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Argoul

Tableau de bord

  • Premier article le 07/09/2005
  • Modérateur depuis le 21/09/2005
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Derniers commentaires



  • Argoul Argoul 28 janvier 2009 17:50

    Je plains Pallas, victime type du syndrome de la mère Houellebecq et je suis entièrement en accord avec ce que dit Ninou.



  • Argoul Argoul 28 janvier 2009 17:47

    Eh bien bravo si vous avez élevé des enfants équilibrés. C’est vrai, il suffit de respecter leur personne et de les aimer - pas de les régenter ni de les fouetter. Ce n’est pas grand chose, mais c’est le tout : être là, comme exemple et recours. Remarquez quand même que votre cas n’est pas le cas général...

    Vous émettez ensuite que c’est l’infantilisme d’Etat - renforcé sous JC - qui déresponsabilise les gens et les gens assistés, égoïstes. Puis-je vous faire remarquer que Mme Thatcher et le Pdt Reagan ont pensée exactement la même chose, vers 1980-82, et ont entrepris de re-responsabiliser les citoyens par des dérèglementations massives et des codes de déontologie autonégociés. Pas mauvaise idée, on a eu une croissance jamais vue dans les pays anglo-saxons durant 20 ans. Sauf que l’excès tue la bonne idée : l’initiative individuelle c’est bien, le chacun pour soi c’est pas bien. D’où la situation actuelle.

    N.S. président a fait campagne sur la re-responsabilisation et l’anti-laxisme. Il a gagné, c’est porteur dans l’opinion qui a trop vu d’égoïsme, d’histrionisme et de je-m’en-foutisme après les années de Gaulle. Que chacun prenne ses responsabilités et fasse son boulot ! Vous seriez donc d’accord avec ce que j’expose ? Le libéralisme (bonne idée responsabilisante, puisque donnant par l’éducation l’autonomie de penser à chacun) donnant en mai 68 le libertaire (le code de civilité et de responsabilité appliqué aux moeurs - qu’elle soient privées ou économiques). Vous approuvez jusque là. Sans accepter la dérive libertarienne ( à l’anglo-saxonne = individualisme maximum / à la latine = histrionisme et narcissisme du spectacle à la G Debord)...



  • Argoul Argoul 27 janvier 2009 16:24

    Je ne vois pas vraiment la pertinence de votre distinction pour sauver les meubles... Vous dites "En affaire de moeurs, votre libido ne s’exprime que dans votre chambre. il est donc parfaitement illusoire de vouloir interdire quoi que ce soit sauf a aller au dela de ce qui s’appelle la "dignité" humaine (...) Dans le domaine economique, votre comportement dans les affaire est regie par un code..."

    Il me semble qu’une des conséquences du laisser-faire né en mai 68 a été justement d’imposer le sexe à tout va sur les bancs (sympathique), sur les affiches (parfois douteux) et à la télé non cryptée (le plus souvent voyeur, voire obscène). Il ne s’agit en RIEN de retourner à la pruderie des grand-mères ET JE LE DIS, mais le laxisme ne connaît aucune règle, en privé comme en public. Vous me permettrez de rester dubitatif sur la "dignité humaine" des expériences de loft story avec des gamins, récemment apparues aux USA par exemple. Cela après le voyeurisme soigneusement monté pour faire vendre du loft-baise dans la piscine... L’obscénité étant pour le Loft l’audimat, qui attire le fric de la pub, pas l’acte lui-même, entre jeunes adultes sains et vigoureux.

    Le code de civilité des relations privées est analogue au code civil qui régit les relations juridiques entre les individus (dont le contrat commercial fait partie). Comment voulez-vous traiter humainement vos salarié(e)s si vous avez pour habitude, dans les chambres closes, de baiser contre fric la pétasse ou le giton qui passe ? Comment voulez-vous respecter de quelconques "règles" dans le public quand vous n’en avez pas dans le privé, quand "tout vous est permis" ? Dans ce cas (et c’est ce que Platon appelait tyrannie), c’est la loi du plus fort qui s’applique : la peur du gendarme en public, la crainte du poing sur la guele du mauvais coucheur, ou l’impitoyable tycoon texan dans les affaires. Je n’appelle pas ça un "code", ou alors celui des mafieux ?



  • Argoul Argoul 27 janvier 2009 15:44

    Peut-être m’avez-vous lu un peu vite, dans ce zapping pressé très "tendance" ? J’ai expressément écrit : "Nous ne réclamons surtout pas le retour à la société d’avant 68, répressive, hiérarchique et du devoir – ce caporalisme moraliste qui hante la société française depuis Napoléon (aussi bien dans la droite morale que dans la gauche morale)."

    L’éducation vise à devenir adulte, donc responsable de soi. L’instruction vise à acquérir le savoir et la méthode, sans lesquels ont ne peut penser par soi-même. La civilisation est un processus culturel cumulatif, mais qui ne va pas sans retours en arrière (fascismes, pétainisme, néo-conservatisme, etc.). Contrairement à ce que vous affirmez, les hauts dignitaires nazis n’étaient pas des sommités de l’université ni de la Kultur... Pour beaucoup, ils étaient des ratés du système, de petits-bourgeois aigris revanchards, hantés par la théorie du Complot antipatriote en 1918. Pour certains "docteurs" en diverses sciences dures, ils ont été pris par cette froideur scientiste très 19ème qui n’a rien à voir avec le processus de "civilisation". Pour les "colonels" et autres militaires que vous évoquez, où avez-vous donc vu que l’armée était la parfaite représentante de la culture ?

    De plus, dans le processus de formation du petit d’homme par sa famille, l’école et la société, le "dressage" n’existe que dans les sociétés totalitaires (nazisme, fascisme, soviétisme, maoïsme) ou totalisantes (intégrismes, robespierrisme, caporalisme). Seules ces sociétés-là réclament des béni oui-oui et envoient en camp les autres. Les sociétés aptes à la démocratie veulent des citoyens bien dans leur peau, qui savent penser par eux-mêmes. Ni des jouisseurs égoïstes, ni des sadiques au garde-à-vous. Je pensais que c’était assez clair dans la note, non ?



  • Argoul Argoul 12 janvier 2009 12:00

    @USA613 (drôle de nom...) - Je pensais que ma note était plus équilibrée que le réquisitoire que vous faites. Mais peut-être ne parlez-vous pas de la note publiée ci-dessus mais "en gérénal" ? Pourquoi faut-il toujours abstraire et parler "en général" à parti de deux ou trois cas disséminés ici ou là (ailleurs que dans cette note que vous êtes censé "commenter"...) ? Pourquoi ne pas cibler les critiques sur des faits précis, des articles précis, et démonter par la critique ce qui peut être criticable ?

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