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Accueil du site > Tribune Libre > Le Bullshit de France Inter

Le Bullshit de France Inter

Dans ce « monde réellement renversé » où, selon Guy Debord, « le vrai est un moment du faux », il est des instants de pur bonheur lorsque, justement, la vérité se fait jour sur fond de bullshit permanent — notion délicate à saisir (sic) qui sera précisée un peu plus loin et qui peut se traduire par « bobards », « conneries », « n’importe quoi » ou, littéralement, par « bouse. »

Un grand moment de vérité nous a été offert il y a quelques jours sur France Inter après que l’inénarrable chroniqueur Bernard Guetta se soit livré à un réquisitoire épouvantable de mauvaise foi contre Bachar El Assad  ; exercice dont il est coutumier et qui constitue toujours un temps fort du bullshit continu que nous sert la grande radio du service public.

Une parenthèse : comme se plaisait à le souligner Nicole Ferroni en toute fin de matinale, France Inter n’est pas sous l’emprise de la dizaine de milliardaires maîtres et possesseurs des médias français. Par conséquent, ne conviendrait-il pas de se demander quelle puissance s’impose à cette radio pour qu’un bullshit mondialiste aussi dense soit livré sur ses ondes avec une telle constance ? [1]

Quoi qu’il en soit, juste après l’intervention de Guetta, la parole a été donnée à l’invité du jour, l’historien Patrick Boucheron qui, tout en évoquant la nébuleuse des concepts associés à la thématique des fake news [2], a dessiné, l’air de rien — mais probablement sans même en avoir conscience — le portrait fidèle du journaliste Guetta dans ses œuvres.

D’emblée Boucheron nous avertit que le mensonge politique a existé tout au long de l’histoire car, selon la formule de Jonathan Swift (1733), il s’agirait de « l’art de convaincre le peuple... l’art de lui faire croire des faussetés salutaires et cela pour quelque bonne fin. »

Outre que cela est très édifiant quant au métier de journaliste politique que M. Guetta pratique avec un engagement qui force le respect, cela rend aussi quelque peu suspect tout effort pour établir un distinguo avec — ce que je propose donc d’appeler — les « contrefaits » (fake news) et autres « politiques de la post-vérité » (post truth politics).

C’est pourtant ce que tente notre historien en opposant, de manière assez téméraire, Bush le menteur — qui ferait seulement dans le mensonge politique traditionnel — à Trump le bonimenteur, qui ferait lui dans la fake news, le post fact et la post truth politics.

La fameuse intervention de Colin Powell — qui, en 2003, ment à l’ONU en affirmant détenir les preuves de l’existence d’armes de destruction massive dans l’Irak de Saddam Hussein — ne serait ainsi qu’un simple mensonge car « le menteur sait que la vérité existe et qu’il la blesse » alors que « le bonimenteur est au-delà de la vérité. » Il ne s’en préoccupe plus et cherche seulement à « produire un discours qui domine. »

Or, n’est-ce pas ce qui, justement, caractérise le style Guetta ? D’une chronique à l’autre, son propos ne traduit-il pas une parfaite indifférence à la vérité ainsi qu’une effrayante facilité à prendre — l’image est de Guetta lui-même — la réalité d’un dromadaire pour celle d’une table « et cela pour quelque bonne fin » ?

Exemple : bien qu’ayant clairement affirmé d’entrée de jeu qu’ « il n’y a pas de preuves permettant de formellement accuser le régime syrien de ce crime de guerre » que constituerait la (toujours présumée) attaque chimique de Khan Cheikhoun, Bernard Guetta — emporté par la véhémence coutumière qu’il met à servir l’agenda mondialiste — ne peut s’empêcher de conclure que « Bachar al-Assad se sent libre de passer tous les seuils de l’innommable et ce n’est pas gratuitement qu’il vient de récidiver. » Pour lui, donc, la cause est entendue, le « régime assassin » de Damas est coupable alors que dix minutes auparavant, on pouvait entendre sur les ondes de France Inter l’explication mise en avant par la Russie selon laquelle l’aviation syrienne aurait tiré sur un « entrepôt terroriste contenant des substances toxiques », ce qui, bien sûr, ferait immédiatement tomber l’accusation de crime de guerre.

De cela, Bernard Guetta n’a cure car, comme le pointera Patrick Boucheron, « le bullshit, c’est l’indifférence à la vérité » et donc « l’insensibilité à la réfutation ». On comprend alors qu’il soit aisé à Bernard Guetta de croire à ce qu’il dit. Ne doutant pas de son honnêteté foncière comme de sa bonne volonté, il est sûr de son fait et s’autorise sans arrière-pensée des « faussetés salutaires » sachant bien que c’est « pour quelque bonne fin. [3] »

Au point qu’il aura l’audace d’exprimer à Patrick Boucheron son désarroi au travers d’une métaphore, se déclarant désarmé face à ceux qui, lorsqu’il leur présente une table, lui répondent qu’il s’agit d’un dromadaire. Pas un seul instant Guetta n’envisage de se mettre à la place de l’autre pour explorer la possibilité ce soit lui, Guetta, qui soit en train de faire passer un dromadaire bien réel pour une table bien fictive. On peut raisonnablement douter qu’il en soit capable.

