• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Le Venezuela et ses pesanteurs : La réalité et le bashing médiatique (...)

Le Venezuela et ses pesanteurs : La réalité et le bashing médiatique occidental

« Delenda Venezuela est » , « Il faut détruire le Venezuela »

Phrase prononcée par Caton l'ancien à propos de Carthage : « Delenda Carthago est »

 

Il faut détruire le Venezuela ! Le cri de ralliement de l'opposition catalysée de l'extérieur. Il ne se passe pas de jour sans qu’on nous inonde d’une information non objective dont le but est de présenter le Venezuela sous un jour couleur de soufre. les médias occidentaux ne nous saturent d'informations concernant « le chaos au Venezuela ». Heureusement que les médias alternatifs permettent quelque peu de rétablir la vérité, encore que de mon point de vue il est indiqué de se méfier que le curseur du « tout est parfait au Venezuela » ne cache une réalité autrement moins rose. Les médias occidentaux présentent le Venezuela, comme synonyme de chaos et ce bashing a un nom la déstabilisation pour faire partie Madouro démocratiquement élu par le peuple et dont le mandat cours jusqu’en mi 2018

 La conjuration des médias main stream, le rôle trouble du journal Le Monde

« Dans cette lutte par médias, le journal Le Monde montre une fois de plus son alignement sans condition. Dès les premiers jours de l'insurrection de la droite vénézuélienne, Paulo Paranagua (du journal français Le Monde avait tenté de donner un visage démocratique aux « enfants de Pinochet ». Le 14 avril 2017, une interview complaisante nous campe Julio Borges, un des leaders de l'extrême droite, en sympathique combattant pour la liberté qui ne rêve que d'« élections libres » et, la main sur le coeur, jure ne pas vouloir de coup d'Etat. Un double mensonge pourtant facile à démonter. (...) Quant au serment de Julio Borges [ « opposant le plus farouche ndR] de ne pas vouloir de putsch, rappelons qu'il fut un des acteurs publics du coup d'État sanglant mené en avril 2002 contre le président Chavez, avec la complicité du Medef local et de militaires formés à la School of Americas. Un coup d'État déjoué en 48 heures par un soulèvement conjoint de la population et de militaires loyalistes. Dans les années qui ont suivi, WikiLeaks a révélé les liens de Borges et de son parti avec les États-Unis et le versement de millions de dollars à son parti à travers des ONG financées par les États-Unis au Venezuela. » (1)

« Mais la honte pour le « journaliste » du Monde est que ce mensonge a été démonté par Julio Borges lui-même, désarçonné le 19 mai par le célèbre journaliste et présentateur britannique Stephen Sackur, lors du programme non complaisant HardTalk de BBC World. Dans cette interview, Borges nie toute responsabilité dans la mort de plus de 60 personnes provoquée par les violentes manifestations que lui et son parti ont dirigées au Venezuela. Il admet ouvertement qu'il appelle les Forces armées à refuser d'obéir aux ordres de leur commandant en chef. Stephen Sackur nous apprend que le 5 mai Julio Borges a rencontré le vice-président Mike Pence et le conseiller de la Sécurité nationale, H.R. McMaster ; il leur a bien demandé une aide nord-américaine, et d'aller au-delà de sanctions individuelles. » (1)

Enfin, le journaliste Stephen Sackur rapporte ce qu'il a vu lui-même lors d’un séjour au Venezuela : « (...) j'ai été au Venezuela, comme vous devez le savoir, j'ai parlé avec toute sorte de gens dans différentes parties du pays, des gens de conditions économiques différentes, depuis les quartiers aisés où vous vivez, jusqu'aux quartiers les plus pauvres, où vivent les chavistes les plus loyaux et les plus radicaux. L'impression que j'ai eue c'est que beaucoup de gens en veulent à Maduro, mais qu'il existe encore un noyau central qui appuie le socialisme et la Révolution Bolivarienne, et il me semble que si vous parvenez à faire partir Maduro, vous courez le risque de déclencher un conflit, et même une guerre civile au Venezuela. Êtes-vous prêt à courir ce risque ? » (1)

Comme lu dans une contribution parue sur le site Le GrandSoir (LGS) d’abord le commentaire de l’article qui va suivre par le présentateur du site : « Laissons le temps au temps : 9 milliardaires fabriquent l'opinion chez nous [en France, ndlr], mais la vérité finit toujours par sortir du puits ».

Qu'en est-il exactement ? Hernando Calvo Ospina qui a séjourné au Venezuela témoigne : « (...) Lorsque j'ai annoncé à quelques personnes que je partais au Venezuela, j'ai immédiatement remarqué une espèce de panique dans les voix et sur les visages : « C'est la guerre là-bas », « il y a plein de morts », « il paraît que la police assassine... » Je suis arrivé un jour de semaine dans l'après-midi. Depuis l'aéroport jusqu'au centre de Caracas, en plus d'une heure, je n'ai vu aucune manifestation. Le lendemain et le surlendemain, j'ai parcouru, en voiture et à pied, plusieurs quartiers de la capitale : rien, pas une manifestation. Pourtant elles ont bien eu lieu. Mais si je ne les ai pas vues c'est parce qu'elles sont de taille réduite et qu'elles se déroulent dans des lieux bien précis. Principalement dans quelques quartiers de classe moyenne dont le maire est dans l'opposition. » (2)

