• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

jo

27 ans, étudiant en plein de chose, génie civil, mécanique, géographie, tourisme, écotourisme, catastrophes naturelles, tout ça dans l’ordre mais sans les titres qui ne servent qu’à homogénéifier et classifier les relations sociales. Actuellement scénariste et réalisateur en devenir. Pour le reste mes réactions parleront d’elles mêmes, alors que dire de plus sinon quand les nains sont maîtres du château, tétonnes pas s’il pleut de la merde. Ou bien sucer de l’andouille c’est pas comme les couilles, le reviens-y c’est malpoli. Prends ta bite à deux mains, si tu le peux, ça ne te fera que du bien, en te branlant un peu. Fin des conneries, tchuss et bonne bourre.

 

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 14 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • jo 13 décembre 2007 07:29

    Il est tard et je vais essayer de donner mon avis malgré les brumes alcoolisées qui envahissent mon esprit. Je n’appartiens pas à la cohorte de gens qui travaillent plus pour gagner plus. J’ai travaillé dans des endroits infects et pris sens du mot travail. On échange une capacité physique ou intellectuel contre une rémunération. Un travail de pute en somme. Sauf que les putes ont la décence de préciser pourquoi elles sont payer. Un travailleur trouvera toujours les arguments pour justifier la vente de sa capacité à agir et réfléchir contre une rétribution.

    Pourtant travailler plus pour gagner plus est l’utopie la plus risible et la plus impopulaire qu’il puisse exister. Comment exiger d’une population qu’elle passe plus de temps à commettre une activité qui ne lui sert personnellement à rien et qui enrichit des personnes qui ne se soucient pas de leur sort, plutôt que de passer ce temps en activité attrayante et distrayante. La Culture avec un grand C est distrayante et compréhensible par la majorité de la population, si l’on se donne la peine de le vouloir.

    Le souhait de la plupart des gens est de gagner au loto pour n’avoir plus rien à faire de leur vie. Prétendre qu’ils veulent travailler plus est une hypocrisie.

    Depuis l’ère industriellle, les hommes travaillent de moins en moins, et auparavant ils ne cherchaient qu’à travailler moins pour ceux qui travaillaient, grace aux progrès technique, la donne n’a pas changer, comme celles des donneurs d’ordres qui par contre eux continuent à rêver d’un monde travaillant de plus en plus. L’évolution nous montre que nous allons de moins en moins travailler, cela ne signifie pas que nos activités vont sombrer dans le néant.

    Nous serons toujours en activités, mais des activités de notre propre volonté et non pour gagner notre subsistance. La robotisation rendra de nombreuses activités humaines superficiels, alors le travail ne pourra plus être pris en compte comme la seule activité créatrice de revenue. Cette notion ne pourra se répandre qu’une fois la notion de travail rejetée, et la notion d’apprendre, de soif de connaissance sera enfin prise en compte.



  • jo 13 décembre 2007 06:17

    Le secret de la presse est la pierre angulaire de la liberté de la presse selon la cour européenne des droits de l’homme, donc toute atteinte à ce principe constitue une violation du droit pour paragrapher le canard enchaîné.

    c’est quoi cet article qui condamne un journaliste qui fait part d’une information au « grand public ». Nous vivons en démocratie, en tout cas il paraît, alors quand un journaliste révèle des informations classifiés secrets défenses, nous devrions nous réjouir de son travaild’investigation. De plus les informations ne viennent que confirmer ce que beaucoup savait ou présumait déjà. Quel est alors le problème, qu’un journaliste ait eu accès à des documents classifiés, nous devrions nous engorneuillir plutôt que de l’accabler. Si un journaliste ne doit rendre compte que du message officiel pour ne pas froisser ces opinions alors qu’il se proclame ouvertement porte-parole du gouvernement. Sinon la déontologie, O mot affreux actuellement, lui demande de suivre son opinion propre, la seule chose à savoir est quel est cette opinion. Dans ce cas nous pouvons lire un article pour ce qu’il est et non pour ce qu’il prétend être. Toute volonté d’impartialité est une insulte à l’intelligence, de la nature même de l’être humain nous prenons position par notre manière de considérer les évènements. Donc l’article de Dasquié tente de montrer son opinion après avoir analyser les informations qu’il a eu entre les mains. L’article présent ci-dessus est une fourberie d’intellectualisme, au nom de la défense nationale tout devrait être passé sous silence, alors qu’aucun nom d’agent n’est cités dans les articles de l’auteur. Qu’a t’il donc fait pour s’attirer autant de haine ? Les services secrets français sont plutôt mis en valeur, compréhension, estimation des réels enjeux en cours, ils n’ont fait que leur travail.

    La haine sous-jacente de l’article est incompréhensible, tout un article sur une prestation télévisé avec analyse de détail significatif, mais nous avons affaire à un être humain tout d’abord, et surtout à un journaliste de presse, c’est à dire habitué à rédigé des articles seul, ayant comme pression un rédacteur en chef qu’il connait plus ou moins en accord avec lui. Mais analysé sa prestation télévisé, sans relevé que c’est une personne non habitué à ce genre d’exercice est une forme de mesquinerie des plus détestables, alors que dire de relever des détails sur son accoutrement ou sa posture face à la caméra, si ce n’est que de l’acharchenement.

    Une indépendance de la presse ne peut être que souligné et encouragé, mais jamais conspué. En voilà de la vérité vraie



  • jo 8 décembre 2007 16:25

    Le véritable problème soulevé dans l’article du canard est que des joueurs aient été hués selon leur supposé conviction religieuse.

