En tout cas cela met en lumière le coté démocratique de l’Europe : Un amendement voté à une large majorité par le parlement peut être retiré par un commissaire, comme ça !
<<le passage par la loi Hadopi est selon moi une condition sine qua non pour que les artistes continuent à vivre convenablement de leur art>>
C’est ça, comme ça on va continuer de s’enterrer dans des tranchées, les "ayants-droits" d’un côté et les consommateurs-pirates de l’autre, et on tirera à vue.
La tentative de main-mise des industriels sur la culture par le biais de verrous numériques propriétaires est apparemment en train d’échouer, mais ce sont les consommateurs honnètes qui paient les pots cassés : http://sebsauvage.net/rhaa/index.php?2008/09/29
La défiance envers les artistes s’accentue, les appels au boycott se multiplient et on continue à taxer aveuglément les médias numériques y compris ceux qui vont dans les appareils-photo, ce que beaucoup d’internautes finissent par prendre pour un permis de tuer.
Donc deux choix s’offrent à nous : Un culture numérique fasciste et une autre complètement libre, que les partisants de la répression-taxation qualifient à loisir de "communiste".
En tout cas si le tout-répressif s’impose, les "artistes" n’en sortiront pas indemnes.
"La force de Nicolas Sarkozy c’est qu’il a su récuperer le discours progressiste de transformation et de réformes de la société".
En tout cas il a su en convaincre nos retraités de l’élire pour nous "remettre au boulot".
Pour ma part je bosse 50 heures par semaine, pas par choix croyez-moi. Quand on me parle de me remettre au boulot je hurle, sachant de surcroît que la retraite, je n’en aurait probablement pas.
Quand a transformer et réformer la société, l’équation de Sarkozy est simple : réformer = détruire les service public (tout en affirmant bien sûr qu’on y est très attaché). A quoi un état qui ne fourni plus de services à ses citoyens ? A rien !
Alors arrêtez-donc de nous bourrer le mou avec votre grand héro réformateur et ses idées pseudo-progressistes.
Je n’aime pas le RAP. Là c’est juste une affaire de goûts et de couleurs, mais je suis forcé de reconnaitre que certains rapeurs ont vraiment du talent.
Mais le R&B...
Le R&B est à la musique ce que McDonald est à la gastronomie.
Oui je sais c’est trollesque d’écrire ça, mais je le pense et j’assume (apparement c’est à la mode d’être décomplexé )
Merci pour les jolies photos de ce produit culturel fait à la presse hydraulique, mais j’ai peur de ne pas savoir le différencier des autres sur un étagère de supermarché.