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Alynpier

Alynpier

Libre penseur, qui n’aime pas faire bêtement partie de la masse qui fait ce qu’on lui dit de faire, et où il faut le faire. Ni réellement rebelle ni franchement révolutionnaire, mais par contre très critique sur la société et ses manières. Ce qui se traduit souvent par des "coups de gueule"... restés dans le vide jusqu’à maintenant.
Merci à Internet en général et AgoraVox en particulier !

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  • Premier article le 22/06/2006
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Derniers commentaires



  • Alynpier Alynpier 16 mars 2007 12:16

    En tous cas, ça fait « causer », on voit très vite que le sujet ne laisse pas indifférent. Je ne pensais pas qu’il y avait dans ce pays un tel rejet (une telle haine ?) envers les profs.

    Je dois avouer qu’en attaquant le sujet sur l’angle temps de travail/rémunération (en utilisant les termes d’un tract trouvé dans la salle des profs), il s’agissait surtout pour moi de lancer ce débat afin d’en observer les réactions. Que vous dire de plus, sinon que je ne suis pas déçu du voyage ! Seuls peuvent comprendre ceux qui vivent cette situation, à travers leur expérience propre et/ou celle de leur conjoint.



  • Alynpier Alynpier 15 mars 2007 18:07

    Outre ce conseil de lecture que je donne par ailleurs :

    « 1990-2000, La décennie des mal-appris », publié par François Bayrou en 1990...

    je conseille également le très bon :

    « Le bonheur d’apprendre et comment on l’assassine », par François de Closets, publié en 1996

    Et pour en revenir au débat de fond, le sentiment général (sur toute la profession) se base uniquement sur quelques cas particuliers. Il ne viendrait à l’esprit de personne d’encenser ou de dénigrer toute une profession au simple prétexte qu’on en connaîtrait un bon ou un mauvais représentant. Les profs snt tous logés à la même enseigne, l’évolution de leur carrière ne tient aucunement compte de leurs capacités propres et un excellent pédagogue connaîtra (à très peu de choses près) le même cursus qu’un nullard planqué. Il y en a, j’en connais... et c’est vrai que ça n’est pas fait pour « doper » les bons.



  • Alynpier Alynpier 15 mars 2007 17:52

    Damned, je suis démasqué...

     smiley



  • Alynpier Alynpier 15 mars 2007 17:47

    Un conseil de lecture, peut-être ?

    « 1990-2000, La décennie des mal-appris », publié par François Bayrou en 1990...

     smiley



  • Alynpier Alynpier 15 mars 2007 15:23

    As tu simplement le moindre début d’idée du temps qu’il faut pour corriger un devoir de français ? Multiplie le par une trentaine de copies, et tu commenceras à comprendre...

    Et ça, c’est pour une seule classe ; je ne connais aucun prof de français qui n’en a qu’une, on en a tous au moins quatre, sinon plus. Alors, même avec un seul devoir par mois et par élève (ce qui est un strict minimum), il y a déjà de quoi largement s’occuper, en dehors des heures de cours.

    Mon épouse est PLP2 et enseigne « Français - Histoire - Géographie - ECJS », ce qui multiplie encore au moins par deux/trois les préparations de cours et corrections de copies.

    Je n’ai pas parlé de toute la partie « suivi pédagogique » (conseils de classe entre autres) qui nécessite là aussi un travail domestique indispensable, qui n’est ni compté devant les élèves, ni compté en temps de préparation de cours/correction de devoirs.

    Un employé (à un salaire identique) est totalement libéré après ses 35 heures hebdo, il n’emmène pas ses dossiers ou sa compta chez lui. Un prof, en fait, a son esprit totalement occupé par son travail, en dehors des périodes de vacances scolaires.

    Quand on a la chance d’avoir toujours les mêmes classes, c’est vrai que les cours sont déjà en partie préparés, mais c’est quand même rarement le cas, et quand on retrouve une classe qu’on a déjà eue, les programmes ont souvent évolué.

    Vous pourrez dire ce que vous voudrez, mais il y a une chose qui est sûre : il n’y a qu’un prof pour savoir ce que c’est, les autres ne voient que la longueur des vacances scolaires ! C’est d’ailleurs certainement le critère déterminant chez les jeunes, quand on leur demande ce qu’ils veulent faire... avant de se rendre compte de la dure réalité.

    Il serait nettement plus intéressant de demander aux jeunes profs, ceux qui enseignent depuis un ou deux ans : « Et si c’était à refaire, choisirais tu l’enseignement ? ». Je pense qu’un grand nombre des détracteurs seraient très surpris du résultat.

    PS : quand je dis « prof », je fais un distingo entre celui qui enseigne la philo ou les maths et celui qui fait « gym »... Là oui, je pense que Agrégé de Gymnastique, c’est une bonne planque...  smiley

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