 Replaçant la réalité des manifestations qui existent mais pas sous forme de raz de marée décrits par les opposants au pouvoir qui profitent du désordre pour se livrer à des actes de violence qui appellent naturellement une réponse des gardiens de l’ordre : « Les manifestations pacifiques de citoyens mécontents à l'égard du gouvernement sont autorisées. Elles rassemblent rarement plus de 500 personnes, mais la technique est de placer des caméras de sorte à pouvoir faire des prises spéciales pour montrer « une foule » qui n'existe pas. Ensuite, ces images sont lancées sur Internet pour prouver la « force » de l'opposition. C'est Mariana qui m'explique tout cela, car elle a vu faire dans son immeuble. Lorsque les manifestations prennent fin, des hommes encagoulés se livrent à des actes de violence ».

Hernando Calvo Ospina nous informe aussi que les manifestants ne sont pas des pauvres mal nourris et qui se battent pour leur survie mais ce sont des « casseurs » extrêmistes, voire racistes qui provoquent la police : « La plupart sont jeunes, ils ont la peau claire et ont l'air bien nourris. Ils portent des insignes fascistes et nazis. Leurs attaques les plus féroces contre la police et les bâtiments ont lieu lorsque la presse, surtout internationale, est à leurs côtés. Parfois il y a plus de journalistes que de casseurs. Sur Internet on trouve des exemples à gogo. Certains cagoulés transportent dans leurs casques des caméras qui retransmettent les scènes en direct sur Internet. (...) certains émeutiers ont même commis des crimes contre des innocents ou contre les manifestants eux-mêmes, que l'on attribue immédiatement à la police de la « dictature de Maduro ». (...) »

Le but ultime est le chaos conclut l’auteur qui rapporte que les « chavistes » bien que soumis plus que les autres aux austérités ne tombent pas dans le jeu : « Une jeune femme noire aux dents blanchissimes me disait il y a deux jours, tout en me préparant une galette de maïs au fromage : « Ils cherchent à nous pousser, nous les chavistes qui sommes des millions, à l'affrontement avec cette poignée de fous. Ils veulent emporter notre pétrole en marchant sur nos cendres. » (2)

Les pénuries au Venezuela : mythes et réalités

Quelle est la réalité économique ? C'est un fait que le Vénezuela qui a les premières ressources mondiales a été frappé de plain-pied par la chute des prix du pétrole. De mon point de vue habitant un pays qui connait les mêmes travers, n’a pas pu mettre en place une politique de production de richesse en dehors de la rente pétrolière labile. Du fait de la faible diversification, la politique était surtout sociale, De plus le Venezuela fait face à une opposition qui veut le changement en surfant sur le malaise social réel mais comme nous allons le rapporter ; catalyser par cette opposition qui met en œuvre les conditions de la pénurie

La contribution suivante donne un point de vue sur la réalité des pénuries et les manœuvres diaboliques pour créer des pénuries artificielles notamment en utilisant le levier de l’économie parallèle : « (...) Une part croissante des devises étrangères accordées par l'État pour l'import est en réalité directement placée à l'étranger. On parle notamment d'importations « fantômes ». Fausses factures, transfert d'argent liquide non déclaré aux douanes et autres combines plus ou moins élaborées ne manquent pas. C'est une véritable fuite de capitaux ! (...) Certains secteurs privés se livrent en effet à un véritable accaparement, c'est-à-dire qu'ils accumulent et stockent massivement des marchandises de même espèce en vue de provoquer leur raréfaction artificielle. D'ailleurs, les caractéristiques des biens pour lesquels on recense les principales pénuries ne trompent pas : les pénuries concernent principalement des biens et non des services. Biens facilement stockables et non périssables : denrées alimentaires (pâtes, lait en poudre, sucres,...), produits d'hygiène personnel, produits d'hygiène, etc. Pénuries recensées principalement dans le commerce de détail : un restaurateur se procurera plus facilement de la farine de blé qu'un consommateur final. Les biens accaparés par ces oligopoles et monopoles privés sont ensuite déversés sur des marchés parallèles : marché noir local. (...) » (4)

« Les causes réelles, poursuit le journaliste qui incriminent l’opposition, des pénuries recensées au Venezuela sont donc : des importations fantômes'' et un accaparement sélectif de biens de première nécessité. Les acteurs économiques qui se livrent à ce genre de pratiques frauduleuses (...) ce sont des intérêts principalement politiques qui sont poursuivis. (...) Cette déstabilisation socio-économique qui se traduit par une déstabilisation sociale, vise le monde du travail, coeur de l'électorat chaviste alors que les classes aisées sont épargnées (...) Toutes les composantes de l'opposition sont d'ailleurs mobilisées puisque les médias d'opposition tant locaux (majoritaires au Venezuela) qu'internationaux participent également à l'opération de déstabilisation en mettant en place de vastes campagnes médiatiques destinées à générer une psychose et une peur de manquer au sein de la population. » (3)

Thierry Deronne qui vit au Venezuela donne un témoignage de première main. Il nous décrit la topologie de la localisation des marches qui se déroulent dans les quartiers riches. Il affirme qu’ à côté de ce Venezuela décrit du feu et du sans , il y a les autres ceux qui travaillent normalement. lLui aussi avance que le Venezuela est victime d’une guerre économique orchestrée de l’extérieur mais mis en œuvre par l’opposition qui dispose de moyens financiers et de la couverture occidentale des médias. 

