Curieux de l’evolution de la société ; je défend avant tout les valeurs humanistes. Français, j’aime profondement mon pays et sa diversité. Je hais les populistes de tous poils, la xénophobie et la violence.
Article peu clair . Je ne critique pas des fautes d’orthographe ou de grammaire simple mais cette phrase :
"D’un autre côté, c’est au tour du procureur de Paris, Jean-Paul Marin,
proche lui aussi de l’Elysée, qui tente de bloquer l’ordonnance, en
dessous, sur la recevabilité de la constitution de parties civiles dans
l’affaire Karachi du juge Renaud Van Ryumbeke que Le Nouvelobs.com a mis en ligne, hier."
est peu compréhensible, et prête même au contresens.
soit vous écrivez ;
C’est au tour du procureur qui tente de bloquer ... de faire ceci ou cela
ou (plus probablement)
C’est au tour du procureur de tenter de bloquer
si vous écrivez : ... bloquer l’ordonnance, en
dessous,...
dans ce cas c’est une ordonnance qui serait en dessous...
il faut dire ... bloquer par en dessous l’ordonnance ...
quand vous écrivez : ...dans
l’affaire Karachi du juge Renaud Van Ryumbeke...
L’affaire en question n’est pas l’affaire du juge. Sauf erreur il n’y est pas impliqué.
il fallait donc dire :
C’est au tour du procureur Jean-Paul Marin,
proche lui aussi de l’Elysée, de tenter de bloquer l’ordonnance
du juge juge Renaud Van Ryumbeke. Cette ordonnance à propos de la
recevabilité de la constitution des parties civiles dans
l’affaire Karachi a été mise en ligne, hier par Le Nouvelobs.com .
Vous faites aussi des erreurs de sens, par exemple :
Selon votre texte :
« Mais au juste, qu’est-ce qu’un procureur de la République ? Selon Wikipedia, enFrance, leprocureur de la Républiqueest lemagistratduministère public chargé de l’action publiquedans leressortd’untribunal de grande instance »
et juste en dessous :
« Alors pourquoi un magistrat (procureur) qui devrait normalement défendre les parties civiles ne joue pas son rôle ? »
Vous
venez de dire : le procureur est chargé de l’action publique (de
proteger la société française en général). Pas de la protection des
parties civiles (c’est à dire l’expression d’intérêts particuliers).
C’est certes moralement regrettable mais dura lex sed lex, c’est comme
cela.
Ce qu’il fallait dire est :
En quoi la constitution
de partie civiles sur ce sujet dans cette affaire serait nuisible à la
la société ? Est-ce le rôle d’un procureur de s’opposer à la constitution
de parties civiles ? Est-ce le rôle d’un procureur de s’opposer à la
mise en oeuvre d’une ordonnance d’un juge d’instruction ?
je
stoppe là la critique. Améliorez la forme s’il vous plaît. Sur le
fond je suis d’accord avec vous mais un tel manque de clarté nuit à
votre propre cause.
« c’est de l’ »information« qui est transmise, en l’occurence l’ »état« de la particule, et non la particule elle même. »
D’un point de vue quantique c’est exactement la même chose. Grosso modo Les deux particules ne sont que deux maximums d’un seul champ quantique d’atome d’ytterbium qui s’étend dans l’univers. On peut dire qu’il n’y a pas d’atomes d’ytterbium, il y a « de l’atome d’ytterbium ». En tout endroit de l’univers il existe une certaine quantité d’atome d’ytterbium potentiel. Ce qu’on appelle « un tel atome » est simplement un endroit ou la quantité potentielle est proche de la certitude, et « le vide » un endroit ou la quantité potentielle est proche de l’absence..
Pour l’exprimer la même question autrement deux « particules » quantiques (simples ou composées) dans le même état sont indiscernables, et pour le cas des bosons (une particule est soit un boson soit un fermion, et un atome est un boson), deux bosons ne peuvent être dans le même état. Autrement dit recopier l’état d’un boson est strictement équivalent à le téléporter. D’autre part
Notez qu’un être humain est un très gros boson.
En réalité on touche ici à un intéressant point qui est le fait que le concept « d’identité » est vide de sens. Je ferai un article là dessus un de ces jours...
Article infect. Quelle importance la couleur de la peau ? Aucune, d’autant plus que l’intéressé lui même a exprimé clairement son mépris pour de telles considérations.