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Branle-bas de combat à la DCNS

Le mercredi 24 août 2016, The Australian titrait à la une : « Les Français savent-ils garder un secret ? », l'article de révéler que 22 400 pages d'informations sensibles concernant les systèmes d'armes, de communication et de navigation embarqués à bord des sous-marins Scorpène avaient « fuité » ! Cette classe de sous-marins concerne principalement : le Brésil (4 ventes), le Chili (2), l’Inde (6), la Malaisie (2), mais l'affaire pourrait avoir une incidence sur le contrat du « siècle » conclu entre la France et l'Australie pour 12 sous-marins Shortfin, classe Barracuda. « Si Washington estime que sa technologie (…) ne peut être protégée, il pourrait refuser de livrer à l’Australie son système de combat le plus avancé ». Le ministre australien de l’industrie de défense a voulu se montrer rassurant en déclarant que ce programme : « se déroule dans un cadre très strict qui régit la façon dont toutes les informations et données techniques sont gérées et seront gérées à l’avenir ». Cette affaire pourrait cependant avoir des répercussions sur les négociations en cours avec : le Canada, l'Inde, la Norvège, les Pays-Bas et la Pologne.

Le quotidien de préciser : « Si l’ennemi connaît les secrets (du bâtiment), la partie est perdue » ! En voici un exemple concret, vers la fin des années soixante-dix, un officier de l'Office Naval Intelligence (service de renseignement de la marine) eut l'idée de placer un dispositif d'écoute sur le câble sous-marin reliant le quartier général d'une base de sous-marins nucléaires située sur la presqu'île du Kamchatcka, QG de la flotte du pacifique à Vladivostok. S'introduire en mer d'Okhotsk constitue déjà une violation des eaux territoriales soviétiques, mais y découvrir un câble d'un diamètre d'une dizaine de centimètres revient à chercher une aiguille dans une meule de foin. L'officier de renseignement, un esprit imaginatif parti du postulat que l'extrémité du câble partant de la rive devait probablement y être signalée par une pancarte avertissant les navigateurs de l'interdiction d'y mouiller pour éviter tout risque d'accrochage et d'endommagement du câble.

L'US Navy choisit pour cette mission un sous-marin nucléaire appartenant à la classe Halibut. Le SSN587 était officiellement présenté comme un submersible dédié au sauvetage des sous-marins et à la récupération de matériel tombé à la mer. Il était sensé transporter dans un caisson situé sur son arrière, un petit submersible de sauvetage capable de venir se clamper sur un bâtiment échoué sur le fond. Un détail n'avait pas échappé aux spécialistes, ce submersible présentait sur son avant un renflement destiné aux projets spéciaux, et le caisson arrière abritait une chambre de décompression qui permettait aux plongeurs le travail en saturation. L'équipe des plongeurs dépendait du Submarine Developpement Groupe One, une unité créée en 1967 après diverses expérimentations de plongées profondes en saturation.