Force est donc d’admettre que c’est seulement de notre point de vue que le chroniqueur Guetta apparaît comme un parfait bonimenteur, un être totalement « au-delà de la vérité », cherchant seulement à « produire un discours qui domine ». De son propre point de vue, c’est bien la pure vérité qu’il est en train d’énoncer, il n’est pas au-delà, il y croit. C’est d’ailleurs ce qui lui permet d’être sincèrement engagé dans son propos, qu’il martèle avec conviction et pathos, en bon petit soldat de la vaste entreprise nationale de « production sociale de l’ignorance  » dont France Inter constitue le navire amiral.

La contradiction est donc totale. Bernard Guetta fait dans le mensonge politique autant qu’il est un bonimenteur, un de ces « vitupérateurs professionnels » dont Boucheron nous rappelle l’existence du temps des « gazettes de désinformation » qu’au XIXe on appelait des canards (suivez mon regard...). Notons toutefois que l’époque n’est plus où le gazettier avait encore l’honnêteté d’annoncer « la moitié de cet article est faux » ! [4]

Si l’on songe que l’humanité est apparue avec la capacité à raconter des histoires, à produire des mythes selon la perspective du vainqueur, on pourrait aller jusqu’à se demander si le grand bobard ou la première fake news du moment ne serait pas l’idée qu’il y ait quoi que ce soit de nouveau dans l’idée même de fake news, de post fact ou de post truth politics. Le mensonge politique a été de toute éternité et la distinction proposée par Boucheron apparaît décidément assez spécieuse. On songe à l’Ecclésiaste et son « rien de nouveau sous le soleil »...

Toutefois, bien que Patrick Boucheron ne la mentionne pas, une distinction claire et légitime entre menteurs et bonimenteurs reste envisageable si on peut considérer les premiers comme des réalistes et les seconds comme des constructivistes.

En effet, si on admet que les menteurs pensent qu’il existe une réalité transcendante, c’est-à-dire, quelque chose qui s’impose à nous et qu’il serait seulement possible de connaître, de comprendre mais aussi de travestir, on peut alors considérer que les bonimenteurs, en refusant cette soumission à l’ordre des choses, s’efforcent, de manière proprement révolutionnaire, de changer à leur gré une réalité qu’ils veulent socialement construite.

Après l’ère des révolutions à visée universelle dont Marx a si efficacement formulé le principe selon lequel l’important n’est pas tant de comprendre la réalité que de la transformer, nous nous trouvons à l’évidence dans la dernière ligne droite d’une progression aussi lente que sûre vers ce qu’il est convenu d’appeler un « nouvel ordre mondial » dans lequel, à la suite des néo-conservateurs étasuniens, il devient possible de penser proprement créer une réalité que les journalistes n’ont plus alors qu’à répercuter exactement comme le font les journalistes de guerre, ceux qu’on dit « embarqués. »

De ce point de vue, on pourrait considérer Bernard Guetta et, de manière plus générale, France Inter ainsi que, pourquoi pas, l’ensemble des médias aux ordres comme produisant une forme de journalisme embarqué qui participe de la construction sociale (mimétique) de la fiction nécessaire à l’établissement d’un pouvoir centralisé et absolument totalitaire au sein duquel « le Gorafi devient vérité » et où il ne reste plus pour s’informer qu’à « écouter les guignols » comme le suggère Boucheron avec tellement de pertinence.

Tout se passe donc comme si nous étions dans ce temps de l’humain qu’on pourrait légitimement appeler le temps du mensonge généralisé, le temps du bullshit, le temps de la bouse informationnelle dont France Inter constitue assurément le parangon par sa prétention à se tenir au-dessus du lot alors qu’elle se trouve, la plupart du temps, en dessous de tout.

Bref, pour l’honnête citoyen, il est grand temps de franchir le pas, de faire « a walk on the wild side » en naviguant sur les sites de réinformation, justement ceux que le système adore détester...

Post-scriptum :

Sur la fin, Boucheron nous gratifiera encore d’un beau moment de vérité en rappelant non seulement qu’il existe des complots mais aussi que le complotisme est avant tout « un exercice de l’esprit critique auquel on doit d’abord rendre hommage. » Il ajoutera : « le fait de douter et le fait de faire du doute le moteur de la connaissance, comment le refuser ? » On applaudirait volontiers mais, malheureusement, quoique sans surprise, notre universitaire s’empressera de donner des gages au « système » en déclarant en substance que le complotisme est un dévoiement de la pensée car (a) il simplifie là où « l’esprit critique consiste à compliquer les problèmes  » et que (b) il est mensonger.

