Comment peut-on être si violent contre la dérive droitière et le catholicisme social du Parti Socialiste et voter Sarkozy ? A ce niveau, ce n’est pas un paradoxe à éclaircir, c’est un biais de raisonnement affligeant.
En revanche, je remercie l’auteur de cet article qui a parfaitement traduit son sentiment à l’égard d’un « vieux camarade ».
La gauche reste plus que jamais à reconstruire et cela ne se fera certainement pas avec des discours édifiants, diviseurs et éculés.