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Alain De Neve

Analyste de défense, je suis co-fondateur du Réseau Multidisciplinaire d'Etudes Stratégiques (RMES - http://www.rmes.be). Je poursuis également une thèse de doctorat sur la (dé)construction sociale des programmes d'armement et projets technologiques à finalité politico-militaire.
L'objet de mes études et analyses porte, d'une façon générale, sur les innovations technologiques dans le domaine de la sécurité et de la défense. Vous pouvez retrouver mes analyses sur http://www.rmes.be.
J'ai l'occasion d'intervenir sur ces questions dans diverses revues (Stratégique, Défense & Sécurité Internationale, Diplomatie, Défense Nationale, etc.). J'ai égaement co-dirigé un ouvrage portant sur la Révolution dans les Affaires Militaires (Paris, Economica, 2003) et co-rédigé une étude sur Les armées d'Europe fae aux défis capacitaires et technologiques (Bruxelles, Bruylant, 2005).

Tableau de bord

  • Premier article le 13/06/2006
  • Modérateur depuis le 05/02/2008
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Derniers commentaires



  • Alain De Neve 25 juin 2008 17:04

    Les enjeux ne sont pas aussi simples. La réponse doit être nuancée. Tout d’abord, permettez-moi de préciser que la France ne saurait en aucun cas faire abstraction de l’administration américaine dans son rapport au monde et dans la gestion des relations internationales. Regardez, même la Birmanie qui a choisi voici plusieurs années faire abstraction du facteur "international" est dans une certaine mesure rattrapé par la nécessité de devoir communiquer un minimum en fonction de la communauté internationale. Alors d’accord, cet exemple est un peu exagéré et la situation n’est pas idéale, mais bon...

    Je voulais surtout indiquer que la France n’a jamais été totalement indépendante de son allié US. La France respecte, par exemple, les standards OTAN. Paradoxe, comme je le disais, ce sont les US qui se détachent de plus en plus de ces critères d’interopérabilité (notamment en raison du saut technologique conséquent qu’ils sont parvenus à opérer dans le domaine des systèmes technologiques militaires).

    En tant que Belge, je vois davantage la décision - pour autant qu’il s’agisse d’une décision - française comme un processus de normalisation d’une posture ambivalente. C’est la forme de la communciation qui connaît une rupture, pas le fonds du dossier. Disons que la France avait principalement l’avantage de choisir à la carte les opérations et les programmes auxquels elle souhaitait participer.



  • Alain De Neve 6 février 2008 10:37

    Désolé. Bonjour Madame, aurais-je dû dire :)



  • Alain De Neve 6 février 2008 10:36

    Cher Monsieur,

    Un grand merci pour vos encouragements et vos commentaires. Vous avez raison : toute programmation logicielle est avant tout une oeuvre humaine. Toutefois, il apparaît que les moyens qui permettent aujourd’hui aux hommes de poursuivre leurs avancées dans le domaine des technologies informatiques reposent de plus en plus sur des techniques déjà existentes. On retombe, en réalité, dans un débat bien connu des philosophes des techniques sur la fracture qui existe depuis l’aube de l’humanité entre la "science contemplative" et "l’artisanat". Disons qu’actuellement cette fracture sépare le "scientifique" de l’ingénieur. Pourtant nos laboratoire, lieux de prédilection pour l’avancement de nos connaissances de la Vie, sont avant tout peuplés... d’ordinateurs. Et je ne suis pas sûr que ceux qui oeuvrent sur ces machines en connaissent le fonctionnement basique et profond. Je dirais que là se situe un risque (je vous conseille, sur ce sujet, un superbe ouvrage d’une chercheuse canadienne, Céline Lafontaine, intitulé l’Empire cybernétique, édité au Seuil (Paris), je pense).

    Bien à vous,

     

    Alain



  • Alain De Neve 3 août 2007 21:01

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Pardonnez ma réaction tardive à votre commentaire.

    Mille mercis pour vos éloges. Cependant, de là à me considérer comme un « personnage illustre », c’est aller vite en besogne smiley

    Je suis également heureux de savoir que les Cahiers du RMES soient appréciés. Merci donc pour vos propos que j’intéerpréterai, si vous le permettez, comme des encouragements.

    ADN



  • Alain De Neve 27 juillet 2007 10:22

    Sans doute,

    Mais l’internet n’est-il pas justement là pour éviter d’être contraintes par les formats classiques et arbitraires ?

    ADN

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