Tout cela moins d’une minute après avoir évoqué le livre de Robert Proctor, Golden Holocaust, la conspiration des industriels du tabac  qui démontre comment pendant des décennies « l’industrie du tabac a dépensé quatre cent millions de dollars pour produire du doute  » en « construisant des controverses et en diluant les causalités », c’est-à-dire, en compliquant le tableau à l’envi là où la simplification complotiste qui « ramène à une cause unique » dévoile bel et bien la vérité (recon)nue qui veut que la consommation de tabac engendre des cancers, point à la ligne — pour parler comme Bernard Guetta.

Bref, la « production sociale de l’ignorance » et l’agnotologie ont de beaux jours devant elles et ce n’est pas la journée pour la liberté de l’information qui y changera quoi que ce soit. Elle se déroulait ce même funeste mercredi 5 avril quand Bernard Guetta jouait de son pipeau habituel.

 

 

[1] Hervé Ryssen a bien une réponse mais ses chiffres ne sont pas du tout crédibles : selon lui 99% des employés de France Inter seraient d’origine bretonne. Il me semble que c’est très exagéré.

[2] Que Patrick Cohen traduit par « fausses nouvelles », que Guetta corrige en « nouvelles fabriquées » mais que la langue française nous permettrait probablement d’appeler des contrefaits (en substantivant l’adjectif correspondant).

[3] Comme dit si souvent un de ses coreligionnaires « c’est bon pour Israël » !

[4] L’auditeur de France Inter — celui qui en a entre les oreilles — n’a toutefois pas de besoin d’un tel avertissement. Il sait déjà que ladite radio est la meilleure source de cette désinformation officielle qu’au temps des Soviets on appelait la Pravda, la vérité.


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46 réactions à cet article    


  • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 12:22

    Sans doute aurais-je dû préciser que tout ce qui est évoqué plus haut concerne le service d’information assuré par France Inter et non pas l’ensemble de ses émissions qui, pour certaines, peuvent être d’une grande qualité. Voilà c’est dit !


    • doctorix, complotiste doctorix 12 avril 2017 21:13

      @Luc-Laurent Salvador

      Lundi matin, sur France Inter, Frédéric Métézeau, chef du service politique de France Inter, nous a donné sa définition d’une campagne présidentielle démocratique, je vous laisse apprécier (j’ai souligné mes commentaires) :


       Frédéric Métézeau :

      Jusqu’au premier tour, le CSA nous demande de respecter l’égalité stricte entre les onze candidats ou leurs soutiens, mais la nouveauté c’est qu’il faudra appliquer cette égalité au sein de quatre tranches autonomes dans la journée. dans chacune de ces tranches il faudra tenir le même temps de parole à la seconde près. Pas simple pour une radio comme la notre qui n’est pas un media d’information continue.« 

      (Oui, c’est ennuyeux : on n’est même plus libre de coller Macron au 7-9 et Asselineau à trois heures du matin. NdDx)


       »Le pluralisme, c’est de donner la parole à tout le monde dans de justes proportions (définies par Patrick Cohen et Métézeau, on le devine.NdDx.)

      Ce n’est pas l’égalité arithmétique ( Ah bon ? NdDx)

      A France Inter, nous interviewons les onze candidats, nous n’avons pas besoin d’injonctions ou de décomptes tatillons, en revanche, nous devrions pouvoir jusqu’au bout (ben voyons !) hiérarchiser l’information (pour hiérarchiser, vous avez vachement hierarchisé depuis deux mois. NdDx.), la proportionner, nous devrions faire nos choix éditoriaux et non pas des choix mathématiques (...)

      Voilà, la loi a permis à 11 personnalités d’être candidates, la loi nous impose aussi un décompte linéaire à 11, à l’heure de la réécoute délinéarisée, pod cast, sites internet, réseaux sociaux, appris, où l’on ne peut pas mesurer le temps de parole.

      Un grand merci, donc, au CSA, garant du pluralisme et de la liberté de la presse, plus qualifié pour compter les secondes que pour empêcher le dépeçage d’I-Télé (quel rapport ? NdDx ?)

      (Oui, c’est ennuyeux, on ne pourra même plus se foutre ouvertement de la gueule d’un candidat qui aurait refusé de venir se faire insulter, comme on le fait toujours. NdDx.). 

