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Aela

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  • Aela 9 avril 2008 16:19

    Bravo !

    J’approuve. Il y a une différence entre ceux qui sont sur le front économique à tenter de faire au mieux et ceux qui nous tirent dans le dos.



  • Aela 9 avril 2008 12:54

    @ Aube :

    Merci d’être intervenue. Ce n’est pas la première fois. On avait déjà effacé mes interventions sur les blogs de Charvet. Il devrait peut-être se demander pourquoi le Centre a déjà perdu autant de ses adhérants ? L’un de leurs transfuges s’est exprimé il y aquelques jours dans un blog de Marianne2.fr. Il avait démissionné du MODEM pour venir au PS. Il se se plaignait justement de cela : une direction qui écrase le droit d’expression, le droit à la différence de ses militants. Malheureusement je n’avais pas fait de copie de mon message de ce matin. Je vais donc essayer d’en redonner le sens, de seule mémoire.

    Ce qui nous unit à gauche, c’est un sentiment de révolte face aux inégalités, face à l’exploitation d’humains par d’autres humains et d’une manière plus générale un égoïsme qui s’illustre bien par le profit boursier sans le moindre égard autre que soi-même, aux détriments de tout le reste. J’avais écrit, qu’à partir de là, il y a eu deux évolutions distinctes de la gauche. La première est celle du refus de total de cette réalité et d’un combat de type révolutionnaire, comme celui des communistes ou de l’extrême gauche du PS.

    L’autre, est celui de se dire que nous ne pouvons pas refuser que la réalité existe et que cette réalité soit déjà celle d’un libéralisme mondial. La réalité, que nous évoluions déjà dans cette arène-là et que nous n’ayons pas les moyens de la changer globalement. J’avais écrit, que l’on devait dès lors tenter de concrétiser nos valeurs d’équité, de justice sociale, de fraternité et d’égards pour tous les autres, en empoignant les problèmes tels qu’il se présentent dans cette réalité libérale. Cela implique un dépassement de soi et probablement aussi un dépassement d’une logique systématique d’affrontement, en recherchant le bien général et non seulement les intérêts de quelques uns, aux détriments de tous les autres. J’ai la conviction que l’on peut, dans cette optique, fédérer une grande partie de la gauche, le centre et même une partie de la droite. Le monde n’est pas fait que de boursicoteurs sans foi ni loi.

    Par sécurité, je vais faire une copie de ce message.



  • Aela 9 avril 2008 12:52

    @ Aube :

    Merci d’être intervenue. Ce n’est pas la première fois. On avait déjà effacé mes interventions sur les blogs de Charvet. Il devrait peut-être se demander pourquoi le Centre a déjà perdu autant de ses adhérants ? L’un de leurs transfuges s’est exprimé il y aquelques jours dans un blog de Marianne2.fr. Il avait démissionné du MODEM pour venir au PS. Il se se plaignait justement de cela : une direction qui écrase le droit d’expression, le droit à la différence de ses militants. Malheureusement je n’avais pas fait de copie de mon message de ce matin. Je vais donc essayer d’en redonner le sens, de seule mémoire.

    Ce qui nous unit à gauche, c’est un sentiment de révolte face aux inégalités, face à l’exploitation d’humains par d’autres humains et d’une manière plus générale un égoïsme qui s’illustre bien par le profit boursier sans le moindre égard autre que soi-même, aux détriments de tout le reste. J’avais écrit, qu’à partir de là, il y a eu deux évolutions distinctes de la gauche. La première est celle du refus de total de cette réalité et d’un combat de type révolutionnaire, comme celui des communistes ou de l’extrême gauche du PS.

