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amiaplacidus

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  • Premier article le 03/06/2017
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Derniers commentaires



  • amiaplacidus amiaplacidus 19 avril 16:58

    @Brutus
    Je vous remercie pour votre source.

    Il n’en reste pas moins que ma grand-mère, des années 1910 à 1940, a attelé des chiens en région parisienne, pour transporter ce qu’elle récoltait.
    À moins que ma mère m’ait raconté des craques, ce que je n’imagine pas, n’y voyant pas de raison.

    J’en déduis que la répression, malgré une loi formelle, n’était pas féroce, la gent policière de l’époque comprenant la nécessité d’utiliser certains moyens, ne nuisant pas aux autres, pour sortir de la pauvreté.

    Au contraire, maintenant, la chasse aux pauvres est largement ouverte, surtout en cette époque préolympique.



  • amiaplacidus amiaplacidus 19 avril 15:41

    @C’est Nabum

    Ne me dites pas que vous n’avez jamais essayé d’avoir le lait, le prix du lait et le sourire de la laitière, voire plus si affinités. smiley



  • amiaplacidus amiaplacidus 19 avril 15:34

    @Brutus :

    "L’utilisation du chien comme animal d’attelage a été interdite à Paris en 1824,"

    Ma grand-mère, dont je parle plus haut, ne devait pas être au courant de cette interdiction et la répression devait être inexistante.



  • amiaplacidus amiaplacidus 19 avril 15:29

    @Francis, agnotologue

    Ma grand-mère maternelle, veuve au début du vingtième siècle. Veuve vivant à Paris, avec quatre filles à élever, ma mère était la plus jeune, deux ans à la mort de mon grand-père.

    À l’époque, pas de rentes pour les veuves, il fallait se débrouiller.

    Alors ma grand-mère, courageuse comme l’Auvergnate qu’elle était, s’est procuré une charrette et y a attelé un gros chien, un Saint-Bernard, pour faire la chiffonnière (si je voulais faire le kéké, je dirais antiquaire smiley ).
    Elle triait le réutilisable parmi ce que laissaient les gens dans les poubelles et sur le bord du trottoir. Ensuite, elle allait revendre sa récolte au marché aux puces de Saint-Ouen.

    Et c’est le Saint-Bernard qui tirait la charrette pleine d’objets parfois assez lourds (on faisait solide « dans le temps »).

    J’ai peu connu ma grand-mère, elle habitait Paris, nous habitions en Haute-Savoie. Je me souviens qu’elle était petite et frêle, même pour les yeux du gamin de 8-10 ans que j’étais. C’est donc ma mère qui m’a raconté ces histoires.



  • amiaplacidus amiaplacidus 19 avril 14:02

    @Boaz

    Et si vous nous parliez du grand remplacement en Palestine des populations d’origine par des migrants venant, en grande partie d’Europe de l’Est ?
    .
    Parce que le problème Palestinien est essentiellement le problème des Ashkénazes, gens venus d’Europe de l’Est, dogmatiques et racistes.

    Les gens de confession juive habitant la Palestine depuis longtemps ont vécu des centaines d’années en paix et en harmonie avec les musulmans y résidant. Mais ces juifs-là n’ont plus rien à dire, ce sont maintenant les Ashkénazes qui commandent.
    Les problèmes ont commencé avec l’arrivée des Ashkénazes. Lesquels Ashkénazes ont pourtant subi en Europe, pogroms et massacres. Mais ils semblent qu’ils n’aient pas retenu la leçon, au point qu’ils ont maintenant les mêmes pratiques de bourreaux dont ont été victime leurs ancêtres.

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