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aberlainnard

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  • aberlainnard 21 août 2014 20:14

    pour Ludwiga :

    « …. à si basse altitude (que l’on peut constater par rapport à la hauteur des immeubles sur les photos) »  : http://wizu.fr/albums/view/54

     Faut expliquer, là !  Où sont les « chemtrails » sur les photos ?

    Vous avez une faculté visuelle de télémétrie hors du commun pour en déduire l’altitude des formations nuageuses par rapport aux toits des immeubles !

    Est-ce un effet secondaire des fameux « chemtrails » qui vous ont atteint ?

     



  • aberlainnard 21 août 2014 15:31

    A l’auteur :

    « C’est une simple installation photovoltaïque,… raccordée en ré injection directe à l’installation électrique d’un foyer …, pour consommer ainsi directement une électricité gratuite… »

    C’est en effet une solution séduisante dans les régions de fort ensoleillement. Pour les autres, dans les conditions actuelles, la solution proposée dans cet article me semble assez optimiste sur les plans technique et économique. Certes, l’énergie solaire est gratuite mais les moyens dont nous disposons pour la capter et l’investissement nécessaire pour l’utiliser ne le sont pas.

    Pour qu’elle soit vraiment attractive pour le particulier, il faut spéculer sur un saut technologique hypothétique qui permettrait d’améliorer significativement le rendement de ces panneaux dans les régions à ensoleillement modéré et sur l’abaissement de leur coût de production.

    En attendant ce moment-là et si, aujourd’hui, je devais envisager un investissement dans la captation de l’énergie solaire, je me tournerais plus volontiers vers une solution reposant sur des panneaux solaires thermiques, de rendement à peu près stable dans le temps, éventuellement épaulés par un système de pompe à chaleur, pour la production d’eau chaude et l’alimentation d’un circuit de chauffage par le sol ou par radiateurs classiques. D’une technologie bien maîtrisée par les ingénieurs thermiciens, leur production pourrait être mise en œuvre rapidement en France et leur installation effectuée par n’importe quel plombier professionnel sérieux après un complément de formation appropriée.

    Cette énergie thermique récupérée serait déjà un progrès non-négligeable, en Bretagne notamment, pour soulager le réseau des consommations des radiateurs électriques et ballons d’eau chaude promus dans les années 70 dans l’engouement du programme électronucléaire.

    Pour le reste de l’énergie électrique consommée par le foyer, éclairage, appareils électroménagers gourmands en énergie, plutôt que m’en remettre à la météo, je resterai fidèle à EDF !

     

     

     



  • aberlainnard 20 août 2014 10:28

    Merci Gasty !



  • aberlainnard 19 août 2014 15:33

    « Pourquoi un avion laisserait un contrail qui s’évapore directement alors que l’autre, dans la même zone et visiblement quasiment à la même altitude, laisserait une grosse traînée persistante ? »

    Des avions de toutes les tailles croisent au-dessus de nos têtes à des altitudes et à des vitesses différentes. Un observateur terrestre ordinaire, comme moi, aurait bien du mal à déterminer l’altitude de vol de tel ou tel avion, ou à distinguer celle d’un gros long courrier volant à une altitude plus élevée de celle d’un avion plus petit volant à une altitude plus basse où les conditions atmosphériques peuvent être quelque peu différentes.



    Par ailleurs, vos commentaires gagneraient à être moins agressifs et méprisants à l’égard de vos contradicteurs. Votre crédibilité en souffre.



  • aberlainnard 19 août 2014 14:29

    Cet article apporte des informations utiles et précises sur la formation des contrails qui sont un phénomène normal, purement physique, découlant de la réaction entre les gaz produits de la combustion du kérosène relâchés par les avions et l’atmosphère à l’altitude de vol de ces appareils.

    Les conditions hétérogènes régnant à ces altitudes, (température, pression, hygrométrie) expliquent en effet de façon tout à fait rationnelle de ce qui paraît étrange à l’observateur terrestre.

    Merci également d’avoir démystifié ces histoires de brevets des soi-disant dispositifs d’épandage installés à bord des avions de ligne !

    Les précisions techniques à elles-seules étaient tout à fait suffisantes et il ne me semblait pas utile d’insister, assez lourdement, sur le fait que la thèse des « chemtrails » est souvent véhiculée par des milieux idéologiquement suspects. Je pense que cela dessert plutôt l’article qu’il ne le renforce.

    Ludwiga qui a fait un article sur ce thème récemment est probablement une personne de bonne foi et ne méritait pas a priori cet amalgame. Simplement elle ne comprend pas ces phénomènes qui lui semblent suspects parce qu’étranges faute d’explications. La thèse des « chemtrails » lui a donné une explication facile, sans s’apercevoir qu’elle a été abusée. Sa logique en est perturbée et son esprit critique inhibé.

    A sa décharge la « géo-ingénierie » est une discipline qui existe bel et bien dans les milieux scientifiques. Je ne doute pas que des études aient lieu pour tenter de maîtriser localement le climat. Des expérimentations régionales, à plus ou moins grande échelle, plus ou moins discrètement, ont pu être menées ici ou là de manière occasionnelle ou répétée.

    Là où il y a une dérive déraisonnable, c’est d’imaginer que les avions de ligne sont équipés de dispositifs d’épandage, qu’ils font exprès de voler par groupe, de se croiser intentionnellement alors qu’il suffit de consulter les horaires de vol des compagnies aériennes des principaux aéroports européens et américains pour comprendre que ces vols parallèles et croisés sont inévitables compte tenu de la densité croissante du trafic aérien. Il paraît curieux à Ludwiga que cette configuration de vol puisse être observée loin de tous aéroports (« en pleine campagne, à plus de 100km d’un aéroport ! »). Ne peut-elle pas comprendre que ceci est on ne peut plus normal et inévitable ? Au-dessus de la Bretagne par exemple, se croisent quotidiennement les vols des lignes transatlantiques arrivant d’Amérique du Nord et celles qui desservent, à partir des aéroports anglais, l’Espagne, le Portugal, l’Afrique occidentale et l’Amérique latine. Bien d’autres régions d’Europe présentent cette particularité sans faire appel à la thèse de vols organisés dans le but d’épandages planifiés.

    Il est vrai que les classiques contrails présentent déjà un aspect préoccupant par la modification de la couverture nuageuse qu’ils ont engendrée au fur et à mesure du développement du trafic aérien des dernières décennies. Ceci aurait été mis en évidence lors du fameux (ou fumeux ?!!!) 11 septembre lorsque les avions ont été cloués au sol plusieurs jours pendant lesquels le ciel s’est apuré, débarrassé pour un temps, de ce voile de type stratus engendré par les contrails des avions de ligne. Leur effet sur le climat peut déjà être problématique sans avoir besoin d’ajouter des « chemtrails » pour abaisser l’ensoleillement au sol.

     

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