2017.
Aucun d'eux ne voudra scier la branche sur laquelle il s'est perché et perdre la grosse rémunération dont il bénéficie en tant que serviteur zélé de la Finance.
Il n'y a que nous, le peuple de base, qui puissions en décider en profitant de ce qui nous reste encore de démocratie (?).
N'attendons plus un instant si nous ne voulons que ce « ras le bol » s'exprime à travers une explosion sanglante tel que ce fut le cas en 1789.
Un tel drame humain débouche généralement sur une période d'anarchie suivie de l'installation d'une tyrannie. Ce n'est nullement notre souhait.
Le mouvement qui devrait se dégager d'une telle prise de conscience sera la force vive du peuple, son « agoravox », "sa vox populi", toutes tendances confondues, sans aucun lien avec un quelconque parti politique. C'est une telle vague de fond qui pourra bouter hors de nos horizons les suppôts de la Finance qui nous tiennent en esclavage.
DEBOUT ! Françaises et Français, nous sommes les enfants de Stéphane Hessel et de son fameux cri « Indignez-Vous ! »
Exigeons de nos gouvernants un référendum immédiat (en 2016, avant les élections présidentielles de 2017) sur la volonté des français (es) de changer radicalement notre système économico- financier.
R.L.B deviendra le sigle de ralliement à notre mouvement pour l'adoption d'un cadre de vie plus juste et plus agréable pour tous.
Il est temps de passer aux actes car on en a …
RAS LE BOL ! et PLUS DE BULLE (dans le bol) !
Pélo Péto
22 réactions à cet article
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Oui, oui .. il faut ... enfin il faudrait, parce que ce n’est pas nous qui avons les rennes. Ce sont « EUX » qui détiennent tous les leviers et qui décident, sans aucunement se soucier de nos avis. Alors, on fait quoi ?
Sans changement du système en place, rien ne se fera. Et cela, ça demande une mobilisation citoyenne.
Elle n ’est pas en cours.-
Bonjour,
Ras le bol, certes, mais ce texte commence mal, si l’ auteur croit que les gouvernements européens décident indépendamment de l’ Union européenne....
Ils n’ont aucun pouvoir, ils exécutent des décisions européennes.-
Bravo pour la publication de votre article !
Tout vient à point à qui sait attendre... Assez d’accord avec votre indignation, mais débarrasser le plancher de la horde, du troupeau de sangsues bien habillées, honteusement labellisées élites, élites bien trop habituées à se gaver en toute impunité depuis des lustres au détriment des citoyens, sera difficile.Ils ne lâcheront pas leur os facilement, bien que ne représentant plus personne à part eux et leurs boss assoiffés de thunes, ils disposent encore hélas de tous les moyens pour imposer de force la violence légale inadmissible que leur confère ce système vérolé, violence qu’ils ne se privent pas d’utiliser contre le peuple.Comment imposer un référendum ? Surtout quand on voit comment a été détourné celui de 2005, grève générale illimitée, retournement de veste des crs, de la police, de l’armée contre ce pouvoir illégitime, mobilisation citoyenne générale ?Je crains que malheureusement, les citoyens soient plus mobilisés par le football, les feuilletons à la con, et les élections bidon que par remettre réellement en cause ce système dont ils sont esclaves, sans m^me s’en apercevoir, mais j’espère me tromper...-
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Quand une idée atteint sa masse critique, il devient impossible d’empêcher le changement que sa présence induit, il arrive un point où il suffit qu’une seule et unique personne rejoigne une vague de prise de conscience pour qu’un champ mental se trouve renforcé, et que cette prise de conscience s’étende à presque tout le monde !
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@René Bellérophon
Ce texte est formidable !
Magnifiquement rédigé.
Merci
Pélo Péto -
Le « non » l’emporte au référendum néerlandais sur l’UkraineLueur d’espoir ? Prise de conscience salutaire ?
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Un commentaire que j’ai déjà posté...
Une solution pour détruire le mal à la racine : boycotter les énarques.
Cette mafia d’incapables et d’imposteurs en tout genre a, depuis longtemps, déployé ses tentacules sur les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.
Ces hommes et ces femmes avides de pouvoir et de privilèges sont tous de connivence pour maintenir leur autorité sur le peuple, aux fins de profits personnels. Pour ce faire, ils s’octroient de plein droit tous les postes de la haute administration. Ils font les lois, les votent, et rendent la justice dans l’intérêt de l’Etat qu’ils gouvernent.
