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Accueil du site > Actualités > Société > De la nécessité du féminisme dans notre société : l’égalité entre les (...)

De la nécessité du féminisme dans notre société : l’égalité entre les sexes, un combat toujours actuel

La journée internationale des droits des femmes, qui a été instaurée en 1977 par l'ONU, est l'occasion d'expliquer pourquoi le féminisme est toujours d'actualité dans notre société. En France, le principe d'égalité entre les femmes et les hommes est inscrit dans la Constitution depuis 1946. Toutefois, cette égalité de droits est loin d'être une égalité de faits. Présenté parfois à tort comme dépassé, le mouvement égalitaire qu'est le féminisme a pour but une égalité effective entre les deux sexes qui est loin d'être atteinte, comme nous allons le voir.

Le principe d'égalité homme-femme est en effet loin d'être entré dans tous les esprits. Malgré la loi, en France, l'écart de salaire entre les hommes et les femmes et de 19,3% en faveur des premiers parmi les travailleurs à temps complet. Et cela n'est pas près de changer : selon un rapport du Forum Economique Mondial, l'égalité en la matière devrait être atteinte dans 170 ans au niveau mondial. L'évolution des mentalités est longue. En témoigne la déclaration du 1er mars du député européen polonais Janusz Korwin-Mikke, pour qui "les femmes doivent gagner moins que les hommes" car elles sont "plus petites et moins intelligentes". Aucune sanction n'a à ce jour été prise contre lui, même si une piétition le réclame. En outre, la question de la parité en politique est un réel problème. En effet, les femmes ne représentent aujourd'hui que 26,8% des membres l'Assemblée Nationale malgré la loi sur la parité votée en 2001. Celle-ci a d'ailleurs fait débat, y compris du côté de féministes comme Elisabeth Badinter ; n'existe-t-il pas un risque que les femmes soient choisies en fonction de leur sexe et non de leurs compétences ? Pour beaucoup, ce dispositif semble être un mal nécessaire, pour un temps en tout cas. Il est en tout cas révélateur d'un problème réel dans la sphère politique

En outre, le corps de la femme est toujours au cœur de nombreux débats. Entre autres exemples, le recours à l'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) est difficile, y compris dans des pays qui l'autorisent. En Italie, les médecins peuvent ainsi refuser de pratiquer cet acte médical. Problème : 70% de ceux qui sont habilités à pratiquer l'IVG sont « objecteurs de conscience ». La question des règles est aussi un tabou. Toutefois, la parole se libère peu à peu, la batteuse du groupe MIA Kiran Gandhi ayant par exemple couru le marathon de Londres sans protection hygiénique alors qu'elle avait ses règles. Par ailleurs, le corps des femmes est trop souvent vu comme un objet sexuel et les publicités comme celles d'Yves Saint-Laurent véhiculent ce message. A l'autre extrême, le port du voile, de la burqa (interdit en 2010) et du burkini fait débat. Le collectif « Femmes sans voile », souligne que le voile, patriarcal, est souvent imposé par la pression sociale. Il peut également être vu comme une manière de cacher le corps de la femme.

De même, les préjugés sur le viol perdurent. Ainsi, un sondage d'Ipsos révélait en mars 2016 que 17% des français pensent que forcer sa conjointe pour avoir un rapport sexuel qu'elle refuse n'est pas un viol. Selon ce même sondage, 30,7% des français de 18-24 ans pensent qu'une femme peut prendre du plaisir à être forcée lors de l'acte sexuel. Dans le même esprit, l'homme d'affaires Warren Buffet expliquait la semaine dernière que selon lui, une femme qui dit « non » peut vouloir dire « peut-être ». Le harcèlement sexuel reste lui aussi un enjeu majeur dans nos sociétés, comme en témoigne l'affaire Baupin. Le député d'Europe Écologie les Verts a en effet été accusé par quatre femmes de harcèlement sexuel, mais si la véracité des faits a été reconnue par la justice, l'affaire est classée sans suite car les faits sont prescrits. Denis Baupin a par la suite annoncé son intention de porter plainte contre elles pour « dénonciation calomnieuses » et « diffamations ».

Face à tout cela, que faire ? Eh bien, agir. Continuer à informer son entourage de ces inégalités qui persistent. Expliquer aux autres que non, le féminisme ne vise pas à ce que les femmes prennent le pouvoir sur les hommes, mais qu'il est bien un mouvement aux revendications égalitaires pour les deux sexes. L’incompréhension qui l'entoure est en effet dangereuse. En témoigne la polémique qui a entouré la parution des images d'Emma Watson dans le Vanity Fair de mars 2017. La plus jeune ambassadrice de bonne volonté de l'ONU pour la campagne féministe « HeforShe » s'est vue reprocher d'être les seins à demi-nus, ce qui selon la journaliste Julia Hartley-Brewer, la décrédibilise. Emma Watson a mis les choses au point, déclarant que « le féminisme, c’est donner le choix aux femmes. […] C’est un combat pour la liberté, pour la libération. Pour l’égalité. Je ne vois pas ce que mes seins ont à voir là-dedans. ». Ce combat est un combat de tous les jours qu'il nous appartient à toutes et à tous de mener.


