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Albert Ricchi

Albert Ricchi

Journaliste citoyen, mon blog est consacré à la politique, la démocratie, l’économie, l'environnement ainsi qu'à toutes les vraies réformes à entreprendre aujourd'hui afin de réconcilier les citoyens avec la République et la justice sociale.
Réformer Aujourd'hui
http://reformeraujourdhui.blogspot.com/

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  • Premier article le 06/03/2007
  • Modérateur depuis le 21/03/2007
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Derniers commentaires



  • Albert Ricchi Albert RICCHI 4 août 2008 22:07

    @ Vincent Perrier-Trudov

    Jeune centiste et soutenant la majorité présidentielle sur votre blog, vous semblez avoir lu l’article avec vos propres lunettes de vue.

    Ce que je dis, comme vous le dites, c’est avant tout le président de la Cour des comptes qui le dit. Que cela vous dérange est un fait.

    Mais les
    reversements de l’état sont un dû lorsque justement l’état s’est engagé à le faire, ce qui est le cas et le budget de la SS ne devrait ni financer les exonérations de charges qui sont en fait des aides de l’état aux entreprises, ni les 35 heures.

    Pour ce faire il existe un budget de l’Etat mais c’est tellement plus facile de ponctionner le budget de la SS et de dire ensuite que celui-ci est en déficit…

    Salutations

    Albert



  • Albert Ricchi Albert RICCHI 31 juillet 2008 21:46

    Bonsoir TMD,

    Votre lecture de l’article me semble un peu réductrice.

    D’une part, en ce qui concerne la TVA, qu’elle soit sociale ou pas, elle est avant tout un impôt indirect, identique pour tous et donc très injuste. De plus, elle n’a jamais dépassé le stade de projet…Une cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises n’est pas un impôt indirect mais bien une cotisation patronale.

    En ce qui concerne une cotisation unique SS sur le revenu fiscal des PP, elle s’appliquerait à tous, qu’on soit imposable ou pas. Les personnes non imposables ne paient-elles pas des cotisations SS si elles sont salariées ?

    Un point de cotisation sur le revenu fiscal rapporte beaucoup plus qu’un point sur les salaires. C’est donc avant tout un choix politique qui n’a jamais été fait jusqu’à présent…

    Salutations,

    Albert


    Pour plus de détails :
    http://reformeraujourdhui.blogspot.com/2007/06/pour-une-rforme-du-mode-de-financement.html



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 29 juin 2008 01:16

     

    @ frédéric

    Comme vous le dites si bien, « c’est donc tout à fait l’inverse ! » mais l’inverse de ce que vous affirmez : 

    « Les monopoles publics ont trop longtemps profité de leurs situations de monopole » comme si les monopoles privés de l’eau  qui en profitent tout autant n’existaient pas ! dans le secteur de l’eau ou dans d’autres secteurs comme la téléphonie mobile ou plus récemment pour la mise aux normes des ascenseurs avec des ententes sur des prix « gonflés » et condamnés même par la timide commission de Bruxelles ! 

    Et comme une erreur en appelle souvent d’autres, vous vous trompez également car je n’ai jamais été communiste ou d’extrême gauche. D’ailleurs si je l’avais été, j’aurai proposé dans mon article une nationalisation à 100% plutôt que 51%... 

    En réalité, vos rappels au  mur de Berlin, au socialisme dans un seul pays, à Mao etc. masquent très mal votre libéralisme aigu que vous devrez éventuellement flanquer à la poubelle ! 

     

    A + sur Agoravox

    Albert

     



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 11 juin 2008 23:16

    Vous semblez être victime, comme beaucoup d’autres personnes de la désinformation régulière que l’on observe sur tous les médias, à moins que ce soit votre sarkozisme rampant qui explique vos oublis.

    je vous invite, avant de dire que les exonértaions de charges sont compensées, à prendre connaissance des observations du premier président de la cour des comptes qui n’est pas un vilain membre d’Attac, que je sache...

     

    " La réduction du déficit de l’Etat en 2007 est due à des irrégularités comptables et des opérations exceptionnelles, a affirmé la Cour des comptes. Bien loin de la diminution affichée à 34,7 milliards d’euros (- 4,3 milliards par rapport à celui de 2006), le déficit se serait en fait sensiblement aggravé en 2007, à 44,12 milliards. Présentant mardi 27 mai à la presse le rapport annuel de son institution sur les résultats et la gestion budgétaire de l’Etat, Philippe Séguin, premier président, a souligné les différentes opérations comptables qui ont permis d’afficher cette amélioration apparente du déficit public (vente de titres EDF, reports sur 2008 de plus de 7 milliards d’euros de charges exigibles en 2007, débudgétisations et perception de recettes exceptionnelles de 6,6 milliards d’euros, bien au-delà des évaluations de la loi de finances initiale). "La Cour critique également vivement le montage financier auquel il a été recouru pour régler une partie de la dette de l’Etat envers la Sécurité sociale", a noté Philippe Séguin. "Cette dette, d’un montant de plus de 5 milliards d’euros, résultait de l’insuffisance, année après année, des dotations budgétaires destinées à rembourser". Elle a finalement été réglée "par un singulier tour de passe-passe", sans aucun décaissement de la part de l’Etat et donc sans aucune trace sur le budget, a-t-il déploré. "Le règlement de cette dette, qui devait se faire grâce aux recettes issues de la privatisation des autoroutes, aurait dû être inscrit au budget, ce qui aurait majoré d’autant les dépenses et conduit à une aggravation du déficit de 5 milliards". En l’espèce, l’Acoss a émis des billets de trésorerie pour 5 milliards, un établissement public les a souscrits puis a abandonné la créance qu’il détenait ainsi sur l’Acoss. Celle-ci a alors annulé la dette de l’Etat à son égard et l’Etat s’en est trouvé allégé sans rien avoir décaissé. Selon le président de la Cour, la dette de l’Etat vis-à-vis du régime général de la Sécurité sociale, que cette opération était censée solder, "s’est reconstituée à fin 2007 à hauteur de 2,5 milliards, ce qui traduit au minimum une sous-budgétisation manifeste". "Certains postes sont toujours sous-budgétés, ce qui veut dire, qu’on ne prévoit pas, souvent sciemment, assez de crédits pour les dépenses à venir de l’Etat", a-t-il poursuivi : ces pratiques "compromettent aussi bien l’exactitude de la programmation budgétaire que son exécution".
    Ce rapport tombe d’autant plus mal pour le gouvernement que la Commission de Bruxelles a adressé au même moment à Paris un "conseil de politique économique" lui enjoignant de s’attaquer à ses déficits excessifs. Une démarche particulièrement humiliante alors que la France prendra le 1er juillet la présidence de l’Union européenne. Le Premier ministre a réuni le 28 mai à Bercy les gestionnaires de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités locales pour une conférences des finances publiques destinée à remobiliser les troupes autour de l’objectif de réduction des déficits. François Fillon a promis de limiter dans le temps les niches fiscales. Ainsi, dès le prochain projet de loi de Finances, à l’automne, toutes les niches fiscales seront passées au crible. La Sécurité sociale se voit assigner l’objectif drastique de "l’équilibre en 2011", et non plus en 2012, échéance jusqu’à présent visée par le gouvernement. L’Etat s’engage à "tout faire pour apurer" la dette accumulée par les régimes sociaux."

    A bientôt sur Agora

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 3 juin 2008 12:09

     

    @ Mélanie,

    Excellent commentaire, notamment sur le rappel de certains aspects de la démocratie en Suède. Mais Il faudrait plusieurs articles pour démontrer le retard que nos avons sur les autres démocraties, y compris sur des choses toutes simples, mais hélas en France, non seulement il n’y pas de proportionnelle mais certains trouvent qu’il est normal par exemple que le sénat n’ait pas changé de couleur politique depuis 1858.

    C’est plus du conservatisme mais de la cécité complète…

    Cordialement,

    Albert

     

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