      Ici, à 44’30", dans le premier lien, Jean Marc Ayrault :

      https://www.franceinter.fr/emissions/le-7-9


    • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 13 avril 2017 04:22

      @doctorix
       
      Merci pour cette illustration de la désinvolture de France Inter sous le rapport de l’équité.
      Ils sont dans la toute puissance et voudraient se faire passer pour des victimes.
      Ce serait comique si ce n’était à pleurer.
      J’ai bien aimé comme il se paye la tête du président du CSA en rappelant qu’il a aidé Jospin à rater sa campagne présidentielle en 2002.
      On les sent irrités.


    • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 10 avril 2017 12:28

      « Je vous cite :


       »...ne conviendrait-il pas de se demander quelle puissance s’impose à cette radio..."

      Réponse : le service de propagande du gouvernement, lui-même ouvertement mondialiste, plus royaliste que le roi, puisque notre Résident a assuré la permanence en Syrie quand y avait du flottement à Wasington (enfin... en apparence).

      A quel ministère est rattaché ce service, comment s’appelle-t-il et qui en est responsable ?

      Le fait de le savoir ou pas ne change rien au résultat, mais c’est une radio croupion qui a fait le ménage pas par pas, le gros morceau ayant été l’éviction de Mermet, et ne garde plus que les murs de la Maison de la Radio comme cestige. Ce qui se fait à l’intérieur n’est plus de l’information, ni même de la radio, mais de la propagande et de la diffusionrécrative.

      • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 12:36

        @Jeussey de Sourcesûre

        Le service de propagande du gouvernement ?
        Avez-vous besoin de cette hypothèse ?
        Pour le reste, même si vous ne machez pas vos mots, nous sommes bien d’accord.


      • Francis, agnotologue JL 10 avril 2017 13:34

        « le menteur sait que la vérité existe et qu’il la blesse » alors que « le bonimenteur est au-delà de la vérité. » Il ne s’en préoccupe plus et cherche seulement à « produire un discours qui domine. »

         
         Je crois bien avoir lu ça dans ce petit ouvrage qui porte en français le titre : « De l’art de dire des conneries » de Harry G. Frankfurt.’’
         
         Cette citation est pile poil cousine de cette autre : 
         
         « Nous sommes un empire, maintenant, et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité, judicieusement, comme vous le souhaitez, nous agissons à nouveau et nous créons d’autres réalités nouvelles, que vous pouvez étudier également, et c’est ainsi que les choses se passent. Nous sommes les acteurs de l’histoire (...). Et vous, vous tous, il ne vous reste qu’à étudier ce que nous faisons. » (Bush, ou son conseiller Karl Rove ?)
         
         Avec l’apparition des réseaux sociaux, le pouvoir ne peut plus mentir aussi effrontément. Le remplacement du mensonge institué par le bullshit est la réponse du berger à la bergère : une évolution du discours médiatique dominant qui devient par le fait impossible à démentir, à déconstruire : une « langue de bois constructive », si vous permettez cet oxymore ainsi que l’usage à contre emploi ou dévoyé, du concept « construire »’.
         
         
        Ps :Trois précisions concernant les 99% de Breton à France Inter :
         
         
        1 : ça ne concerne pas seulement les employés du Service information : ça concerne les journalistes
         
        2 : on peut en dire autant de France Culture
         
        3 : il ne s’agit pas de Bretons mais de cette communauté qu’apprécient particulièrement nos hommes politiques. Mais je pense que tout le monde aura compris.
         


        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 15:05

          @JL
           
          Pour la première citation, vous avez raison, c’est bien ce livre que Patrick Boucheron cite dans son entretien avec Patrick Cohen.
           
          Pour la seconde, comme indiqué dans l’article (en anglais) que j’ai mis en lien à « créer la réalité », elle provient de Ron Suskind, un journaliste du Wall Street Journal qui rapporte un entretien qu’il a eu avec un conseiller de Bush en 2002. C’est cet entretien qui m’a fait penser à l’opposition réaliste/constructiviste comme étant la plus pertinente pour comprendre le storytelling permanent dans lequel nous vivons et dont les médias sont les principaux responsables.
           
          Pour le troisième point, dans mon correctif je ne faisais que pointer la dimension informationnelle, je ne sais pas en fait s’il y a un service dédié et peu importe.
           Sur France Inter le traitement de l’information est épouvantable de bullshit et d’indifférence à la vérité. Avec la Syrie on a clairement atteint des sommets dans la forfaiture, notamment quand Léa Salamé, je crois, a invité un responsable municipal d’Alep (présenté comme le maire) à venir larmoyer sur l’antenne (et certes pas informer) durant toute sa chronique afin, comme toujours, de culpabiliser l’inaction et justifier une intervention militaire contre Bacher el Assad.


        • Francis, agnotologue JL 10 avril 2017 18:50

          @Luc-Laurent Salvador
           

           ’’ notamment quand Léa Salamé, je crois, a invité un responsable municipal d’Alep (présenté comme le maire)’’
           
           je me souviens de cet entretien, en effet. Il en avait été discuté abondamment sur AV.