Quand le bâtiment appareilla en octobre 71, les sous-mariniers assignés à cette mission ignoraient tout de leur destination ainsi que le but de celle-ci, pratique habituelle pour les missions secrètes. Après avoir mis le cap vers le détroit de Béring pour tromper d'éventuels observateurs, le commandant donna ordre de virer de bord et de mettre le cap vers la mer d'Okhotsk. Le sous-marin arrivé sur zone longea la côte à immersion périscopique (une douzaine de mètres de profondeur) à la recherche des panneaux supposés indiquer la présence du câble. Le « Pacha » pu alors apercevoir au travers de l'oculaire du périscope le fameux panneau en tout point conforme aux prévisions de l'officier de l'ONI. Il fallait maintenant passer à la seconde phase de l'opération, la plus délicate. Les plongeurs rejoignirent le caisson hyperbare pour y respirer un mélange correspondant au « niveau vie » de la profondeur à atteindre, suivi de la mise en saturation (durée au-delà de laquelle l'organisme n'absorbe plus le gaz inerte) qui allait leur permettre de plonger plus profond, et leur mission terminée de rejoindre le caisson sans avoir à effectuer de paliers de décompression. Plonger dans des eaux glacées et à une centaine de mètres de profondeur n'a rien d'une sinécure. Un ombilic (faisceau de tuyaux et câbles) permettait l'apport du mélange respiratoire à base d'hélium, assurait la circulation d'eau chaude à l'intérieur de leur combinaison étanche, une ligne électrique pour l'éclairage, une ligne téléphonique, et une ligne de sécurité. Durant la phase de mise en saturation, le submersible balayait le fond de la mer avec son sonar et une caméra à la recherche de la localisation exacte de l'emplacement du câble. Une fois celui-ci découvert et l'endroit d'intervention parfaitement localisé, les plongeurs quittèrent l'abri de leur caisson et entreprirent de dégager le câble recouvert d'une dizaine de centimètres de sédiments et concrétions. Cette partie du câble nettoyée, les plongeurs y plaquèrent un caisson étanche contenant une batterie de magnétophones. Il était hors de question de dénuder une partie du câble et encore moins d'y procéder à une épissure sans courir le risque d'un court-circuit ou de modifier les caractéristiques de la ligne. Le système de captation reposait sur le phénomène d'induction magnétique. L'intégrité physique du câble restait intacte et il était impossible de détecter l'interception par des moyens techniques classiques ! Cette étape accomplie et les plongeurs ayant rejoint le caisson, le submersible entreprit d'aller faire des « ronds dans l'eau » un peu plus loin et en profiter pour récupérer quelques débris de tir de missiles qui tapissaient le fond. Une semaine plus tard, de retour sur le câble, les plongeurs effectuèrent une nouvelle sortie pour récupérer le caisson renfermant les magnétophones. Le SSN587 était à peine de retour à son poste, que les bandes étaient expédiées à la NSA et les débris de missiles confiés aux experts. La NSA fut stupéfaite des résultats et l'analyse des fragments de missiles allait permettre la mise en place de systèmes de contre-mesures électroniques.

Au mois d'août 72, le sous-marin appareilla de nouveau pour la mer d'Okhost avec dans ses cales un nouveau matériel d'interception et d'écoutes conçu par le laboratoire Bell, un cylindre d'une demi-douzaine de tonnes à l'intérieur duquel étaient placées des bandes magnétiques de 8 cm de large et d'un mètre de diamètre ! Le système était alimenté par une pile nucléaire qui permettait plus d’une année d’autonomie ! La mission étant classée très secrète, des charges de sabordement totalisant une centaine de kilos avaient été placées à bord du bâtiment. En cas de découverte, il était exclu que l'équipement et les membres d'équipage tombent entre les mains des Soviétiques. Si pareille aventure survenait, le commandant devait se saborder, c'est à dire envoyer son unité et son équipage par le fond ! Cette éventualité peut-elle expliquer le pourquoi de la disparition d'une demi-douzaine de submersibles jamais retrouvés ?

Le sous-marin parvenu au-dessus du câble, il fallait ballaster (répartition d'eau dans les ballasts afin d'assurer la stabilité) et mouiller deux ancres pour l'immobiliser fermement et permettre aux plongeurs de travailler dans un rayon correspondant à la longueur de leur ombilic (une trentaine de mètres). La profondeur atteignant 100 mètres, il était hors de question en cas d'incident que les plongeurs remontent en surface. Leur seule chance de survie consistait à rejoindre le caisson entreposé sur le pont du sous-marin. Plus tard et pour d'autres missions, le submersible allait être équipé de patins lui permettant de se poser sur le fond pour ne plus avoir à se maintenir entre deux eaux, manœuvre délicate ayant failli compromettre une mission et coûter la vie aux plongeurs. Quand le SSN587 eut atteint sa durée de service maximum (en 1976), il fut désarmé et revendu 30 000 dollars à un pays ami.

En 1981, les experts américains furent surpris de voir sur des photographies satellitaires, un navire soviétique positionné juste au-dessus de l'endroit où le système d'écoute avait été placé ! Quand le submersible revint sur zone pour remplacer l'écoute, quelle ne fut pas sa surprise de ne pas retrouver le système précédemment installé ! Comment les Soviétiques avaient-ils découvert le « pot aux roses » ? En prenant connaissance des distinctions accordées aux bâtiments et à leur équipage qui se vit attribuer les plus hautes distinctions dont la Presidential Unit Citation ou la Navy Unit Commenda  ? La réalité était plus simple, les Russes en avaient été informés par l'intermédiaire de deux traîtres américains, preuve supplémentaire que le renseignement humain a encore de beaux jours devant lui.

Cette aventure nous démontre que le renseignement technique ne peut se passer de l'homme et qu'aucun satellite n'aurait été en mesure de se substituer à un sous-marin ni à son équipe de plongeurs. Petite information, ce genre de missions ne se limite pas uniquement à la mer du Nord, des branchements ont été effectués en mer Méditerranée sur un câble reliant l'Europe à l'Afrique ! Les océans sont devenus depuis longtemps un champ de bataille clos où sévit la guerre secrète.

Au mois de mars 2016, la presse française nous a révélé qu'un sous-marin nucléaire lanceur d’engins russe avait été repéré en janvier dans les eaux internationales du Golfe de Gascogne au large des côtes françaises. Bref, pas de quoi affoler l'État-major de la Royale (Marine nationale). De nombreux membres des équipages de la Flotte pourraient raconter des histoires bien plus sensationnelles à condition d'enfreindre le secret défense ou tout simplement le devoir de réserve. Tant qu'un submersible russe n'a pas pénétré dans le goulet de Brest...


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15 réactions à cet article    


  • Plus robert que Redford 26 août 2016 11:13

    Excellente histoire à la « John Le Carré », mais quel rapport avec l’attaque de l’article ??


    • Alren Alren 26 août 2016 16:31

      @Plus robert que Redford

      Pour l’instant en effet cet article est du roman !

      L’ennemi c’est celui contre lequel on a acheté le sous-marin. Pour l’Australie, c’est la Chine et ses revendications hitlériennes de territoires maritimes.

      L’ennemi c’est également les concurrents qui espèrent encore que la vente de sous-marins français à l’Australie sera remplacée par des sous-marins nationaux. Sur les rangs ?
      1) Le Japon qui pensait que l’Australie choisirait ses submersibles d’abord par préférence politique.
      2) Les USA qui trouvent intolérable que leur technologie soit supplantée par celle d’un vassal.

      Peut-être connaîtrons-nous le pays coupable un jour. mais si l’Australie maintient son achat, c’est d’abord elle, une alliée des USA et du Japon qui serait lésée si la connaissance de ces « secrets » permettait à la Chine de neutraliser facilement ses sous-marins en cas de guerre secrète « chaude ». Il me semble que le gouvernement australien ne pourrait pas pardonner une telle trahison à un allié.

      Si la Chine avait obtenu des renseignements secrets sur ces sous-marins, elle serait idiote de la faire savoir publiquement au lieu d’attendre de s’en servir en cas de conflit.

      Le grand secret d’un sous-marin est sa signature acoustique qui permet de le distinguer des autres bateaux.
      Il se trouve que les sous-marins français de maintenant sont parmi les plus silencieux du monde et qu’ils n’ont pratiquement pas ou pas du tout (?) de signature acoustique. Donc cela n’aiderait pas les Chinois à couler les sous-marins australiens ...

      Dans les pays anglo-saxons on masque souvent la rivalité féroce avec la France et son prestige par le « French bashing » , dans les faits la tentative de faire passer les Français pour des gens pas sérieux, des latins, comme les Italiens, sympathiques mais « légers » : on ne parle jamais comme spécifiquement françaises des découvertes qui pour être reconnues par la communauté internationale doivent être publiées dans des revues US ou anglaises.
      « Éduqués » depuis toujours par leur médias à croire que cette légende est vraie, le public anglo-saxon est prêt à gober que notre retard en informatique est tel que nous sommes des proies faciles pour les hackers.

