Non les lois ne sont pas correctement appliquées en France.
Nous avons subi de graves troubles du voisinage pendant trois ans dans un lotissement de province. Moi et ma petite famille avons été à la merci de cas sociaux bruyants, orduriers et violents. Nous avons subi leurs menaces car nous étions les seuls du quartier à oser leur demander d’arrêter de mettre une sourdine à leur bazar.
Nous avons été seuls d’un bout à l’autre de cette affaire. Ni la mairie ni la gendarmerie n’ont jamais levé le petit doigt malgré nos sollicitations répétées. Ils étaient désolés pour nous, ah ça oui.
Les autres ont senti la démission des autorités locales et se sont mis à nous défier et nous insulter quotidiennement, cela a créé de grandes tensions dans notre couple.
Nous nous apprêtions brader notre maison et à déménager lorsque le mari s’est mis à tabasser sa femme, donc ils se sont séparés et ont vendu leur maison. Ouf, sauvés. Trois ans de galère !
Il y a des textes très clairs au sujet du bruit, mais personne pour les faire appliquer, au moins chez nous.
Depuis nous avons appris qu’il fallait adresser une lettre directement au procureur de la république. Vous croyez qu’ils nous l’auraient dit les pandores ?
Le TO7 était une machine fermée (comme pratiquement tous les micro-ordinateurs de l’époque) mais tout de même moins austère et plus simple à utiliser et qu’un IBM PC. Vous vouliez programmer en basic ? Jouer aux échecs ? Il suffisait d’insérer la ROM idoine dans le lecteur et de lancer la bête. Bien sûr ces cartouches n’étaient pas données, mais certainement pas plus cher qu’un jeu de playstation.
Lerma a dit :
« Ce qui avait tué ce plan informatique à l’école c’etait le conservatisme des fonctionnaires de l’éducation nationale qui n’acceptaient pas l’évolution de la société et préféraient bien souvent laisser ces ordinateurs dans les placards car bien souvent ils ne faisaient pas l’effort d’apprendre eux même »
Et bien vous ne deviez pas habiter dans la bonne région.
Je me souviens de séances de programmation en logo à l’école primaire et en basic au « club informatique » du collège, avec des enseignants plutôt enthousiastes qui m’ont fortement propulsé vers le métier que j’exerce aujourd’hui