Il écrit : « Mettons-nous dans la peau d'un habitant de la planète qui n'aurait que les médias pour s'informer sur le Venezuela et à qui jour après jour, on parlerait de manifestants'' et de répression'' (...) Mais il n'y a pas de révolte populaire au Venezuela. Malgré la guerre économique la grande majorité de la population vaque à ses occupations, travaille, étudie, survit. C'est pourquoi la droite organise ses marches au départ des quartiers riches. C'est pourquoi elle recourt à la violence et au terrorisme, dont les foyers sont localisés dans les municipalités de droite. ll y a 90 pour cent de quartiers populaires au Venezuela. Depuis la disparition d'Hugo Chavez en 2013, le Venezuela est victime d'une guerre économique qui vise à priver la population des biens essentiels, principalement les aliments et les médicaments. La droite locale renoue avec certains éléments de la stratégie mise en place jadis au Chili par le tandem Nixon-Pinochet, en clair provoquer l'exaspération des secteurs populaires jusqu'au débordement de rage et légitimer la violence. (...) Malgré les mortiers, armes à feu, grenades ou cocktails Molotov utilisés par les manifestants « pacifiques » la loi interdit à la Police ou la Garde nationale d'user de leurs armes à feu. Les manifestants de droite en profitent pour pousser leur avantage, déverser leur racisme sur les gardes ou policiers, les provoquer à coups de jets d'urine, d'excréments et de tirs à balles réelles, guettant la réaction pour les caméras de CNN. » (4)

Enfi l’auteur tord le cou à deux mythes : « Le Venezuela est un « régime dictatorial ». Faux dit-il . Depuis 1999, le Venezuela bolivarien a organisé un nombre record de scrutins (25), reconnus comme transparents par les observateurs internationaux. Pour Jimmy Carter qui a observé 98 élections dans le monde, le Venezuela possède le meilleur système électoral du monde. « Il n'y a pas de liberté d'expression au Venezuela. » Faux ! dit il .Sur la plus de 1000 stations de radio et chaînes de télévision 67% sont privées (la grande majorité opposée à la Révolution bolivarienne), 28% sont aux mains des communautés, 5% sont propriété de l'État. Sur les 108 journaux qui existent, 97 sont privés et 11 publics. 67% de la population vénézuélienne a accès à Internet. » (4)

Dans le même ordre, le 5 mai 2017, de la maversation des journaux main stream qui ont perdu leur âme en jetant aux orties le serment de Pullitzer, nous retrouvons encore une fois le journal Le Monde qui dénonce « la mort d'un leader étudiant tué lors des protestations contre le projet du président Maduro de convoquer une Assemblée constituante ». Or la victime, Juan Bautista Lopez Manjarres est un jeune dirigeant étudiant révolutionnaire assassiné par un commando de droite alors qu'il participait a une réunion de soutien au processus d'Assemblée constituante. Le dernier tweet de Juan Bautista Lopez Manjarres : la conférence de presse où il annonçait le soutien du secteur étudiant au processus de l'Assemblée constituante. » (5)

Le Venezuela sera-t-il le prochain champ de bataille entre les Etats-Unis et la Russie ?

Pourquoi créer le chaos au Venezuela et ne pas laisser ce pays gérer ses problèmes lui-même, Pour rappel Nicolas Madouro a été élu légalement , il n’y a pas eu de contestation et son mandat ne se termine que dans un an . L'un des arguments mis en avant dans la politique américaine est que les 300 milliards de barils de pétrole ne soient pas pris par les Russes et les Chinois. La contribution suivante donne un éclairage : « Les Etats-Unis ont depuis longtemps les yeux rivés sur le Venezuela, (...) Mais l'évolution des circonstances au Venezuela pourrait bientôt pousser les Etats-Unis à répéter une pratique néfaste qu'ils ont réalisée ailleurs, le financement d'une guerre par procuration afin d'éviter que le pétrole vénézuélien ne tombe dans les mains des Russes et des Chinois. Les Etats-Unis ont déjà émis des sanctions distinctes contre le pays trois fois cette année, Le projet de loi, intitulé « Loi sur l'assistance humanitaire et la défense de la gouvernance démocratique au Venezuela » (S.1018), débloquerait 20 millions $ à l'opposition vénézuélienne, qui a déjà reçu environ 50 à 60 millions $ depuis l'élection de Chávez en 1998 ».