      Et des « révélations » comme celles-ci ont dû faire monter le tirage de celui qui les a publiées le premier, reprises par tous les adversaires de la France sans la moindre vérification, ainsi que par « l’ennemi intérieur », celui qui est toujours prêt à dénigrer son propre pays (dans le cadre de la lutte des classes).


    • gaijin gaijin 26 août 2016 12:39

      « Si l’ennemi connaît les secrets (du bâtiment), la partie est perdue »

      mais au fait qui est l’ennemi ?


      • wesson wesson 26 août 2016 14:59

        L’article n’as aucun rapport avec le titre, mais ce n’est pas grave, on passe un bon moment à le lire. 


        Quelques précisions techniques : sur un câble électrique, un dispositif d’écoute même sans contact reste détectable, même si j’admet que ça peut ne pas être simple. 

        Sur un câble optique (comme en fait tous les cables modernes) c’est quand même beaucoup plus compliqué : on est obligé de couper le cable pour placer une écoute, et les soudures sur fibres optiques étant ce qu’elles sont (ça doit être fait au microscope pour les aligner parfaitement), ça peut nécéssiter plusieurs heures de coupure. Donc, ce genre d’intervention sur un câble. C’est réalisable, mais en endommageant le cable à un autre endroit, pour se donner le temps de poser la dérivation.

        sur le sujet de l’article, la fuite DCNS, je regarderai plutôt du coté Américain. Ces derniers ne font pas mystère qu’ils veulent avoir définitivement la peau de l’industrie militaire Française, et ne se privent jamais d’utiliser leurs services d’espionnage (la NSA) pour cela. 
        Si c’était les Russes qui avaient fait le coup, ils n’auraient rien dit, comme à leur habitude et auraient gardé ça sous le coude pour l’utiliser ensuite pour exercer des pressions, mais pas publiquement. Par contre, les Americains ont cette manie de tout (faire) publier, ce qui va effectivement mettre en péril un bon paquet de contrats de sous-marins. 

        Les Américains ont pu nous couler Alsthom car c’était un semi-privé, mais la DCNS c’est entièrement public, et ça ils ne peuvent décemment pas s’y attaquer comme ils l’ont fait par Alsthom. Bref ils nous ont fait le coup des frégates (ou la seule concession fut de les faire acheter par l’intermédiaire de leur supplétifs Sauodiens et Egyptiens), maintenant ils nous font le coup avec les sous-marins. 

        Et cette fuite ne sera pas la dernière. Les Russes et les Chinois l’ont bien compris : ils ont développés leurs propres processeurs, leurs propres systèmes d’exploitation pour les trucs réellement sensiblles. 

        Nous, tant que l’on a Hollande ou son équivalent fonctionnel Sarkozy, les fuites de documents sensibles ne sont pas prêtes de se tarir.

        • armand 26 août 2016 15:27

          Heureusement que nous avons des officiers de sécurité à la hauteur.... smiley


          • susane (---.---.216.42) 26 août 2016 16:13

            Excellente histoire ,mais l’article n’as aucun rapport avec le titre.
            Susane de www.credit-alsace.com


            • dété (---.---.43.88) 26 août 2016 16:22

              Bonjour,

              Plus la technologie circule librement, plus l’artisanat est haute technologie, plus l’industrie est futuriste, plus vite on se barrera de ce caillou.

              Des centaines de batailles ont été remportées avec de vielles pétoires. Tant d’autres paramètres... si la déclassification de techno militaire peut ’créer un intérêt’, amen.

              Les français sont tellement ignorant (techno de base, électronique mécanique informatique) tellement navrants dans leurs relation a la technologie, franchement tout est bon a prendre.

              « Étudier chaque machine »

              ++


              • Aristoto Aristoto 26 août 2016 23:08

                @dété

                wep !

                il y aura une grande place laissee dans les pages de l histoire pour tous les scientifique collaborant a ces massacres generalise.

                c le chercheur jean pierre petit qui disait que le cnrs n est qu un succursal de l armee...mais bon a l heure du l esprit complotiste generalise on ne sait plus a qui se fier. allez je vais aller rallumet la tele.


