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Arlette Signoret

Arlette Signoret

Fille de Russe blanc ( né à Rostof /Don, sur la mer d’Azov), je suis née à Marseille, mariée depuis plus de quarante ans, trois enfants, trois petits-enfants. Je n’ai jamais cessé d’écrire depuis l’âge de onze ans. Tout me passionne et l’expérience de la vie surtout. Mais je n’ai jamais perdue, jamais, la pureté de l’enfance, celle qui s’émerveille et adore les couleurs de l’Arc-en-Ciel : la Lumière.
Aujourd’hui ma Maison d’Hôtes de Charme accueille les visiteurs du Hazard et leur apporte ce qu’ils recherchent : la paix. 

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Derniers commentaires



  • Arlette Signoret Arlette Signoret 18 octobre 2009 21:53

    Qu’y-a-t-il de choquant dans l’éléction ...(éventuelle)... de Jean Sarkosy à la tête de l’EPAD... en effet ? N’est-ce pas finalement le fait de tous les milieux, de toutes les communautés, de tous les réseaux, de toutes les « loges »... de placer les leurs, leurs frères, là où ils pensent devoir le faire afin d’éviter que d’autres s’emparent du bien convoité ? C’est ça l’humain !
    Et puis qui peut dire qui sera le meilleur ? Le communiste ? Je dis « niet » et ce serait vraiment le comble ! Enarques ou autres grands diplomés ? N’ont-ils pas fait leurs
    preuves ? Ne serait-ce pas grâce à eux si nous en sommes où nous en sommes ? La jeunesse que je sache n’est pas une tare ou un déni de potentiel ! surtout si elle est bien secondée ce qui est le propre d’un chef ! 
    Que celui qui n’a rien fait jette la première pierre !



  • Arlette Signoret Arlette Signoret 26 mai 2007 17:28

    C’est tellement vrai, Mab, il ne faut pas oublier « ceux qui étaient là » ! C’est vrai, sans les oublier, on ne pense plus à eux finalement en tant que témoin du drame, puisque tout est oublié. Et pourtant ce jour là ( et encore aujourd’hui), j’ai été maman quatre fois : pour mon fils que j’avais laissé malgré ses suppliques, pour ma fille ainée qui était à mes côtés dans cette auto qui avalait les kilomètres, pour toi, Mab, que je voulais déjà rassurer par la pensée et que je retrouvais si désemparé, avant de franchir la porte effrayante de cette « réanimation » où soudain venait de jaillir ce cri : « Maman ! enfin te voila ! »



  • Arlette Signoret Arlette Signoret 25 mai 2007 20:04

    Quand la vie vous surprend au carrefour du Destin, aux dernières couleurs d’un jour de Printemps, qu’une voix au téléphone vous annonce, navrée, que votre enfant de vingt ans a eu un accident à l’autre bout de la France, qu’elle a été transportée à l’hopital... etc... les secondes, les minutes, les heures qui suivent sont innommables, indicibles... Mais que dire des années qui passent ? sinon rendre hommage au courage, à la force incommensurable qui anime l’Etre chéri et lui rendre sourire pour sourire, rire pour rire, humour pour humour, mais par dessus tout l’amour encore et toujours ! Voilà le secret ! Sublime leçon de vie ! Merci Florence.


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