« De toute évidence, lit on dans cette contribution, la compagnie pétrolière appartenant à l'État du Venezuela Pdvsa est déjà au bord de l'effondrement. (...) Bien que la Russie et le Venezuela jouissent d'une alliance politique, la Russie a déjà pris des mesures en cas de dette impayée. En avril, une compagnie maritime d'Etat russe a retenu 30 millions $ sur le pétrole vénézuélien pour une dette impayée de Pdvsa. Rosneft intenterait probablement un procès en cas de défaut majeur. Si un tel événement devait se produire, cela signifierait que Rosneft prendrait le contrôle d'une partie importante de Pdvsa. Comme le dit clairement le texte de S.1018, Citgo, une filiale américaine de Pdvsa, « contrôle les infrastructures énergétiques essentielles dans 19 Etats aux Etats-Unis ». Il semble douteux que l'establishment états-unien reste les bras croisés pendant que la Russie entre en possession d'une participation dans la société de l'un de ses plus grands raffineurs de pétrole. » (6)

L’auteur conclut en écrivant que les Etats Unis ne permettront pas que les réserves vénézuéliennes lui échappent au profit de la Chine ou de la Russie « En outre, le Venezuela a souscrit plusieurs de ses prêts avec la Chine, un défaut de paiement du Venezuela signifierait que des quantités importantes de pétrole vénézuélien pourraient aussi passer dans les mains des Chinois. (...) A l'inverse, si l'opposition financée par des États-Unis au Venezuela prenait le contrôle suite à un défaut de l'administration actuelle, elle renierait probablement à la Russie et à la Chine les garanties promises sur le pétrole vénézuélien à la demande de leurs donateurs de longue date à Washington. Il est très peu probable que la Russie et la Chine renonceraient volontiers à des milliards de dollars de pétrole et de devises pour un régime fantoche des États-Unis. (...) Les Etats-Unis veulent-ils transformer volontairement le Venezuela en une autre Syrie juste pour éviter que son pétrole ne tombe entre les mains russes ? La taille et la valeur des réserves de pétrole du Venezuela sont telles que cela paraît probable. » (6).

Un autre point de vue qui me parait plus juste sur le rôle de la Russie est donnée par Oscar Fortin qui pense que la Russie ne va pas laisser tomber Maduro et met en garde contre toute tentative de déstabilisation : « Vladimir Poutine répète à qui veut l'entendre que le droit international doit être respecté et que les problèmes internes du Venezuela doivent être résolus par les Vénézuéliens et Vénézuéliennes. L'arrivée de Poutine au Venezuela va vite confronter les véritables intentions de ceux qui veulent aider le Venezuela à s'en sortir. (...) Pour ceux qui seraient tentés d'envahir militairement le Venezuela, mieux vaut qu'ils y pensent à deux reprises avant de passer à l'action. Les sept bases militaires des États-Unis en Colombie et la quatrième flotte navale dans le Pacifique Sud demeurent toujours une menace pour le Venezuela, mais l'arrivée d'armements modernes et sophistiqués devra être prise en considération. Espérons que les bonnes volontés, dépouillées de leurs ambitions de pouvoir et de domination, sauront trouver la voie de la paix. »

Conclusion

C'est un fait pour une grande part, le Venezuela fait face à une réelle déstabilisation pour mettre un pouvoir néo-libéral qui va détricoter les avancées de Chavez. Mais il ne faut pas occulter la malvie du fait à des pénuries peut être pas de la même ampleur que celles déclarées par l’opposition. Il fait face aussi à la pénurie climatique d’eau qui fait que les barrages n’arrivent pas à produire de l’électricité en quantité suffisante La même sociale -certes plus juste- mais qui ne crée pas de richesse. Faire des logements, améliorer le système de santé, donner des subventions tous azimuts est possible avec un baril à plus de 100 dollars. Ce n'est plus possible quand le prix du baril est de 50 dollars.

Il eut fallu en période de farniente penser aux années de vaches maigres après l’utopie chaviste et avoir la présence d’esprit de ne pas se laisser piéger Il eut fallu investir dans les énergies renouvelables quand le pétrole était au plus haut pour en utilisant l’argent de la rente pour créer de la valeur de l’emploi en un mot de la richesse Nous en parlons en Algérie comme le Venezuela depuis 30 ans. Seule une transition vers le développement humain durable permettra de ramener la sérénité dans ce pays.

http://reseauinternational.net/le-monde-lache-par-la-bbc-la-droite-venezuelienne-revele-son-objectif-dun-coup-detat/#9R5Qf7VCZTfd3Pmx.99

2. https://www.legrandsoir.info/venezuela-qui-sont-les-violents.html

3. http://www.mondialisation.ca/les-penuries-au-venezuela-mythes-et-realite/5592488

4.Thierry Deronne, https://venezuelainfos.wordpress.com/2015/08/04/venezuela-la-presse-francaise-lachee-par-sa-source/.

5. https://venezuelainfos.wordpress.com/2017/05/20/comment-le-monde-invente-la-repression-au-venezuela/

6. http://www.mintpressnews.com/will-venezuela-be-the-battleground-in-the-next-u-s-russia-proxy-war/228083/

7.Oscar Fortin Le 19 mai, 2017 http://humanisme.blogspoot.com

Article de référence :

http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_chitour/268149-la-realite-et-le-bashing-mediatique-occidental.html

Professeur Chems Eddine Chitour

Ecole Polytechnique Alger

 


Moyenne des avis sur cet article :  4.07/5   (15 votes)




Réagissez à l'article

36 réactions à cet article    


  • antiireac 2 juin 2017 11:01

    Deux mois de manifestations de la population contre le gouvernement Maduro et 59 morts plus tard. Il serait vraiment temps que celui ci cède enfin la place à un gouvernement plus responsable et respectueux des valeurs humaines.