              • HELIOS HELIOS 26 août 2016 16:41

                ... connaissant un infime partie de la DCN, cette nouvelle me laisse pantois, car pour accéder a ces infos, il n’y a pas qu’un seul endroit a pirater.


                Soit l’info est un fake, même si quelques brouillons ou projets mal ficelés ont pu être copiés... et rien ne dit qu’ils s’appliquent ou s’appliqueront aux sous-marins existants et futurs.... soit c’est une réalité, mais c’est quasiment 1/3 du ministère (la marine) qu’il faut virer.

                Dans tous les cas, les infos éventuellement détournées ne feront que gagner quelques mois ou quelques semaines a ceux qui les ont piqué

                • pallas 26 août 2016 20:25

                  Monsieur Desmaretz Gérard

                  Allons un peut de sérieux, la technologie que maitrise La France ne représente rien face aux autres nations, sauf celle du tiers monde, je devrais dire du quart monde.

                  la France n’est pas dans le concert des nations, l’enjeu n’est pas là.

                  Ne vous inquiéter pas pour la perte de notre technologie, elle est totalement dépassé et obsolète, sans aucuns intérêts.

                  Sur ceux bonne soirée

                  Salut.


                  • Aristoto Aristoto 26 août 2016 22:49

                    bon a la lecture de l introduction on y comprend mais avec les commentaire on arrive plus ou mois a bien situer les choses : donc si je comprebd bien la france ne vend pas de sous marin mais seulement du « materiel de bors » tandis que les us fournisse les parois du batiment...et la donc avec lui fuite de ses renseignement technologique les us craignent que tous sache plus ou moins comment sont constituer et fonctionnent leur sous marin ??

                    prochaine fois soyez plus...comprehensible


                    • Aristoto Aristoto 26 août 2016 22:56

                      « se déroule dans un cadre très strict qui régit la façon dont toutes les informations et données techniques sont gérées et seront gérées à l’avenir ».

                      ca c est bien une phrase d une crapule millitaire qui ne veut strictement rien dire.


                      • Iren-Nao 27 août 2016 04:58

                        Auteur
                        Je n’aime pas du tout votre profession de foi feminarde et encore moins une saloperie comme la Beauvoir.
                        Mais pour tenter de rester dans le sujet, je trouve qu’il y a de plus en plus de lois qui pretendent dicter la facon de se comporter et de penser.et que cela est comdamnable.
                        Normalement en France,( c’est chez nous !) il est permis de s’habiller y compris de facon facheuse, a sa guise et en certains endroit de se ballader a poil.ou en drag queen ety plumes dans le cul.
                        Il est surtout et seulement interdit de se masquer le visage.
                        Si les musulmanes veulent s’accoutrer a leur facon, c’est le droit de tous les residents en Gaule’ et je trouve cela fort bien.
                        Si ces malheureuses se parent de Burkini, il n’y a aucune raison de legiferer a ce propos, surtout que biento sera lance le Burkini transparent que j’attend avec impatience.
                        En fait notre personnel politique est si creux et nul queil passe sontemps, que nous payons, a creer des verres d’eau pleins de tempetes histoire d’amuser la gallerie.
                        Iren-Nao


                        • Iren-Nao 27 août 2016 12:08

                          @Iren-Nao
                          Pardon excuses, je ne sais pas comment cette stupide histoire de Burkini est arrivee dans cette histoire de sous marin, a moins que ce soit la nouvelle tenuee...
                          Iren-Nao


                        • jsg (---.---.118.2) 27 août 2016 08:43

                          23 mille pages ? Ça me rappelle le Concordoff dont un bruit courrait concernant des documents volés et faussés, ce qui, malheureusement fut fatal à certains habitants de Goussainville... Les voies du Seigneurs sont impénétrables. Peut-être que ces « documents » aideront la concurrence à produire des glougloumarins ? Sait-on ?

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