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baptiste64

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  • baptiste64 28 septembre 2007 13:01

    Bonjour,

    Ne vous montez-vous pas un peu trop le « bourichon » comme on dit ? Et dans quel but ? Vous etes obsédé par cette histoire ou quoi ? au point de jetter l’oprobe sur les autorités qui jusqu’à preuve du contraire ont permis surtout que ces 21 enfants sortent sains et saufs. Mais c’est une habitude de protéger le malfrat...On ne se réjouit pas de la mort d’un homme mais je trouve vraiment indigne de polémiquer là dessus, quand on prend en otage une classe de 21 enfants, qu’on arrive avec suffisament d’explosifs pour faire tout sauter, on sait à quoi s’attendre et ce qu’on risque à moins d’etre complétement taré.



  • baptiste64 28 septembre 2007 12:21

    Censure, vous rigolez ? Sarko est un petit joueur....

    souvenons-nous de Tonton, ça avait une autre dimension....que ce papier qui est sorti sans sortir. On sait trés bien que des journalistes savaient pour Mazarine, savaient pour son cancer caché et qu’ils n’en ont rien dit pdt des années. On sait aussi le système Mittérand avec sa cellule de l’Elysée capable d’assurer écoutes téléphoniques, filatures et « censures » rapprochées...Alors la gravissime atteinte à la liberté de la presse, mouais.

    Nnous sommes dans l’ère avec le développement du web, des journaux à scandale et des paparazzi, de la transparence la plus totale qui va parfois à la limite de la décence, parfois de la rumeur, je trouve, concernant la vie privée des politiques , qui savent en jouer et qui se reçoivent aussi les retours de batons.



  • baptiste64 28 septembre 2007 12:13

    Je crois que c’est bien Isabelle Balkany qui écrit à Cécilia. Vous trouvez ça normal qu’elle doive maintenant se manifester et se justifier sur le contenu d’une correspondance privée ??? Les tabloids anglais ont du souci à se faire, ils ont de la concurence sérieuse en France. ça pose question quand mème sur les choux gras de ce type de presse.

    Ce qui est clar, c’est qu’il y a 20 ans, jamis une correspondance mnifestement privée n’aurait trouvé sa place dans un journal. encore moins d’aller agrandir pour voir ce qui y est écrit.

    Donc elle explique « besitos » ( baisers en espagnol) pour son amie d’origine espagnole ( effectivement Cécilia est do’rigine espagnole, le maire de madrid est mème son cousin), mot illisible= anniversaire , elle a fété ses 60 ans au Maroc....

    Voilà, ça fait pchiiiit !



  • baptiste64 25 septembre 2007 15:47

    suite...

    On sait que si on doit tirer, on ne peut que viser que le cerveau pour tenter de tout arrêter.

    Vous avez terminé votre carrière comme instructeur du Raid. L’affaire HB a-t-elle influencé votre enseignement aux nouvelles recrues ? Oui, je devais leur faire comprendre qu’il y a une différence entre tirer sur une cible blanche et tirer sur quelqu’un. Avec les cris. Avec l’odeur. Cette idée d’être amené un jour à tirer, il faut l’avoir avant et pas pendant. Les policiers doivent se dire que même s’ils sont en légitime défense, ils seront emmerdés, qu’ils ne sortiront pas indemnes sur le plan personnel, professionnel, familial. Même si vous êtes un solitaire, vous allez déguster. Il est plus facile de ne pas tirer que de tirer.

    Et le rôle de Sarkozy qui a négocié avec le preneur d’otages pour libérer des enfants ? Sans faire le lèche-cul, il s’est proposé d’emblée. Ce genre de choses est à double tranchant. Je lui ai trouvé une sacrée dose de courage. On a trouvé qu’il allait parfois un peu loin, mais ça a marché, avec son côté rentre-dedans, il a réussi à sortir des mômes

    Vous n’avez pas été gêné de rejouer votre propre rôle pour le docu-fiction de France 2 ? Je ne devais faire que témoigner au départ. Au fur et à mesure, j’ai fini par devenir conseiller technique. Et puis, j’ai fini par faire le figurant car il n’y a personne mieux que moi qui connaissait le déroulement des choses. Je ne l’ai pas rejoué par gaîté de cœur.