        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 18:57

          @JL
           
          « je me souviens de cet entretien, en effet. Il en avait été discuté abondamment sur AV. »
           
          Ah, j’ignorais. Dommage, ça m’aurait intéressé de participer à la discussion car, sur le coup, j’étais vraiment outré par ce procédé tellement grossier !


        • Francis, agnotologue JL 10 avril 2017 20:07

          @Luc-Laurent Salvador
           

           à la vérité, je me souviens seulement d’en avoir parlé, en commentaire sous un article qui s’y prêtait. Si j’avais la date, je pourrais retrouver mes com.

        • rogal 10 avril 2017 13:46

          Très bonne dénonciation, mais que viennent faire les taureaux dans cette histoire ?


          • Laulau Laulau 10 avril 2017 14:13

            @rogal

            C’est encore un coup des anglais, nous on dit la merde, eux merde de taureau..... juste pour nous faire caguer !


          • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 15:08

            @Laulau

            Pour ma part, je trouve que « bouse » est une bonne traduction. En tout cas, tout le monde comprend de quoi il s’agit smiley


          • popov 10 avril 2017 17:06

            @Luc-Laurent Salvador


            Pour ma part, je trouve que « bouse » est une bonne traduction. 

            Oui, mais faut s’informer un peu. Une vache, contrairement à ce que suggère cette illustration, chie debout, souvent en marchant ou en broutant, et sans marquer l’événement par la moindre génuflexion, avec une nonchalance et un mépris du qu’en-dira-t-on propres aux bovidés. Ah ces intellectuels !

            Ceci dit, je ne capte aucuns canaux français et en lisant votre article, je constate que je ne perds pas grand chose.


          • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 17:59

            @popov
             
            Je suis d’accord que le logo n’est pas très réaliste mais au moins il est explicite. Tout le monde comprend ce qu’est le petit tas en dessous du cul.
             
            Pour le reste, je confirme que vous ne perdez pas grand chose. Sauf ces petits moments de bonheur, rares, quand la vérité surgit sur fond de bullshit.


          • Debrief 10 avril 2017 15:31

            Je suis aussi stupéfait, réellement, devant le non-professionnalisme des services d’info de Radio France. Au lieu de douter, vérifier l’information, envisager les options possibles, ils se jettent comme des hyènes sur tout ce qui sert leur positionnement idéologique et le diffusent sans vergogne avec « analyses » à la clé. Analyses fondées, comme ces gaz en Syrie, sur des affirmations dont la probabilité est à l’évidence proche de zéro, ce qui semble totalement échapper à tous ces « journalistes ». Pas même l’évocation de l’hypothèse probable.

            Je suis mal alaise quand j’écoute ces radios et je préfère changer tant les déformations sont grossières et au fond quasiment vulgaires.


            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 17:09

              @Debrief

              Oui, c’est comme Coluche (ou Desproges ?) quand il parlait du journal Minute, « on en ressort avec la nausée et les mains sales ».
              Mais je prends ma dose quasi quotidienne pour mesurer le degré d’avancement de la propagande officielle...


            • Debrief 10 avril 2017 18:37

              @Debrief
              à l’aise (ah cette correction orthographique... qui a bon dos :)


            • Alren Alren 10 avril 2017 19:12

              @Luc-Laurent Salvador

              J’imagine que c’est plutôt Desproges, fin intellectuel, qui a fait cette subtile allusion à l’œuvre de Jean-Paul Sartre.
              Il nous manque beaucoup. Maudite cigarette !


            • vesjem vesjem 10 avril 2017 23:12

              @Luc-Laurent Salvador
              moi pareil ; parfois, c’est difficilement supportable, même pour une minute


            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 04:43

              @Alren

              « 

              Il est plus économique de lire Minute que Sartre. Pour le prix d’un journal, on a à la fois la nausées et les mains sales. »

              google confirme immédiatement que c’est desproges car à peine on tape son nom que minute est proposé


            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 04:50

              @vesjem
               
              Oui, ils peuvent faire très fort très vite. En une phrase ou deux, on peut être révulsé par autant de mauvaise foi.


            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 19:01

              @porcinet
               
              Le tableau est un peu rude mais il me convient.
              Sauf pour la propagande hitlérienne, je ne vois pas de quoi vous parlez.


            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 12 avril 2017 02:59

              @porcinet
               
              Ce que vous me dites me fait penser que les sayanims que dénonce Jacob Cohen dans son livre et ses vidéos, c’est au fond un peu comme les stay-behind, c’est une cinquième colonne au sein de laquelle on peut distinguer ceux qui sont en tête (les BHL, Fabius, Sarko et consors) et ceux qui sont seulement dans le rang mais actifs à leur manière. Sans compter les endormis qui se réveilleront à la demande.