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36 réactions à cet article    



    • Balrama Balrama 9 mars 2017 10:55

      @bartneski
      Ben tu parles , c’ est l’ illusion , la souveraineté du peuple ça n’ existe pas et n’ existera jamais grâce a Dieu . On ne peut vivre dans une société sans classe , c’ est dans la nature , aucune tentative n’ y est parvenue , encore moins le communisme qui a toujours débouché sur une tyrannie . La pensée marxiste c’ est le terreau fertile de la bêtise et des génocides . Tant que l’ on ne met pas Dieu au centre de tout et que les dirigeants ne lui sont pas soumis , tant qu’ ils n’ assurent pas leur devoir premier qui est la protection de tous , et qu’ ils ne peuvent maintenir la moralité et la vertu , et que l’ avidité la corruption et l’ exploitation dominent , ce monde s’ avancera vers le chaos et l’ enfer . L’ ennemi véritable c’ est l’ athéisme et le matérialisme et ils ont engendré le communisme . 


    • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 9 mars 2017 09:22

      Les féministes se trompent de cible, et ce n’est pas par hasard.

      Il serait trop long de faire le résumé de l’histoire de l’humanité, mais il serait facile de montrer que la situation des femmes a toujours été très différente chez les élites et dans le peuple.
      Le recrutement des soldats comme chair à canons pour défendre les fiefs des seigneurs ne concernait que les garçons, parce que peu de mâles étaient nécessaires pour repeupler un royaume en une génération si le cheptel conservait toutes les femelles. La répartition inégale des tâches ménagères, y compris aujourd’hui est inégalitaire dans le peuple, pas dans l’élite où l’argent permet de se débarrasser sur la domesticité des tâches ingrates.
      Mais les femmes représentent la moitié de l’électorat, et une des techniques de la division consiste à les braquer sur leurs méchants maris machistes, égoïste et fainéants que sur les organisateurs de la répartition du travail et la redistribution des richesses.
      Pendant qu’elles font des scènes de ménage, elles ne s’organisent pas en syndicats ou partis (ni mêmes en associations féministes qui sont faibles en effectifs, mais que l’on entend beaucoup).

      • zygzornifle zygzornifle 9 mars 2017 09:25

        notre société est une société de discrimination qui ne vaut pas mieux que celle du veau d’or de la bible ....




        • howahkan 9 mars 2017 10:41

          @zygzornifle

          Salut..oui cela me semble très juste...on appellerait cela alors une vérité !!

          il y a une origine à cela....vivre le pire, la souffrance de nos semblant de « vies » sans fuir ni rien attendre du tout, est la première marche que nous ne montons plus depuis ce dont parle Adam et Eve tant qu’allégorie hermétique

          la pensée doit échouer , c’est ainsi fait, elle est conçue comme cela par la « Création » .....de là vient entre autre une autre allégorie hermétique celle

          de Icare mais aussi celle du Phoenix...

          ceci n’est plus compris, perçu, su ....


        • zygzornifle zygzornifle 9 mars 2017 09:27

          En tout cas a 9000€ mensuel Fillon n’a pas discriminé sa Pénélope .... Voila un bel exemple que certains appliquent l’égalité homme femme .....


          • Mandine Pichon-Paulard 9 mars 2017 19:01

            @zygzornifle il semblerait qu’il ait tout de même payé sa fille 27% de moins que son fils...



          • Nicolas_M bibou1324 9 mars 2017 09:32

            Je vais me faire lyncher, mais l’inégalité de salaire homme femme est pour moi normale. On est payé en fonction de ce qu’on peut apporter à une entreprise, et non par rapport à nos compétences ou notre intelligence. Hors une femme, en moyenne, passe plus de temps en congés maternité qu’un homme. Une femme, en moyenne, est moins malade qu’un homme, mais prend 16,3 jours de congés maladie par an contre 14,7 pour les hommes. Une femme va avoir tendance à partir plus tôt pour s’occuper de ses enfants. Donc est un élément de l’entreprise qui a moins de valeur qu’un homme. En moyenne.


            D’un point de vue patronal, ça serait idiot d’employer une femme au même salaire qu’un homme, à compétences égales.

            C’est comme les fumeurs. 27% des fumeurs chômeurs retrouvent du travail en mois de 6 mois, contre 56% des non chômeurs. Crie-t-on à la discrimination ? Non, il s’agit d’une réaction objective à la performance du salarié dans l’entreprise. Un fumeur est plus souvent malade, plus souvent en pause clope, sent plus souvent mauvais qu’un non fumeur.

            • foufouille foufouille 9 mars 2017 09:49

              @bibou1324
              tu es vraiment timbré.
              un fumeur n’est pas plus souvent malade sauf si il attrape une maladie grave.


            • foufouille foufouille 9 mars 2017 09:43

              beaucoup de femmes sont médecins infirmières kinés .............
              c’est une discrimination pour les hommes ?


              • JC_Lavau JC_Lavau 9 mars 2017 10:03

                Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d’une féministe !
                Elle vous fera payer très cher le délit de masculinité, que vous commîtes rien qu’en naissant.

                La journée de la féministe est assez répétitive :
                Reprendre le pouvoir, reprendre le dessus, envoyer une bordée d’insultes, benner un tombereau de reproches, faire subir une colère, et reprendre au début, avec des variantes quant à l’ordre des opérations.
                Ainsi l’ordre "benner un tombereau de reproches, reprendre le pouvoir, faire subir une colère, reprendre le dessus, envoyer une bordée d’insultes" est tout aussi valide dans l’emploi du temps de la féministe. Et puis ça introduit de la variété.

                Sur les frêles épaules de la féministe repose un apostolat harassant, épuisant, de tous les instants, son devoir envers le Parti : ne jamais relâcher la guerre de longue durée contre l’existence même des mâles, ce scandale intolérable de l’existence des chromosomes XY et de la reproduction sexuée. Ah si seulement le Créateur l’eût écoutée, il n’y aurait que des lesbiennes dans la ville, et grâce à la parthénogenèse, ce serait le paradis sur Terre : aucun enfant ne pourrait plus jamais échapper à la toute-puissance matriarcale ni contracter d’autre mariage qu’avec sa maman.

                Comme la perfection n’est pas encore réalisée, il y a encore des féministes qui pratiquent l’hétérosexualité. Toutefois, il convient qu’elles soient très rigoureuses dans le dressage de leur mec. Il ne sera jamais tolérable que le mec échappe à la guerre de longue durée, ni ose développer la moindre réflexion qui échappe au sexisme misandre victorieux. Prenons le cas des freudiens et de leur parlance carabistouillée : le mec sera autorisé à critiquer les amphigouris précieux de Pascal R., mais la féministe lui volera dans les plumes s’il ose critiquer les mines entendues et supérieures de Ghislaine K. sur telle de leurs expressions volontairement fallacieuses. Dans le second cas, le mec est coupable de misogynie, et il faut le lui faire payer cher.

                En amours hétérosexuelles, la règle du jeu est que la somme soit négative. Qu’importe combien la femme y perd, pourvu que l’homme y perde davantage, qu’il n’oublie jamais que lui doit fournir tous les services, sans jamais rien demander ni obtenir en retour. C’est elle la maîtresse, et lui le serviteur, qui doit toujours exhiber une attitude soumise.

                La féministe choisira elle-même les peintures et papiers peints que le mec posera chez lui : il doit poser du vieux rose dans son couloir, afin de montrer que même chez lui, c’est encore une maison vaginale.


                La féministe peut-elle être intelligente en amour, et heureuse en amour ?

                Bah oui, la féministe peut faire illusion quelques jours, au mieux quelques semaines, aussi longtemps que les hormones sont là, et lui imposent l’intelligence de l’espèce via la stratégie de l’espèce, aussi longtemps que les orgasmes l’inondent d’ocytocine et d’endorphines.

                Mais quand l’intelligence de l’espèce perd de son emprise, nulle intelligence individuelle ne peut prendre le relais, chez la féministe : autoritariste née, elle ne songe plus qu’à sa guerre à mort pour le pouvoir, tous les pouvoirs. Bien qu’il soit possible qu’individuellement, elle ne soit pas diagnostiquable comme paranoïaque, elle demeure adhérente à une doctrine paranoïaque, et la loi générale lui est collectivement applicable : les paranoïaques ne jouissent pas, et baisent atrocement mal et le plus rarement possible, de peur qu’une micro-parcelle de contrôle, de pouvoir et de suprématie leur échappe.

                Est-ce à dire que la féministe ne baise plus ? Si, à une condition : soit que son vagabondage sexuel lui serve à dénier et humilier ses précédents amants, rabaissés au rang d’ustensiles passés de mode ou usés, soit que ses adultères lui servent à bafouer et humilier son cocu. Voilà ce qu’il lui reste d’héritage de la stratégie de l’espèce, et encore, seulement aussi longtemps que les hormones lui durent, seulement le temps que les horloges biologiques n’aient sonné.


                Variante dans l’usage d’ustensiles sur deux pieds, dont « Sporenda » alias Isabelle Alonso s’est beaucoup vantée du temps qu’elle dirigeait les .HyènesdeGuerre :
                 "Oui j’ai baisé, mais ça ne compte pas, c’était juste avec un macho qui avait quelque chose à se prouver. Ça tombait bien, moi aussi j’ai quelque chose à prouver..."

                 Sur feu le forum des .HyènesdeGuerre, la pseudo « Calixto » était fort active, et elle était présente aussi sur feu le forum du klub S°S à Michèle Dayras. Quelques extraits :
                 « C’est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi illogique ? »
                 « Finalement, il est pas si con que ça, mon mec ! ».
                 Ah ! Magie de l’amour !
                 « Chez lui, il peut pisser debout tant qu’il veut, mais chez moi, il doit pisser assis. »
                 "Mon mec, je vais en changer. Ce n’est pas qu’on ne s’entend plus, ni qu’on n’est plus complices, mais je ne le désire plus. Alors je vais en changer.
                 - Oh oui ! Tu as raison belle Calixto ! Libérons-nous des schémas asservissants !
                "

                 Prisonnière de ses réflexes despotiques précipités, et de son fantasme d’omniscience innée, la féministe est totalement infoutue de s’apercevoir à temps qu’elle n’a peut-être pas tout compris, voire rien compris du tout, qu’il lui manque des informations, qu’il lui manque les bases, et elle demeure totalement infoutue de demander un complément d’informations, de demander quel est le point de vue, et encore moins le ressenti de l’autre. Elle n’est du reste pas non plus capable d’exprimer un « Je » suivi d’un verbe de ressenti : elle se précipite dans l’accusation et l’agression d’autrui, c’est sa solution universelle à toutes les difficultés de la vie. Ce que Jacques Salomé appelle la « relation klakson » : « Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! ... »

                 Cette pathologie peut évidemment s’exprimer par adhésion à d’autres obédiences paranoïaques ; l’obédience féminazie, héritière des féministes d’autrefois, n’est pas la seule sur le marché des délires préfabriqués et des militantismes totalitaires.


                • JC_Lavau JC_Lavau 11 mars 2017 11:06

                  @JC_Lavau.

                  Les plus sçavants piscologues négligent malheureusement l’un des plus lourds fardeaux qui pèsent sur les épaules de ces féministes qui malgré les meilleures mises en garde, persistent à demeurer dans l’hétérosexualité, par exemple parce qu’elles ont provisoirement besoin d’un reproducteur pour s’assurer d’un cheptel de petits : Comment choisir un mâle de façon à pouvoir le mépriser, le dominer et le haïr tout son soûl ?

                  Vous le choisirez le plus faible et le plus taré possible, d’humeur la plus incompatible. Ensuite c’est au choix, si vous voulez surtout le maltraiter et le mépriser au quotidien, prenez le plus immature et le plus dépendant des hommes. Si vous voulez le haïr au maximum après avoir obtenu de lui une ou plusieurs grossesses, évidemment il sera plus jouissif de le choisir plus viril et plus impulsif.

                  Ensuite, il vous faut avoir une idée du rythme de votre bascule flip-flop : amour, désamour, amour, désamour, etc. jusqu’au désamour final. Le cas le plus connu est : « Next mood change in six minutes ».

                  Pour obtenir une grossesse d’un beau viril qui sera ensuite mis à la porte, il vaudrait mieux choisir un rythme sur six mois. Mais êtes-vous maîtresse du rythme de votre flip-flop ? Celui-là demeure un des choix les plus prisés par les vraies féministes : il facilite beaucoup votre propriété privée exclusive sur votre cheptel d’enfants, dont ensuite vous ferez ce qu’il vous plaira.

                  Alors que si vous vous en tenez sur un flip-flop de période inférieure à la journée ou à l’heure, vous aurez du mal à changer souvent de mâle à maltraiter, il vous faudra rester avec celui qui est assez bonne poire, assez dépendant pour ne pas vous jeter par dessus les moulins. Sinon, les autres mâles que vous tenterez de capturer pour les faire entrer sous votre maltraitance s’apercevront trop vite de votre jeu et se dégageront à temps. Vous voilà condamnée à maltraiter stable, à tenir stables les pires situations sans issue.

                  Il peut être délicat de choisir le moment où l’on déverse des torrents d’injures à la tête du mâle qui fait un dur chantier chez vous. Si vous êtes trop impulsive, vous déclenchez ça trop tôt, et il rentre immédiatement chez lui en vous laissant sur les bras le chantier inachevé, que vous êtes bien embarrassée pour terminer. Il vaut mieux attendre le moment où il n’a plus guère que ses outils à nettoyer. Comme ça vous jouissez immédiatement de tout le résultat des travaux. De la ruse, que diable ! De la ruse, à la guerre ! Savoir paraître faible quand la force extraordinaire s’approche insoupçonnée, voilà l’art de la guerre qui nous a été enseigné voici déjà vingt-trois siècles. Et comme l’enseignait le maître d’armes à monsieur Jourdain : « Tout l’art des armes en famille consiste à infliger le maximum de coups à son proche, sans s’en ramasser aucun en retour. »

                  Quand vous êtes féministe, il vous est interdit de former un « nous » de couple hétérosexuel, car l’hétérosexualité est contre nature. Vos seuls « nous » ne sont formés qu’avec votre maman, et vos copines féministes. C’est à elles que vous rendez compte de toutes les avanies que vous faites subir à votre « mec ». Le jeu consiste à s’épater l’une l’autre en racontant le pire qu’on lui aura fait subir. Sinon, elles vous traiteront d’hétéro...


                • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 9 mars 2017 10:09

                   smiley ou  smiley mon coeur balance ^^


                  • Balrama Balrama 9 mars 2017 10:34

                    Tu parles , cette lutte féministe ne sert qu’ a masquer les vrais problèmes sociaux , les femelles veulent l’ égalité , qu’ elles en souffrent les conséquences , et arrêtent de vouloir nous castrer .
                    La femme est plus qualifiée pour être ménagère que manager .
                     Finalement toutes les luttes féministes n’ auront servi qu’ a en faire des esclaves soumises au système , a part les grandes bourgeoises , les autres sont exploitées et leur image est avilie , montrer son cul est devenue la marque de l’ émancipation , se faire sauter et avorter serait la liberté . C’ est en commençant par la femme que l’ idéologie libérale libertaire a entrepris la destruction de la civilisation et c’ est sur ce modèle que veut s’ installer le nouvel ordre mondiale .
                    Après la femme , a présent c’ est autours des enfants d’ être manipulés et endoctrinés , l’ émancipation et la liberté devenant le droit de se faire enculer . Cherchez derrière l’ idéologie mondialiste et vous trouvez quoi ? Des homos et des pédophiles , des lesbiennes hystériques et des traumatisés par l’ inceste . « Lorsque la femme se dégrade la société entière se dégrade » Voila pourquoi c’ est la femme qui a été bernée en premier . 


                    • Albert123 9 mars 2017 12:26

                      « non, le féminisme ne vise pas à ce que les femmes prennent le pouvoir sur les hommes, mais qu’il est un bien un mouvement aux revendications égalitaires pour les deux sexes. »

                      la bonne blague, le féminisme n’inclus pas la nécessité de défendre la virilité masculine (et donc son identité 1ere), c’est un mouvement qui s’adresse d’un coté à des femmes (victimes forcément de tous et de tout) qui auraient tous les droits sans quasiment aucune contrainte d’un coté et à des hommes qui se doivent d’être métrosexuels, castrés et soumis.

                      la féministe, au sens critique ravagée, de son coté, oscille entre compétition victimaire et idiote utile du capital, ce qui reste étonnant pour une « minorité » qui représente plus de 50 % de la population en France.

                      « Toutefois, la parole se libère peu à peu, la batteuse du groupe MIA Kiran Gandhi ayant par exemple couru le marathon de Londres sans protection hygiénique alors qu’elle avait ses règles »

                      c’est aussi intéressant qu’une revendication de femen aux seins nus et la raison pour laquelle les féministes ne seront jamais prises au sérieux.

                      « Le harcèlement sexuel reste lui aussi un enjeux majeur dans nos sociétés, comme en témoigne l’affaire Baupin. »

                      ça pose surtout la question de savoir pourquoi ces femmes si féministes ont une attirance sans limite pour les sociopathes, les pervers narcissiques et autres cinglés qui constituent une minorité au sein de la gente masculine.

                      Minorité que les féministes décrivent sans cesse comme des comportements coutumiers chez la majorité (un sujet entier sur l’inversion des normes et l’inversion accusatoire au sein de ses mouvements pseudo progressistes pourrait être rédigé par ailleurs).

                      une hypothèse : qui se ressemble s’assemble, peut être serait il intéressant d’étudier les tares psychiatrique au sein des mouvements féministes ?

                      on y retrouvera certainement un bon paquets d’aliénées, et ce rien qu’en se basant sur l’attitude des plus médiatisées des portes paroles de ces mouvements qui font preuve d’un mélange d’hystérie et de connerie à l’état pur.

                      Quand on aime les femmes, on a guère de plaisir avec les féministes, on les laisse à ceux qui cultivent la haine de soi et le narcissisme des gens tristes et sans intérêt.




                        • mmbbb 9 mars 2017 18:41

                          La maison Yves Saint Laurent aurait du signe un burkini stylisé. De facto cette maison de couture aurait eu l approbation du conseil d etat des gauchistes et des feministes . Les féministes n ont pas ete tres vehemente cet ete Si bacher une femme est mieux qu une femme dans une position lascive alors vive les islamistes Quant a certaines publicites qui rediculise les hommes les femmes ne s ’emeuvent guere Et pour finir YSL appartient a Berge ; n’a y il pas soutenu LGBT cette association elle meme defendue par les feministes ? Cette association qui promeut la GPA . Comme a l accoutumé l indignation est orchestrée et selective


                          • jymb 9 mars 2017 20:23

                            Toujours étonné de voir réclamer une parité dans les cercles de pouvoir

                            Mais pas sur les chantiers ou derrière les camions poubelles
                            Et pourquoi cette ségrégation dans le sport ou les vestiaires ?
                            Un seul tour de France, ou un seul 100m c’est largement suffisant ( et comme cela on diminuera le niveau global d’imbécillité)


                            • Louve Louve 9 mars 2017 20:27



                              Nous ne sommes pas égaux, nous sommes complémentaires. 

                              Quand est-ce que les féministes soixantehuitardes vont comprendre ça ? 

                              De la part d’une femme...

                              • Louve Louve 10 mars 2017 12:54

                                @gorio


                                Regardez au Japon et en Corée, les femmes ont le droit de prendre des jours de congé pendant leurs règles. Ce système va venir dans les pays Anglo-Saxons, pas mal de journaux en parlent ici. La femme est naturellement plus absente que l’homme (congé maternité, menstruations, etc..) 

                                Et puis je suis désolée, on ne sait pas faire les mêmes trucs ! Moi par exemple, je suis incapable de monter un échafaudage ! 

                                Pourquoi viser l’égalitarisme a tout prix ? Laissons la femme travailler moins, elle est une créature bien plus faible que l’homme. 

                              • JC_Lavau JC_Lavau 10 mars 2017 19:39

                                @Humphrey Binchié.

                                Si un homme laisse savoir qu’il a cessé de croire aux bobards carbocentristes serinés par toute la presse aux ordres, et pire encore, qu’il a des preuves des fraudes systématiques du Gang Intergouvernemental d’Escrocs Carbocentristes, aussitôt les carbocentristes l’accusent d’être d’extrême droite. Variantes : NKM le traite de « connard », et Alain Lipietz le traite de « criminel ».
                                Je te soupçonne d’être un petit-boutien dans l’âme...

                              • JC_Lavau JC_Lavau 11 mars 2017 10:07

                                @gorio. Grâce au féminisme vous serez toutes P.D.G. !Rappel :

                                L’ESCLAVE MÂLE : ANIMAL, VEGETAL OU MINERAL ?

                                par Aline d’Arbrant, professeur à l’I.M.E.G.(1) de France
                                - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


                                Les Femmes dominantes, propriétaires d’un ou plusieurs esclaves, ont souvent une vision trop sommaire de la psychologie des mâles qui les servent. Elles ont tendance (mais c’est une réaction très normale dès qu’on commence à prendre l’habitude de la soumission des mâles) à assimiler leur esclave à un objet, à un robot domestique dénué de sensations ou de psychologie. C’est une erreur. Certes, le soumis mâle a une psychologie très rudimentaire qui l’assimile plus à l’animal qu’à l’être humain. On l’éduque comme un âne avec la carotte et le bâton, on le dresse comme l’écuyère dresse son cheval de cirque, on le fait agir par réflexe conditionné comme les chiens de Pavlov... Ceci est parfaitement exact. Cependant son systême de pensée mérite tout de même quelque analyse, aussi brève et succincte soit elle. Nous avons vu dans un autre article (2) que le soumis devait intérioriser les goûts et les idées de sa Maîtresse tout en tentant au maximum de se rapprocher d’elle par l’imagination permanente, et en temps réel, de ses sensations de Femme supérieure dont il ne peut avoir naturellement la moindre idée. Ce dépassement psycho-sensoriel auquel le soumis doit être astreint en permanence pour tendre vers l’idéal féminin, auquel il ne peut bien sûr pas prétendre, peut également être transcendé dans un progressif renoncement cognitif.