L’ENA, école élitiste dont les élèves sont triés sur le volet, n’est qu’une machine à fabriquer des petits dictateurs. Seul le concours d’entrée est difficile (la compétence n’est pas un critère), pour le reste, c’est la vacuité totale. A la sortie, c’est un poste de haut fonctionnaire assuré dans n’importe quel ministère. D’ailleurs, un énarque peut, tour à tour, être aux finances publiques, à la juridiction administrative, au ministère du commerce, aux affaires étrangères, à l’emploi, etc. Comme si faire l’ENA était la panacée et que les diplômés de cette école étaient nécessairement omniscients et capables de prendre en charge n’importe quel domaine de gouvernance. En réalité, les énarques adhèrent tacitement à un pacte de soutien mutuel dans la conservation d’un Etat omnipotent au profit d’une aristocratie républicaine.Tant que le pouvoir appartiendra aux énarques, le peuple sera soumis et la France, pourtant riche de ressources et de savoir-faire, continuera d’être délibérément diminuée.
Il est donc essentiel de boycotter tous les énarques qui se présentent à de quelconques élections, afin de stopper la prolifération de cette mafia qui contrôle tous les pouvoirs pour son propre compte.
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@Le chien qui danse
Cela permet au moins de mettre un point d’arrêt au cycle sans fin de la mafia de l’ENA et de permettre aux autres citoyens d’accéder enfin à la gouvernance et aux hautes fonctions de l’Etat puis d’éradiquer ce qui reste de l’Enarchie.
Evidemment, faut-il encore bien se renseigner sur les compétences et l’intégrité de ceux (non énarque) qui sont candidats aux élections.
En tout état de cause, à ce jour, ce sont bien les énarques qui, in fine, décide de tout. Par exemple, Bercy qui est un Etat dans l’Etat et qui est incontrôlable (même par le Ministre de l’économie ou le 1er Ministre), est composé à 80% d’énarques…
Les énarques sont partout dans les plus hautes fonctions et cela commence par le législatif (députés et sénateurs) puis l’exécutif (les ministres) et enfin le judiciaire ou les juges (parquet, tribunaux administratifs et même les tribunaux civils ou de commerce via les magouilles politiques) sont choisis par l’exécutif.
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@F-H-R
Vous avez 40 ans de retard... Junker, Mario Draghi, Christine Lagarde ne sortent pas de l’ ENA....
« Pour faire des économies, la France doit tailler dans la masse salariale de l’ Etat, de la protection sociale, l’éducation et la santé. »
« La BCE rappelle à la France l’impérieuse nécessité de réformer »
« Bruxelles exige de nouvelles réformes ambitieuses en France »
La France doit être réformée de force." -
@F-H-R
Vous devriez plutôt chercher les responsables chez Goldman Sachs....
« Le complot de Goldman Sachs... » -
@Fifi Brind_acier
Avec quarante ans d’avance sur moi, les quatre citations que vous mettez en avant (celles de Ch ; Lagarde, Super Mario, Junker et du ministre des Finances allemand) apportent de l’eau à mon moulin.- « La France doit tailler dans la masse salariale de l’État, de la protection sociale, l’éducation et la santé ».
- « La B.C.E rappelle l’impérieuse nécessité de réformer ».
- « Bruxelles exige de nouvelles réformes ambitieuses en France ».
- « La France doit être réformée de force ».
Je n’aurais pas choisi de meilleurs arguments de contrainte exercée par nos Grandes Instances Financières pour conseiller aux Français(es) de quitter au plus vite tous ces organismes sous la dépendance desquels on s’est mis (FMI, BCE, UE, Finances allemandes).
Quant à Goldman Sachs, il ne m’intéresse pas le moins du monde.
Merci de votre aide et sans rancune (on ne peut pas être tous d’accords
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@Le chien qui danse
Mon utopie étant sur le fait que c’est le peuple qui doit se libérer du joug des Politiques et des Financiers, si la condition actuelle lui convient, je resterai calmement dans mon coin à attendre que la catastrophe hélas, arrive !
