Toujours les mêmes clichés intellectuels qui servent de pensée aux gauche. En France comme en Allemagne, les nouveaux pauvres, sont pour l’essentiel des mères célibataires.
40% d’entre elles tombent en dessous du seul de pauvreté. cela n’a que marginalement à voir avec des question sociales.
C’est le résultats d’évolution « sociétales ». Toutes les réformes sociétales féministes de gauche ont entraîné une plus grande liberté pour les hommes qui sont de moins en moins responsables de leurs compagnes et des leurs gosses éventuels.
Avec le biais féministes des organismes judiciaires et sociaux, les femmes gardent les gosses, pour le meilleur et aussi pour le pire : la pauvreté. Les mecs eux, refont leurs vies avec des plus jeunes en général.
Il n’est guère étonnant que ces gens accusent le « système capitaliste » du résultat de leurs propres turpitudes.
Cependant, le remède est prêt du mal. En important massivement de la main d« œuvre peu qualifiée, mais pas chère, les mêmes fournissent du petit personnel pour s’occuper des gosses et des vieillards, délaissés par des familles qui n’en sont plus. EN région parisienne les migrants travaillent majoritairement dans ce que l’on nomme pudiquement,, les » services à la personne« .
Cerise sur le gâteau, ces migrants abondent le nombre de nouveaux pauvres. et justifient le discours moralisateurs des socialos écolo macroniens, tout en justifiant leur racket sur les finances publiques
Aujourd’hui en effet, un travailleurs migrant récent qui s’en tire, sort de la pauvreté statistique, mais il suffit qu’il exerce son droit au regroupement familial, par exemple une femme et deux enfants, pour »créer« 4 pauvres. A l’inverse, le retour au pays dans la maison qu’il a fait construire, d’un migrant »ancien« , qui s’en est sortit, diminue le nombre de »riches« .
Bref, les »patrons" n’ont pas grand chose à voir dans tous cela.