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  • Asteios Asteios 27 janvier 2015 15:28

    hum 5 mots ! pour 5 neurones je suppose. Je pense qu’avec une opinion aussi développée que celle-ci, cela laisse septique sur le fait de laisser la liberté d’expression à certaines personnes.

    En effet je pense que cette sacro-sainte liberté devrait être soumise à un test de QI.


  • Asteios Asteios 27 janvier 2015 15:12

    Mouai ce pauvre Dieudonné encore en train de jouer la carte de la victimisation. Il faut pas déconner non plus ! Ce cher monsieur qui considère Alain Soral comme son « éminence grise » d’après ses propres dires et qui sous couvert d’humour propage un antisémitisme des plus abject endoctrinant au passage des milliers de jeunes musulmans dans sont délire paranoïaque de conspiration juive destinée à dominer le monde. c’est oublier que Alain Soral en 2006, signe avec Fabrice Robert et Philippe Vardon, deux figures du Bloc identitaire, un appel à la libération de Michel Lajoye, condamné pour des attentats à l’explosif contre des commerces et des logement de travailleurs maghrébins. Mais bon on revient à la vrai définition de l’antisémitisme.



  • Asteios Jocelyne 15 mai 2008 13:28

    La dépêche est tombée ce matin, je vous la laisse méditer. C’est un peu long, mais très intéressant. Un bon point de départ pour votre très intéressante enquête.
    http://www.fairelejour.org/article.php3?id_article=1736
    Des pauvres de plus en plus pauvres et des riches de plus en plus riches. C’est l’un des constats dressés par l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale dans un rapport remis mardi au gouvernement. L’ONPES note en effet qu’entre 2002 et 2005 les difficultés des plus pauvres se sont accrues tandis que les revenus des ménages les plus riches n’ont cessé d’augmenter.
    Le rapport note également que la baisse du chômage s’est accompagnée d’une hausse du nombre de travailleurs pauvres et du nombre de demandeurs d’emploi non indemnisés.
    "En 2005, une personne pauvre sur deux avait un niveau de vie inférieur à 669 euros par mois", pour un seuil de pauvreté fixé à 817 euros, selon ce rapport remis à la ministre du Logement Christine Boutin et au Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté Martin Hirsch.
    Selon l’ONPES, l’indicateur d’intensité de la pauvreté (c’est-à-dire le revenu moyen des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté) n’avait cessé de baisser entre 1996 et 2002, "associé à une conjoncture favorable (...) traduisant une certaine amélioration de la situation des ménages pauvres".
    Mais depuis 2002, "l’évolution s’est inversée, avec une augmentation continue de 16,3% en 2002 à 18,2% en 2005". Résultat, "les inégalités ont fortement augmenté entre les très hauts revenus (...) et le reste de la population".
    Calculé sur sept ans (1998-2005), le revenu des personnes disposant de plus de 201.423 euros par an a enregistré une augmentation de 19,4%. "Cette évolution", relève le rapport, "est encore plus nette lorsqu’on considère le revenu réel des 0,01% de foyers les plus riches : entre 1998 et 2005, il a augmenté de 42,6% contre une augmentation de 4,6% pour les 90% de foyers les moins riches".
    Selon l’ONPES, "cette divergence s’explique par la forte croissance des revenus du patrimoine (+31% en huit ans pour les capitaux mobiliers), qui composent une part importante des revenus les plus élevés, mais aussi par une croissance plus forte qu’auparavant des inégalités de salaire". Sur cette période, les salaires les plus élevés ont en effet connu une progression de 14%, contre 4% pour les salaires les plus bas.
    Par ailleurs, l’ONPES souligne que "le taux de demandeurs d’emploi non indemnisés augmente dans un contexte de baisse des demandeurs d’emploi". "Ce taux connaît une augmentation marquée de 2,6 points au cours de la période récente (de 37,7% en 2004 à 40,3% en 2006), dans un contexte global de baisse du nombre de demandeurs d’emploi et de développement de l’emploi précaire".
    "Seuls six demandeurs d’emploi sur dix sont indemnisés", souligne l’Observatoire. "Parmi eux, la part des bénéficiaires du régime d’assurance-chômage géré par l’Unedic a diminué. Les réformes intervenues en 2004 et 2006 ont en effet restreint les conditions d’accès et limité les durées d’indemnisation".
    L’ONPES relève également une hausse du nombre de travailleurs pauvres dans un fourchette de 30.000 à 100.000 personnes entre 2004 et 2005.
    "La grande majorité d’entre eux (78%) occupent un emploi toute l’année. Toutefois, 21% d’entre eux occupent principalement un emploi à temps partiel", précise le rapport selon lequel "ce n’est le cas que pour 14% de l’ensemble des travailleurs".
    Concernant leur salaire, "les travailleurs pauvres ont perçu 775 euros par mois en 2005 au titre de leur activité, soit environ la moitié des revenus d’activité moyens de l’ensemble des travailleurs


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