    Recueilli par David CARZON



  • baptiste64 25 septembre 2007 15:45

    Interview interessante de Daniel Boulanger, principal interessé, pour 20 minutes.

    Daniel Boulanger Le jour où j’ai tué HB (Hachette littératures)

    Jusqu’à présent, vous ne vous étiez jamais exprimé sur l’affaire de la prise d’otages de la maternelle de Neuilly. Une fois en retraite, vous avez ressenti le besoin de donner votre version des faits ? Je n’avais jamais imaginé écrire ce livre. A la suite du docu-fiction tourné pour France 2, Dominique Rizet, m’a proposé de l’écrire avec lui. En y réfléchissant, je me suis dit que cela permettrait de donner une vision de l’intérieur de cette affaire. L’idée première était de rendre hommage à mes camarades du Raid. On nous voit comme des hommes en noir, qui ne parlent pas, comme des robots qui exécutent les ordres. Sans jeu de mots.

    Vous avez dû vous replonger dans cette période. Vos souvenirs étaient encore vivaces ? J’avais fait l’effort d’oublier. Je me suis replongé dans la procédure. J’y ai découvert des choses que je n’avais jamais lues ailleurs. En revanche, les souvenirs de l’intervention, la préparation, les gestes, tout cela est ancré en moi. Toutes les arrestations un peu marquantes restent gravées, à cause de la concentration, du stress... Comme celle d’Action Directe ou d’ETA.

    Quelle est la part d’imprévu lors de vos interventions ? Ce n’est pas une science exacte. Sinon tous les groupes d’intervention pratiqueraient de la même manière. Il n’y a pas de schéma type. On s’adapte en permanence.

    Cette affaire aurait-elle pu se terminer autrement que par la mort d’Erick Schmidt ? Si les médecins du Samu et des pompiers avaient accepté de trouver un produit pour l’endormir, HB aurait peut-être pu être sauvé. Mais ils ont refusé par déontologie. Si nous, on intervient, c’est que tout le monde a échoué avant nous. C’est facile de ne rien faire et de critiquer après. Je me pose encore des questions : dormait-il vraiment, ou faisait-il semblant pour nous faire exploser avec lui ? On ne le saura jamais. Ce n’est pas moi qui a déclenché cette situation, on lui a laissé beaucoup de chances, il n’a pas su les saisir. Et si on rentre, c’est parce que les autres ont échoué. Tous les conseils qu’on nous donne maintenant, j’aurais bien voulu les connaître à l’époque.

    Peu après la fin de la prise d’otages, la polémique a été très violente et on vous a accusé d’avoir exécuté HB sur ordre de Pasqua, alors ministre de l’Intérieur... Ce que je peux dire, c’est que si les snipers avaient pu le neutraliser, il n’y aurait pas eu de polémique. Je pense qu’il s’agissait d’un règlement politique pour atteindre Pasqua. Je n’existais pas, la famille d’Erick Schmidt non plus. Si Pasqua avait donné un tel ordre, il y aurait une vingtaine de personnes concernées. Je ne vois pas comment nous aurions pu garder le secret. Et surtout, pourquoi aurais-je exécuté cet ordre ? Il n’y a qu’un seul responsable, c’est celui qui appuie sur la détente.

    Vous êtes préparé à tuer ? Je peux vous raconter ce qui s’est passé à Ris-Orangis, avant l’épisode de la maternelle. Je me retrouve tout seul devant un fou qui vient d’abattre deux collègues. Le type jette son arme, je peux le tuer comme je veux, personne ne me dira rien, je serai même un héros. Mais je ne le fais pas. Parce que ce n’est pas dans ma nature. A Neuilly, notre priorité, ce sont les otages. Il y a des explosifs. La situation est particulière. Quand je suis rentré, j’avais l’impression d’aller au casse-pipe. On manquait d’informations. Mais on savait que HB savait manier les explosifs. On sai


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