Pélo Péto -
@Le chien qui danse
Il faut déjà obtenir un référendum et qu’une majorité de français (ses) manifeste sa volonté d’un tel changement. Puis le Pouvoir Exécutif devra être confié à une soixante de magistrats qui seront chargés de mettre sur pieds une nouvelle Constitution. Ensuite viendra le scénario de mise en place d’une nouvelle Direction.
Une précision vous sera apportée dans un commentaire de notre quatrième chapitre ;
Pélo Péto -
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Bonjour Pélo Péto et merci pour cette réflexion.
Il semble cependant que vous êtes déconnecté d’une bonne partie de la réalité de vos concitoyens. Le français d’aujourd’hui aspire surtout à l’individualisme et aux loisirs, voire à la fainéantise. Qui accepterait un référendum qui le priverait de son accès au monde internationalisé qu’on résume trop simplement par le terme « mondialisation » ? L’un refuserait pour voir du football, l’autre pour posséder un patrimoine de « valeur », et d’autres évidemment pour de l’essence, du café, leurs téléphones et ordinateurs, voire des clopes. Toutes les denrées dont on s’est rendu dépendants depuis plusieurs siècles d’échanges.La France, de par son histoire et sa diplomatie, est en bonne place dans le commerce international. S’isoler d’un point de vue économico-financier c’est scier la branche sur laquelle on est assis. Contrairement à ce qui est dit dans cet article, c’est bien de réformes dont on a besoin, associées à des prises de risques pour diversifier nos sources de revenus en passant probablement par une période de baisse de notre confort... financier. Cela signifie qu’il nous faut des leaders IMPOPULAIRES, et visionnaires (écologistes et financiers à la fois).Comme c’est anti-démocratique, nous sommes victimes de notre propre système.Le salut viendra peut-être... de l’Europe. De l’extérieur, donc.-
@Ecoeytaux
Bonjour,
Veuillez m’excuser du retard, je pensais que ma réponse était partie le lendemain de votre envoi...Je trouve injuste de traiter de fainéants les français (ses) ! Elle est déplorable cette idée selon laquelle la France est malade de ses chômeurs qui se complaisent dans le farniente ;
Le terme même de « chômeur » a pris un sens très péjoratif. C’est en réalité un « demandeur d’emploi » (terme officiel). Ce mot parle de lui-même.En France on vit dans le déni, on ne veut pas admettre qu’il y a moins de postes offerts secteurs privé et public réunis) que le nombre de salariés en poste et en recherche d’emploi. Il existe donc naturellement une masse salariale, privée de travail que l’on nomme vulgairement « chômage ».
Le nombre de « ces demandeurs d’emploi » augmente avec ce que l’on nomme pudiquement et avec emphase la mondialisation, qui consiste :
- d’une part à employer en France des salariés étrangers, de pays où les salaires et les charges sociales (lorsqu’elles existent), sont « x » fois moins élevées qu’en France ;
- d’autre part à délocaliser l’industrie dans ces pays de « cocagne » !
Résultat : dans le premier cas on a enlevé des français (es) à leur poste de travail pour y mettre des étrangers et dans le deuxième cas, ce sont des usines entières qui ont été supprimées du territoire français (pardon : on les a « délocalisées » pour optimiser les marges des actionnaires).
C’est ainsi que l’on décrète que la Mondialisation permet de résoudre nos problèmes d’emplois, de paupérisation...A l’écoute du langage actuel lénifiant qui nous vante les mérites de ces dogmes : Internationalisation de nos échanges, Mondialisation, Union Européenne, Super Marché Tafta (Europe et ALENA réunis) ; on est bien dans le toujours plus, toujours plus gros, plus grand, plus riche.
Et en vis-à-vis on trouve toujours plus pauvres , plus nombreux et plus facilement exploitables.Veut-on voir « la bouteille à moitié pleine ou à moitié vide » ?
Tout dépendra du choix que l’on voudra faire : courir toujours plus vite avec le premier groupe, ou se mettre aux côtés et au service de ceux qu’on laisse sur le bord de la route ;Personnellement j’ai fait le mien, inutile de vous faire un dessin.
Je suis bien « déconnecté d’une...partie de la réalité », mais que cette réalité dont vous parlez soit majoritaire ? j’en doute .
Cependant ce n’est pas son importance qui fait me sentir plus près de l’exploité, mais c’est une question de culture personnelle !!...
Pélo Péto
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