    Que l’on siffle la marseillaise, et alors ! Ce n’est qu’une chanson militaire appelant au massacre de tous les étrangers. Ce n’est pas parce qu’un jour quelqu’un a décidé qu’elle devait représenter la france qu’on est obligé de l’apprécier. « la marseillaise, même en reggae ça m’a toujours fait dégueuler » comme disait Renaud à une certaine époque. Les symboles en vérité ne représentent rien et il est incroyable que l’on puisse tolérer des lois qui empêchent de critiquer des symboles nationaux. C’est exactement le même cas de figure que les blasphème religieux. Seul la remise en cause permanente de nos référence, de nos connaissances, bref de notre univers personnel permet d’évoluer, s’arcquebouter sur des valeurs considérés comme sacré et immuable sont la sourcve de toute forme d’obscurantisme et signe d’une profonde connerie. Qu’il siffle la marseillaise peut importe, c’est une manière d’exprimer une antipathie à l’égard de la france , voire une contestation qui peut être légitime. Nous ne connaissons pas les vies de ces personnes. Même s’il y des chances que nous soyons plus face à des comportements xénophobes qui sont surtout le résultat d’une ignorance et une bêtise crasse imputable qu’en partie à ces personnes. D’autres facteurs rentrent aussi en jeu.

    Je vais revenir sur un point, plus précisément sur un mot que l’on retrouve régulièrement sur ce type de sujet, c’est le mot racisme. racisme : théorie de la hiéarchie des races, qui conclut à la nécessiter de préserver la race dite supérieur de tout croisement, et à son droit de dominer les autres. Définition trouvé dans le petit robert. Comme on peut le constater dans cette définition pour qu’il y ait racisme il faut au moins deux races. Hors les êtres humains ne sont aujourd’hui constitués que d’une seule et unique race, les hommes de néanderthal se sont éteints il y a bien longtemps. Donc parler de racisme pour qualifier des comportements haineux est totalement vide de sens.Utilisé ce terme c’est accrédité ces théories dégueulasses dignes d’un obscurantisme le plus abject. Le mot à employer est xénophobie.

    Par contre que la religion s’immisce de cette manière dans des stades est flippantes. Les stades ont été créés pour réunir en un même lieu des personnes de tous horizons ayant comme point commun de prendre plaisir à assister à un jeu. Et le football n’est qu’un jeu quoi qu’on puisse essayer de nous faire croire par sa surmédiatisation, les sommes investies, les récupérations politiques. C’est un jeu comme le monopoly, qui peut permettre de se détendre et de s’amuser. Mais ce n’est pas le sujet de mon propos. La religion fait du forcing et interfère de plus en plus hors de la sphère privée. Le Maroc n’a pas les même lois que la france, peut être, mais rien n’empêche de les critiquer. On critique bien la birmanie, l’autre pays des merveilles. Que le ministre sensé être l’émanation du peuple, ils savent le rappeller, ne dise rien, n’entende rien prouve sa totale incompétence. Pourtant on sait qu’il a une langue, peut être qu’elle est trop souvent coincé dans les fesses de son patron, car pour vendre de la barbaque céllophané il savait l’utilisé.La seule mesure à prendre serait de le virer ou qu’il donne sa démission. En tout cas en démocratie c’est ce qu’il se passerait. Mais il est vrai que le monarque local a failli nous acheter des rafales, ça relativise la vision des choses.



  • jo 7 décembre 2007 16:54

    Juste un petit mot à icks pey, sur les facs, Où sont les facs gratuites en France, il faut payer pour s’inscrire en fac. Et si certaines ressemblent à Beyrut, d’avant ou après la guerre civile, cela provient surtout de la vieillesse du matériel usé jusqu’à la corde.

    A propos du sujet de l’article, les journaux gratuits cités ne vivent que de la pub, c’est leur définition. Comment dans ce cas en attendre une quelconque once de qualité, ils sont pieds et poings liés à leur annonceurs. Ce n’est pas la gratuité le problème, mais leur financement. De théorisé avec des exemples tirés par les cheveux que si c’est gratuit c’est de la merde, il faut quand même y aller. Je ne connais pas le contexte dans lequel Patrick besson à sortie la saillie écrite dans l’article,mais la phrase prouve une totale non réflexion.

    De très nombreuses choses autour de nous sont gratuites, dans notre société marchande elle ne nous apparaissent peut-être pas tout de suite, mais, ça va sembler con à certains, la vie est gratuite, l’air que nous respirons, le climat qui permet de faire pousser des biotopes qu’on exploite pour se nourrir. Notre pensée même est gratuite, la même qui permet de dire des conneries énormes. Les services gratuits sont un des rares moyens existants à l’heure actuelles permettant à tout un chacun d’en profiter. Une option de liberté, mot trop souvent employé et si peu appliqué. Cette liberté d’utilisation d’un service du à sa gratuité a une conséquence : il y aura des abus. Mais si l’accès est libre comment peut-on décider qu’à partir d’un certain nombre d’utilisation d’un service, ce n’est plus raisonnable. On nage en pleine contradiction. Peut être que l’être humain aime la gratuité pour sa pomme et non pour celle du voisin. Mais je m’éloigne du sujet.

    Donc la gratuité est loin d’être une plaie sociétale, mais en la faisant passer pour telle, on accrédite la thèse qu’une société n’est évolué qu’avec une forte marchandisation de celle-ci, que la prospérité des échanges financiers seraient l’ultime indice de développement des sociétés humaines.


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv