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baptiste64

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  • baptiste64 22 septembre 2007 01:40

    Juste quelques prescisions. Ce documentaire a été achevé en Mars 2007, avant l’élection présidentielle donc et son projet remonte déjà à quelques annnées. Je peux vous en parler car j’habitais Neuilly au moment des faits.

    Sur l’affaire, il est exact qu’il y avait eu une semaine avant une explosion dans un parking souterrain revendiquée par un mystérieux « HB ». C’est d’ailleurs pour cela que les policiers ont rapidement fait le lien et conclu que l’homme était dangereux.

    Pour le reste, il y a eu un procés, au cours duquel le RAID a été totalement innocenté. Aprés enquète balistique, on a confirmé les dires des hommes du RAID qui affirmaient avoir agi en état de légitime défense aprés qu’HB ait bougé. Leur aurait-on pardonné de n’avoir rien fait ? Il portait suffisament d’explosifs pour faire sauter la classe, que n’aurait-on dit ? Ce n’est pas un mort mais sans doute plusieurs dont des enfants qu’il y aurait eu.

    Une enquète complète des documents d’archives et des faits a également déjà eu lieu au moment de la réalisation d’un épisode de « faites entrer l’accusé » sur la prise d’otage de Neuilly. Et de nombreux ouvrages.

    Il est normal que les journalistes n’aient eu droit à aucun accés...pendant une prise d’otage, cela aurait été mal venu. Les informations sortaient au compte coute et les journalistes eux mèmes étaient obligés de s’auto-censurer et de travailler avec les autorités. Un mot déplacé pouvait tourner au drame puisque HB avait exigé d’avoir accés à la radio. Il entendait donc absolument tout de ce qui se passait à l’extérieur. Il n’y a d’ailleurs aucune image de presse, mais uniquement les documents d’archives des pompiers de Paris.

    ça ressemblait malheureusement à un cauchemar comme en vivent tous ceux qui on à vivre une prise d’otages.

    Toute polémique sur cette histoire me semble vraiment déplacée. Ces hommes ont agi comme ils devaient et méritent seulement une immense reconnaissance pour leur courage et leur professionalisme.



  • baptiste64 29 août 2007 13:42

    son attirance envers la corse un désir peut être inconscient de se mettre dans les pas de l’Empereur. Oui peut etre.

    Mais dommage que l’article ne parle pas aussi du rapport de Sarkosy avec la Corse qu’il connait parfaitement. Sa 1ère femme était corse, ses deux fils le sont donc à moitié et passent toutes leurs vacances sur l’Ile.

    Sans y être en terrain conquis, le président de la République connaît bien la Corse pour y avoir passé une bonne partie de ses vacances... En 1982, il a épousé la fille d’un pharmacien de Vico, village situé en Corse-du-Sud. Ses deux fils aînés, Pierre et Jean, sont donc pour moitié corses. Ils demeurent très attachés à leurs racines insulaires. Le cadet a même éprouvé le besoin de faire un stage auprès d’un berger de la région de Cargèse (ville d’Yvan...) pour affirmer sa « corsitude »....

    C’est un secret de polichinel làs bas. Son ancienne belle famille connaissait trés bien la famille Colonna.

    Nicolas Sarkozy connaît le concubin de Christine Colonna ( soeur d’Yvan Colonna) , Pierre Geronimi, le fils du glacier de Sagone ou ils avaient leur maison. Passionné de football, Geronimi a rencontré Yvan sur les terrains de sport et l’a accompagné en 1995 dans une grande virée en Amérique latine. D’ailleurs, les deux fils du ministre ont déjà joué au football avec Colonna. Le berger organisait de petits tournois estivaux dans le cadre de l’Association sportive cargésienne....

    Le 25 octobre 2003, le ministre se rend en Corse dans le cadre des assises des libertés locales. Dans le Falcon de la République qui le transporte, se trouvent ses collaborateurs et l’un de ses fils, venu passer les vacances de la Toussaint chez ses grands-parents maternels. Le lendemain matin de son arrivée, Nicolas Sarkozy convoque les hauts responsables de la police et de la gendarmerie corses, notamment le patron du SRPJ, le commandant de la Légion de la gendarmerie et le directeur de la sécurité publique. La veille, un attentat a été commis contre une agence bancaire d’Ajaccio, à proximité de la préfecture, où dormait le ministre. Celui-ci se montre furieux. Mais un autre sujet préoccupe Sarkozy. Les deux enfants de son premier lit sont-ils en sécurité dans le « triangle des Bermudes » ? À Cargèse, Vico ou Sagone, le FLNC a toujours montré sa poigne. Il est difficile de répondre. Les invités au petit-déjeuner regardent leurs chaussures. Finalement, l’un d’eux se lance : « Les Corses ne touchent pas aux enfants. » « Ils n’aiment pas ceux qui ont peur » L’un des deux fils du ministre de l’Intérieur passera une semaine tranquille à Vico. L’été, il a déjà fait un stage de berger à quelques encablures de la bergerie d’Yvan Colonna. Les nationalistes ont bien rigolé.

    Un épisode de l’été 2002 a fait jaser dans un cercle restreint. « On » a vu l’un des deux adolescents circuler dans la voiture de Christine Colonna, réputée nationaliste fervente. Le beau-frère d’Yvan la lui avait prêtée. À l’arrière de l’automobile était fixé un autocollant du Ribellu, le symbole du FLNC. Les Renseignements généraux planquaient dans le coin, pour débusquer l’homme invisible et surveiller la progéniture remuante du ministre. Remontée au plus haut niveau du ministère, l’information a créé une petite gêne. Le monde est parfois trop petit. Le ministre laisse faire ses enfants comme ils l’entendent, mais prend soin pour lui-même d’éviter tout contact avec la famille Colonna. « Quand Jean-Hugues Colonna a tenté de prendre attache avec moi fin 2002, par l’intermédiaire d’un directeur du ministère, j’ai refusé catégoriquement "

    Petits et grands secrets corses de Sarkosy...


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