Tiens, revoilà « la paupérisation de la classe ouvrière » marxiste !
Au moins une remarque à retenir : oui, le marxime, qui, après la chute du Mur de Berlin, a trouvé plus malin de revenir avec le faux-nez de l’anti-libéralisme pour tenter de masquer la honte de ce qu’on a trouvé derrière le Mur de Berlin, c’est pas bien.
On remarquera quand même que la diatribe marxiste a quand même du mal à invoquer le marxisme pour son programme « du passé faisons table rase »...
Article indispensable d’où il ressort que pour satisfaire l’antisarkozysme primaire, le président de la 5 ou 6ème puissance mondiale devrait aller à une réunion internationale sur un vol charter, seul, et dormir au YMCA de la 54ème rue West à New-York, plus pratique pour lui pour se rendre à l’ONU en métro !
Il ne fait pas de doute que lorsque l’ont voit le degré de lâcheté, de veulerie poujadiste où en est tombé l’opposition pavlovienne à Sarkozy, il est très possible qu’elle prépare un événement historique en Vème République : pour la première fois, un Président pourrait être réélu au premier tour !
On pourrait même dire que cette crise, 20 ans après la chute du Mur de Berlin, c’est la mort définitive du marxisme et toutes ses salades économistes qui n’ont strictement mené à rien.
En attendant, et malgré les incantations apocalyptiques des grandes prêtresses de l’anti-libéralisme (Alors ce chaos mondial, cette faillite généralisée, ça vient ????), il faut reconnaître que les système de régulations mis en place fonctionnent relativement bien.
Quand on se souvient de la dernière crise du cycle Kondratieff, 1929, on est même stupéfait de voir comment ce que les grandes prêtresses appellent « ultra-libéralisme » a su apprendre des crises précédentes pour gérer celle-ci.