    L’autre, est celui de se dire que nous ne pouvons pas refuser que la réalité existe et que cette réalité soit déjà celle d’un libéralisme mondial. La réalité, que nous évoluions déjà dans cette arène-là et que nous n’ayons pas les moyens de la changer globalement. J’avais écrit, que l’on devait dès lors tenter de concrétiser nos valeurs d’équité, de justice sociale, de fraternité et d’égards pour tous les autres, en empoignant les problèmes tels qu’il se présentent dans cette réalité libérale. Cela implique un dépassement de soi et probablement aussi un dépassement d’une logique systématique d’affrontement, en recherchant le bien général et non seulement les intérêts de quelques uns, aux détriments de tous les autres. J’ai la conviction que l’on peut, dans cette optique, fédérer une grande partie de la gauche, le centre et même une partie de la droite. Le monde n’est pas fait que de boursicoteurs sans foi ni loi.

    Par sécurité, je vais faire une copie de ce message.



  • Aela 13 mars 2008 21:52

    J’ai lu votre commentaire après avoir posté le mien. Mais je vois que pour l’essentiel, notre analyse politique est assez semblable.

    Si le MODEM opposé au libéralisme sans âme, veut le pouvoir, ce ne pourra être, comme pour le PS, le PC ou les Verts : qu’au sein d’une coalition plus vaste. Le MODEM, seul, est clairement trop faible pour avoir une chance de battre le bloc de la droite et de l’extrême droite.



  • Aela 13 mars 2008 21:28

     

    C’est Ségolène Royal qui a la vision la plus large.

    Elle, mieux que quiconque, avait désespérément compté et recompté l’ensemble des voix qui s’étaient reportées sur des candidats de gauche, le 22 avril 07, à l’issue du premier tour. La somme UMP + FN + UDF(Bayrou) faisait plus des 2/3 du total des voix !!!

    Eh, oui : la France est de tradition libérale et vote plutôt à droite.

    François Hollande et Ségolène Royal ne sont pas volontairement contradictoires, mais dans des logiques différentes. L’horizon de François Hollande est le seul PS et il ne semble guère voir au-delà. L’jhorizon de de Ségolène Royal est la victoire d’une coalition suffisante en 2012, incluant le PS. A ce point de vue ces frictions sont nuisibles. Il est nuisible d’avoir snobé le MODEM parisien de Marielle de Sarnez pour la pousser, presque contre son gré, dans les filets de l’UMP. Cela aura des conséquences lointaines pour la constitution d’une future coalition entre le centre et la gauche.

    Les communistes et la LCR devraient se demander quelles valeurs ils défendent ? Ils veulent une égalité, une solidarité envers les travailleurs, envers les plus démunis. Alors, ils doivent voir aussi que tout libéralisme n’est pas forcément nuisible. Vendre ou acheter une action est un choix. La manière de diriger une entreprise et les égards qu’une direction prendra pour ses collaborateurs résulte aussi de choix. Ces choix peuvent certes être sordidement égoïstes, aux dépens de tous les autres. Mais ils peuvent aussi être altruistes, en harmonie avec tous les autres. Il est des investisseurs qui ne sont pas indignes de leur communauté. Il y a des patrons qui sont valables. Ceux qui votent au centre sont souvent chrétiens et dans une logique de conscience universelle. A ce point de vue, je pense qu’ils sont souvent capables de dépasser leur ego pour cette cause plus vaste qu’est celle de tous les leurs : celle de toute leur communauté, - dont les travaileurs et les plus démunis - . Je pense qu’à force de se battre contre un capitalisme caricaturisé et diabolisé, l’extrême gauche ne parvient plus à distinguer cela. D’où, ces tensions conflictuelles, comme à Paris.

    Le seul potentiel de croissance de la gauche est au centre. Ce sont idéologiquement les moins éloignés.

    Le dénominateur commun entre gauche et centre est dans le dépassement de l’individu pour sa communauté.

    Si les Verts, le PC, le PS et le centre opposé à l’ultralibéralisme prédateur, veulent un jour être aux commandes de la France, ils devront s’allier. C’est une évidence. Ils devront aussi accepter d’éviter de se tirer dans les pattes pour des enjeux locaux et prendre soin de leur alliance. 

    http://nowearefree.blogspot.com


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