    • Alren Alren 2 juin 2017 12:54

      @antiireac

      antiireac ? Super réac, oui !

      Pourquoi les « deux mois de manifestation » n’ont-ils pas réussi à éjecter Maduro pour le remplacer par un gouvernement bien corrompu, supprimant tous les progrès sociaux comme cela a été le cas au Brésil avec le renversement de Dilma Roussef par un sinistre pourri que les Brésiliens veulent chasser aujourd’hui ?

      Parce que les « manifestants », des casseurs le plus souvent mercenaires, luttent violemment les très riches, d’ascendance espagnole « blanche pure », une très petite minorité et que les militaires, les policiers, gradés et soldats, qui veulent les respects de la Constitution et de la loi ne les soutiennent pas.

      C’est ça d’ailleurs la grande mutation dans les pays d’Amérique latine : les militaires ne sont plus putchistes comme ils l’étaient au temps de Pinochet ou Videla, les tortionnaires de leurs peuples.

      Pour obtenir le départ de Maduro, l’oligarchie ultra-réactionnaire devra passer par les urnes et convaincre le peuple de voter pour elle et ses projets de casse sociale.

      Ce n’est pas gagné d’avance, même si en France, on a vu des gens ordinaires voter Macron au premier tour ...


    • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 16:27

      @Alren

      Parceque Maduro envoie l’armée et que la Justice brésilienne s’est occupé de la présidente ? C’est incroyable d’être con au point de pas comprendre des choses aussi simple, pourtant rien n’est caché, pourquoi s’inventer des histoires débiles comme ça ?


    • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 16:30

      @Alren

      Ah et la défaite de Maduro aux élections si c’est plus que gagné d’avance, même les plus caviste n’y crois plus..


    • taktak 2 juin 2017 17:49

      @Lugsama

      La réalité est tout à fait inverse :
      l’armée vénézuelienne est dans ses casernes. C’est la gendarmerie qui maintient l’ordre. Comme en France
      maduro a été élu légalement et démocratiquement président
      Temer n’a pas été élu et a pris le pouvoir par un coup d’état parlementaire
      Temer lui a pris un decret ordonnant à l’armée de réprimer les manifestations à Brazilia. Il y a eu des morts à Brazilia mais également dans la répression des paysans sans terre (plus d’une dizaine rien que la semaine dernière)

      Bref, Lugsama vos mensonges et votre propagande ne trompent que vous.


    • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 19:09

      @taktak

      Un « coup d’état parlementaire », écoutez parlez à des débiles ça va deux minutes.. je ne défend pas Temer mais les mots ont un sens, il est là selon la constitution donc que ça vous plaise ou pas ce n’est pas un coup d’état, il est arrivé légitiment.


    • Laurent 47 2 juin 2017 19:34

      @taktak
      Tout-à-fait d’accord avec vous ! Pour qui a suivi l’affaire Dilma Roussef depuis le début, rien n’a pu être prouvé sur les malversations qui lui ont été reprochées !
      Temer a effectivement pris le pouvoir par un coup d’état parlementaire, alors qu’il est lui-même englué jusqu’au coup dans l’affaire Petrobras ( corruption, pots de vin, trafic d’influence, etc ).
      Et ça commence tellement à faire tache qu’une procédure est actuellement engagée pour sa destitution !
      Apparemment, beaucoup de personnes ignorent que le Brésil est le pays de la corruption à tous les niveaux, et que Dilma Roussef a été éjectée justement parce qu’elle voulait y mettre bon ordre !


    • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 19:54

      @Laurent 47

      La corruption au Brésil reste bien mignone comparé a l’administration vénézuélienne. Et un « coup d’Etat parlementaire » on dirait un discours sorti d’un bistrot de Coluche..

    • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 12:28

      En réalité les médias français parlent assez peu de ce qu’ils se passent au Vénézuela et cela minimise la perception du chaos qui s’y déroule. Le pouvoir chaviste était à deux doigts de basculer définitivement dans la dictature militaire, heureusement Maduro étant d’un charisme qui n’à d’égale que sa nullité et sa grossièreté phénoménal, il n’est pas suivit par l’ensemble des militaires et du gouvernement qui se fissure face à une répression devenu sanglante.

      Il a donc du reculer et il semblerait que nombreux tentent de sauver leurs peaux pour l’après, sa réélection étant impossible si le processus démocratique se poursuit. Et son procès pour haute trahison étant politiquement inévitable.

      Actuellement l’opposition démocratique fait tourner la vidéo ou Chavez lui-même explique le fonctionnement de la constitution et qui clairement interdit à Maduro son projet de constituante sans le parlement, et donc l’opposition.

      Les médias ibérique sont beaucoup plus précis, proximité culturelle oblige.


      • Alren Alren 2 juin 2017 13:03

        @Lugsama

        « Les médias ibériques sont beaucoup plus précis, proximité culturelle oblige. »

        Bien sûr ! En Espagne les médias sont parfaitement neutres et ne sont pas soumis aux diktats de l’oligarchie ! Tout comme en France d’ailleurs !


      • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 16:24

        @Alren

        De toutes façon a part les neuneus complotistes qui va défendre Maduro ? Certainement pas les journaux sérieux.

        Personnellement je vis avec une famille du Vénézuela, je peux confirmer que les médias ibériques sous estime le drame, après quand on est assez con pour gober les messages des membres du PCRF et compagnies... j’y peux rien.


      • taktak 2 juin 2017 17:55

        @Lugsama
        Pour la parfaite information des lecteurs d’Agoravox
        Lugsama est un charmant démocrate qui il y a quelques jours appelait à envoyer l’armée contre les chauffeurs de camions citerne en grève.
        Les cons ça osent tout c’est même à ça qu’on les reconnait

        je crois que tout est dit.

        Il y a fait intangibles qui emmerde les riches, et lugsama, Maduro a été élu démocratiquement. Comme Chavez. par le peuple, par les travailleurs. mettant fin à des décennies de dictature impitoyables de leurs castes, et les empéchant de continuer à mettre totalement la main sur la manne pétrolière. Et c’est cela et uniquement cela qu’ils reprochent à Maduro.
        Faut il rappeler que les chefs de l’opposition d’ultra droite au venezuela ont tenté en 2002 un putch militaire contre Chavez ? et qu’ils tentent depuis de rééditer ce coup de force ?
        Pour le reste, les escadrons de la mort et les violations des droits de l’Homme, ils les ont soutennues et les soutiennent dans toute l’amérique latine et dans le monde. De Pinochet à Videla, de Soeharto à Batista...


      • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 19:04

        @taktak

        C’est un mensonge digne de votre idéologie mortifiere, je n’ai jamais appelé à envoyer l’armée contre les chauffeurs mais réquisitionner les raffineries comme l’avait annoncé l’horrible dictateur Jospin.

        Oui je suis un démocrate et proche du Vénézuela donc les mensonges des petit révolutionnaires de salon comme vous je les dénonce.

        Ce n’est pas « la droite » mais LE PEUPLE et TOUS les partis sauf un qui manifeste et qui se fait tiré dessus.

        Maduro à été élu démocratiquement mais le parlement aussi et bien plus largement, et il ne respecte pas son autorité, donc niveau démocratie..

        Les sondages donnent des valeurs de l’ordre de 70% des Venezueliens pour un départ IMMEDIAT de Maduro.

        Et si l’armé est bien dans la rue comme le prouve les milliers de vidéo des manifestations..

        Au passage ducon la joie la gendarmerie c’est un corp d’armée..

        De toute façon Maduro est haï et complément grillé, sa seul possibilité pour ne pas finir en prison serait un coup d’état qu’il a déjà raté une fois, certainement parce que c’est un grand démocrate..


      • antiireac 2 juin 2017 20:01

        @taktak
        Les manifestants vénézuéliens tout aussi démocratiquement manifestent pour le départ du dictateur (désormais) maduro.


      • hellpast hellpast 3 juin 2017 08:51

        @Lugsama


        Tu devrais te documenter sur l’histoire de l’Amérique Latine et de tous les coups d’états orchestrés par les états unis via la CIA Des coups d’états sur tous les continents, en Afrique en Iran, au Vietnam, au Laos, au Cambodge bref. Assassinat de chefs d’états qui voulaient s’émanciper de la tutelle étasunienne. Comme Mossadeg en Iran qui voulait garder le pétrole pour son peuple.
        Alors arrêtes de dire n’importe quoi sur le Vénuezela car c’est toi le neuneu naïf. 

      • Lugsama Lugsama 5 juin 2017 18:30

        @hellpast

        Tu connais quoi de la réalité du Vénézuéla ? Rien.
        Moi je vit tous les jours avec des vénézuéliens, je les voient pleurer de devoir fuir leur pays à cause du régime chaviste. Alors les ducon la joie qui défendent Maduro planqué derrière leur PC..

        Continuez à croire et vos connerie et allez voter Melenchon et ses futur 12%... les chiens aboient, la caravane passe.

      • Laurent 47 2 juin 2017 19:21

        J’aimerais bien savoir ( en fait, je le sais déjà ), qui a organisé savamment la pénurie alimentaire, en stoppant les importations de denrées de première nécessité et en refusant de livrer les magasins et les supermarchés, ce qui a poussé les vénézuéliens dans la rue !
        La proximité du Venezuela et des Etats-Unis, agit comme du miel pour un ours sur les cowboys américains, dont les réserves pétrolières et gazières se réduisent comme peau de chagrin !
        Alors, Nicolas Maduro est un infâme dictateur ( un peu comme Saddam Hussein ou Mouammar Khaddafi ), et le régime doit changer pour apporter la liberté au peuple !
        Tant que le gaz ou le pétrole du Venezuela ne sera pas sous contrôle américain, ce pays sera considéré comme une dictature ( le bla bla habituel de Washington ).
        Maintenant, le Venezuela aurait dû savoir depuis longtemps que l’indépendance d’un pays ne peut pas reposer sur une seule source de revenus, et que l’agriculture, ça existe aussi !


        • Lugsama Lugsama 2 juin 2017 19:52

          @Laurent 47

          Discours déjà entendu 1000 fois et sans aucunes crédibilités. Déjà les USA sont riches en pétrole, ils sont devenu le premier producteur mondial ces dernières années. Leurs réserves sont gigantesque et pour leur nuire les pays arabes n’ont rien trouvé de mieux que d’exploser la production pour rendre le pétrole bon marché et donc moins interessant à produire.. politiques de terres brulés qui risque de leur couter très cher prochainement.

          Le Vénézuéla est riche en tout naturelement, ce pays est béni des dieux. Le responsable des pénuries c’est le régime collectivistes de type de communiste qui à ruiné ce pays comme TOUS les pays ou ils sont passer.

          En bon populiste ils ont distribuer l’argent du pétrole au lieu de l’investir, faut dire ça rapporte au méchant patron, ils ont fixé les prix des biens de consommations.. maintenant que ce pays connait des chiffres d’inflation de l’ordre de 2 000% plus aucuns commerçant n’importe rien vu que personne n’a les moyens de se lácheter. Quand un coca coute 2 semaine de salaire... Et comme les chavistes n’ont même plus le moyens de payer les fonctionnaires..

          Bref ce gouvernement est un écheque intégral, lamentable et pathétique. Et comble du pathétique il est tenté par la dictature et la paranoïa.. heureusement internet est la pour informer le peuple avec de vrai média, au Vénézuéla le parti chaviste a pris le contrôle des TV et journeaux

          Tous ce qu’il reste à ces idiots looser c’est d’inventer des complots et des les poster indéfiniment sur Internet pour essayer attraper quelques gogos. Mais la fin est proche.

        • antiireac 2 juin 2017 20:51

          @Lugsama
          On peut en effet que souhaiter la fin de dictature maduro pour redonner l’espoir au peuple vénézuélien.


        • bubu123 5 juin 2017 10:07

          @Lugsama

          oui oui ils sont tellement riches en pétrole qu’ils n’ont pas besoin d’aller faire la guerre partout dans les pays ou justement ya du petrole...
          vous êtes naïf ou juste complétement neuneu ?


        • Lugsama Lugsama 5 juin 2017 18:21

          @bubu123

          Ils n’ont PLUS besoin de faire la guerre pour du pétrole. Faut vivre avec son temps.. et être réaliste, il est évident qu’un pays puissant comme les USA préferont faire la guerre que se laissez mourrir, le monde de oui oui c’est de la literature..

        • baleti baleti 2 juin 2017 21:31

          le chavisme, ne peu être remplacer que par une forme de petinisme 


          Les riquains affame le peuple vénézuélien, pour faire un coup d’état « populaire », mais pour le moment sa ne marche pas.

          Les prévision d’une guerre civil, qui pourrai embraser une bonne partie de l’Amérique du sud, voila se qui empêche d’assassiner maduro et faire un coup d’état «  »traditionnelle«  »


          • antiireac 2 juin 2017 21:58

            @baleti
            Voilà un joli ramassis des tirades façon coco des années noires de l’union soviétiques 

            T’as pas hontes de sortir des conneries pareilles ?

          • baleti baleti 3 juin 2017 03:13

            @antiireac



            «  »T’as pas hontes de sortir des conneries pareilles ?«  »

            C’est une question que tu devrais te poser.

            Il y a pas besoin d’être un coco, pour voir les chose tel quelle sont
            Ton acharnement a imposer tes idées en dit long

            T’en veux une meilleur
            Chavez a été assassiner
            Fait le rapprochement, avec l’expulsion de l’ambassadeur et la diplomatie israélienne de sont pays, ainsi que les méthode d’assassinat en douce, du mossad.
            Et la je devrais avoir honte d’être un complotiste ?

            La bourgeoisie vénézuélienne,va porter la kipa
            Jamais les vénézuélien, n’on consommer autant de coke, que ces derniers année, tu ne trouve pas qu’il y a des incohérence avec la situation économique que l’on nous décrie ?

            La connerie capitaliste est a l’agonie, se sont les gens comme toi qui la maintienne sous perfusion.

          • antiireac 3 juin 2017 13:16

            @baleti
            Le capitalisme se porte comme un charme et il est adopté par les pays du monde entier même à Cuba et oui et même en Corée du Nord et oui et oui .Le communisme qui était sensé le remplacer s’est écroulé mais le capitalisme est là et pour longtemps encore.


          • baleti baleti 3 juin 2017 21:36

            @antiireac


            Le capitalisme, n’est pas adopter, mais imposer
            Le capitalisme, c’est la jungle, des animaux sans âme .

            C’est seulement ta position dans la société qui dicte tes convictions
            C’est penser et défendre seulement ses acquis, qui est loin d’être honorable, mais bon l’honneur et le capital, n’on jamais fait bon ménage.

            Si on pouvais mesurer la qualité, et la quantité de militantisme, on s’apercevrais ou est le vrai potentiel.

            Le capitaliste, est un animal, sans amie et famille,son seul but, et de faire tous tourner autour de son nombril, avec comme seul outil, le mensonge et hypocrisie.

            Le capital, prête et empreinte de l’argent qu’il n’ont pas, leur richesse est seulement dans le travail des gens.
            Sa ne va pas durée indéfiniment, leur endettement a des limites, j’attend avec impatience l’atterrissage de cette chute.
            L’ouvrier a juste a comprendre qu’il ne doit pas emprunter, il ne dois pas croire qu’il peu vivre au dessus de ses moyens, pour déstabiliser définitivement le capital, qui survie de l’endettement des masses salarial.

          • baleti baleti 3 juin 2017 21:41

            @antiireac


            Les termes communisme, socialisme, démocratie, laïcité, islamisme, antisémitisme, ect... sont utiliser par le capitalisme, pour berner le travailleur.
            C’est par ses termes, que l’on fait voter un ouvrier, a « droite »
            Aucun se ses termes n’est appliquer dans sa définition originel.

          • antiireac 3 juin 2017 22:40

            @baleti
            Le capitalisme nous le vivons c’est lui pour instant qui fait tourner le monde, toutes les théories anti capitaliste ont lamentablement échoué.Par contre l’application des principes de capitalisme ont fantastiquement réussi.Les pays le plus évolués ont tous réussi grâce au capitalisme voilà la vérité simple.


          • baleti baleti 4 juin 2017 01:48

            @antiireac


            C’est sur la définition de «  »réussite«  », que l’on ne s’entendra pas.

            Une société baser sur l’égoïsme, se vie que dans l’hypocrisie
            Drôle de vie 
            Le cochon se plaie a patauger dans sa merde ?

          • Lugsama Lugsama 5 juin 2017 18:16

            @baleti

            Chavez est mort d’un cancer, lui l’attribuait aux américains, comme disent les jeunes : LOL

          • Lugsama Lugsama 5 juin 2017 18:19

            @baleti

            La prospérité économique, social et technologique. Si ça vous plait pas on s’en moque de votre avis bloquer au 19e siècle.. vous aurez le capitalisme jusque dans votre tombe et tant mieux :)

          • baleti baleti 6 juin 2017 02:59

            @Lugsama


            La prospérité, sans égalité, est une mauvaise plaisanterie pour les naïfs

            Se moquer de tous et de tous le monde, c’est la marque de fabrique du capitalisme
            On ne peu t’en vouloir, tu est conditionner 

            Dans quelque année, on n’aura même plus droit a une tombe,on sera recyclé, pour entretenir le capital.

          • Garibaldi2 3 juin 2017 08:14

            J’ai toujours trouvé extrêmement étonnant la totale absence d’un grand reportage de fond sur la situation au Venezuela à la télévisions française, où les JT se contentent d’annoncer le nombre de morts, bien entendu tous victimes du pouvoir, y compris les 11 pillards électrocutés dans un magasin qu’ils mettaient à sac !

            Entre les erreurs économiques du pouvoir, le sabotage économique des grands bourgeois locaux

            https://www.monde-diplomatique.fr/2016/12/LAMBERT/56923

            et les agissements en coulisse de quelques assassins économiques

            https://www.youtube.com/watch?v=3wszOnyMr1M

            je ne doute pas que le petit peuple vénézuélien va trinquer un max.


            • UKIP 5 juin 2017 13:18

              Bonjour,


              Si j’en crois ce que je lis entre les lignes depuis des années, le parti de Chavez puis de Maduro est :

              - « Très socialistes », genre il établit des tarif réglementé sur les produit de base, achète des logement.
              - « Souvrainiste, nationaliste... », il nationalise les entreprise étrangères avec de faibles compensation, il ferme ses frontières au libre échange, favorise le marché intérieur.
              - « Anti-financier », il se finance avec une banque nationale, refuse les dettes antérieurs, dénonce le FMI.
              - « Anti impérialiste, anti occidental », il est complètement paranoïaque et complotiste. D’expérience.
              - « Dictature de la majorité » Il maintient un ordre stricte face a une opposition plutôt violente. 
              - « Populiste », il fait voter le peuple a tout bout de champ.

              Du coup moi ça me semble pas trop dégueulasse comme pays. Viva Chavez

              ++

              • Lugsama Lugsama 5 juin 2017 18:15

                @UKIP

                « Dictature de la majorité » La majorité est dans la rue.. vous ne semblez pas trop apprécié les démocraties, allez donc crevez de faim en Corée du Nord ça nous fera des vacances, ils remplissent tous vos critères de neuneus.


              • UKIP2 6 juin 2017 04:52

                Heuuu,


                Déja c’est pas chez moi mon avis est non contraignant.

                Ce que j’appelle dictature de la majorité, c’est une démocratie ou le gouvernement élu n’a pas a tenir compte (dans la limite de l’ordre public) du non consentement de l’opposition, des électeurs de l’opposition.

                Je ne juge pas, je dit que c’est potable. J’ajoute par ce que tu m’a l’air d’avoir besoin d’un bon coup de bâton qu’avec une meilleure qualité de troupes anti-émeute, ils ferais du zéro mort et du mille prisonnier comme en Angleterre ou en France.

                Et toi tu m’envoie au goulag ? Mais détend toi tu m’a même pas interrogé !

                ++

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité