Chantiers de Saint Nazaire : la mauvaise synthèse hollandiste
C’est plus fort que lui ! Le président de la République n’a pas pu s’empêcher d’accepter une issue mi-figue, mi-raisin sur la vente des Chantiers de Saint Nazaire, dont l’Etat détient un tiers du capital, assorti d’un droit de veto. L’italien FIncantieri rentre au capital, avec un associé italien, et la France conserverait un droit de veto de vingt sur les grandes décisions. Qu’en penser ?
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