                                Son état hybride, mi-humain mi-animal, est souvent inconfortable pour l’esclave. Son esprit toujours tendu vers les sensations inconnues et hors de son atteinte qu’éprouvent les Femmes supérieures, et sa Maîtresse en particulier, les travaux qu’il effectue quotidiennement pour elle et l’adoration qu’il lui voue en silence, l’aident sans doute à vivre son infériorité naturelle et son destin servile mais, hélas, ne peuvent suffire à lui faire oublier sa profonde inutilité générique.
                                C’est pour cela que, souvent sous l’impulsion d’une Maîtresse un peu psychologue mais quelquefois par quelque pulsion personnelle, s’enclenche chez l’esclave un véritable processus de réification qui est très loin d’être dommageable, tant pour lui même que pour sa Maîtresse a fortiori.

                                Il y a, nous semble-t-il, trois grandes étapes à cette intéressante « chosification » du mâle.

                                La première est en quelque sorte « immobilière ». Le soumis entre dans une maison ou un appartement auquel il va être rivé (au sens figuré, mais aussi souvent au sens propre). Il appartient à la demeure de sa Maîtresse autant qu’à elle-même. Son horizon de vie (laquelle est devenue par nature essentiellement domestique) est limité par ses murs et l’une des tâches principales qu’il doit accomplir est de veiller à la propreté et au rangement de tout ce qui est enfermé entre ses murs. Son identification première avec l’espace immobilier dans lequel il est placé, parfois auquel il est enchaîné définitivement (3), est un premier pas dans le processus de réification du soumis mâle.

                                La seconde étape est « mobilière ». Le mâle attaché à un lieu, et dont la fonction principale est de veiller à l’entretien de celui-ci et de ce qu’il contient, parfois à cause de la façon dont il est maltraité ou simplement ignoré par la population féminine qu’il doit servir ou, très souvent aussi, grâce à une conscience aiguë et intrinsèque de son infériorité naturelle, sent obscurément qu’il est utilitairement et psychologiquement beaucoup plus proche des meubles de la maison que des Femmes, par trop supérieures à lui, qui y vivent régulièrement.
                                D’ailleurs, il accepte très facilement (voire apprécie dès les premiers jours de son asservissement !) d’être utilisé longuement comme n’importe lequel des autres meubles de sa Maîtresse (4). Ces autres meubles, qui sont en définitive ses principaux compagnons, peuvent devenir aussi ses rivaux. Un bon soumis utilisé comme repose-pieds par une Femme aura à coeur de rester au moins aussi stable qu’un vulgaire tabouret de bois. Il serait vexé de se voir préférer son compagnon d’essence végétale ! A l’inverse, il se montrera fier de pouvoir, contrairement à son confrère portemanteau, s’avancer jusqu’à celle qui aura suspendu, par exemple, ses vêtements de pluie et son chapeau à ses bras tendus ou sur sa tête.
                                Peu à peu, cette fonction mobilière du mâle doit prendre le pas sur toutes ses autres fonctions plus animales jusqu’à, par exemple, ne plus croire qu’il est un esclave en train de laver le linge de sa Maîtresse mais bel et bien un lave-linge perfectionné en cours d’utilisation par celle-ci ou une autre Femme sachant le faire fonctionner.

                                Enfin, fétichisme aidant, l’esclave se met souvent à envier puis jalouser les vêtements ou les sous-vêtements de sa Maîtresse, surtout quand celle-ci lui interdit tout contact direct avec son corps divin de Femme. Pendant la lessive à la main d’un soutien-gorge ou d’une culotte, ou lors du repassage méticuleux d’une robe, le mâle soumis imaginera ce joli linge collé à la peau de sa Maîtresse, frôlant sans cesse son corps et ses formes, s’imprégnant de son parfum et de son odeur intime, tous plaisirs à lui interdits. Aussi appréciera-t-il d’autant plus le choix que la Femme peut faire de choisir un placard comme lieu de remisage de son esclave. Les étages supérieurs de ce placard étant réservés aux vêtements, sous-vêtements ou chaussures de sa Maîtresse, l’étage inférieur affecté au mâle pour ses périodes de repos ou quand sa présence est indésirable dans les pièces résidentielles des Femmes. 

                                Lentement mais inéluctablement, le sujet soumis s’objectivise et devient une chose utile. Le processus de réification est accompli.

                                Objet « pensant », certes, mais objet tout de même, le mâle gagne à être très rapidement « chosifié » et assimilé au reste du trousseau de sa Maîtresse. Tout y gagne en clarté dans les rapports Femme/mâle (ou Maîtresse/esclave, ce qui revient au même). Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, dit la sagesse populaire. La Femme dominante aura a coeur de faire pénétrer cette maxime dans ce qui sert de cerveau à son esclave, tout en lui faisant bien comprendre qu’il est bel et bien devenu réellement une chose, sa chose, et qu’il doit rester définitivement à sa place de chose, pour laisser vivre les Femmes à leur place de Femmes.


                                (1) Institut Mixte d’Education Gynarchiste.

                                (2) Vivre la vie de sa Maîtresse, apprentissage et réussite de la vraie servitude masculine.

                                (3) Dans le monde futur entièrement gynarchisé que nous souhaitons, pourquoi ne pas donner le statut d’« immobilier » à certains esclaves mâles qui pourraient être cédés, dans les transactions immobilières de particulière à particulière, en même temps que le logement auquel il serait affecté et rivé, comme l’évier, la baignoire ou le trône des toilettes ? Cette mesure présenterait l’avantage d’avoir un esclave toujours parfaitement au courant de l’entretien nécessaire à toutes les parties du logement en cours de cession. Certains appartements pourraient même prendre une certaine valeur immobilière grâce au mâle qui y serait fixé.

                                (4) Tabouret, lampadaire, table, porte-manteau, etc., les possibilités mobilières d’un mâle sont innombrables... 

                                doc.oluo.fr/carp_soumis/esclavemale.pdf


                              • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 11 mars 2017 10:10

                                @JC_Lavau

                                Des mecs qui perdent leurs couilles, c’est triste pour eux quand même smiley
                                Enfin, j’ai bien ri merci.


                              • JC_Lavau JC_Lavau 11 mars 2017 10:47

                                @bouffon(s) du roi. Monstre de sadisme, Aline d’Arbrant n’avait pas vraiment des intentions comiques.

                                Elle est proposée aux filles comme un des modèles de réussite sociale.

                              • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 11 mars 2017 16:10

                                @JC_Lavau

                                des cinglés on en trouve partout, c’est pas grave, j’ai de l’humour ... et mes couilles ^^


                              • legrind legrind 10 mars 2017 07:16

                                Le féminisme est tombée dans dans les mains de pétasses + ou - névrosées insupportables genre Caroline de Hass et / ou de bourgeoises qui veulent se donner un supplément de crédibilité politiques, si on rajoute que le féminisme s’est décrédibilisé en s’associant aux lgbt ou refusant toute hiérarchie dans les priorités : l’ennemi c’est toujours le mâle blanc chrétien _ bref c’est devenu une vaste bouffonnerie de l’élite médiatique / politique - ou fourvoyé dans l’islamo gauchisme. 
                                FÉMINISME MUSULMAN


                                • Louve Louve 10 mars 2017 12:55

                                  @legrind


                                  Vous oubliez la triste figure de Caroline Fourest

                                • JC_Lavau JC_Lavau 10 mars 2017 14:19
                                  Après le triomphe du misandrisme victimaire, osez le misandrisme triomphal !

                                   http://www.slate.fr/story/91069/misandrie-ironique-feminisme-male-tears

                                  http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=169:apres-le-triomphe-du-misandrisme-victimaire-osez-le-misandrisme-triomphal-&catid=28:exemples-de-dloyauts&Itemid=2

                                  C’est vrai quoi à la fin : Osez ! OSEZ ! Le risque est nul. On vous couvre. C’est nous qui détenons toutes les vitrines de la presse aux ordres, tous les tribunaux, tous les ministères-clés...

                                   http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=101:la-propagande-fminazie-au-gouvernement&catid=43:financement-du-fminazisme&Itemid=57

                                  ...


                                  • JC_Lavau JC_Lavau 10 mars 2017 19:11

                                    Un père de famille mentionne son accablement devant l’iniquité systématique des jugements de cour :
                                    http://www.sospapa.net/forum/viewtopic.php?f=22&t=13230

                                    C’est que pour le/la JAF(e), il a commis un crime inexpiable : il est né mâle. Voilà pourquoi ils/elles le lui font payer aussi cher que possible.

                                    Regardez de quoi il est accusé par les services ministériels de Nadine Morano :
                                    http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=101:la-propagande-fminazie-au-gouvernement&catid=43:financement-du-fminazisme&Itemid=57

                                    Pendant des années, je m’étais demandé en vain pourquoi une ONG comme Amnesty International se conduit en soutien de la guerre sexiste de misandrie, propagandant tout ce qu’ils peuvent contre « la violence conjugale », à condition toutefois d’en accuser les mâles et d’en innocenter les femelles. Remarquez, quand il s’agit de violence conjugale entre lesbiennes, il leur faut ruser davantage pour ne pas pulvériser leur échafaudage de décors en toc : 
                                    http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles-mainmenu-9/fminazies-mainmenu-57/43-financement-du-fminazisme/56-lesbienne-requise-pour-le-poste

                                    Fin du mystère, regardez qui finance Amnesty International : György Soros lui-même.
                                    http://lesmoutonsenrages.fr/2014/09/16/video-georges-soros-reconnait-son-implication-dans-le-maidan-ukrainien/

                                    Activer la guerre sexiste dans chaque famille, dans chaque couple, nous faire plonger la Libye dans le chaos, activer la guerre en Syrie au profit d’Israël, déclencher puis activer la guerre civile en Ukraïne, exciter tous les media européens pour précipiter l’Europe dans la guerre contre la Russie, obliger les gouvernements d’Europe (France incluse) à faire les choix énergétiques les plus ruineux et les plus absurdes possibles, faire croire tous les ignorants à une « acidification des océans » et à un « Réchauffement Climatique Anthropique », miraculeusement médié par le méchant dioxyde de carbone... Une seule et même oligarchie commande tout cela, toute cette intox, tous ces partis de l’étranger.

                                    Comment ils ont planté des pantins à eux au sommet de toute la presse, bon on sait, une vantardise de maître Eric Turcon à son client Alfred Sirven nous a révélé le mode opératoire. Pour d’autres pantins (Météo France, l’OMM, l’Elysée...), le mode opératoire de la manipulation et de la corruption nous est encore opaque, mais on voit bien le résultat.


                                    • maevadubois 10 mars 2017 19:53

                                      C’est véritablement désolant de constater que Janusz Korwin-Mikke soit aussi ignorant que l’actuel président des Etats-Unis. J’ai bien peur que ces deux acteurs politiques soient à l’origine d’une tendance misogyne qui, malheureusement, semble trouver l’adhésion du peuple et cela me sidère.
                                      @bibou1324, je suis réellement désolée pour toi si tu penses qu’il est normal que la femme gagne moins que l’homme tout bêtement parce-qu’elle risque de tomber enceinte. Ton résonnement est stupide. Il se trouve qu’on a pas choisit d’être les seules à pouvoir créer la vie. Mais il faut bien qu’on mette des hommes,« êtres plus valorisants pour une entreprise », au monde. 
                                      En revanche, la loi sur la parité ne participe t-elle pas à un certain sexisme envers les hommes dans certains domaines ? La femme a t-elle besoin d’une loi pour qu’on lui admette enfin la place qu’elle mérite ? Peut-on vraiment reprocher à l’Assemblée de ne pas avoir embauché autant de femmes que d’hommes, alors que les postulants dans la politique sont majoritairement des hommes ? 

                                      En ce qui concerne l’IVG, j’estime, en tant que femme, avoir le droit de pouvoir choisir. Je n’en reviens pas que ce soit encore un débat en 2017. Pourquoi cette décision devrait-être laissé à mon médecin ? Ou pire, à l’Etat. Est-ce lui qui va élever mon enfant ?
                                      Je pars sur l’exemple le plus efficace : Comment peut-on forcer une femme qui vient d’être violée à porter l’enfant de son agresseur ?
                                      Il faut parfois savoir faire abstraction de ses croyances et faire appel à un minimum de bon sens.
                                      Ce qui m’amène aux préjugés sur le viol, qui sont de plus en plus déconcertants. C’est peut-être un scoop, mais Non veut dire Non, que ce soit un inconnu ou votre propre mari. A partir du moment où vous ne consentez pas, c’est du viol. 
                                      Je crois que la phrase qu’on a déjà toutes entendue est la fameuse « Elle n’avait qu’à pas porter un short aussi court ». Evidemment. Il faut apprendre aux femmes à mettre plus de
                                      vêtements, au lieu d’apprendre aux hommes à contrôler leurs pulsions sexuelles. Logique.
                                      Les retombées sur Emma Watson m’ont fait rire. Si je comprends bien, sous prétexte qu’elle revendique les droits des femmes à l’ONU en tant qu’ambassadrice, elle n’a pas le droit de s’affirmer en tant que femme, lors d’une séance photo ? Bien que la photo soit révélatrice, elle reste tout à fait modérée et représentative de l’élégance de l’actrice. C’est marrant car il y a peu de temps on lui reprochait d’être trop prude.
                                      Décidément, quoi que nous fassions, les critiques perdureront. 


                                      • JC_Lavau JC_Lavau 10 mars 2017 19:58

                                        @maevadubois. Rappel : l’impôt sur le délit de masculinité proposé en octobre 2004 par Gudrun Schyman.


                                        Remarquez, elle s’appuyait sur la propagande Soros.

                                      • JC_Lavau JC_Lavau 10 mars 2017 20:06

                                        @maevadubois. Rappel : cette professionnelle de la haine sexiste, se proclame victime...

                                        Fraudeuse invétérée, de surcroît.

                                      • JC_Lavau JC_Lavau 11 mars 2017 07:21

                                        @maevadubois : « ou votre propre mari ». Sous le déni par la dictature de la colérique frigide, le mari est dans la pire situation possible : il ne peut pas se rhabiller et rentrer chez lui, il n’a plus de chez lui. Statutairement irresponsable de ses actes, et d’obédience féminazie, la juge l’expulsera du domicile conjugal et l’enverra sous les ponts, au premier pet en travers du cul de Madame.


                                        Même non marié, il arrive qu’on ne puisse pas rentrer chez soi, après le départ du dernier métro par exemple, quand il faudrait faire trois heures de marche à pieds sous la pluie. Il faut attendre le matin, où l’on peut.

                                        Le pire c’est quand on voyage à deux. Seulement si je m’arrête à la prochaine gare et la prie de rentrer par le train, alors seulement l’irascible porque-épique songe à calmer son harcèlement coléreux. Aussi depuis sept ans et demi ai-je cessé tout voyage à deux. Fini. Elle ne supporte plus le mâle ? Qu’elle en supporte les conséquences !

                                      • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 11 mars 2017 07:42

                                        Le féminisme actuel consiste à lutter contre les hommes pour prendre le pouvoir. Dresser les catégories les unes contre les autres, comme pour la lutte des classes, n’amène en général qu’un éloignement et une hostilité grandissantes des uns envers les autres. C’est effectivement ce que l’on observe dans notre société.


                                        • JC_Lavau JC_Lavau 11 mars 2017 07:52

                                          @Gilles Mérivac. C’est bien pourquoi des philanthropes comme György Soros et Rockefeller sont à la manoeuvre, et financent les organes de propagande féminazie : pour porter la guerre civile dans chaque famille, et abrutir et paralyser les peuples, peuple américain puis canadien tout d’abord, peuples européens ensuite.


                                          Cerise sur le gâteau : le désarroi de nos enfants privés de pères par les gynarques triomphantes fait les profits des trafiquants de stupéfiants, C.I.A. inclusivement.

                                        • rpplbis rpplbis 21 mars 2017 16:49

                                          Allez lire mon blog de lutte et voyez comment experts psychiatres, enquêtrice sociale, jugent assassinent un homme, le disant eux-mêmes : http://rpplbis.blog.lemonde.fr/

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