              Enfin, je dirais, il y a les zombies, ceux qui ne voient pas ce qui est fait en leur nom et qui vivent un mauvais rêve sans savoir ce qu’ils font.
               
              Les seuls en dehors de tout ça sont les anti-sionistes


            • Lonesome Cowboy Lonesome Cowboy 10 avril 2017 16:59

              Excellent article, sur le fond comme la forme. Un grand merci !


              • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 17:53

                @Lonesome Cowboy
                 
                Ravi que vous ayez apprécié, c’est encourageant !


              • Marignan Marignan 10 avril 2017 17:19

                Je me désole tout autant que vous du fait que ce qui a pu être dans un passé lointain un service d’information public soit devenu un service privé d’intelligence. Cela m’a conduit il y a bien longtemps maintenant à ne plus du tout écouter ces ondes-là. Et croyez-moi, pour préférer Rire et chanson ou bien les journaux de Radio Classique (sans douter de leur indigence également, mais au moins leurs journalistes ne se prennent pas pour la vérité incarnée) dans sa voiture, il faut vraiment que le niveau d’information des radios publiques soit parvenu à atteindre celui de la Pravda aux meilleures heures de Brejnev. 

                Que dire de plus de Guetta, que le prix Albert Londres lui a été attribué dans le passé, pauvre Albert, doit-il se retourner dans sa tombe ! c’est dire combien désormais ce prix accordé à n’importe qui est autant déprécié que la Légion d’Honneur.

                • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 10 avril 2017 17:56

                  @Marignan
                   
                  Oui, j’ai la même impression. Ce prix attribué à Guetta m’a étonné en effet, mais comme vous le dites si bien, c’est comme pas mal d’autres prix auquel on doit aussi ajouter le Nobel de la Paix, vous ne pensez pas ?


                • vesjem vesjem 10 avril 2017 22:52

                  merci, luc, pour cet article très subtile
                  chez radiofronce, le machiavélisme est très poussé ; actuellement, par exemple, on parle quotidiennement et plusieurs fois par jour de guerres européennes passées (pour juguler les adeptes du frexit en vue des élections) ;
                  en tous temps, on invite d’innombrables spécialistes en tous domaines dont la caractéristiques essentielle est d’être américains (avec le traducteur de service bien sûr) ;
                  en tous temps, on diffuse sur ces 3 radios pourries,de la variété américaine contemporaine imbuvable, qui pour l’effet de me dégouter des tubes des années 60 ( parce que je suis conscient de la magouille orchestrée et programmée) ;
                  huxley et orwells ne sont plus dans la fiction
                   


                  • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 05:15

                    @vesjem
                     
                    Oui, on note constamment des thématiques bien ajustées qui tombent à pic pour guider le troupeau vers le bercail mental organisé par nos bons bergers.
                    D’aucuns parleraient de paranoïa et c’est vrai que ce sera difficile à argumenter.
                    Il faudrait un observatoire des médias qui fasse des études sérieuses, des thèses avec data mining et tout le toutim...
                    C’est pas demain la veille !


                  • Doume65 11 avril 2017 00:05

                    « Marx a si efficacement formulé le principe selon lequel l’important n’est pas tant de comprendre la réalité que de la transformer »

                    Tout se complique, puisque un conseiller de Bush pouvait dire à un journaliste en 2002 :

                    « Nous sommes un empire maintenant, et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité, judicieusement, comme vous le souhaitez, nous agissons à nouveau et nous créons d’autres réalités nouvelles, que vous pouvez étudier également, et c’est ainsi que les choses se passent. Nous sommes les acteurs de l’histoire. Et vous, vous tous, il ne vous reste qu’à étudier ce que nous faisons. »


                    • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 05:09

                      @Doume65
                       
                      Vous aussi ça vous a frappé. C’est un truc énorme.
                      Je l’ai évoqué dans le texte et JL y est revenu dans le fil de commentaire.
                      Merci pour le lien vers cet article du Monde Diplo, c’est bien mieux qu’en anglais.


                    • atmos atmos 11 avril 2017 02:28

                      Il y a la haine. Il y a le mépris. Et en dessous du mépris il y a un sentiment sans nom, cette certitude que le mépris est encore de trop. Ainsi, il serait aussi inapproprié de mépriser les « journalistes » de France Inter (et tant d’autres) que de mépriser des crottes de bique.


                      • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 05:38

                        @atmos
                         
                        Je comprends et j’accepte l’idée seulement si elle se cantonne à l’indifférence. Mais se laisser emporter par le ressentiment n’amène rien de bon. Il faut leur pardonner. Je me dis que la plupart ne savent pas ce qu’ils font.


                      • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 18:57

                        @porcinet
                         
                        Merci pour le commentaire.
                        Vous avez tout à fait raison.
                        Mais c’est complètement intentionnel.
                        Je ne connais pas de meilleur modèle pour aller vers la paix.
                        Naïvement, je pense qu’elle est possible.
                        Tout le monde est d’accord pour la justice et l’équité.
                        Alors faut pas se gêner, les quotas c’est top équitable, et dans les médias, je crois que c’est indispensable.


                      • velosolex velosolex 11 avril 2017 11:17

                        J’ai commencé à lire avec intéret votre article pour me lasser très rapidement, filant vers la conclusion, tant ce fleuret moucheté entre menteurs et bonimenteurs commençait à me fatiguer. Et il besoin de joindre les termes initiaux anglais sans arrêt ;  (fake news) et autres « politiques de la post-vérité » (post truth politics

                        Cela ne s’apparente t’il pas à un art de la manipulation, ce jargon pseudo scientifique qui tenterait de faire office de label d’expertise et vérité. « La vérité », il semble que ce soit la vraie affaire. La référence à la fameuse pravda est là pour conclure. Toutefois en URSS, ce journal n’était que le haut parleur du parti officiel et exclusif du parti. En France on peut trouver encore et pendant longtemps j’espère différentes voix. Même bien sûr sur inter. La comparaison n’a pas lieu d’être, d’ailleurs, vous pouvez trouver différentes opinions, la vérité en elle même n’existant évidemment pas, si même le mensonge lui existe bien. Sur inter et culture, il suffit de varier les intervenants, les heures, et de s’informer bien sûr ailleurs. La variété fait profit à tout.... Beaucoup n’en font aucun profit, et se mettent à crier à la manipulation quand un avis autorisé va à l’encontre de leurs certitudes infatuées...Quand à la manipulation, chacun s’y livre, et moi, et vous, pour tenter de séduire les autres, se servant des éléments qui l’avantagent, ou minorant ou ignorant ceux qui l’emmerdent, caricaturant, élaguant, se servant de généralisations et de sophismes. Certains parviennent ici ainsi à sortir Bachar de l’eau du bain, innocent comme un nouveau né. Des groupes aficionados se forment autour de quelques leaders, comme on le voit ici. Ils forment des sortes de meutes où l’idée et la vérité n’ont plus grand intérêt, seule comptant leur place dans le groupe. ...Phénomène existant non seulement dans la meute primaire, mais donc aussi facilement sur ce blog. Il suffit de regarder ces gens chassant en groupe , toujours les mêmes, comme dans une cour d’école, se confortant d’une façon puérile, se « positivant »...Moi qui suit souvent moinsé allez savoir pourquoi, J’écoute pour ma part les radios de radio France, car en dépit d’opinions qui me gonflent, je trouve parfois la lumière,l’intérêt dans un intervenant ou deux. Ca me suffit. Un bon copain c’est bien mieux qu’une bande...

                        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 13:45

                          @velosolex
                           
                          Je devine un individualisme vigoureux. Vous êtes donc un excellent produit du système. Votre périmètre d’écoute laisse à penser que vous n’allez pas chercher bien loin. C’est exactement ce qu’attend le « système ». Garder la masse sous contrôle. Nous en faisons tous partie à divers degrés mais certains font de leur mieux pour s’en extraire. Il semble que ce ne soit pas votre cas .
                           
                          Bien le bonjour chez vous...


                        • velosolex velosolex 11 avril 2017 14:21

                          @Luc-Laurent Salvador
                          Encore une fois vous vous faites juge tout puissant,distribuant bons et mauvais points, en bon parano. Il n’est de bon bec que ceux qui sont séduits par votre aveuglement. Mon périmètre d’écoute et d’attention me protège autant qu’il est possible des manipulateurs et des maîtres de musique, cherchant à mettre au pas les âmes faibles, les tenant éternels du complotisme, infatués de leurs pauvres certitudes.

                           « L’impérialisme » de l’occident bien sûr, pas celui des autres, voilà votre ennemi. Le centre de cet article dirigé. Pour cela vous êtes prêt à avaler n’importe quelle couleuvre, quelles que soient les preuves des exactions sans nom de ce régime honni, et les témoignages et l’exode des réfugiés. Vous tentez de convaincre les autres à travers mille sophismes et simplifications, tout en faisant un article sur le mensonge, peut être bien pour exorciser inconsciemment le votre...Le parallèle de cette pauvre Syrie avec la guerre d’Espagne est frappant. Mettez Bachar à la place de Franco, Poutine à la place de l’Hitler protecteur, et ce gazage de ce pauvre village ressemble comme deux gouttes d’eau à celui de Guernica. Un massacre que Franco tenta bien sûr lui aussi de mettre sur le dos de rebelles de l’époque, c’est à dire les républicains. Un copié collé. Comment dit on en englais ?
                          Ce fut l’expérience totalitaire dont fit profit Orwell, qui fut le témoin d’une autre aberration : L’exécution par les soviétiques de ses camarades du POUM, pour non contormité révolutionnaire. 
                          Ne parlons pas du massacre de Katyn, que les russes tentèrent pendant 50 ans de mettre sur le dos des nazis, et qui décapité l’aristocratie intellectuelle polonaise. Le déni fut assumé jusqu’à Gorbi...
                           Dans les années 50 vous auriez nié les goulag, et accusé Arthur Koestler de manipulation et d’être un agent à la solde...Dans les années 60 Mao et son petit livre rouge aurait été votre livre de chevet, et dans les années 70 vous auriez trouvé Pol Pot formidable, et nié bien sûr les exactions des khmers rouges. 
                          Rien de nouveau sous les étoiles rouges.

                        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 14:36

                          @velosolex
                           
                          « âmes faibles », « infatués de leurs pauvres certitiudes »

                          C’est beau ! Encoooore !
                           
                           
                          Katyn, vous parlez de Katyn en flagrante contradiction avec le jugement du tribunal de Nuremberg ?
                          Vous seriez donc un odieux révisionniste ?
                          Diantre, c’est plus que je n’en puis supporter, brisons là je vous prie.
                           smiley


                        • velosolex velosolex 11 avril 2017 15:47

                          @Luc-Laurent Salvador
                          Ce pauvre déni en dit long sur tout le reste de votre discours. Non seulement vous êtes infatué, mais vous êtes totalement ridicule, certains diraient simplement « imbécile »...Mais l’imbécile n’a pas conscience de ses mensonges, et je ne pense absolument pas que cela soit le cas pour vous... Nier que le massacre de Katyn n’est pas le fait des soviétiques relève du même négationnisme que celui des chambres à gaz. A Nuremberg, les alliés étaient parfaitement au courant que c’était les soviétiques qui étaient les auteurs de cette atrocité. Mais ils ont préféré se taire pour des raisons politiciennes « donant donnant...

                          Gorbatech a admis cette » bavure" au début des années 90, les archives soviétiques ouvertes l’ont confirmée,,et depuis le pouvoir actuel l’a introduit dans les livres d’histoire. Il semble donc que vous soyez plus soviétique que les russes actuels. Diantre, et ventre saint gris si vous voulez. Du reste ça ne m’étonne pas que je vous brise. 13 avril 1943 - Katyn, pomme de discorde entre Russes et Polonais ...

                        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 17:41

                          @velosolex

                          Quoi ? Vous soutenez qu’un jugement du tribunal de Nuremberg découle d’un arrangement entre les vainqueurs et c’est moi que vous accusez de révisionnisme ?
                          Visiblement vous ne savez pas de quoi vous parlez !
                           
                          Vous voulez me traiter d’imbécile ? Pourquoi pas d’idiot tant que vous y êtes ? Ne vous gênez pas. J’adore Oscar Wilde smiley


                        • velosolex velosolex 11 avril 2017 18:07

                          @Luc-Laurent Salvador


                          Je laisse ce qui voudront apprécier la hauteur de vos vues, et le négationnisme patent, à propos du massacre de Katyn, un crime universellement reconnu maintenant comme étant du aux soviétiques.

                           Ce qu’eux même, d’ailleurs reconnaissent....Cerise sur le gateau...Mais un homme dans la foule n’est pas d’accord ; c’est Salvador. Non pas Henri, le blagueur, mais l’autre, le bloggeur

                          J’en ai vu des absurdes ici, mais vous décrochez le pompon.
                           Délire paranoïaque ?
                          Je n’ose vous demander ce que vous pensez des accords Ribentrop-Molotov. Vous allez me dire qu’ils n’ont jamais existé. 
                          Pas plus que le goulag certainement. ...J’ai la furieuse impression d’être en absurdie, dans une sorte de trou noir, où seul le sens de l’humour permet de survivre.
                          Ah oui, j’oubliais, cet article était sur le mensonge...C’est ce qui s’appelle faire des têtes à queue dans tous les sens. 



                        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 18:17

                          @velosolex
                           
                          Bon, ben, ça y est, de la pure logorhée.
                          On dirait que vous avez pété un fusible.
                          Allez bonne soirée, sans rancune.


                        • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 11 avril 2017 11:24

                          J’adore France Inter quand ils sont en grève, ils ont une super playlist musicale ^^


                          • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 11 avril 2017 13:46

                            @bouffon(s) du roi
                             
                            Oui, c’est certainement le côté le plus agréable de France Inter !


                          • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 12 avril 2017 03:06

                            Pour conclure, voici une petite merveille comparable au Décodex, le mesureur de bullshit :
                             
                            http://imgur.com/e1fqHBx
                             
                            Il montre bien que le niveau actuel est déjà limite ! smiley

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